Un fanfiction pas si banal que ça !
FAN_FICTION de Maik dis : dragon-poétique ou fan-de-ulrich.
De nouveaux personnages ?
Tout commence par un bel après-midi ensoleillé du mois du juin, tout va pour le mieux, chacun dans son coin et le monde est un paradis. Jérémie, Odd, Ulrich et Aélita (qui rappellerons-nous à été dévirtualiser) sont dans un coin de la cours au collège Kadic, tandis que Yumi est sur le chemin menant au collège. Sissi, Hervé et Nicolas, vaguent quant à eux, à leurs occupations - c’est-à-dire pour Sissi à espionner Ulrich quant à Hervé et Nicolas à jalouser Ulrich – quant Sissi, prenant son courage à deux mains, se décida à aller voir Ulrich.
S : Ulrich il faut qu’on parle !
U : Oh non ! Toujours vivante Sissi ?
S : Malheureusement pour toi oui ! Maintenant viens avec moi et plus vite que ça !
(Sissi tire sur le bras d’Ulrich mais il parvient à s’écarter et manque de faire tomber Sissi)
O : Ola Sissi, fais attention, la gravité existe, et avec tes 2 kilos en trop, on frôle le séisme du siècle !
S : Toi le maigrichon on ne t’a pas sonné !
O : Svelte, je … suIS … SVELTE (mouvement de rage de la sa part) ! Et je te signale que tu m’as sonné, car à chaque pas que tu fais, ton cerveau résonne dans ta tête et le son est comparable à celui d’une cloche ! Hi hi !
(Hilarité générale du groupe Aélita et compagnie)
Sissi quant à elle s’en va fou de rage.
Yumi arrive quelques minutes après se doutant qu’elle a ratée quelque chose
Y : Salut les gars, bonjour Aélita !
O A U J : Salut Yumi !
Y : Alors qu’est-ce que j’ai ratée ?
O : Ah non ça ne va pas le faire ! C’est moi qui vois l’avenir pas toi ! Si tu me piques mes pouvoirs et mes vannes, je sers plus à rien moi !
Y : Oh on se calme Odd ! Mais à vous voir et à voir le reste de sourire sur vos visages j’ai ratée du bon et du joli !
J : Ah ça tu ne te doute pas à quel point !
(Sonnerie de 8 heures)
A J : Allez hop ! En physique !
(Regards gêner)
Aélita et Jérémie s’en vont en rigolant et papotant de tout et rien.
Odd : Il n'y avait pas interrogation aujourd’hui ?
U : Si, sur les insectes je crois, tu as étudié ? Oups, j’oubliai, Odd le roi de la blague, étudier ? De la pur et simple fiction !
O : Que vous dîtes très cher, j’ai étudié écoute-moi ça : Les insectes sont de petites bêtes nuisibles et horribles, sujettes à de nombreux films d’épouvantes et dont il vaut mieux se méfier. Précautions à prendre : toujours avoir une bombe insecticide sous la main !
U : Odd t’es bête ou c’est de naissance ?
O : Et oh, je n’y peux rien moi si je n’ai pas le cerveau de Einstein !
U : Tu as raison, bon on y va ? Sinon on sera en retard ! A plus Yumi !
O : A plus Yumi !
Y : Salut les gars, vous me raconterez ce qui c’est passé tout à l’heure !
(Regard et clin d’œil complice entre Ulrich et Yumi)
U : Ou … ou … oui ! Bien sûr Yumi (rougissant) à tout à l’heure.
Scène de classe ordinaire avec Odd faisant une bêtise et transformant son interrogation en un nouvel origami.
(Sonnerie de la récréation)
Le groupe se retrouve, Sissi repasse à l’attaque.
U : Tiens revoilà la cloche, vous entendez ?
O : Pas besoin de l’entendre, une cloche sur pied, ça ne passe pas inaperçu !
(Nouvelle hilarité générale)
S : Oh ! Ca va hein ! Pas mal du tout tes vannes ! Mais fais gaffe, c’est parfois à double sens.
O : Ah bon ? Je demande à voir ça !
S : Ton tour viendra ! Bon Ulrich faut qu’on cause d’URGENCE !
Y : Ma chère Sissi, le fait d’être la fifille du directeur ne m’empêchera pas de t’envoyer balader !
S : Très bien, mais … je reviendrai, jusqu’à ce que tu m’écoutes !
U : Transforme-toi en une fille sympas et qui a du style et nous pourrons sûrement parler !
(Sissi s’éloigne indignée)
Y : Bon alors vous me dites ce qui c’est passé ou je reste dans l’ignorance ?
J : Bon Odd, tu le lui racontes ou on s’en charge ?
O : Ola ! Vous savez que c’est mon honneur ! Alors accroche-toi bien Yumi car ça va te plaire.
Odd lui raconte alors son histoire.
Nouvelle hilarité mais venant des quelques spectateurs s’étant attroupé pour entendre l’histoire de la version « la plus juste ».
Entrée en scène d’un visuel d’une fille entrant dans le champ de vision de Odd.
