Citations des épisodes
Supernyny
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08 Sep 2007, 21:52
Episode #83 Superstition
Odd : Je veux pas être en retard au petit Déj.
Ulrich : Tu veux choper tous les croissants ?
Odd : Oui, mais je veux surtout choper Azra !
--------------------------
Odd : Où sont mes chaussures ?
Ulrich (les désignant) : Suffisait de suivre l’odeur ! [Encore ?]
--------------------------
Jim : Della Robbia ! Ca t’amuse de fourrer mes chaussures de sport avec du fromage de chèvre? Ca empeste les huit heures de colle. [C’est quand même un peu fort !]
--------------------------
Yumi : Ben Odd, Thé plus biscottes ? T’es malade ?
Odd : Là, non, mais après avoir mangé ça, sûrement.
--------------------------
Ulrich : Evidemment, faut éviter de passer sous une échelle, ça porte la poisse.
Yumi : Au Japon, on utilise le moins possible le chiffre 4, car ça signifie aussi le mot mort.
Aelita : Et vous savez que le mot « lapin » porte malheur sur un bateau ? Tout comme renverser du sel sur une table.
Odd : Et moi, je vous apprends qu’à force de gonfler un Della Robbia avec des histoires de superstition, on risque de mourir de rire sous une avalanche de blagues. [Un dialogue central de l’épisode, celui-là]
--------------------------
Ulrich : Au fait, Yumi, je t’ai jamais demandé, quels sont les monstres que tu détestes vraiment combattre ?
Yumi : Les Kankrelats, on dirait d’affreux petits poux. Beurk.
Ulrich : Ah, ouais. Moi, ce serait plutôt les Mégatanks. A part les Kankrelats ?
Yumi (apercevant les Kankrelats translatés) : Des Kankrelats !
Ulrich : Ouais j’ai compris, tu l’as déjà dit. [D’ailleurs, est-ce une référence à Faux Départ ?]
--------------------------
Yumi : Bonne chance !
Ulrich : Toi aussi ! [Dans un épisode comme celui-là…]
--------------------------
Jérémie : C’est un Mendel bug.
Odd : Un quoi ?
Jérémie : Un bug du logiciel de virtualisation dont les causes sont si complexes que son comportement apparaît chaotique. Et sans moyen de savoir si le comportement de ce bug est réellement ou juste d’apparence chaotique, impossible de faire la distinction entre un Bohr bug et un Heisen bug.
Aelita : Hum.
Odd : Génial, j’ai tout compris.
Jérémie (surpris) : Vraiment ?
Odd : Non.
--------------------------
Jérémie : Ulrich, tu veux une bonne nouvelle ?
Ulrich : Oui !
Jérémie : J’en ai pas.
--------------------------
Odd (observant l’écran de Jérémie, à propos d’Ulrich) : J’y crois pas ! Il vient d’en avoir trois d’un coup !
Jérémie : Comment il a fait ? Il n’a que deux sabres !
Aelita : Et paf, encore un de moins !
Yumi : Il est en veine aujourd’hui ! [On ne le voit PAS, ce combat. On ne voit que les héros, et ça rend la scène géniale]
--------------------------
Ulrich : Alors ? Du grand Ulrich, aujourd’hui, hein ? Qu’est-ce que t’en dis ?
Odd (d’un ton moqueur) : Tu parles ! Que du bol !
--------------------------
Odd : Les gars, j’ai rendez-vous avec l’amour.
Ulrich : Génial, dis-lui bonjour de notre part !
--------------------------
Jim : J’ai le droit d’aimer le rose, non ? Tu t’habilles bien en violet, toi.
Odd : Je veux pas être en retard au petit Déj.
Ulrich : Tu veux choper tous les croissants ?
Odd : Oui, mais je veux surtout choper Azra !
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Odd : Où sont mes chaussures ?
Ulrich (les désignant) : Suffisait de suivre l’odeur ! [Encore ?]
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Jim : Della Robbia ! Ca t’amuse de fourrer mes chaussures de sport avec du fromage de chèvre? Ca empeste les huit heures de colle. [C’est quand même un peu fort !]
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Yumi : Ben Odd, Thé plus biscottes ? T’es malade ?
Odd : Là, non, mais après avoir mangé ça, sûrement.
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Ulrich : Evidemment, faut éviter de passer sous une échelle, ça porte la poisse.
Yumi : Au Japon, on utilise le moins possible le chiffre 4, car ça signifie aussi le mot mort.
Aelita : Et vous savez que le mot « lapin » porte malheur sur un bateau ? Tout comme renverser du sel sur une table.
Odd : Et moi, je vous apprends qu’à force de gonfler un Della Robbia avec des histoires de superstition, on risque de mourir de rire sous une avalanche de blagues. [Un dialogue central de l’épisode, celui-là]
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Ulrich : Au fait, Yumi, je t’ai jamais demandé, quels sont les monstres que tu détestes vraiment combattre ?
Yumi : Les Kankrelats, on dirait d’affreux petits poux. Beurk.
Ulrich : Ah, ouais. Moi, ce serait plutôt les Mégatanks. A part les Kankrelats ?
Yumi (apercevant les Kankrelats translatés) : Des Kankrelats !
Ulrich : Ouais j’ai compris, tu l’as déjà dit. [D’ailleurs, est-ce une référence à Faux Départ ?]
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Yumi : Bonne chance !
Ulrich : Toi aussi ! [Dans un épisode comme celui-là…]
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Jérémie : C’est un Mendel bug.
Odd : Un quoi ?
Jérémie : Un bug du logiciel de virtualisation dont les causes sont si complexes que son comportement apparaît chaotique. Et sans moyen de savoir si le comportement de ce bug est réellement ou juste d’apparence chaotique, impossible de faire la distinction entre un Bohr bug et un Heisen bug.
Aelita : Hum.
Odd : Génial, j’ai tout compris.
Jérémie (surpris) : Vraiment ?
Odd : Non.
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Jérémie : Ulrich, tu veux une bonne nouvelle ?
Ulrich : Oui !
Jérémie : J’en ai pas.
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Odd (observant l’écran de Jérémie, à propos d’Ulrich) : J’y crois pas ! Il vient d’en avoir trois d’un coup !
Jérémie : Comment il a fait ? Il n’a que deux sabres !
Aelita : Et paf, encore un de moins !
Yumi : Il est en veine aujourd’hui ! [On ne le voit PAS, ce combat. On ne voit que les héros, et ça rend la scène géniale]
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Ulrich : Alors ? Du grand Ulrich, aujourd’hui, hein ? Qu’est-ce que t’en dis ?
Odd (d’un ton moqueur) : Tu parles ! Que du bol !
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Odd : Les gars, j’ai rendez-vous avec l’amour.
Ulrich : Génial, dis-lui bonjour de notre part !
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Jim : J’ai le droit d’aimer le rose, non ? Tu t’habilles bien en violet, toi.
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Supernyny
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22 Oct 2007, 11:00
Episode #84 Missile guidé
Jim (A la distribution du courrier) : Et enfin, Odd Della Robbia, bon dernier, comme d’habitude.
--------------------------
Greg : Ce vol comportera une phase de vol à basse altitude, ainsi que quelques évolutions dans le plan vertical et oblique, à savoir : retournements, vrilles, virages serrés, piqués et boucles, avant un exercice de tir sur cible inerte, bref, ça va secouer.
Rédacteur de Cosmos, futur, et équations : Joli programme, non ?
Jérémie : Pas mal, mais je supprimerais juste un truc dedans.
Greg : Ah bon, quoi ?
Jérémie : Le vol.
--------------------------
Odd (ouvrant les boites de terrine) : Ah mais quelle odeur ! Un chien normal ne boufferait jamais ce truc.
Ulrich : Qui t’a dit que ton chien était normal, Odd ?
--------------------------
Odd (à propos des aboiements) : Ca me fait ça à chaque fois que je goûte à cette… Heu… Terrine maison préparée spécialement par ma mère. Ouaf Ouaf.
Jim : Hmm, c’est vrai qu’elle a l’air bonne.
