Pour tout vous résumer.
Je me suis levée de très bon matin. Pour ne pas passer inapperçue, je me suis vêtue d'un beau imperméable rose. J'ai également emporté une belle pancarte sous mon bras droit :
Et un beau râleur, mécontent d'être tiré du lit si tôt, sous l'autre bras (celui qui a la chemise bleue sur la photo):
Arrivés les premiers, nous cherchons désespérément un moyen d'accrocher la susdite pencartes en hauteur quand, au milieu de mes accrobatie pour grimper sur les statues de la fontaines, arrivent deux premières arrivantes, Kagu et Hécate (voici Kagu, je n'ai pas de photo d'Hécate):
Ravie d'avoir un prétexte pour cesser mes efforts alpiniste, je leur placarde aussitôt deux étiquète avec leur pseudo sur leur manteaux, et nous commençons à attendre les autre. Ils arrivent peu à peu, au compte goutte. Au début, l'ambiance est un peu tendue. Les regard se fuit. La conversation, quand il y en a, tourne autour du temps, ou de ceux qui manquent encore à l'appel, de la difficulter de circuler dans paris, etc. Puis les langues commencent à se délier, la glace se dégèle.
Quand j'ai (enfin) réussi à persuader tout le monde (à grand renfort de coup de parapluie) de garder son étiquette de manière visible sur son t-shirt, je sort mon appareil et commence à mitrailler.
De gauche à droite : Kikou, Dadmax, typy, et le bras de Clem.
Il y en a qui son énervants, parce que j'ai beau les appeler, ils refusent de regarder l'appareil : Pesme, Quentin et Elfos, et l'épaule probable de kagu, je suis pas sûre.
Cobra essaye de faire une blague à Volfor, malheureusement il est trop petit.
Attention, certaines photos peuvent être ajoutée ici, quand j'aurais reçu l'autorisation de les publier, de la part des intéressés (Pykar, Shaon, j'attends votre feu vert)
Deux irréductibles gauloise résistent encore et toujours à ma fièvre photographique. J'ai nommé Kalli et Lylou, qui fuient devant mon objectif. En désespoir de cause, Kalli fini par sortit son propre appareil pour me rendre la pareille (calembourg... Non ? Bon, je sors, je sors) C'est alors un grand duel de photographe qui s'annonce.
Une fois tout le monde arrivé, et après quelque petite photos de groupe, photo de pancartes (voir les posts au dessus), et comme la fin se fait sentir, j'emmène tout le monde dans un petit square que j'aime, au bout de l'île de la cité, ou nous déjeunons tandis que je continue mon mitraillage des Lyokofan en 3D.
Attirés par notre bonne humeur, des oiseaux viennent se joindre à notre repas.
Kagu, la femme qui parlais avec les oiseaux.
Une tentative de portrait de Pesme... Mais le traître, il a trouvé le moyen de jeter un sort à mon appareil pour que la photo soit ratée ! (c'est quoi , cette masse rose, qu'est-ce que c'est moche !)
Et là, cata ! Panne de pellicule.
Je range donc mon appareil, et propose de faire le tour de l'île de la cité par le chemin des touriste. C'est alors que Clem me fait remarquer un fait alarmant, nous avons perdu typy !
Oui, Typy n'ayant pas eu le temps de s'acheter un sandwich, elle était restée en arrière, avec pour seule compagnie les instruction que je lui avait donné pour retrouver notre square. Seulement, voilà, elle ne nous rejoint toujours pas.
Très fortement inquiète, je commence par aller guetter à la sortie du square, puis sur les conseils de Clem (mais qu'est-ce que je deviendrais sans elle !) je retourne à la fontaine Saint michel. Je ne la vois pas. C'est elle qui me voit (J'ai bien fait de m'habiller en rose). Et je découvre que ma fâcheuse manie de ne pas distinguer la droite de la gauche m'a encore joué un tour de cochon, je lui avait indiqué de tourner à droite là ou il fallait tourner à gauche. Je la ramène près de nos amis en me répendant en excuse, et nous la laissons finir son cornet de frite avant de partir, comme je l'ai suggéré, pour visiter l'île de la cité par le chemin des touriste.
Nous enchaînons sur l'ile saint louis, un autre square (voir premières photos de typy) puis repartons.
Soudain, ce que nous ne redoutions plus devant la clémence des cieux, il se mets à tomber quelque goutte.
Et là, moment horrible. Tout le monde se tourne vers moi, et me demande quoi faire.
Quoi faire ? Heu... Je ne suis pas miss Météo, je ne peux pas arrêter la pluie. Je ne trouve rien de mieux à faire que de tous nous ammener dans un café (horriblement cher, avec des serveur vraiment très familier envers nous, mais bon, enfin, il fallait bien décider quelque chose, non ?) Là, nous devisons gaiement, signons des mots, jouons un petit peu au "cadavre exquis", vous savez, ce jeu ou on doit écrire une phrase sur une feuille puis plier la feuille en cachant la phrase et la passer à son voisin pour qu'il écrive une autre phrase, et ainsi de suite jusqu'à composer un texte absurde.
Puis nos premiers invités repartent. Les quelques Lyokofans restants reprennent leur errance dans les rue de Paris, sous la direction de votre serviteuse (mais sans blague, c'est vrai, je suis la seule à connaitre le quartier, alors tout le monde compte sur moi pour guider ! Si j'avais su, j'aurais pas venu^^)
Puis nous nous dispersons lentements, avec un grand sourire au lêvres... Et D'ENOOOOORMES ampoules au pied. Mais malgré les cris de protestation de nos mollets fatigués, nous avons envie de danser de joie. C'était vraiment une journée inoubliable