« Description de la fille :
Nom : Dujardin
Prénom : Hélène
Occupation : Etudiante
Parents : Mère : Camille (vivante)
Père : Inconnu (mort)
Description : Yeux : verts-amandes
Cheveux : Bruns longs aux épaules
Taille : 1m53
Poids : 42 kilos
Signes distincts : poitrine peu développer, cheveux tenu par deux broches en forme de
Dragons rouge et or, petites cicatrices à la main droite
Habits : T-shirt : bleu nacré
Pantalon : jeans brun très clair, avec seulement les deux poches arrières et déchiré à
Divers endroits
Basket : simple, presque des tongs
Surnom : Solitaire, Entarteur »
Odd est sous le charme. Il ne parvient plus à poser un mot et balbutie des inepties à tort et à travers. Ulrich passe la main devant ses yeux pas de réaction de sa part.
J : Et Odd ! Tu es avec nous ? Oh oh !
O : ou ou ouuuuuuuuuu houa ! Que canon ! Vous l’avez vu ? Vous la connaissez ?
U : Oui, c’est Camille et tu as déjà pris une baffe d’elle tu te rappelle ?
(Flash back)
O : Oui trop bien même (il se masse la joue). Mais pas elle, la jolie brune là-bas ?
A : Oui, elle est nouvelle, elle vient d’arriver, il y a trois jours en ville.
O : Comment sais-tu tout cela toi ? (Regard ébahi et admiratif)
A : Tu as de ces questions, je lui ai parlé toute à l’heure. Mais elle reste très secrète.
O : Ah ah ! Enfin du challenge, une langue à délier ! J’en avais marre, les autres parlaient trop vite !
Y : Ah bon ? Pourtant tu n’es jamais arriver à me faire parler moi ?
O : Oui mais ce n’est pas la même chose ! Tu es une amie et je ne veux pas plus !
J : Donc il faut que l’on soit quelqu’un que tu as en vue mais pas une de tes amies si on veut un espoir avec toi ?
O : Ouais, Ouais en gros c’est ça ! Bon je vous laisse, une affaire à régler !
Et il s’encourt vers la jeune inconnue.
A : Bon Jérémie, si on allait voir Lyokô ? Xana est un peu trop calme en ce moment !
J : Bonne idée ! En plus je commence à m’ennuyer depuis un moment.
Y : Serait-il possible que depuis que Xana est sorti de Lyokô tu t’ennuierais un peu ?
J : Oui et non, je ne suis pas tranquille, on ne sait pas à quoi s’attendre depuis sa libération.
Aélita tire une drôle de tête et s’en va quelque peu discrètement.
J : Aélita, attends-moi !
Yumi et Ulrich se retrouvaient alors seul.
Y : Ben nous voilà seul, tu sais, il y a quelque chose que je voulais te dire depuis un moment !
U : Ah ? C’est bizarre moi aussi tu sais.
Y : Oui, ben tu commences alors ?
U : You, you Yumi, je voulais… enfin, je voulais te dire, oui voilà je voulais te dire que je … que je … je …
W : Salut vous deux !
Y : Oh, salut William (ton froid et réservé)
W : Salut Yumi, ça va ? Et toi Ulrich ? (Ton froid sur la deuxième partie)
U : Ca peut aller merci, tu permets, on discutai avant que tu n’arrives !
W : Oui bon, mais tu permets ? Il faut que je parle à Yumi un moment.
U : (Ton grave et sévère) MAIS CE N’EST PAS VRAI ! C’EST UNE VRAIE MANIE AUJOURD’HUI ??
W : Oh du calme Stern ! Qu’est-ce qui te prend ?
(Yumi prend la main droite de Ulrich)
Y : Calme-toi Ulrich ! On reprendra plus tard okay ?
U : Oui, oui vas-y ! Moi je vais voir Jérémie et Aélita moi aussi je m’ennui depuis un moment. A tout de suite Yumi.
Y : A tout de suite Ulrich !
(Yumi lâche la main de Ulrich à grande peine)
Y : Bon tu me veux quoi cette fois-ci ?
W : Non pas ici, là-bas je préfère !
Pendant ce temps dans la chambre de Jérémie, Aélita à un coup de blues.
J : Ce n’est pas de ta faute, on est tombé dans un traquenard, on y peut rien ! Arrête, on t’a dit que nous serons avec toi ! Et on va le faire !
A : Ce n’est pas ça, je… j’essaye de me rappeler avant.
J : (Surpris) Avant ? Avant quoi ? Avant qu’on arrive et qu’on active le super-calculateur ?
A : Non ! Avant, avec Franz Hopper, je veux dire …
J : Avec Papa ?
A : (Les larmes aux yeux) O… oui. Je n’ai pas ou presque plus de souvenirs de tout ça, c’est comme exister tout en étant morte. Je suis ici mais pourtant, si je calcul bien, j’aurai l’âge d’être ta maman ! C’est comme une jeunesse nouvelle dont on n’a pas voulu ! (Sanglots suivis de pleurs)
J : Tu sais, des gens payeraient de leur vie pour pouvoir avoir une jeunesse éternelle. Mais …
A : Eh bien je la leur laisse ! Moi je n’ai pas demandée à être comme ça.
J : Je sais bien Aélita, mais tu as une… disons une chance énorme ! Tu parviens à imaginer une vie sans que Ulrich, Odd, Yumi et moi ne soyons pas là ?
A : Non, tu as raison, je me plains pour rien, excuse-moi Jérémie.
J : Ce n’est pas grave Aélita.
(Accolade chaleureuse entre eux)
A : Oh Jérémie, je … je … je voudrai te dire quelque chose …
J : Moi aussi Aélita. Vas-y toi d’abord !
A : Jérémie, je … je …
(Ulrich entre sans frapper)
U : SALUT VOUS DEUX ! Oh oups, je dérange peut-être.
