Futur Lyokofan
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Inscription: 23 Mar 2018, 00:09
Code Lyoko sans Lyoko (Pour les 12 ans et plus)
Ulrich se réveilla en sursaut dans son lit, au milieu de la nuit. Il venait de voir le sas du Supercalculateur de refermer, mais était-ce un rêve ? Il était très mélangé dans sa tête. Il tourna la tête et vit Odd en train de dormir, ce qui le soulagea un peu. Puis ses doutes revinrent tout de suite après, lorsqu'il vit la coiffure de son ami : ses cheveux n'étaient pas en pointe. Ils étaient pareils comme à leur première rencontre. Mais le samouraï avait les souvenirs embrouillés. Il se demandait donc si leur longue lutte contre XANA n'était qu'un rêve de son imagination. Deux ans en une nuit, est-ce vraiment possible ? Aelita existe-elle vraiment ? Si oui, était-elle une adulte de 22 ans ou une jeune fille de 12 ans ? Yumi était-elle réelle ? William aussi ? Tout ce dont il était sûr, c'est qu'il avait un père et un mère, mais n'était plus sûr de leur caractère. Était-il vraiment un étudiant de Kadic ? Plein de questions l'hantèrent pendant quelques autres minutes, puis Ulrich se calma et décida de vérifier le lendemain.
Ulrich vit que son armoire ne comportait que ses vêtements de 4e. Son anxiété augmenta. Il s'habilla et alla voir la secrétaire, Mme Weber. Il lui demanda s'il y avait un élève du nom de Jérémie Belpois.
Mme Weber : Bien sûr. Il est dans votre classe, Mr Stern.
U : Merci.
Il retourna en vitesse au dortoir et toqua à la porte dont il était le plus convaincu qu'elle corresponde à la chambre de Jérémie. On ouvrit.
??? : Oui ? Tiens, tu serais pas dans ma classe, toi ?
U : Jérémie ? Oui, c'est moi. Ulrich !
J : Tu t'appelles Ulrich ? Et tu sais mon nom ?
U : Évidemment ! Mais... Tu ne te rappelles pas de moi ?
J : Non. Enfin, si. Je sais que tu es dans ma classe, mais je ne connais pas vraiment.
À ce moment, Ulrich fut détendu, mais assez triste. Cette lutte acharnée pour contrer les plans de XANA était bel et bien un rêve des plus incroyables.
J : Dis, ça va ? T'as pas l'air bien.
U : J'ai besoin de te parler.
J : Me parler à moi ?
U : Oui, à toi. S'il-te-plaît.
J : Euh... d'accord.
Le jeune blondinet le laisse entrer. Ulrich s'assoit sur le lit de Jérémie. Un calendrier affiche « 10 octobre 2001 ». Il (Ulrich) reconnaît le poster d'Albert Einstein.
J : Alors, de quoi veux-tu me parler ?
U : D'abord, promets-moi de m'écouter et de ne pas m'interrompre jusqu'à ce que je te dise que j'ai fini. OK ?
J : Euh... OK. J'essayerais.
Le jeune samouraï se lance donc. Il raconte en détail son rêve qu'il croyait être la réalité sur deux ans en une nuit. Il évoqua évidemment les monstres de XANA, les attaques, etc. Aucun détail n'échappa à Ulrich. Lorsqu'il eut fini, Jérémie afficha une mine impressionnée.
J : Je... je ne sais pas quoi penser de ça. Honnêtement, je crois en ton histoire. Ou plutôt ton rêve.
U : Y a-t-il quelque chose dont j'ignore ou me trompe ?
J : Et bien, quelques-unes. Tout d'abord, Aelita existe vraiment et s'appelle bien Schaeffer. Elle vient tout juste d'avoir 11 ans. Ses parents sont encore en vie et elle est née dans les mêmes années que les autres 5e. C'est aussi bel et bien ma petite amie. En ce qui concerne Odd, il est réellement son cousin. Il vient juste d'arriver à Kadic en tant qu'interne. Aeltia est interne aussi, bien que ses parents vivent tout près. Elle va dormir chez eux lors des fins de semaines. La maison que tu m'as décrite est réelle aussi et située là où tu as dis. Dans le parc. Et Milly Solioveff est sa sœur adoptive.