Odd : Ho ben tenez, c’est cadeau.
Jim : Heu, c’est que je ne voudrais pas t’enlever l’os de la bouche.
--------------------------
Tour de contrôle : Je répète, contrôle à Carlie Fox 41, répondez !
Jérémie : Heu… Contrôle, ici Charlie machin. Le pilote a perdu connaissance. Mais ne vous inquiétez pas, j’ai peut-être une solution au problème.
Tour de contrôle (un peu sceptique) : Charlie fox 41, veuillez décliner votre identité.
Jérémie : Jérémie Belpois, treize ans, du Collège Kadic.
--------------------------
Odd : T’aurais dû prendre une petite laine, parce qu’on va sur le territoire de la banquise ! [Pas drôle]
--------------------------
Aelita : Voilà la tour, ça m’a l’air calme. Un peu trop, même.
Ulrich : T’as raison, Aelita : sans Einstein et ses radars, ça va être beaucoup moins facile que d’habitude.
Odd : Ouais, pas besoin d’être un génie pour comprendre que les affreux sont là quelque part [C’est sûr que, depuis le temps…]
--------------------------
Yumi : Ulrich, Odd, on passe en force ! Il faut ouvrir un passage.
Odd : Bonne idée, Yumi. Tu sais parler aux hommes, toi !
--------------------------
Greg (lyrique) : Je vous rappelle que j’ai un civil à bord. Un enfant. Ne prenez la décision ultime qu’en dernier ressort. Terminé.
Jérémie : C’est bon, il s’en va.
Greg (blasé) : Non, je crois plutôt qu’il s’est glissé derrière nous pour avoir un meilleur angle de tir.
--------------------------
Jérémie (surpris) : Xana veut en plus m’éliminer ? [Non, sans blague]
Pas énormément de citations pour celui là. L'épisode est bien, mais il y a peu de choses à en citer.
Jim (A la distribution du courrier) : Et enfin, Odd Della Robbia, bon dernier, comme d’habitude.
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Greg : Ce vol comportera une phase de vol à basse altitude, ainsi que quelques évolutions dans le plan vertical et oblique, à savoir : retournements, vrilles, virages serrés, piqués et boucles, avant un exercice de tir sur cible inerte, bref, ça va secouer.
Rédacteur de Cosmos, futur, et équations : Joli programme, non ?
Jérémie : Pas mal, mais je supprimerais juste un truc dedans.
Greg : Ah bon, quoi ?
Jérémie : Le vol.
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Odd (ouvrant les boites de terrine) : Ah mais quelle odeur ! Un chien normal ne boufferait jamais ce truc.
Ulrich : Qui t’a dit que ton chien était normal, Odd ?
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Odd (à propos des aboiements) : Ca me fait ça à chaque fois que je goûte à cette… Heu… Terrine maison préparée spécialement par ma mère. Ouaf Ouaf.
Jim : Hmm, c’est vrai qu’elle a l’air bonne.
Odd : Ho ben tenez, c’est cadeau.
Jim : Heu, c’est que je ne voudrais pas t’enlever l’os de la bouche.
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Tour de contrôle : Je répète, contrôle à Carlie Fox 41, répondez !
Jérémie : Heu… Contrôle, ici Charlie machin. Le pilote a perdu connaissance. Mais ne vous inquiétez pas, j’ai peut-être une solution au problème.
Tour de contrôle (un peu sceptique) : Charlie fox 41, veuillez décliner votre identité.
Jérémie : Jérémie Belpois, treize ans, du Collège Kadic.
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Odd : T’aurais dû prendre une petite laine, parce qu’on va sur le territoire de la banquise ! [Pas drôle]
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Aelita : Voilà la tour, ça m’a l’air calme. Un peu trop, même.
Ulrich : T’as raison, Aelita : sans Einstein et ses radars, ça va être beaucoup moins facile que d’habitude.
Odd : Ouais, pas besoin d’être un génie pour comprendre que les affreux sont là quelque part [C’est sûr que, depuis le temps…]
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Yumi : Ulrich, Odd, on passe en force ! Il faut ouvrir un passage.
Odd : Bonne idée, Yumi. Tu sais parler aux hommes, toi !
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Greg (lyrique) : Je vous rappelle que j’ai un civil à bord. Un enfant. Ne prenez la décision ultime qu’en dernier ressort. Terminé.
Jérémie : C’est bon, il s’en va.
Greg (blasé) : Non, je crois plutôt qu’il s’est glissé derrière nous pour avoir un meilleur angle de tir.
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Jérémie (surpris) : Xana veut en plus m’éliminer ? [Non, sans blague]
Pas énormément de citations pour celui là. L'épisode est bien, mais il y a peu de choses à en citer.
Supernyny
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30 Oct 2007, 17:34
Episode #85 La belle de Kadic
Professeur d’Anglais : Et à la fin de l’histoire, Juliette boit une potion qui lui donne l’apparence de la mort. Roméo croyant sa jeune épouse réellement morte s’empoisonne à son tour. Et Juliette, en se réveillant, découvre Roméo sans vie. Elle se transperce alors le cœur avec un poignard.
Sissi : Ce que c’est beau !
Odd : Ce que c’est tarte !
--------------------------
Odd : Tu serais capable, toi, de mourir pour Yumi ?
Ulrich : Absolument ! (réalisant la bourde) Heu, je veux dire, euh…
--------------------------
Ulrich (désignant Jérémie et Aelita) : Et eux, tu les crois capables de mourir d’amour l’un pour l’autre ?
Odd : D’amour, je ne sais pas, d’ennui, sûrement ! [NB : Ils parlaient de bosser sur le Supercalculateur]
--------------------------
Yumi : Qui est-ce ?
Milly : C’est la correspondante étrangère de Sissi, qui est là pour quatre jours. Elle s’appelle Brynja Herrado… Herruda… Enfin machin chose, quoi.
Tamya : Brynja Heringsdötir.
--------------------------
Brynja (recevant de l’eau dans son verre) : Merci.
Matthias (en extase) : Elle m’a dit merci…
--------------------------
Odd : Sissi, le jour où on te le dira, tu pourras (apercevant Brynja) héhé [j’aurais bien aimé savoir ce qu’il voulait dire.]
--------------------------
Odd : Cette fille, c’est THE nana, je vous jure. J’avais pas fait attention à son physique incroyable : ses cheveux sont si blonds, et je m’étais pas rendu compte que ses yeux étaient si clairs, c’est d’un vert ! Et puis est-ce que vous avez vu la finesse de son grain de peau ? Elle possède certainement la quintessence de la beauté. Sauf que Brynja n’est pas belle, elle est… Elle est…
Aelita : Elle est pire.
--------------------------
Brynja (à Jérémie) : C’est toi qu’on surnomme Einstein ? On voit tout de suite pourquoi !
--------------------------
Ulrich (à propos de Odd) : Je me demande ce qu’elle lui trouve, à ce nabot.
Jérémie : Ca c’est clair. Cette fille à besoin de quelqu’un de plus évolué niveau intellectuel.
Aelita : Non mais vous vous entendez parler d’un ami ? Vous êtes jaloux d’Odd. Tout ça à cause de cette fille. Et toi, Jérémie, tu fonds littéralement pour elle.
Jérémie : Pas du tout, j’étais juste en train de calculer quelle probabilité il y avait pour qu’une aussi jolie fille tombe amoureuse d’un garçon comme Odd. [Venant de lui, calculer la probabilité…]
--------------------------
Jérémie : Notre Dom Juan est en train de se transformer en Roméo.
--------------------------
Yumi : Alors, c’était bien, le film, hier soir ?
Ulrich : C’était quoi, déjà ?
Odd : Jurassic Experiment.
Yumi : Ah bon ? C’était pas plutôt “Deux Rats dans un labo”?
Odd : Heu, non, pourquoi tu dis ça ?
Yumi : Parce que Jérémie a retrouvé la cassette du film. Il paraît que les deux comédiens vous ressemblent étrangement.
--------------------------
Ulrich : Alors, William, t’as pas compris qu’on ne laisse JAMAIS tomber ses amis ?