J : Oui je pense. On ne t’a jamais appris à frapper à une porte ?
A : Laisse Jérémie, ce n’est pas grave, on remettra ça à plus tard. Ca peut attendre non ?
J : Oui sans doute, à toi de voir.
A : Mais oui, ne t’en fait pas, on en reparlera.
U : Alors rien de nouveau sur Lyokô ?
J : Je n’ai pas encore pus lancer un scanne. Aélita et moi on discutai figure-toi.
U : Oh bon ça va ! Je m’excuse, voilà t’es content ?
J : Voilà qui est mieux, tu vois quand tu veux ? Bon lançons un petit scanne. Xana nous voilà !
U A : SUS A XANA ! (Voix triomphante)
J : Tiens, quand on vous a quittés, Yumi était avec toi non ? Où est-elle maintenant ?
U : Euh … Avec William. (Voix tremblante et sourde)
J : Ah d’accord, et bien sûr Lyokô il n’y a rien à craindre ou redouter. Mais des questions sont à poser…
U : Jérémie, articule nom d’un chien !
A : Que veux-tu dire par-là ?
J : Et bien comme Xana est sorti du super-calculateur, que doit-on craindre ? Xana lui-même ou des attaques interposées ? Et les tours ? Et Lyokô lui-même reste-t-il opérationnelle ou peut-on le débrancher ? Toutes ces questions restent sans réponses pour le moment.
A : Jérémie, tu sais qu’il y a un moyen. Tu le sais pertinemment ! Il faut…
J : Non Aélita ! On n’a pas le droit de faire ça ! Tu sais qu’à chaque fois qu’on le fait, tu es malade peu après, et en plus tu t’évanouis et devient morte cliniquement ! Non, il est hors de question de tenter d’éteindre le super-calculateur ! Même si Xana est dehors, on ignore tout des conséquences et du virus qu’il t’a implanté !
U : Justement Einstein, si on tente le coup, on saura à quoi s’en tenir exactement ! On sera présent donc on pourra intervenir promptement et parer à toutes éventualités.
J : Non, je refuse catégoriquement, jusqu’à la prochaine attaque de Xana, pas touche au super-calculateur !
U : Mais…mais Jérémie !
J : Non, non et non !
A : (au creux de l’oreille d’Ulrich) Laisse-moi faire veux-tu ? Sors d’ici quelques minutes.
U : D’accord mais soit prudente et (clin d’œil) pas de bêtise.
A : Ne t’en fais, mais borné comme il est, jamais on y parviendra !
J : CE N’EST PAS BIENTÔT FINI VOS MESSES-BASSES ? (Ton entre la jalousie et la colère)
U : Ok, je vous laisse entre vous, vous avez des trucs à vous dire, je pense ? Allez salut, je vais voir ou reste Yumi.
A J : Ok, salut à tout à l’heure en cours.
(Ulrich sort de la chambre mais laisse la porte entrebâillée et se met sur le côté).
A : Jérémie, écoute-moi s’il te plaît, tu sais toi aussi que c’est notre seule solution, le seul moyen de ne plus se soucier du super-calculateur en dehors des attaques. Tu le sais n’est-ce pas ?
J : Oui, mais ça me fait peur, tu sais, on ne sait rien de tout ce qui nous attend à présent, Aélita je ne veux pas risquer ta vie, je ne peux risquer de perdre quelqu’un que j’aime.
(Gêne extrême ressenti sur musique de fond douce)
A : Aimer ? Dit-moi, qu’est-ce donc comme sentiment ? Je connais quelques sentiments comme la honte, le joie, l’amusement mais pas encore cette chose, est-ce ce qu’on appelle l’amour qu’est ce sentiment ?
J : Euh … Il est très difficile d’exprimer ce sentiment par des mots. Pas de mots pour le définir car ce sentiment chacun le ressent toute sa vie et par moment. Il n’y a pas de mots pour l’exprimer car tout le monde sait ce qu’est ce sentiment.
A : (air naïf sincère) Mais si tout le monde le connaît, pourquoi est-ce que je ne connais pas ce sentiment ? Pourquoi est-ce que je ne ressens rien ?
(Musique mélodramatique)
J : Aélita, tu as encore des connaissances confuses du monde humain. Mais tu es avide d’apprendre, peut-être de trop après tout. Mais, vois-tu Ulrich et Yumi ? Ce qu’il y a entre eux ? Et bien vois-tu, c’est cela que l’on nomme « amour ».
A : Jérémie, pourrai-je moi aussi un jour éprouver ce sentiment ?
J : Vois-tu c’est de cela que je voulais te parler. Vois-tu du premier jour où l’on t’a retrouvé dans Lyokô ? Et bien depuis ce moment je… je … (rougissement des plus intense) J’ai commencé à t’aimer, à vouloir t’avoir comme petite amie et te prouver mon amour !
A : Est-ce de l’amour que tu éprouve en ce moment ?
J : (Ton indigné et surpris) De…De… De l’amour ? Mais voyons c’est plus que ça Aélita ! C’est de la passion ! Enfin, je…je…laisse-moi te montrer !
Jérémie prend Aélita par les mains et remonte aux épaules puis l’attire tout doucement vers lui. (Images lumineuses sur fond rose et bulles presque invisibles et basculement de la « caméra » pour vider les lieux ne laissant voir que Jérémie et Aélita) Jérémie pousse un soupir et embrasse Aélita ! Après quelques secondes intenses d’émotion Jérémie et Aélita se lâche les lèvres.