U : Cool. Mais attends. On est en 5e ?
J : Ben ouais. Tu croyais quoi ?
U : Bof. J'pensais être en 4e.
J : Quant à moi, ma famille est assez différente de ce dont tu m'as parlé. Je n'ai aucun cousin au look cool et qui se nomme Patrick. J'ai plutôt deux frères, l’un est biologique et l’autre adoptif, qui étudient ici même. C'est Mathias Burel, celui qui porte un slip de bain à la piscine, et Emmanuel Maillard, qui est l’adoptif. Mais Mathias est plutôt mon demi-frère, pour être précis. Son vrai père se nomme Janne Laukannen, un hockeyeur professionnel évoluant en Amérique du Nord.
U : Tu m'épates.
J : Et puis, ma mère et ma grand-mère travaillent à Kadic aussi.
U : Ah bon ? Qui c'est, ta maman ? Mme Weber, la secrétaire ? Il faut dire que vous vous ressemblez un peu quand même.
J : Mais non. Ma mère, c'est Yolande.
U : L'infirmière ?? C'est elle, ta mère ??
J : Eh oui. Elle a eu Mathias à 19 ans. Donc, elle a 33 ans.
U : Elle est jeune !
J : Ma grand-mère aussi. Elle n'a que 52 ans. Au fait, c'est Mme Hertz.
U : La prof de sciences ??
J : Eh ouais ! Mais t'inquiètes, elle n'est pas autoritaire et stricte comme dans ton rêve. Elle est très gentille et douce envers les élèves, surtout moi. Et quand je dis grand-mère, c'est la mère de ma mère. La maman de l'infirmière, quoi ?
U : Trop chouette. Mais pour revenir à Odd et Aelita, quel est leur lien de parenté ?
J : En fait, la mère d'Odd est la sœur aînée de la mère d'Aelita, de 2 ans. De plus, les Schaeffer m'apprécient beaucoup.
U : Vraiment ?
J : Non, ils veuillent ma tête sur leur bureau et mes entrailles dans de la bouffe à cochons. Bien sûr qu'ils m'aiment ! Ma mère et sa mère sont même les meilleures amies depuis l'enfance.
U : Ouf ! T'allais me flanquer une trouille avec cette histoire de tête sur leur bureau et puis tout ça.
J : Pour Odd, y a un détail qui me revient. C'est pas vraiment un garçon. Il est transgenre depuis qu'il a 9 ans.
U : Quoi ?? C'est pour ça alors qu'il avait une voix très aïgue.
J : En gros, elle fixait régulièrement les filles avec amour et s'habillait souvent comme un garçon à ce que je me rappelle, selon les mots d'Aelita. À 8 ans, un psychologue l'avait diagnostiqué lesbienne. Pour éviter qu'elle ne soit persécutée, ses parents lui ont demandé si elle voulait changer de sexe et elle a dit oui. Maintenant, c'est un garçon.
U : Je vois.
J : Pour revenir à Aelita, on était assez proches tous les deux depuis le 6e, durant laquelle on s'est rencontrés. On se mettait souvent en équipe pour les concours de créations de robots. J'étais en quelque sorte déjà amoureux d'elle. Notre histoire d'amour a toutefois débuté il y a 2 ou 3 mois lorsque la semaine s'était achevée. Je me promenais dans le parc lorsque j'ai entendu des cris de détresse. Je les ai suivi et je vis Aelita se faire intimider par Sissi, Nicolas et Hervé.
U : Ils sont déjà ses sbires ?