--------------------------
Nicolas (à Brynja) : Hé, ça te dirait de vivre une expérience troublante et merveilleuse au clair de lune ? [Encore ?]
Professeur d’Anglais : Et à la fin de l’histoire, Juliette boit une potion qui lui donne l’apparence de la mort. Roméo croyant sa jeune épouse réellement morte s’empoisonne à son tour. Et Juliette, en se réveillant, découvre Roméo sans vie. Elle se transperce alors le cœur avec un poignard.
Sissi : Ce que c’est beau !
Odd : Ce que c’est tarte !
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Odd : Tu serais capable, toi, de mourir pour Yumi ?
Ulrich : Absolument ! (réalisant la bourde) Heu, je veux dire, euh…
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Ulrich (désignant Jérémie et Aelita) : Et eux, tu les crois capables de mourir d’amour l’un pour l’autre ?
Odd : D’amour, je ne sais pas, d’ennui, sûrement ! [NB : Ils parlaient de bosser sur le Supercalculateur]
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Yumi : Qui est-ce ?
Milly : C’est la correspondante étrangère de Sissi, qui est là pour quatre jours. Elle s’appelle Brynja Herrado… Herruda… Enfin machin chose, quoi.
Tamya : Brynja Heringsdötir.
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Brynja (recevant de l’eau dans son verre) : Merci.
Matthias (en extase) : Elle m’a dit merci…
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Odd : Sissi, le jour où on te le dira, tu pourras (apercevant Brynja) héhé [j’aurais bien aimé savoir ce qu’il voulait dire.]
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Odd : Cette fille, c’est THE nana, je vous jure. J’avais pas fait attention à son physique incroyable : ses cheveux sont si blonds, et je m’étais pas rendu compte que ses yeux étaient si clairs, c’est d’un vert ! Et puis est-ce que vous avez vu la finesse de son grain de peau ? Elle possède certainement la quintessence de la beauté. Sauf que Brynja n’est pas belle, elle est… Elle est…
Aelita : Elle est pire.
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Brynja (à Jérémie) : C’est toi qu’on surnomme Einstein ? On voit tout de suite pourquoi !
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Ulrich (à propos de Odd) : Je me demande ce qu’elle lui trouve, à ce nabot.
Jérémie : Ca c’est clair. Cette fille à besoin de quelqu’un de plus évolué niveau intellectuel.
Aelita : Non mais vous vous entendez parler d’un ami ? Vous êtes jaloux d’Odd. Tout ça à cause de cette fille. Et toi, Jérémie, tu fonds littéralement pour elle.
Jérémie : Pas du tout, j’étais juste en train de calculer quelle probabilité il y avait pour qu’une aussi jolie fille tombe amoureuse d’un garçon comme Odd. [Venant de lui, calculer la probabilité…]
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Jérémie : Notre Dom Juan est en train de se transformer en Roméo.
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Yumi : Alors, c’était bien, le film, hier soir ?
Ulrich : C’était quoi, déjà ?
Odd : Jurassic Experiment.
Yumi : Ah bon ? C’était pas plutôt “Deux Rats dans un labo”?
Odd : Heu, non, pourquoi tu dis ça ?
Yumi : Parce que Jérémie a retrouvé la cassette du film. Il paraît que les deux comédiens vous ressemblent étrangement.
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Ulrich : Alors, William, t’as pas compris qu’on ne laisse JAMAIS tomber ses amis ?
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Nicolas (à Brynja) : Hé, ça te dirait de vivre une expérience troublante et merveilleuse au clair de lune ? [Encore ?]
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Grand Maître du lancer d'éventail
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Supernyny
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31 Oct 2007, 12:36
Episode #86 Kiwi Superstar
Odd (à William, qui prend Yumi en chasse) : Hé, le beau ténébreux ! C’est pas en la collant comme ça que t’auras une chance !
--------------------------
Jérémie : Encore une mission ratée !
Ulrich : Je me souviens même plus de ce qu’on devait faire.
Odd : Ben c’était pourtant simple : procéder à la construction de sinusites intermédiaires dans un contexte intergalactique et lyrique, et tout ça, facteur de Thalès virtuel et de Pythagore virtuel lui aussi évidemment. En un mot, chercher des poux dans la tête de Xana.
Ulrich (riant) : Parfaitement imité.
--------------------------
Yumi (apercevant Odd) : Salut tout le monde. Laissez-moi deviner. Problème de rab à la cantine ? Mauvaise blague qui a mal tourné ? Nouvelle petite amie ?
Ulrich : Pire, Kiwi.
--------------------------
Aelita (en colère, à propos de Kiwi) : Et mes affaires ? C’est parce que je les laisse trainer partout qu’il les vole ? Je passe ma vie à creuser dans le parc, du coup Monsieur Rouiller me prend pour une débile !
--------------------------
Odd : Rester enfermé des heures dans un labo, c’est bon pour Einstein, pas pour mon chien !
--------------------------
Jim : Bonjour. Je suis heureux que vous soyez venus nombreux à mon club de Penchak Silat. Le Penchak Silat, comme son nom l’indique, est une technique de combat qui allie à moitié l’esthétique, à moitié l’autodéfense, et à moitié la spiritualité… Oui, bon, heu… Et ces trois moitiés peuvent vous sauver la vie… Surtout si vous êtes parachutés en pleine Jungle de Birmanie pendant la mousson.
--------------------------
Sissi : Et puis moi aussi, j’ai envie de faire du Pencharkilat.
Johnny : On dit Pencat Silar.
--------------------------
Jim: Allons bon. Qu’est-ce que vous venez faire ici, vous deux ?
Milly: Ben un reportage sur votre club de Sencharpicrat.
--------------------------
Jim : Respire, Sissi. Car comme disait mon maître Birman, « seule la sérénité te conduira au calme ».
--------------------------
Yumi : Mais c’est kiwi 2, qu’est-ce qu’il fait là ?
Ulrich : Jérémie l’a peut-être amélioré pour apprendre à Kiwi qu’il faut sortir pour faire ses besoins. [Ce n’était franchement pas un bon exemple, dans l’âme des Robots]
--------------------------
Jérémie : Qu’est-ce que tu racontes ? Je n’ai construit qu’un seul Kiwi 2 et il est juste programmé pour jouer au Basket.
Ulrich : Hé ben si tu veux mon avis, Xana cherche à constituer une équipe.
--------------------------
Odd : Qu’est-ce qu’il se passe ?
Jérémie (en colère) : Kiwi.
Odd (exaspéré) : Quoi, qu’est-ce qu’il a encore fait, mon chien ?
Jérémie : Non, pas ton Kiwi. Le mien, Kiwi 2.
--------------------------
Sissi : Moi, je fais confiance à Ulrich. Normalement, je fais pas confiance à Yumi, mais comme elle fait toujours confiance à Ulrich, aujourd’hui je lui fais confiance aussi. Exceptionnellement.
Hiroki : Moi aussi, je fais toujours confiance à Ulrich. Même que ma sœur, elle devrait sortir avec lui (Ulrich rougit). Je lui dis tout le temps, mais elle fait semblant de pas vouloir (Yumi rougit)
--------------------------
Jim : Et pourquoi ce ne serait pas moi qui irais dans le système de ventilation, hm ?
Yumi : Parce que… Vous êtes trop… Heu… Heu… Parce que vous ne sauriez pas où aller après.
--------------------------
Odd : Xana, montre-toi, si t’es un homme !
--------------------------
Odd : Ben alors, Einstein, je sais que mon chien est un génie mais de là à lui laisser ta place…
Odd (à William, qui prend Yumi en chasse) : Hé, le beau ténébreux ! C’est pas en la collant comme ça que t’auras une chance !
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Jérémie : Encore une mission ratée !
Ulrich : Je me souviens même plus de ce qu’on devait faire.
Odd : Ben c’était pourtant simple : procéder à la construction de sinusites intermédiaires dans un contexte intergalactique et lyrique, et tout ça, facteur de Thalès virtuel et de Pythagore virtuel lui aussi évidemment. En un mot, chercher des poux dans la tête de Xana.