J : Comprends-tu maintenant ce qu’on ressent ?
A : C’est…C’est bizarre ! Je ne parviens pas à déceler ce sentiment, je ne peux pas décrire ce sentiment ! J’ai l ‘impression d’être légère.
J : (Clin d’œil) Tu vois que tu peux ressentire cette sensation ? Ce n’est pas si compliqué.
(Sonnerie de 10h30)
A : Allons en cours, on reparlera de ça plus tard ok ?
J : D’accord. Allons-y.
Cette fois-ci c’est au tour d’Aélita d’embrasser Jérémie. Elle sourit niaisement.
A : J’aime faire ça, tu m’y as donné goût je pense.
J : Moi ce que j’aime, c’est quand tu le fais !
Ulrich qui était resté caché n’en a pas manqué un morceau, et admiratif et envieux, part avant l’arriver de Jérémie et Aélita à la porte.
Une scène joyeuse de cours s’en suit. Aélita et Jérémie dans un coin souriant idiotement, Odd rêvant dans un autre et Ulrich lui pensif et sérieux dans un autre encore. Yumi quant à elle se retrouve en histoire fâché et quelque peu souffreteuse.
(Sonnerie de cantine)
Odd se lève précipitamment et quitte en courant la classe, Jérémie et Aélita partent main dans la main et Ulrich lui traîne des pieds et est la tête basse. Il quitte la classe en dernier, mais en sortant il se cogne.
Y : Fais attention regarde où tu vas !
U : Hein ? Quoi ? Ah c’est toi Yumi, qu’est-ce que tu fais là ?
Y : J’attendais quelqu’un…
U : (honteux et jaloux sur un ton qui veut paraître dégagé) Ah ? Bien alors je te laisse.
Y : Ben tiens ça c’est bizarre. Tu ne me demandes pas qui j’attends ?
U : Pourquoi je le connais ? C’est qui ?
Y : Là je retrouve le Ulrich que je connais (clin d’œil). Bien sûr que tu le connais ! C’est toi que j’attendais !
U : Moi ? Mais pourquoi ?
Y : Tu as la mémoire qui flanche ou quoi ? On a des trucs à se dire rappelle-toi !
U : Ah oui ! C’est vrai ! Excuse-moi j’avais la tête ailleurs.
Y : Oui, j’avais crus remarqué !
Elle prit Ulrich par la main, provoquant un rougissement mutuel et intense, et partirent ainsi en direction de la forêt. Pendant le chemin, Ulrich s’apaisa peu à peu, mais une question lui brûlait les lèvres.
U : Yumi, je peux te poser une question ?
Y : Oui, vas-y, je commence à avoir l’habitude ! (Petit rire moqueur)
U : Qu’est-ce que… Qu’est-ce William te voulais ?
Y : Ah, je vois, bon assied-toi, il faut qu’on parle cinq minutes.
U : Ok, si tu veux !
Y : Vois-tu William est amoureux de moi, mais moi, j’ai quelqu’un d’autre dans mon cœur. Et je suis parvenu à lui faire entendre raison. Et aujourd’hui il est venu me voir pour un peu d’aide, faut dire qu’il choisit quelqu’un qui à de l’influence (dernière phrase dite avec un sourire et en rigolant). Tu ne devineras jamais de qui il s’intéresse.
U : Euh… de la nouvelle ?
Y : Non, bon je vais te le dire ça ira plus vite ! De … Sissi !
U : Quoi (son attention est de nouveau au maximum) ? De Sissi ? Tu plaisantes ?
Y : Non, et c’est pour ça qu’il est venu me voir, il voulait quelques renseignements sur elle, mais comme on n’est pas très amie, amie, j’ai pas su lui dire grand-chose !
U : Oui, c’est un faite certain ! Mais euh… Toi de qui es-tu amoureux ? (Rougissement)
Y : Oh, c’est un garçon très bien, mais le problème est qu’il est renfermé sur lui-même et ne laisse presque jamais paraître ces sentiments, même face à moi…
U : Oh, je vois, et qui est-ce ?
Y : Tu es vraiment à côté de tes pompes aujourd’hui ! Mais je parle de
U : De moi, oui je sais Yumi, et c’est de cela que je voulais te parler la tout à l’heure.
Y : Vraiment, vas-y je t’écoute !
U : Yu…Yumi, depuis le moment où l’on c’est connu je n’ai pas pu te chasser de mon esprit, je m’endors c’est avec ton image, je me réveille et je te vois devant moi. Je n’ai jamais osé te l’avouer car je ne savais pas comment te le dire ni te l’avouer ! Mais Yumi, aujourd’hui je me décide enfin (leurs mains s’étaient jointes tout doucement, Yumi c’était un peu relevé et Ulrich se retrouve un genou à Terre) ! Mademoiselle Yumi Ishyama, voudriez-vous sortir avec moi ? (Musique romantique et fond rose effaçant la forêt dans laquelle il se trouve)
Y : Monsieur Stern, Ulrich Stern, ce serait pour moi un immense honneur et une immense joie !
Ils se rapprochent et un baiser termine cette scène.
A la cantine, Jérémie et Aélita rejoignent Odd et la nouvelle.
A J : Salut Odd.
O : Salut vous deux, je vous présente Hélène.
H : Bonjour !
A : Bonjour, comment tu vas ? Moi c’est Aélita.
H : Un peu perdu, mais ça va merci.