J : Oui, mais laisse-moi terminer. Tandis qu'Hervé saccageait son matériel et que Nicolas restait immobile à rire comme un idiot, Sissi l'insultait et l'intimidait. Ça la faisait sangloter. Je ne pouvais pas rester là à rien faire. J'ai donc avancé et repris les effets d'Aelita des mains d'Hervé qui s'est étrangement enfuit en paniquant. Nicolas a décidé par conséquent de s'en aller aussi, prétextant qu'il ne voit aucune raison de faire du mal à Aelita. Sissi m'avait insulté et fait des menaces, mais je n'avais pas peur. Pas pour défendre Aelita. De plus, Jim était à proximité et a entendu les dires de Sissi à mon égard et l'a envoyé chez le proviseur, qui est son père, bien entendu. Aelita m'a remercié de l'avoir défendu et m'a embrassé sur la joue. Je lui ai donc fait un calîn très doux, puis elle m'a avoué son amour pour moi. Je lui ai dit mes sentiments réciproques et on s'est embrassé sur les lèvres. Je lui ai proposé de la raccompagner chez elle et elle a accepté.
U : Ses parents ont été mis au courant ?
J : Oui, ils étaient même dehors, sur le balcon. Aelita fit un gros calîn à ses parents et leur raconta ce qui s'était passé. Sa mère m'a remercié infiniment, tandis que son père m'a accordé sa reconnaissance éternelle. Depuis, moi et Aelita sommes en couple.
U : Au fait, est-ce que Odd a une copine ?
J : Non, mais il m'a dit qu'il en a très envie.
U : D'avoir une copine ?
J : Évidemment.
U : Au fait, est-ce que Yumi existe, elle ?
J : La japonaise ? J'en sais ri... Oh oui, attends ! Oui, ça me revient. Mathias m'a parlé d'elle. Il m'a dit que presque tous les garçons de la classe avaient les yeux rivés sur elle à presque chaque jour. Excepté lui, il a déjà une copine, Émilie Leduc.
U : Ouais... Mais merci pour le renseignement... et pour m'avoir cru.
J : Qui t'as dit que je te croyais ?
U : Euh...
J : J'me fous de ta gueule, Ulrich. Je te l'ai confirmé un peu plus tôt.
U : Ouf. Merci encore.
J : Y a pas de quoi, Ulrich.
U : Au fait, avons-nous des cours aujourd'hui ?
J : Euh... non. C'est dimanche.
U : OK. Merci.
J : De rien à nouveau.
Sur ce, Ulrich part retrouver Yumi pour savoir s'ils se sont bien rencontrés en cours de penchak-silat.
Ulrich aperçoit avec chance Yumi seule sous les arcades. Il court vers elle et entame la conversation.
U : Yumi ?
Y se retournant : Oui ? Oh salut. C'est toi contre qui je me suis battu hier soir en penchak-silat ?
U : Oui. Si j'avais ma camisole noire et mon pantalon bleu-noir.
Y : Alors, c'est bien toi. Tu veux une revanche ?
U dans sa tête : Donc, mon rêve a débuté à la machine distributrice.
U : Euh... oui. Mais juste entre amis. De plus, si je gagne, on sera seulement ex-aequo.
Y : C'est vrai. Alors, à quand la revanche ?
U : Dans 30 minutes, ça te va ?
Y : OK.
U : Super. À plus.
Y : Ouais, à tout à l'heure.
Y dans sa tête : Il est toujours aussi beau.
Le match bat son plein. Après quelques prouesses, Ulrich ressort vainqueur.
U à Yumi : Au fait, t'avais-je dit mon nom ?
Y : Non. Tu es parti vexé.
U : Et bien, je m'appelle Ulrich Stern.
Y : Enchantée, Ulrich.
U : Moi aussi.
Y : On est maintenant ex-aequo. Quand se déroula le troisième round ?
U : Ce soir ?
Y : Attends, là. Deux combats dans une journée, c'est quand même excténuant.
U : Mouais, t'as raison. Demain midi ?
Y : D'accord.
Ils se serrent la main et s'en vont de leur côté.
Y dans sa tête : Serait-ce l'homme de ma vie que je viens de rencontrer ?
Jérémie raconta le rêve d'Ulrich à Aelita, qui ne portait pas une salopette ni une petite robe, mais un t-shirt rose magenta et un jean brun avec une ceinture bleue et des chaussures vertes fluos.
A : Wow ! C'est fantastique. Par contre, je trouve que la fin de son histoire me cible un peu. Moi qui se retrouve orpheline.