Ulrich (riant) : Parfaitement imité.
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Yumi (apercevant Odd) : Salut tout le monde. Laissez-moi deviner. Problème de rab à la cantine ? Mauvaise blague qui a mal tourné ? Nouvelle petite amie ?
Ulrich : Pire, Kiwi.
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Aelita (en colère, à propos de Kiwi) : Et mes affaires ? C’est parce que je les laisse trainer partout qu’il les vole ? Je passe ma vie à creuser dans le parc, du coup Monsieur Rouiller me prend pour une débile !
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Odd : Rester enfermé des heures dans un labo, c’est bon pour Einstein, pas pour mon chien !
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Jim : Bonjour. Je suis heureux que vous soyez venus nombreux à mon club de Penchak Silat. Le Penchak Silat, comme son nom l’indique, est une technique de combat qui allie à moitié l’esthétique, à moitié l’autodéfense, et à moitié la spiritualité… Oui, bon, heu… Et ces trois moitiés peuvent vous sauver la vie… Surtout si vous êtes parachutés en pleine Jungle de Birmanie pendant la mousson.
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Sissi : Et puis moi aussi, j’ai envie de faire du Pencharkilat.
Johnny : On dit Pencat Silar.
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Jim: Allons bon. Qu’est-ce que vous venez faire ici, vous deux ?
Milly: Ben un reportage sur votre club de Sencharpicrat.
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Jim : Respire, Sissi. Car comme disait mon maître Birman, « seule la sérénité te conduira au calme ».
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Yumi : Mais c’est kiwi 2, qu’est-ce qu’il fait là ?
Ulrich : Jérémie l’a peut-être amélioré pour apprendre à Kiwi qu’il faut sortir pour faire ses besoins. [Ce n’était franchement pas un bon exemple, dans l’âme des Robots]
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Jérémie : Qu’est-ce que tu racontes ? Je n’ai construit qu’un seul Kiwi 2 et il est juste programmé pour jouer au Basket.
Ulrich : Hé ben si tu veux mon avis, Xana cherche à constituer une équipe.
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Odd : Qu’est-ce qu’il se passe ?
Jérémie (en colère) : Kiwi.
Odd (exaspéré) : Quoi, qu’est-ce qu’il a encore fait, mon chien ?
Jérémie : Non, pas ton Kiwi. Le mien, Kiwi 2.
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Sissi : Moi, je fais confiance à Ulrich. Normalement, je fais pas confiance à Yumi, mais comme elle fait toujours confiance à Ulrich, aujourd’hui je lui fais confiance aussi. Exceptionnellement.
Hiroki : Moi aussi, je fais toujours confiance à Ulrich. Même que ma sœur, elle devrait sortir avec lui (Ulrich rougit). Je lui dis tout le temps, mais elle fait semblant de pas vouloir (Yumi rougit)
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Jim : Et pourquoi ce ne serait pas moi qui irais dans le système de ventilation, hm ?
Yumi : Parce que… Vous êtes trop… Heu… Heu… Parce que vous ne sauriez pas où aller après.
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Odd : Xana, montre-toi, si t’es un homme !
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Odd : Ben alors, Einstein, je sais que mon chien est un génie mais de là à lui laisser ta place…
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01 Nov 2007, 11:47
Episode #87 Planète bleue
Odd : Ca y est, c’est la fin du monde !
Ulrich : Qu’est-ce qui se passe, y a plus de couscous boulettes à la cantine ?
--------------------------
Odd : Je veux pas qu’on le laisse tout seul dans cette usine glaciale. En ce moment, je le trouve pas dans son assiette. (prenant un ton théâtral) C’est fichu. Il va finir à la fourrière ou pire, dans un affreux cirque ambulant attaché à une fusée comme un chien canon !
--------------------------
Jim : Ah, les bonnes vieilles inspections surprises ! Ca vous embellit le quotidien le plus morose. Regardez, on a déjà dégoté une cafetière électrique, un thermoplongeur, et un appareil à raclettes pour douze personnes. C’est comme une grande aventure. Là, par exemple, dans la chambre de mademoiselle votre fille. On est comme qui dirait pareils à des explorateurs de mondes étranges et mystérieux face à l’inconnu. Tenez, derrière cette porte, qui peut deviner sur quoi on va tomber ? Une boîte d’allumettes ? Un fer à friser défectueux ? Un instrument puissant imaginé par le cerveau dégénéré d’un scientifique dément ?
--------------------------
Odd : Merci, Yumi, je sais pas ce qui me retient de t’embrasser !
Yumi (effarée) : Moi, je te retiens.
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Jim (dans le cadre de l’inspection visant à trouver des objets susceptibles de provoquer un incendie) : Ishiyama, Della Robbia, Stern, Belpois et Stones. Toute la brochette au grand complet. Il ne reste plus qu’à trouver le barbecue. Héhé.
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Yumi : Tu vas attirer mon imbécile de frère, je l’entends d’ici « Qu’est-ce qu’il fait là, ce clébard hideux ? »
Hiroki (entrant) : Mais qu’est-ce qu’il fait là ce clébard hideux ?
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Yumi (à propos de Kiwi) : T’inquiète pas, c’est Hiroki qui s’en occupe.
Odd : Hiroki ? Mais t’es dingue ! Souviens-toi de ce qui est arrivé à mon regretté Jean-Pierre [Le tamagoshi. Jeté sur la chaussée.]
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Hiroki (répondant machinalement au téléphone) : Désolé, on a déjà une cuisine toute équipée.
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Aelita : A votre avis, on va tomber sur qui, cette fois ?
Yumi : Une réplique du territoire de la banquise.
Ulrich : Moi, je penche plutôt pour la montagne, et toi, Odd ?
Odd : J’aurais dû lui racheter des croquettes bios auto four.
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Jérémie : Yumi et Odd, vous êtes volontaires pour la translation.
Odd : A vos ordres, Amiral Einstein !
Jérémie : Repos, Caporal blagues à deux balles.
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Jérémie : Dans l’espace ! Vous êtes dans l’espace !
Odd : Bravo, Einstein, t’as gagné un aspirateur de table !
--------------------------
Yumi (à propos de la planète Terre) : Elle est si belle. Elle semble si fragile…
Odd : Il tombe malade alors que je lui ai toujours donné de bonnes choses à manger. Je me demande s’il est pas en train de couver un truc plus grave.
Yumi : Odd, tu te trouves devant le plus beau spectacle que tu verras dans toute ta vie, et toi, tu ne penses qu’à la pâtée de ton chien ?
Odd : pas de la pâtée, des croquettes, j’insiste !
--------------------------
Odd (flottant) : Vers l’infini, et au-delà !
--------------------------
M. Ishiyama : Mais qu’est-ce que j’ai fait de mes clés, moi ?
Mme Ishiyama : Et dans ta mallette ?
M. Ishiyama : Oh, bien sûr. Où ai-je la tête ?
Mme Ishiyama : Avec tes clés peut-être.
--------------------------
Ulrich (manquant de se faire écraser) : Pas question de s’aplatir devant toi, Xana !
--------------------------
Odd (poussé par Yumi pour l’éloigner de la trajectoire des sphères) : Hé, j’ai rien dit !
--------------------------
Aelita (imitant la voix d’Odd, ayant raté William et tiré sur le Skid) : Mais t’y crois pas ! Quelle idiote !
--------------------------
Odd (Venant d’ « aérer » la station orbitale) : Hé ben voilà, ça sent tout de suite un peu moins la vieille chaussette du cosmonaute.
--------------------------
Ulrich (sortant du scanner, écrasé par le plafond du réplika) : Hé ben dis donc, je suis complètement à plat, moi !
Odd : Ca y est, c’est la fin du monde !
Ulrich : Qu’est-ce qui se passe, y a plus de couscous boulettes à la cantine ?
--------------------------
Odd : Je veux pas qu’on le laisse tout seul dans cette usine glaciale. En ce moment, je le trouve pas dans son assiette. (prenant un ton théâtral) C’est fichu. Il va finir à la fourrière ou pire, dans un affreux cirque ambulant attaché à une fusée comme un chien canon !