J : Moi c’est Jérémie, enchanté.
H : Pareil pour moi ! Alors c’est toi qu’on appelle Einstein ?
J : (rouge de colère et de honte) OOOOOOOOOOOOODD !
O : Ben quand on fait les présentations, c’est jusqu’au bout non ?
H : Moi je trouve ça bien comme nom ! Moi mon surnom c’est Entarteur.
A : (Etonnée) Pourquoi un surnom pareil ?
O : Euh… Vous comprendrez sûrement plus tard (se massant la joue)
A : (En riant) Oh je vois.
J : Assied-toi Aélita (en retirant la chaise).
O : C’est la première fois que… Mais nom ce n’est pas possible !
A : Quoi ?
O : Toi et Einstein ? Enfin ? Dieu soit béni ! Ce n’est pas trop tôt ! (Les mains en porte-voix) OH TOUT LE MONDE ECOUTEZ ! AELITA ET JEREMIE SONT ENFIN ENSEMBLE ! OUH LES AMOUREUX ! OUH LES AMOUREUX !
Rirent fusant de partout et applaudissement. Un flash éclate, c’est Milly et Tamya.
M : Eh bien, vous nous aurez fait attendre vous deux ! C’est depuis quand ? Est-ce que ça fonctionne bien ? Tamya, tu ne rates rien j’espère ?
T : Non ne t’inquiète pas ! Tout va être dans la boîte.
O : Bon je vous laisse avec la presse ! Tu viens Hélène ?
H : Oui j’arrive.
(Ils quittèrent la cantine côte à côte)
H : Ils sont sympas tes amis !
O : Oui, mais tu sais, bien plus que l’amitié nous lit !
H : Comment cela ?
O : Zut ! Oh rien, oublie, on est très très amis c’est tout ! Pour nous c’est fraternelle et non pas amical.
H : Oh, vous avez de la chance ! Moi je n’ai presque jamais eu personne avec qui partager quoi que se soit !
O : Tu sais, tu peux le faire avec moi, je suis une tombe pour les confidences et secrets !
H : Oui, j’ai vu ça tout à l’heure !
O : Non, ça c’est différent ! Eux ça fait des mois qu’on attend ! Tout le bahut était au courant !
H : Ah ok, ben tu sais, moi je ne vois pas ce que je peux te dire… J’ai appris à faire confidence à moi-même.
O : Tu permets que je te pose des questions alors ?
H : Oui mais fais gaffe, je n’ai pas de surnom pour rien !
O : Oh ne t’en fais pas ! J’ai eu ma leçon ! Alors… D’où te viens cette cicatrice sur la main (Il dit cela en prenant la main d’Hélène) ?
H : Pas de problème, je vais te répondre : J’aime me battre, je me bats surtout avec des garçons, car ils me respectent peu vis-à-vis de mon apparence, un peu homme ! Et un jour, je passai avec ma main à travers une fenêtre. Et voilà. Tu sais d’où elle vient.
O : Moi je me bats à ma manière, je n’aime pas les poings, je préfère parler, je lance des vannes pour faire en sorte que l’autre personne se taise et s’en aille, mais ça ne m’empêche pas de savoir me battre aussi.
H : Tu es biens singulier comme garçon : drôle, sympathique et maigrichon …
O : JE NE SUIS PAS maigrichon ! (Ton désinvolte et paressant dégagé). Je suis svelte.
H : Excuse-moi (faisant la tête). Mais tu sais, les maigrichons sont adorables eux aussi… Enfin, tu es plus féminine que masculin. Comme moi mais inversement.
O : Euh… Excuse-moi mais le terme maigrichon vient d’une fille que je ne peux pas voir même en peinture, alors je préfère svelte.
H : Pas de problème. Et toi ? Y’a-t-il des cicatrices qui te laisse des souvenirs de guerre ?
O : Non pas ici en tout cas !
H : Pas ici comment ça ?
O : Ben, ben… Oh rien, avant de te parler de ça, je dois d’abord parler à mes amis, mais t’en fais pas ils comprendront. Parle-moi de toi et tes parents tu veux ?
H : Ma mère s’appelle Camille, mais mon père est mort.
O : Zut, vraiment désolé.
H : Ne le sois pas, il est pas vraiment mort ! Mais j’ai arrêtée de le voir ! J’en avais marre de le voir et de me comporter comme si je l’aimais.
O : Oh, je te plains, moi je vis avec mes deux parents, ils sont artistes.
H : Tu as de la chance, mais avec ma mère, on a quelque chose qui s’est installé. Une amitié mère/fille si tu veux !
O : Eh bien, tu es gâtée. Et pour les petits copains ? Tu en as déjà eu ?
H : Odd ! Tu es directe ça joue des tours !
O : Oui je sais ! Mais je suis d’une nature très curieuse ! Et je ne parviens pas à me contrôler, c’est instinctif !
H : Oh je vois ! Et bien, il va falloir attendre pour la réponse à cette question
O : Ce n’est pas juste !
H : Hihihi, laisse tomber, allons nous promener un moment ! Et ??? Qui c’est là-bas ? Regarde-les se bécoter !
O : (Interloqué et choqué) Mais…Mais… Mais c’est … ULRICH ! YUMI ! (Il cri à plein poumons).
Les deux se retournent et vois Odd bien accompagné (ce qui ne les surprend qu’à moitié).
U : OOOOOOOOOODD ! Pour la discrétion, faudra repasser !