J : Pas une histoire, un rêve. Et tes parents ne sont pas prêts de mourir, j'en suis sûr.
A : Merci, Jérémie.
Le couple de génies s'embrasse sur les lèvres.
Anthéa (La mère d'Aelita) : Tiens. Salut Jérémie. As-tu quelque chose de prévu aujourd'hui ?
J : Ça dépend. Pourquoi ?
Anthéa : Que dirais-tu de dîner avec nous ?
J : D'accord. Je dois juste aller voir maman.
Anthéa : Très bien. Ce sera prêt à 17h00.
J : OK. Je serai revenu à 16h00.
Anthéa : C'est parfait. À plus tard.
J : À ce soir, madame. (À Aelita) À ce soir, ma belle.
A : Je t'aime, Jérémie.
Ils s'embrassent sur les lèvres. Jérémie retourne au collège tandis qu'Anthéa vient caresser la petite tête rose de sa ravissante fille.
Anthéa : Que dirais-tu de te mettre jolie pour ce soir ?
A : Montrer le nombril ?
Anthéa : Montrer le nombril.
A : D'accord, mais à condition que tu le montres aussi.
Anthéa : Sans problème. Allons nous préparer entre filles.
Jérémie toqua à l'infirmerie. Sa mère Yolande le laissa entrer et verrouilla la porte à clé. Mathias était déja en slip de bain et attendait patiemment que Jérémie soit en sous-vêtements.
Yolande : Les garçons, j'aimerais vous faire une échographie abdominale pour vérifier vos organes.
Mathias : Tu dis ça à cause de mes crampes aux abdos ?
Yolande : Oui, entre autres.
J : Et à cause de mon SCI ?
Yolande : Aussi.
Mathias : Alors, pourquoi doit-on montrer nos jambes ?
Yolande : Parce que je suis votre mère.
J : Hein ?
Yolande : En fait, je veux aussi vérifier votre poids sur la balance. Mathias, c'est toi le premier.
Le jeune homme se couche sur le lit et se fait examiner le ventre. Une atrophie musculaire fut détecté.
Yolande triste : Je n'aime pas que ma progéniture subisse une douleur abdominale.
Mathias : C'est traitable, au moins ?
Yolande : Bien sûr, mais il faut faire plusieurs injections complètes dans ton ventre.
Mathias : Des piqûres ??
Yolande : Oui.
Les injections passées, Jérémie se fait maintenant échographié.
Yolande : Tes intestins vont mieux, semble-t-il.
J : Les médicaments ont marché visiblement.
Yolande : Oui, tu as peut-être r... (Inspire de manière choquée)
La jeune mère lâche la sonde et serre Jérémie dans ses bras en sanglotant.
J : Maman ? Qu'est-ce qui ne va pas ?
Yolande a du mal à retrouver ses esprits, mais parle tout de même.
Yolande balbutant en pleurs : Tu... as... l... le... snif... sniff... le dia... b... bète... (Sanglots)
J : Le diabète ?
Yolande approuve d'un signe de tête.
J : Je vais mourir ??
Mathias : Mais non, petit frère. Il faut t'injecter de l'insuline dans l'abdomen et tout ira bien.
Yolande sèche donc ses larmes.
Yolande : Vérifie ta glycémie d'abord.
J : Sur le doigt ou quelque part d'autre ?
Yolande : Essayons le ventre.
J : OK. Au fait, où est Emmanuel ?
Yolande : À la piscine.
La jeune femme enfonce une aiguille à coudre désinfectée sous le nombril de Jérémie. Elle y prélève du sang et vérifie sa glycémie.
Yolande : 5,2. Je t'injecte au moins une petite quantité pour le reste de la journée.
J : D'accord.
Elle plante la seringue juste à côté du premier trou sous le nombril et injecte l'insuline. Deux Band-Aids ronds sont posés sur les trous en question.
Mathias : Maintenant, la prise de poids. Je commence.
Mathias pèse 50 kg. Jérémie pèse 30 kg.
Yolande massant le ventre de Jérémie : Il faut que tu manges plus que ça aux repas.