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Jim : Ah, les bonnes vieilles inspections surprises ! Ca vous embellit le quotidien le plus morose. Regardez, on a déjà dégoté une cafetière électrique, un thermoplongeur, et un appareil à raclettes pour douze personnes. C’est comme une grande aventure. Là, par exemple, dans la chambre de mademoiselle votre fille. On est comme qui dirait pareils à des explorateurs de mondes étranges et mystérieux face à l’inconnu. Tenez, derrière cette porte, qui peut deviner sur quoi on va tomber ? Une boîte d’allumettes ? Un fer à friser défectueux ? Un instrument puissant imaginé par le cerveau dégénéré d’un scientifique dément ?
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Odd : Merci, Yumi, je sais pas ce qui me retient de t’embrasser !
Yumi (effarée) : Moi, je te retiens.
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Jim (dans le cadre de l’inspection visant à trouver des objets susceptibles de provoquer un incendie) : Ishiyama, Della Robbia, Stern, Belpois et Stones. Toute la brochette au grand complet. Il ne reste plus qu’à trouver le barbecue. Héhé.
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Yumi : Tu vas attirer mon imbécile de frère, je l’entends d’ici « Qu’est-ce qu’il fait là, ce clébard hideux ? »
Hiroki (entrant) : Mais qu’est-ce qu’il fait là ce clébard hideux ?
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Yumi (à propos de Kiwi) : T’inquiète pas, c’est Hiroki qui s’en occupe.
Odd : Hiroki ? Mais t’es dingue ! Souviens-toi de ce qui est arrivé à mon regretté Jean-Pierre [Le tamagoshi. Jeté sur la chaussée.]
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Hiroki (répondant machinalement au téléphone) : Désolé, on a déjà une cuisine toute équipée.
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Aelita : A votre avis, on va tomber sur qui, cette fois ?
Yumi : Une réplique du territoire de la banquise.
Ulrich : Moi, je penche plutôt pour la montagne, et toi, Odd ?
Odd : J’aurais dû lui racheter des croquettes bios auto four.
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Jérémie : Yumi et Odd, vous êtes volontaires pour la translation.
Odd : A vos ordres, Amiral Einstein !
Jérémie : Repos, Caporal blagues à deux balles.
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Jérémie : Dans l’espace ! Vous êtes dans l’espace !
Odd : Bravo, Einstein, t’as gagné un aspirateur de table !
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Yumi (à propos de la planète Terre) : Elle est si belle. Elle semble si fragile…
Odd : Il tombe malade alors que je lui ai toujours donné de bonnes choses à manger. Je me demande s’il est pas en train de couver un truc plus grave.
Yumi : Odd, tu te trouves devant le plus beau spectacle que tu verras dans toute ta vie, et toi, tu ne penses qu’à la pâtée de ton chien ?
Odd : pas de la pâtée, des croquettes, j’insiste !
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Odd (flottant) : Vers l’infini, et au-delà !
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M. Ishiyama : Mais qu’est-ce que j’ai fait de mes clés, moi ?
Mme Ishiyama : Et dans ta mallette ?
M. Ishiyama : Oh, bien sûr. Où ai-je la tête ?
Mme Ishiyama : Avec tes clés peut-être.
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Ulrich (manquant de se faire écraser) : Pas question de s’aplatir devant toi, Xana !
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Odd (poussé par Yumi pour l’éloigner de la trajectoire des sphères) : Hé, j’ai rien dit !
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Aelita (imitant la voix d’Odd, ayant raté William et tiré sur le Skid) : Mais t’y crois pas ! Quelle idiote !
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Odd (Venant d’ « aérer » la station orbitale) : Hé ben voilà, ça sent tout de suite un peu moins la vieille chaussette du cosmonaute.
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Ulrich (sortant du scanner, écrasé par le plafond du réplika) : Hé ben dis donc, je suis complètement à plat, moi !
Dernière édition par L'anonyme le 01 Nov 2007, 13:02, édité 1 fois.
Supernyny
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01 Nov 2007, 15:57
Episode #88 Cousins ennemis
Odd (voyant Patrick) : J’y crois pas ! Einstein s’est programmé un clone en plus beau !
--------------------------
Patrick : Je suis pas brillant comme Jérémie, moi.
Odd : Tu trouves qu’il brille, toi ? Moi, je trouve ses couleurs plutôt ternes.
--------------------------
Hervé (devant la télévision, à Sissi) : On peut changer de chaîne ? C’est le troisième épisode d’ "amour, gloire, et Paëlla" qu’on s’enquille !
--------------------------
Jim : Alors, Belpois, on héberge la famille ? Bon, je sens que tu préfères ne pas en parler. Ouais, je comprends ça. [Sans blague]
--------------------------
Patrick : Ben c’est quoi, ça, Xana et Réplika, des copines Grecques ?
Odd : Heu… Oui, elles font une moussaka du tonnerre, mais ça se mange chaud alors à plus !
--------------------------
Acteur à l’accent portugais (à l’émisson télévisée) : Tereza, yé oune sécret à té dire. Yé né souis pas lé frère de…
Nicolas : Zappe, zappe ! T’attends quoi ? (Hervé s’exécute)
Présentateur sportif : Superbe arrêt de Muller, toujours zéro-zéro, mais la pression monte dans les tribunes (Hervé et Nicolas se lèvent) Muller pose la balle à terre !
--------------------------
Hervé : Heu… Sissi… Voilà, Miguel et Tereza étaient en train de s’embrasser quand, tout à coup…
Sissi : On s’en fiche, crétin !
Hervé : Ah bon ?
--------------------------
Odd (à propos des Rekins) : Un seul pour chacun ? C’est du gâteau… Et je m’y connais en pâtisserie !
--------------------------
Patrick : Attendez, c’est sûrement les vrais papiers d’Aelita, il les a scannés pour avoir sa photo. Il en pince pour elle, non ?
Hervé : C’est son carnet de santé. C’est pour ses beaux yeux peut-être ?
--------------------------
Odd : En résumé, tu veux qu’on transforme une armée de rekins en arêtes. Qu’on retrouve le Skid, et qu’on le ramène avec nos réacteurs poids plume.
Jérémie : Heu… En gros, c’est ça.
Odd : Ok, c’est comme si c’était fait.
--------------------------
Odd (apercevant le Kalamar) : C’est quoi, cette bestiole ? On dirait un instrument du dentiste fou dans « massacre à la roulette ».
Yumi : Oui, mais en moins sympa.
--------------------------
Odd (en mauvaise posture) : Dire que je connaîtrai jamais le niveau huit de Kung-fu commando ; quel veinard, ce Patrick !
--------------------------
Jérémie (saisissant un râteau, à Sissi) : Ne me fais pas ton numéro de charme, tu vas te prendre un râteau !
--------------------------
Odd : Ah, ça fait du bien, j’avais des fourmis virtuelles plein les jambes ! [La tête que fait Aelita, à ce moment là…]
--------------------------
Odd (à une Tarentule) : Bravo Gertrude, mais t’as oublié de regarder en haut ! [Référence à Tarentule au plafond]
Odd (voyant Patrick) : J’y crois pas ! Einstein s’est programmé un clone en plus beau !
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Patrick : Je suis pas brillant comme Jérémie, moi.
Odd : Tu trouves qu’il brille, toi ? Moi, je trouve ses couleurs plutôt ternes.
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Hervé (devant la télévision, à Sissi) : On peut changer de chaîne ? C’est le troisième épisode d’ "amour, gloire, et Paëlla" qu’on s’enquille !
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Jim : Alors, Belpois, on héberge la famille ? Bon, je sens que tu préfères ne pas en parler. Ouais, je comprends ça. [Sans blague]
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Patrick : Ben c’est quoi, ça, Xana et Réplika, des copines Grecques ?
Odd : Heu… Oui, elles font une moussaka du tonnerre, mais ça se mange chaud alors à plus !