Y : Toujours gaffeur ! Même accompagné tu n’en rates pas une !
O : On se calme ! C’est vous qui me devez des explications, on vous laisse deux minutes en solitaires et côte à côte, et on vous retrouve occupé à vous bécoter ! Imagine ce que seront les répercutions sur mon avenir !
U : Pour ce qui reste de cerveau en toi, ça n’aura aucune répercussion !
Rire de Yumi, Ulrich et Hélène.
O : (En colère face à Hélène) Ben vas-y, met-toi de leur côté aussi !
H : Excuse-moi, mais ça change de voir que tu es sensible à ce genre de spectacle ! Pourtant ta réputation n’est pas à faire dans le bahut !
O : Zut alors, tu es déjà au courant ? Pourquoi tu restes avec moi dans ce cas ? Tu dois te douter à quoi je veux en venir ?
H : Oh oui, je m’en doute ! Et ce ne serait pas ça ?
Hélène se jette à son cou et l’embrasse.
Y : Si on dérange dite-le nous ?
O : (gêne extrême) Euh… Hélène voici Yumi et Ulrich, les deux autres amis dont je t’ai parlé ! Yumi, Ulrich voici
H : Hélène, petite amie attitrée de Odd !
Odd, Yumi et Ulrich sont tous étonné, l’un plus que l’autre !
O : Tu es expéditif ! Mais je veux bien, je le voulais de toute façon.
H : Bon je te laisse, je dois aller voir ma chambre.
O : Attend je viens avec toi !
U : Odd tu connais les risques si Jim te choppe !
O : Oui, deux heures de col ! Mais ça vaut le coup non ?
Y : Odd, le secret d’accord ?
O : Quoi garder le secret de votre amour ? Ca va pas non ? Je ne pourrai jamais !
Y : Oh si tu le pourras, Milly et Tamya auraient de quoi faire la une demain et pendant la semaine !
O : Elles auront bien à faire avec Einstein et Aélita !
U : Quoi ? Il s’est décidé ? Ce n’est pas possible ! Enfin le groupe trouve chaussure à son pied !
Y : Oui difficile à croire !
O : Bon on vous laisse …
Y : Odd secret de potes hein ! Juste Aélita et Jérémie ok ?
O : Oui ne t’en fait pas !
U : Crois-tu que nous puissions lui faire confiance ?
Y : Oui, quand il répond à ça on peut vraiment lui faire confiance ne t’inquiète.
Elle avait dis cela en s’approchant de lui et colla ses lèvres contre les siennes. Il lui sembla que rien au monde ne puisse les en empêcher, mais ce fut de courte durée. La sonnerie retenti au loin, annonçant la reprise des cours de l’après-midi.
U : Zut, on n’a pas put manger ! Oh, après tout, peu importe, puisque je suis avec toi, tu sais je me sens libéré de tout le poids qui pesait sur moi ! Yu… Yumi, je ne veux plus te quitter !
Y : Il faudra bien, à moins que tu veuille me rejoindre en cours et venir dormir à côté de moi !
U : Pour les cours, il n’y aura sûrement pas moyen. Mais pour dormir, c’est autre chose !
Y : Qu’est-ce que tu veux dire par-là ?
U : Tu verras ce soir ! Tiens ta fenêtre à l’œil et tu comprendras !
Y : Bon faut y aller ! Sinon, Jim se fera un plaisir de tout dévoiler !
U : Tu as raison ! Comme toujours !
Il s’embrassèrent et s’en allèrent main dans la main vers le lieu de leur prochain cours, mais ils avaient oubliés qu’il s’agissait du sport ! Ainsi se quittèrent-ils devant le gymnase pour chacun aller s’habiller.
Ulrich remarqua la tête que faisait William, contrairement à d’habitude il alla lui serrer la main, provoquant par la même, la stupeur de la salle. Mais William à compris de quoi il s’agissait.
W : Bravo Stern, tu as gagné à ce petit jeu.
U : Pourtant tu fut un bel adversaire je le reconnais. Bonne chance avec elle !
W : Merci, je pensai à elle au début, mais on m’avait dis que Yumi était un challenge à essayer, alors j’ai voulu le tenter, mais j’ai perdu ! Et maintenant je me lance vers mon cœur.
U : Tu aurais du le faire avant, tu aurais moins attendu ! (Il avait serrer les poings pour éviter de frapper William au mot « challenge » )
W : Probablement.
Jim entre et annonce le sport d’aujourd’hui.
J : Bon les petits gars ! Aujourd’hui foot en commun avec les filles, des groupes de six personnes dans chaque équipe et que ça saute !
Odd sortit en sautillant et côte à côte avec Hélène.
J : OOOOOODD Della Robbia et Hélène Dujardin !! Que vous arrive-t-il ?
O H : Ben monsieur vous avez dit « Et que ça saute » ! (Ils se complétaient l’un l’autre dans la phrase)
J : Bande de petits malins ! On verra votre note sur le terrain !
Les groupes se formèrent, avec bien entendu Odd, Hélène, Aélita, Jérémie, Ulrich et Yumi furent dans la même équipe. William et Sissi eux étaient avec Nicolas et Hervé au plus grand bonheur de celui-ci.
W : Sissi, avant que cela commence, peut-on parler un moment ?
S : Pas de problème mon grand, que me veux-tu ?
W : Voilà, j’ai abandonner Yumi et j’ai une autre fille dans le collimateur !