J : Justement, parlant de repas, Anthéa m'a invité chez elle pour le dîner. Est-ce que je peux y aller ?
Yolande : Mais bien sûr. Moi et Mathias trouverons quelque chose pour nous occuper.
J remettant son pantalon : D'accord. Moi, je dois y aller. Bonne soirée.
Mathias : Bonne soirée, petit frère.
Yolande : À tout à l'heure, mon petit chérie.
J gêné : Maman ! S.t.p.
Mathias : Je ne me serai pas moqué de toi, frérot. Je déteste t'insulter.
Jérémie sourit. Il avait exactement le genre de frère que tout le monde voudrait avoir dans sa famille.
J : En tout cas, bye.
Yolande et Mathias : Bye Jérémie.
Jérémie remet son pull en sortant. Mère et fils réfléchissent à ce qu'ils feront.
Mathias : On peut aller se baigner avec Emmanuel ?
Yolande posant sa main sur les pectoraux de Mathias : C'est une excellente idée. Mais d'abord, crème adoucissante.
Mathias : Yes, j'adore ça.
La crème est étalée sur le ventre mou de Mathias sur lequel Yolande fait danser ses mains.
Ulrich rentre dans sa chambre et y retrouve Odd en sous-vêtements. Son ventre était recouvert d'un bon centimètre de gras, ce qui le vexait.
U : Salut Odd.
O : Oh salut.
U : Je réfléchis, tu sais. J'aimerais bien être ton ami.
O : Vraiment ? Pourtant, tu m'as repoussé hier.
U : Je sais, j'en suis désolé. J'ai fait un rêve hyper réaliste cette nuit qui semblait avoir duré 2 ans.
O enfilant un short : Hein ? T'as rêvé de quoi ?
U : Que moi, toi, Jérémie, Aelita et une japonaise qui me fait craquer combattions un programme multi-agent maléfique du nom de XANA qui voulait dominer la Terre.
O : Comment ça se fait que tu connais Jérémie et Aelita ??
U : À cause du rêve, justement. Toutefois, Aelita était enfermé dans un supercalculateur pendant 10 ans et paraissait comme étant d'abord un IA super développé.
O : Wow. C'est stupéfiant.
Ulrich continue de lui raconter le rêve comme il l'avait fait avec Jérémie au matin. Odd ne peut s'empêcher de le croire.
O : Wow ! J'étais un chat sexy !
U : Exagères pas. J'ai dit que t'étais un homme-chat en costume moulant.
O : Oui, mais les costumes moulants, ça rend sexy. C'est connu.
U : Mouais... Pas nécessairement.
O : Au fait, ta japonaise craquante, est-elle réservée par quelqu'un ?
U : Pas touche ou je dis à tout le monde que t'étais une fille avant !
O : J'm'en fiche. Tout le monde le sait déjà. Ça n'a même pas repoussé les filles. Mais comment l'as-tu su, au juste ?
U : Ton « beau-cousin » me l'a dit.
O : Beau-cousin ? (Comprend) Eh Oh ! T'exagères ! Jérémie et Aelita ont seulement 11 ans. Je respecte quand même leur amour.
U : En tout cas, ne touche pas à Yumi.
O : Yumi ? C'est un joli nom, ça.
U : ODD !
O : Je plaisante, voyons. Je cible plutôt les 5e. Ta Yumi, je te la laisse, grand jaloux.
Ce surnom réchauffe le coeur d'Ulrich qui sent de plus en plus proche de l'univers de son rêve, sans Lyoko.
Note : Dans cette fanfiction, l'usine abandonné existe, mais pas le laboratoire, ni les scanners, ni le supercalculateur. L'histoire se centre sur une sorte de vraie réalité.
Aelita et sa mère étaient en sous-vêtements. La porte se fit entendre.
Waldo (Le père d'Aelita) : C'est moi, les filles ! Je suis rentré !
Anthéa : Salut, mon amour ! Je suis dans la chambre d'Aelita mais ne rentre pas ! On se change pour le dîner !
Waldo : D'accord !