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Acteur à l’accent portugais (à l’émisson télévisée) : Tereza, yé oune sécret à té dire. Yé né souis pas lé frère de…
Nicolas : Zappe, zappe ! T’attends quoi ? (Hervé s’exécute)
Présentateur sportif : Superbe arrêt de Muller, toujours zéro-zéro, mais la pression monte dans les tribunes (Hervé et Nicolas se lèvent) Muller pose la balle à terre !
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Hervé : Heu… Sissi… Voilà, Miguel et Tereza étaient en train de s’embrasser quand, tout à coup…
Sissi : On s’en fiche, crétin !
Hervé : Ah bon ?
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Odd (à propos des Rekins) : Un seul pour chacun ? C’est du gâteau… Et je m’y connais en pâtisserie !
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Patrick : Attendez, c’est sûrement les vrais papiers d’Aelita, il les a scannés pour avoir sa photo. Il en pince pour elle, non ?
Hervé : C’est son carnet de santé. C’est pour ses beaux yeux peut-être ?
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Odd : En résumé, tu veux qu’on transforme une armée de rekins en arêtes. Qu’on retrouve le Skid, et qu’on le ramène avec nos réacteurs poids plume.
Jérémie : Heu… En gros, c’est ça.
Odd : Ok, c’est comme si c’était fait.
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Odd (apercevant le Kalamar) : C’est quoi, cette bestiole ? On dirait un instrument du dentiste fou dans « massacre à la roulette ».
Yumi : Oui, mais en moins sympa.
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Odd (en mauvaise posture) : Dire que je connaîtrai jamais le niveau huit de Kung-fu commando ; quel veinard, ce Patrick !
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Jérémie (saisissant un râteau, à Sissi) : Ne me fais pas ton numéro de charme, tu vas te prendre un râteau !
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Odd : Ah, ça fait du bien, j’avais des fourmis virtuelles plein les jambes ! [La tête que fait Aelita, à ce moment là…]
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Odd (à une Tarentule) : Bravo Gertrude, mais t’as oublié de regarder en haut ! [Référence à Tarentule au plafond]
Dernière édition par L'anonyme le 01 Nov 2007, 21:58, édité 2 fois.
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02 Nov 2007, 11:49
Episode #89 Il est sensé d'être insensé
Madame Hertz : Odd, répète ce que je viens de dire. C’est quoi, la charge électrique ?
Odd : Heu… C’est, heu… De… De l’électricité trop lourde !
Madame Hertz : C’est ton prochain contrôle qui risque d’être léger.
--------------------------
Ulrich : Subdigitals… Je crois que je préférais leur ancien nom.
--------------------------
Odd : J’y crois pas, je suis maudit ! Les dernières places me sont passées sous le nez.
Yumi : Mais Aelita va nous donner des invits.
Ulrich : C’est qu’il a besoin de plusieurs billets pour son harem.
--------------------------
Yumi : T’as essayé mon frère ? Débrouillard comme il est, il a sûrement un tuyau.
Odd : Hiroki ? Ah non, j’y avais pas pensé ! T’es géniale, Yumi. Ulrich, tu devrais sortir avec elle. (Ulrich et Yumi rougissent)
Ulrich: Hé! (gêné) Entre nous, c'est bien copain et c'est tout, hein?
Yumi (gênée): Sûr...
--------------------------
Sissi (en colère) : Evidemment, c’est moi qui aurais dû être choisie pour faire ce concert. On sait tous que tu vas te couvrir de ridicule, ce soir. Hein ? J’ai hâte de voir ça.
Nicolas (d’un air faussement bête) : Ca tombe bien, Sissi. Tu pourras tout voir vu que tu seras dans le public. Mais n’empêche qu’Aelita, elle sera sur scène, elle. [Bien envoyé, quand même]
--------------------------
Odd : Approche en course croisée, puis attaque en tenaille.
Yumi : Qu’est-ce que tu racontes ?
Odd : On fonce !
--------------------------
Yumi (à Odd, à propos de William) : Prêt pour le beau méchant ténébreux ?
--------------------------
Ulrich (mettant au tapis Milly et Tamiya Xanatifiées) : Désolé, les filles. Pas d’interview.
--------------------------
Yumi : Odd, approche en vol croisé, puis attaque en tenaille.
Odd : Qu’est-ce que tu racontes ?
--------------------------
Yumi : Odd, manœuvre tremplin-toupie ! [Ils ont donné un nom à cette technique ?]
--------------------------
William : C’est fini pour toi, Yumi !
Yumi : Pour toi aussi, beau brun ! [Y en a des tas, de dialogues comme ça entre Yumi et William dans la saison 4]
--------------------------
Aelita : C’était peut-être insensé de vouloir faire un concert.
Jérémie : Tu sais, il est parfois sensé d’être insensé. [Ben bravo.]
Très peu de citations pour celui-là. La plupart des jeux de mots sont trop profondément ancrés dans le contexte pour faire office de citations. En outre, beaucoup d'action dans cet épisode, et peu de répliques drôles. La plupart des dialogues sont destinés à expliquer quelque chose et à introduire des éléments d'intrigue. Ou a faire vivre l'action. Si vous voulez plus de citations, allez voir les textes des chansons "Planet net" et "On va s'envoler".
Madame Hertz : Odd, répète ce que je viens de dire. C’est quoi, la charge électrique ?
Odd : Heu… C’est, heu… De… De l’électricité trop lourde !
Madame Hertz : C’est ton prochain contrôle qui risque d’être léger.
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Ulrich : Subdigitals… Je crois que je préférais leur ancien nom.
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Odd : J’y crois pas, je suis maudit ! Les dernières places me sont passées sous le nez.
Yumi : Mais Aelita va nous donner des invits.
Ulrich : C’est qu’il a besoin de plusieurs billets pour son harem.
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Yumi : T’as essayé mon frère ? Débrouillard comme il est, il a sûrement un tuyau.
Odd : Hiroki ? Ah non, j’y avais pas pensé ! T’es géniale, Yumi. Ulrich, tu devrais sortir avec elle. (Ulrich et Yumi rougissent)
Ulrich: Hé! (gêné) Entre nous, c'est bien copain et c'est tout, hein?
Yumi (gênée): Sûr...
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Sissi (en colère) : Evidemment, c’est moi qui aurais dû être choisie pour faire ce concert. On sait tous que tu vas te couvrir de ridicule, ce soir. Hein ? J’ai hâte de voir ça.
Nicolas (d’un air faussement bête) : Ca tombe bien, Sissi. Tu pourras tout voir vu que tu seras dans le public. Mais n’empêche qu’Aelita, elle sera sur scène, elle. [Bien envoyé, quand même]
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Odd : Approche en course croisée, puis attaque en tenaille.
Yumi : Qu’est-ce que tu racontes ?
Odd : On fonce !
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Yumi (à Odd, à propos de William) : Prêt pour le beau méchant ténébreux ?
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Ulrich (mettant au tapis Milly et Tamiya Xanatifiées) : Désolé, les filles. Pas d’interview.
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Yumi : Odd, approche en vol croisé, puis attaque en tenaille.
Odd : Qu’est-ce que tu racontes ?
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Yumi : Odd, manœuvre tremplin-toupie ! [Ils ont donné un nom à cette technique ?]
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William : C’est fini pour toi, Yumi !
Yumi : Pour toi aussi, beau brun ! [Y en a des tas, de dialogues comme ça entre Yumi et William dans la saison 4]
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Aelita : C’était peut-être insensé de vouloir faire un concert.
Jérémie : Tu sais, il est parfois sensé d’être insensé. [Ben bravo.]
Très peu de citations pour celui-là. La plupart des jeux de mots sont trop profondément ancrés dans le contexte pour faire office de citations. En outre, beaucoup d'action dans cet épisode, et peu de répliques drôles. La plupart des dialogues sont destinés à expliquer quelque chose et à introduire des éléments d'intrigue. Ou a faire vivre l'action. Si vous voulez plus de citations, allez voir les textes des chansons "Planet net" et "On va s'envoler".
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02 Nov 2007, 23:54
Episode #90 Médusée
Aelita (à propos de la formule sur la photo) : Attends, y a une chance sur un milliard pour que cette formule concerne le Supercalculateur.