S : Quoi ? Comment tu peux faire cela ? Si Yumi à le champ libre avec Ulrich, comment puis-je le séduire ? Et s’ils sortent ensemble avec qui je pourrai bien me mettre ?
W : Pourquoi pas avec moi ?
S : (Bond de surprise)QUOI ? AVEC TOI ? Cette bonne blague. Tu plaisante j’espère ?
W : Pas du tout ! C’est depuis la première fois que je t’ai parlé que je suis amoureux de toi !
S : Oui ben oublie mon pote, c’est tout ce que tu es pour moi ! Pas d’amour entre nous deux, je ne vois même pas pourquoi tu as osé penser cela ! Moi et toi ensemble ? Plutôt embrasser un porc-épic !
W : Tu sais, je parierai pas trop sur ta sorti avec Ulrich ! Yumi avait le projet de lui faire ses révélations plus tard dans la journée, et je pense qu ‘elle n’a pas attendu mon consentement ou du moins que je lui dise que j’allai te parler !
S : C’est impossible ! Et en plus tu n’arriveras jamais à la cheville d’Ulrich !
W : Qu’est-ce que Stern à de plus que moi ?
S : Avant tout, Ulrich est quelqu’un hors du commun : mystérieux et pas facile à gagner, il est un garçon complètement désinvolte et ne parle pas de lui plus souvent qu’il le faut. Bref c’est un garçon hors du commun !
W : Ainsi voilà ce qui t’attire chez lui, enfin je devrais dire t’attirait ! Je vais te dire une chose : Yumi pour elle, je n’ai dévoilé qu’une petite partie de mon jeu ! Mais pour toi que j’aime vraiment, je serai prête à tout !
S : Que... que veux-tu…dire par-là ?
W : Dis-moi oui, et tu ne le sauras jamais ou repousse-moi et tu le verras dans les prochains jours !
S : Alors je te dis : ZUT !
Elle partit sur un pas décidé et alla rejoindre son équipe un peu à l’écart de William.
W : (Pour lui-même) Très bien, dans ce cas, je dois sortir l’artillerie !
La match se déroula et on ne fut pas surpris de voir le groupe de Lyokô en première position et le groupe à Sissi en seconde position. Même lorsqu’ils sont amoureux, rien ne se met entre eux pour une compétition. Le cours suivant était la biologie, et les cœurs de Yumi et Ulrich furent déchirés de devoir se séparer, mais il se jurèrent de se retrouver à la sortie des cours. La biologie se passa avec les blagues habituelles de Odd mais Hélène lui prêta main forte mettant Mme Herz dans un pétrin que seul une promesse de retenue parvint à calmer ! Heureusement qu’il avait d’autres choses de prévus pour le samedi qui venait sinon elle n’aurai pas eu le calme avait la sonnerie qui annonça la fin des cours et le week-end par la même occasion !
(Longue sonnerie de fin de cours)
U : EN AVANT POUR LE WEEK-END !
O H : OUIDA ! VIVA EL WEEK-ENDO !
J : Bon, vous criez encore longtemps ou vous sortez ?
U : Moi je vous laisse, j’ai rendez-vous avec Yumi.
O : Ulrich est …
U : Odd ! Si tu tien à pouvoir faire ce que tu veux de ta bouche : TAIS-TOI !
O : OK, bon on va pas se fâcher pour si peu ?
U : Je pensai que tu avais promis à Yumi ?
O : Oui bon, Si on peut plus rire !
J A : Bon VOUS BOUGEZ OUI OU CROTTE ?
U : Oui bon, je vous laisse les gars, à tout de suite !
J A O : A tout de suite Ulrich !
Et il parti dans une course éperdue. Il arriva juste au moment ou Yumi sortait du cours d’histoire.
U : Oh ! Yumi ! Je suis là !
Y : Oui, j’arrive Ulrich, ne sois pas si impatient !
U : Excuse-moi, j’étais tellement impatient, ce cours m’a paru interminable !
Y : Oui, je sais, j’ai ressenti la même chose, mais si tu veux que ça reste secret pour le moment, fait gaffe à tes fais et gestes !
U : Tu as raison, comme d’habitudes (sourire complice). Bon je te laisse ici.
Ils étaient arrivés à la grille d’entrée. Yumi aurait voulu rester, l’embrasser et lui dire combien elle aimait SON Ulrich. Mais elle comprenait pourquoi il voulait attendre, elle savait qu’il avait du respect pour elle et les traditions auxquelles elle était attachée.
U : N’oublie pas, laisse ta fenêtre ouverte ce soir !
Y : Mais enfin vas-tu me dire pourquoi ?
U : Une petite surprise ! Fais-le et tu verras.
Et ils se quittèrent comme ça sur un simple à tout à l’heure !
William était dans son coin, il jalousai la bonne humeur et le bonheur d’Ulrich. Oh combien n’aurait-il pas donner pour connaître quelque chose de semblable ! Mais il savait que son tour viendrait bientôt, il fallait attendre, attendre et encore attendre ! Mais la récompense serait à la mesure de l’attente. L’amour était la clé, son cœur avait réellement parlé devant Sissi et elle l’avait rejeté ! Mais pourquoi ? Enfin, c’était le week-end et il pourra agir ! Jérémie et Aélita, quand à eux étaient en balade dans la forêt et Odd et Hélène eux faisait les quatre cents coups dans les couloirs avec Ulrich. Le bonheur était présent dans presque tout les cœurs. UN bonheur que rien n’aurait pus troubler. Rien ? Pas si sur, dans ce monde de fais de petits bonheurs et de bonne humeur, il existe un troubleur d’ordre de taille. Oui, Xana décida que la journée veillant le week-end était une journée parfaite pour attaqué (bien sûr c’est imagée), et il activa une tour !