Aelita portait un soutien-gorge rose foncé et un boxer bleu. Anthéa avait un soutien-gorge de même couleur, mais portait un slip vert-jaune.
Anthéa : Alors, qu'est-ce qui plaira à Jérémie ?
A : Et bien, toutes les filles ont déjà montré leur nombril chacune, mais pas moi. Ça me gêne.
Anthéa caressant le ventre d'A : J'ai dit que je montrerai le mien aussi et je tiendrai ma promesse. T'as pas à être gênée, ma puce. (L'embrasse sur le front.)
A : Je sais, mais ce sera la première fois.
Anthéa : On va commencer par un débardeur, ça t'aidera déjà.
A : OK. Merci, maman.
La jeune fille aux cheveux roses enfile son débardeur magenta et remet son jean brun et sa ceinture bleue Québec. Anthéa enfile un crop top bleu ciel et une jupe verte foncée.
Pendant ce temps...
Mathias et Emmanuel regardaient leur mère en train de nager.
Mathias : C'est normal qu'elle soit sexy ?
Emmanuel : Euh... Chais pas. Elle doit tenir ça de grand-maman. Son corps est joli, aussi. Pour une femme âgée.
Yolande sort sa tête de l'eau. Elle portait un bikini brun.
Yolande : Je vous entends, les garçons. Mais j'aime ce que vous dites. On est fières, votre grand-mère et moi, d'être éperdument sexy tout en ayant des enfants.
Emmanuel : J'aurais tant voulu être ton vrai fils, m'man. Mon ventre s'agence beaucoup à la famille.
Mathias : Au fait, à quelle âge as-tu été adopté, déjà ?
Emmanuel : Dès ma naissance. Les docteurs m'ont dit que mes vrais parents sont morts aux alentours de mon accouchement. Mon vrai père s'est suicidé alors que j'étais un fœtus et ma vraie mère est décédée en pleine couche.
Yolande sort de la piscine : Non, pas exactement. J'ai été ta mère porteuse car tes géniteurs étaient des... euh...
Emmanuel : Des quoi ?
Yolande ne mentant pas : Un couple de tueurs en série... je n'invente rien du tout...
Emmanuel figé et balbutant : Con... continue....
Yolande s'essuyant : Ta mère est tombée enceinte, mais la loi voulut éviter que tu ne suives leurs traces. Alors, des docteurs t'ont extrait de ta génitrice et je fus volontaire pour que mon ventre t'accueille. (Noue sa serviette aux hanches)
Emmanuel s'étant rapidement calmé : Merci de m'avoir donné la vie... maman.
Yolande pose sa main sur le cœur du jeune homme et l'embrasse sur la joue.
Yolande : Je t'aime, fiston.
Emmanuel : Et ton ventre réussit toujours à rester joli.
Yolande : Sexy, tu veux dire.
Mathias : Notre famille est vraiment cool. On est libres de montrer le ventre quand on veut. Sauf en classe.
Émilie et Priscilla arrivent en bikinis.
Yolande : Salut les filles.
É et P : Salut, Yolie.
Émilie : Matie, mon amour !
Priscilla : Manu, mon cœur !
Elles embrassent les lèvres de leurs amoureux respectifs.
Mathias : Tu sais que tes lunettes sont jolies ?
Émilie : Oui.
Priscilla : Manu. Toi, comment me trouves-tu ?
Emmanuel : Sexy.
Yolande : Allez, les jeunes sexy. On se baigne !
Tous : Ouais !
Ils plongent tous dans la piscine simultanément.
Entre-temps, Jérémie et les Schaeffer mangent du bifteck haché avec de la purée de pommes de terre et des rondelles de carottes vapeur. Milly Solioveff était revenue de chez son amie Tamiya Knight-Diop, avec qui elle avait passée le week-end ainsi que Samantha Knight-Diop, la sœur aînée de cette dernière.
A : Alors, Milly. Comment trouves-tu la sœur de Tamiya ?
Milly : Hyper sympa. Elle l'aime comme tu m'aimes. C'est-à-dire très beaucoup.
Aelita ricane.
J : C'est bien d'aimer sa petite sœur. Même si Milly est seulement adoptée.