Jérémie : Ca tombe bien, j’adore les probabilités. [Référence à L’empire contre-attaque ?]
--------------------------
Yumi : Odd, t’as repris que deux fois du hachis, t’es malade ?
--------------------------
Odd (à propos d’Anaïs) : Je ne sais pas du tout comment attirer son attention.
Ulrich : T’as déjà essayé les talons hauts ? [Oh le vilain]
--------------------------
Odd : J’ai qu’à envoyer ma meilleure photo à Anaïs, celle où je fais mon sourire le plus craquant et elle tombera dans mes bras.
Ulrich : A mon avis, ça marcherait mieux avec une photo de Kiwi, elle craque pour les toutous.
Yumi (sévère) : Comment tu sais ça, toi ? [Et Aelita se marre]
--------------------------
Jérémie (à propos de l’ordinateur) : Préviens-moi quand t’as fini, mais ne touche à rien d’autre.
Odd : Pas de problème, tu me connais !
Jérémie (souriant) : Ouais… Justement.
--------------------------
Odd : Et voilà le travail. Ce soir, je sors avec la plus belle fille de Kadic. J’ai nommé… Sissi Delmas ? [Dit-il, se rendant compte qu’il s’est trompé de destinataire, pour son e-mail]
--------------------------
Proviseur Delmas : Je suis médusé. Je ne savais pas que Franz Hopper avait un lien de parenté avec Aelita Stones. [Médusé… C’est le titre. Ils l’ont fait exprès.]
--------------------------
Jim : T’as entendu monsieur le proviseur ? Alors fini de rire, jeune fille. J’en ai déjà interrogé des plus coriaces que toi. Alors nom, prénom, et qualité.
Aelita : Ben… Stones, Aelita… Heu… Fille ?
Jim : Tu me prends pour un abruti ?
--------------------------
Aelita : Ben oui, je m’appelle bien Aelita Stones, je suis la fille de Franz et… Heu… Anthéa Stones. [Elle aurait pu choisir un autre nom que Franz. Mais on sait qu’Aelita ne sait pas mentir, ou mal]
--------------------------
Ulrich (après que Jim a été mis à terre, attrapé par les pieds) : Essai transformé. [Première]
--------------------------
Odd (après que Delmas a été mis à terre, attrapé par les pieds) : Essai transformé. [Deuxième]
--------------------------
Ulrich (ayant détruit un Krabe pour poursuivre la méduse) : Je n’aime ni les fruits de mer ni les crustacés.
Finalement assez peu de citations pour celui-là. Ca doit être lié au fait qu'il est plutôt sérieux.
Aelita (à propos de la formule sur la photo) : Attends, y a une chance sur un milliard pour que cette formule concerne le Supercalculateur.
Jérémie : Ca tombe bien, j’adore les probabilités. [Référence à L’empire contre-attaque ?]
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Yumi : Odd, t’as repris que deux fois du hachis, t’es malade ?
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Odd (à propos d’Anaïs) : Je ne sais pas du tout comment attirer son attention.
Ulrich : T’as déjà essayé les talons hauts ? [Oh le vilain]
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Odd : J’ai qu’à envoyer ma meilleure photo à Anaïs, celle où je fais mon sourire le plus craquant et elle tombera dans mes bras.
Ulrich : A mon avis, ça marcherait mieux avec une photo de Kiwi, elle craque pour les toutous.
Yumi (sévère) : Comment tu sais ça, toi ? [Et Aelita se marre]
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Jérémie (à propos de l’ordinateur) : Préviens-moi quand t’as fini, mais ne touche à rien d’autre.
Odd : Pas de problème, tu me connais !
Jérémie (souriant) : Ouais… Justement.
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Odd : Et voilà le travail. Ce soir, je sors avec la plus belle fille de Kadic. J’ai nommé… Sissi Delmas ? [Dit-il, se rendant compte qu’il s’est trompé de destinataire, pour son e-mail]
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Proviseur Delmas : Je suis médusé. Je ne savais pas que Franz Hopper avait un lien de parenté avec Aelita Stones. [Médusé… C’est le titre. Ils l’ont fait exprès.]
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Jim : T’as entendu monsieur le proviseur ? Alors fini de rire, jeune fille. J’en ai déjà interrogé des plus coriaces que toi. Alors nom, prénom, et qualité.
Aelita : Ben… Stones, Aelita… Heu… Fille ?
Jim : Tu me prends pour un abruti ?
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Aelita : Ben oui, je m’appelle bien Aelita Stones, je suis la fille de Franz et… Heu… Anthéa Stones. [Elle aurait pu choisir un autre nom que Franz. Mais on sait qu’Aelita ne sait pas mentir, ou mal]
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Ulrich (après que Jim a été mis à terre, attrapé par les pieds) : Essai transformé. [Première]
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Odd (après que Delmas a été mis à terre, attrapé par les pieds) : Essai transformé. [Deuxième]
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Ulrich (ayant détruit un Krabe pour poursuivre la méduse) : Je n’aime ni les fruits de mer ni les crustacés.
Finalement assez peu de citations pour celui-là. Ca doit être lié au fait qu'il est plutôt sérieux.
Dernière édition par L'anonyme le 03 Nov 2007, 00:38, édité 1 fois.
Supernyny
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03 Jan 2008, 23:48
Episode #91 Mauvaises Ondes
Jérémie (prenant une voix grave) : Stern, qu’est-ce que vous traficotez dans cet accoutrement ?
Ulrich (torse nu) : Ha ha ha, très drôle. Toute pourrie ton imitation de Delmas.
Jérémie : C’était pas Delmas, c’était Jim.
--------------------------
Odd : C’est pas la première fois que je projette un court métrage à un public hostile et ignare. [Effectivement, il le fait dans Contact]
--------------------------
Ulrich : Avec un peu de chance, ils vont pas aimer ton film.
Odd : Ce serait trop beau.
--------------------------
Monsieur Della Robbia : Oui c’est vrai qu’il est intelligent. Mais vous savez qu’à peine âgé de deux ans, il a réussi à démonter entièrement la chaine Hi-Fi de son oncle.
Madame Della Robbia : Hé bien figurez-vous que s’il avait eu quatre ans à ce moment-là, il aurait été capable de la remonter.
Proviseur Delmas : Vraiment ? Moi-même, je suis féru de micro-électronique, et…Bon, enfin bref. Je disais que votre fils a toutes sortes de qualités, mais…
Madame Della Robbia : Ca, je ne vous le fais pas dire. Des qualités, il en est truffé. Il a un bon appétit, il rigole tout le temps…
Monsieur Della Robbia : Même quand ce n’est pas drôle.
Madame Della Robbia : Il se débrouille très bien au skateboard, et il a une excellente oreille.
Proviseur Delmas : Certes, c’est indubitable. Indubitablement. Heu… Cependant…
Monsieur Della Robbia : S’il le voulait, il pourrait être facilement premier de sa classe. Mais il est bien trop modeste pour ça.
Madame Della Robbia : Mais vous disiez, monsieur le principal ?
Proviseur Delmas : Heu… Non… Rien.
--------------------------
Proviseur Delmas (réparant le portable de Sissi) : Plus jeune, on m’appelait « le prince des circuits électriques » (enfonçant son outil dans le portable) Heu… Il est toujours sous garantie ?
--------------------------
Aelita : De toute façon, il faudrait vraiment être malchanceux pour que Xana attaque juste pendant un court métrage de trois minutes. [Ben voyons]
--------------------------
Professeur Chardin (parlant du court métrage de Odd avant sa projection) : Et pardonnez-moi si je ne l’ai pas encore vu, mais je sais que ce film mélange avec une certaine habileté la fiction et le documentaire. La vérité, en somme. Mais au fond, qu’est-ce que la vérité ? [et il se lance dans un discours de dix minutes]
--------------------------
Jim : Dis donc, c’est pas très poli poli de filer comme une tangente à l’Anglaise.
--------------------------
Odd (poursuivi par une foule en colère) : Ils ont bouffé un lion qui a bouffé une hyène, ou quoi ?