Il est pas loin de dix heure, Odd et Ulrich sont dans leur chambre.
O : Donc si je comprend bien : Tu me laisse la chambre pour moi et Hélène mais à la condition que Jim ne remarque pas que tu fais le mur ?
U : Oui, tout à fait, mais si ça ne te conviens pas, je suis sûr que Jérémie lui viendra avec plaisir ici !
O : Ca ne va pas non ! Ca me conviens parfaitement ! Je … Comment je peux te remercier mec ?
U : En faisant en sorte que Jim ne remarque pas mon absence et que tu restes longtemps avec Hélène !
O : Ok, mais pour que Jim ne remarque pas ton absence se sera dur ! Mais pour Hélène et moi ne t’en fais pas !
U : Bon à demain et surtout, n’oublie pas : Parole de pote ?
O : Parole de pote !
Et il sortit avant la première ronde de Jim et Odd appela Hélène pour qu’elle vienne le rejoindre. Jérémie lui était de retour avec Aélita de la forêt. Ils montèrent dans la chambre de Jérémie, se laissant glissé sous les draps, trop fatigué pour se mettre en pyjama mais trop heureux pour se séparer pour cette nuit-la.
Ulrich courait, au tournant il pris à droite et tomba pile en face de la maison de Yumi, Sa fenêtre était entrouverte et une lumière très fine passa dans l’embrasure de la fenêtre. Il monta grâce à la gouttière. Arriver à côté de la fenêtre, il frappa à la fenêtre d’un sons presque inaudible. Une ravissante fille, habillé à la japonaise se présenta devant la fenêtre, aidant son bien-aimé à rentré dans la chambre éclairé presque d’un noir encre.
U : Bonsoir mademoiselle ! Attendriez-vous quelqu’un pour être en beauté ce soir ?
Y : Oui, mais je pense qu’il vient d’arriver !
Ils s’embrassèrent comme bonsoir, et finirent couché l’un à côté de l’autre, et se tenant dans les bras, leurs lèvres s’effleurantes au moindre mouvement, provoquant le bien-être inconscient qu’ils aimaient. Odd et Hélène étaient, quant à eux, dans la chambre, discutant de tout et rien, mais surtout s’embrassait, comme il était bon de se sentir heureux !
La nuit passa, trop vite pour le petit groupe. Mais apportant avec lui, le matin fut rempli de toutes sortes de surprise. Jérémie se réveilla et se surpris avec ses mains dans le dos d’Aélita et lui caressant doucement le dos de haut en bas et de bas en haut. Aélita poussait des petits soupirs de bien-être intense. Odd se réveilla, il avait mal à la tête, il se rappela la soirée mémorable qu’il avait passé avec Hélène et il réveilla d’une douceur qu’il s’étonna lui-même de découvrir sa chérie. Elle se réveilla doucement, ouvrant un œil et puis l’autre. Odd profita de son demi-sommeil pour lui donner un bisou qui la réveilla et relança le « débat des bisous » interrompus par Jim le veille au soir. Mais, la plus belle surprise était réservé au couple Ulrich et Yumi.
Elle s’était réveillée la première et comme à son habitude du week-end, descendit et se prépara un petit déjeuner, mais en prépara un peu pour son amour. Elle le réveilla.
Y : Ulrich ? Hey oh ! Ulrich ? Debout mon beau, il va être l’heure.
Ulrich ouvrit l’œil difficilement. Ils sourirent ensemble, Rien n’aurai pu tuer cet instant magique.
U : Bonjour Yumi, bien dormi ?
Y oui, et toi ? Pas trop dur de dormir sur un lit japonais ?
U : Non, et j’avoue aimé cela.
Y : Tiens, je t’ai fait un petit déjeuner. Je ne savais pas si tu aimais le café alors j’ai fais un petit chocolat chaud avec des croissants.
U : Merci, mais tu ne risque pas trop avec tes parents ?
Y : Oh ! Ne t’en fais pas ! Je dirai que j’ai eu une faim d’ogre.
U : Et te reste-t-il un petit creux pour ça ?
Il l’embrassa.
Y : Je pense que je n’aurai jamais assez de cela.
U : Yumi, tu sais, ça m’a fais bizarre d’avoir dormi avec toi, tu es la première avec qui j’ai dormi.
Y : Rassure-toi, tu es le premier garçon aussi.
U : Yumi, je pense qu’on devrai en parler avec tes parents, tu sais qu’on sort ensemble. J’ai l’impression d’être un voleur.
Y : Alors monsieur le voleur, vous êtes en état d’arrestation et vous avez le droit de m’embrasser !
Ce qu’il fit avec plaisir !
U : Yumi, je suis sérieux, en plus, je pense qu’il vaudrait mieux joué franc-jeu avec eux. Car un jour ou l’autre ils vont s’en rendre compte !
Y : Tu as raison, oui, mais tu comptes le faire quand ?
U : Et pourquoi pas d’ici une petite heure ? Cela nous le temps …
Il laissa sa phrase en suspend, lourd de sous-entendu et Yumi perçut ce que Ulrich voulait. Ils s’allongèrent encore un peu et s’embrassèrent.