A : Je sais, mais je la considère comme étant plus que ça.
Anthéa : On t'entend, ma chérie. Mais tu dis de très belles choses en ce moment.
Waldo : Jérémie a raison. De plus, tu ne te disputes jamais avec elle.
A : Je ne veux pas la blesser. C'est tout.
Milly : Et moi, je n'ai rien contre elle. Elle est si gentille, on ne peut pas la détester.
J agacé par un souvenir : Excepté Sissi.
Anthéa : Ouais. Elle est si insolente qu'on devrait lui retirer son corps sexy. Mais pas autant qu'Aelita.
La jeune fille aux cheveux roses écarquille les yeux et rougit très fort.
Anthéa morte de rire : C'était un compliment, ma belle.
Milly : Elle dit simplement que tu es très jolie, grande sœur.
Aelita sourit et embrasse Milly sur le front, ce qui fait sourire ses parents et Jérémie qui l'enlaçe.
J : Que ferait-on sans toi, ma rose ?
A : J'sais pas. J't'aime trop pour me faire ce genre d'idée.
Ils s'embrassent sur les lèvres.
Ulrich revoit Odd au réfectoire.
U : Salut Odd.
O : Salut.
U : Dis. J'aimerais former la bande comme dans mon rêve...
O : Hein ? Mais si Jérémie et Aelita refusent ?
U : Je sais, mais vous êtes les seules personnes avec qui je veux être amis dans cette école.
O : Au fait, tu savais que c'était un lycée abdominal ?
U : Un quoi ?
O : On m'a dit que l'exhibition abdominale et la non-pudeur sont très prisées à Kadic, autant en public qu'en privé. T'imagines le corps des filles ?
U : Mmh...
Durant la nuit...
Aelita se réveilla en criant d'effroi, ce qui réveilla Milly. Elle venait de faire un cauchemar. Anthéa se précipita dans sa chambre pour voir si sa fille allait bien.
Anthéa : Aelita, tout va bien ? C'est toi qui a crié ?
Milly : Aelita ?
La jeune fille aux cheveux roses ne répondit pas et se blottit plutôt dans les bras de sa mère en pleurant.
Anthéa : Tu as eu un cauchemar, c'est ça ?
A : Oui. Sniff...
Anthéa : Oh Aelita. Tout va bien maintenant. Allez, c'est fini, ma chérie.
Milly : On est là pour toi, soeurette d'amour.
A : Je t'aime, maman. Je ne veux pas que tu partes.
Anthéa : Pourquoi dis-tu cela ? Je suis encore jeune.
A : C'est que... j'ai rêvé que... tu te faisais mangée crue par des loups et... sous mes yeux... (Pleure à chaudes larmes)
Milly : Des loups qui bouffent maman ?!?
Anthéa : N'aie pas peur Milly. (Vers A) Aelita, ce n'était qu'un mauvais rêve. Je peux te promettre que je ne suis pas prête à mourir et que je t'aimerais pour la vie.
A séchant ses larmes : Merci, maman.
Milly : Et moi ? On m'aime pas ?
Éclat de rire général.
Anthéa embrasse Aelita sur le front puis caresse sa joue.
Anthéa : T'as besoin d'un massage ?
A : Oui. Au ventre, s.t.p.
Anthéa : D'accord, ma puce.
Aelita s'étend et laisse sa mère lui masser l'abdomen. Le massage dure 7 minutes et 30 secondes. Milly prend le temps de se rendormir sans trop penser au rêve d'Aelita.
Anthéa : Essaye d'oublier ces loups, ma petite rose.
A souriant au surnom : D'accord. Merci encore, maman.
Elle embrasse à nouveau son front et retourne se coucher. Aelita se rendore en paix.
Milly se réveillant : Aelita.
A : Oui ?
Milly : Je t'aime aussi. Très fort.
A : Moi aussi. De tout mon cœur.
Les deux sœurs se rendorment.
Ulrich et Yumi vont-ils finir ensemble ?
Est-ce que la bande sera une bande ?
Découvrez-le dans... quelques minutes.