--------------------------
Odd (jetant le couscous à la figure de Nicolas) : Quelle misère, gâcher un si bon couscous pour une minable endive !
Peu de citations pour cet épisode. C'est du comique de situation. Et un peu de comique de mise en scène.
Jérémie (prenant une voix grave) : Stern, qu’est-ce que vous traficotez dans cet accoutrement ?
Ulrich (torse nu) : Ha ha ha, très drôle. Toute pourrie ton imitation de Delmas.
Jérémie : C’était pas Delmas, c’était Jim.
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Odd : C’est pas la première fois que je projette un court métrage à un public hostile et ignare. [Effectivement, il le fait dans Contact]
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Ulrich : Avec un peu de chance, ils vont pas aimer ton film.
Odd : Ce serait trop beau.
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Monsieur Della Robbia : Oui c’est vrai qu’il est intelligent. Mais vous savez qu’à peine âgé de deux ans, il a réussi à démonter entièrement la chaine Hi-Fi de son oncle.
Madame Della Robbia : Hé bien figurez-vous que s’il avait eu quatre ans à ce moment-là, il aurait été capable de la remonter.
Proviseur Delmas : Vraiment ? Moi-même, je suis féru de micro-électronique, et…Bon, enfin bref. Je disais que votre fils a toutes sortes de qualités, mais…
Madame Della Robbia : Ca, je ne vous le fais pas dire. Des qualités, il en est truffé. Il a un bon appétit, il rigole tout le temps…
Monsieur Della Robbia : Même quand ce n’est pas drôle.
Madame Della Robbia : Il se débrouille très bien au skateboard, et il a une excellente oreille.
Proviseur Delmas : Certes, c’est indubitable. Indubitablement. Heu… Cependant…
Monsieur Della Robbia : S’il le voulait, il pourrait être facilement premier de sa classe. Mais il est bien trop modeste pour ça.
Madame Della Robbia : Mais vous disiez, monsieur le principal ?
Proviseur Delmas : Heu… Non… Rien.
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Proviseur Delmas (réparant le portable de Sissi) : Plus jeune, on m’appelait « le prince des circuits électriques » (enfonçant son outil dans le portable) Heu… Il est toujours sous garantie ?
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Aelita : De toute façon, il faudrait vraiment être malchanceux pour que Xana attaque juste pendant un court métrage de trois minutes. [Ben voyons]
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Professeur Chardin (parlant du court métrage de Odd avant sa projection) : Et pardonnez-moi si je ne l’ai pas encore vu, mais je sais que ce film mélange avec une certaine habileté la fiction et le documentaire. La vérité, en somme. Mais au fond, qu’est-ce que la vérité ? [et il se lance dans un discours de dix minutes]
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Jim : Dis donc, c’est pas très poli poli de filer comme une tangente à l’Anglaise.
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Odd (poursuivi par une foule en colère) : Ils ont bouffé un lion qui a bouffé une hyène, ou quoi ?
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Odd (jetant le couscous à la figure de Nicolas) : Quelle misère, gâcher un si bon couscous pour une minable endive !
Peu de citations pour cet épisode. C'est du comique de situation. Et un peu de comique de mise en scène.
Supernyny
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04 Jan 2008, 10:10
Episode #92 Sueurs froides
Hiroki (à Yumi) : Si t’avais le choix, tu préfèrerais être un tournevis cruciforme ou une clé anglaise ?
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Milly : Aujourd’hui dans les Echos de Kadic, Rosa Petitjean s’explique sur l’affaire des Bouchées à la reine périmées. La chronique de Jim Moralès : le lancer de poids sans se casser les pieds. Les expériences amusantes de Madame Hertz : fabrique un ampèremètre avec ton baladeur MP3. Sans oublier une photo exclusive du passé secret de Yumi Ishiyama.
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Aelita : T’as l’air fâchée, y a un problème ?
Yumi : Je préfère pas en parler.
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Yumi (à propos d’Ulrich) : Je n’ai jamais été aussi furieuse contre quelqu’un de toute ma vie.
Odd : Même le jour où j’ai mis ton devoir de maths dans la chaudière du collège ?
Yumi : Hm…
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Ulrich : Il va falloir passer en force.
Aelita : T’as pas une autre idée ?
Ulrich : Non.
Aelita : Tu crois que ça va marcher ?
Ulrich : Non.
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Jérémie : Yumi, Odd, je pense que ce Supercalculateur est basé sur un appareil Russe du type M13.
Odd : Da, si tu le dis.
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Odd (à propos du nouveau monstre) : Hum… Le Kolosse avec un K comme dans Kostaud.
Ulrich : Sauf que costaud, ça prend un C. Mais ça résume bien la bestiole.
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Odd : Tous au lit ! Demain, j’ai un contrôle de Maths à rater, moi.
--------------------------
Odd : Ok, laisse-moi le temps d’y réfléchir.
Ulrich (menaçant) : Combien ?
Odd : Heu… Une centaine d’années ?
--------------------------
Yumi : Tu voulais attirer mon attention, c’est ça, hein ? T’avais envie qu’on se prenne la tête et que du coup, je recommence à penser à toi jour et nuit.
Ulrich : Hein ?
Yumi : Tu sais, t’as pas besoin de faire ça. [C’est à se demander si Odd ne l’aurait pas fait exprès]
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Milly : Aujourd’hui, dans les Echos de Kadic, toutes les antisèches pour réussir votre visite médicale. La recette illustrée : les crêpes aux rillettes. Des photos exclusives d’Odd Della Robbia et de Ulrich Stern.
On arrive à la fin de la saison 4. Ca devient très visuel, donc peu de citations.
Hiroki (à Yumi) : Si t’avais le choix, tu préfèrerais être un tournevis cruciforme ou une clé anglaise ?
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Milly : Aujourd’hui dans les Echos de Kadic, Rosa Petitjean s’explique sur l’affaire des Bouchées à la reine périmées. La chronique de Jim Moralès : le lancer de poids sans se casser les pieds. Les expériences amusantes de Madame Hertz : fabrique un ampèremètre avec ton baladeur MP3. Sans oublier une photo exclusive du passé secret de Yumi Ishiyama.
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Aelita : T’as l’air fâchée, y a un problème ?
Yumi : Je préfère pas en parler.
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Yumi (à propos d’Ulrich) : Je n’ai jamais été aussi furieuse contre quelqu’un de toute ma vie.
Odd : Même le jour où j’ai mis ton devoir de maths dans la chaudière du collège ?
Yumi : Hm…
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Ulrich : Il va falloir passer en force.
Aelita : T’as pas une autre idée ?
Ulrich : Non.
Aelita : Tu crois que ça va marcher ?
Ulrich : Non.
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Jérémie : Yumi, Odd, je pense que ce Supercalculateur est basé sur un appareil Russe du type M13.
Odd : Da, si tu le dis.
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Odd (à propos du nouveau monstre) : Hum… Le Kolosse avec un K comme dans Kostaud.
Ulrich : Sauf que costaud, ça prend un C. Mais ça résume bien la bestiole.
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Odd : Tous au lit ! Demain, j’ai un contrôle de Maths à rater, moi.
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Odd : Ok, laisse-moi le temps d’y réfléchir.
Ulrich (menaçant) : Combien ?
Odd : Heu… Une centaine d’années ?
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Yumi : Tu voulais attirer mon attention, c’est ça, hein ? T’avais envie qu’on se prenne la tête et que du coup, je recommence à penser à toi jour et nuit.
Ulrich : Hein ?
Yumi : Tu sais, t’as pas besoin de faire ça. [C’est à se demander si Odd ne l’aurait pas fait exprès]
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Milly : Aujourd’hui, dans les Echos de Kadic, toutes les antisèches pour réussir votre visite médicale. La recette illustrée : les crêpes aux rillettes. Des photos exclusives d’Odd Della Robbia et de Ulrich Stern.
On arrive à la fin de la saison 4. Ca devient très visuel, donc peu de citations.
Dernière édition par L'anonyme le 04 Jan 2008, 22:58, édité 1 fois.
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