12 Oct 2008, 20:19 par yulmi
pour répondre a ta remarqua maggaelita123456789 quand j'ai fait cette fanfic j'ai d'abord imaginé le titre et les secret sont venus petit à petit, c'est sur quand encaissant tout d'un coup sa le fait pas mais aprèes ils appredrons à faire face et à trouver une solution mais c'est pas pour toute suite
maintenant la suite
A : ah ouais quand même.
Y : dis tu nous cacherais pas autre chose par hasard tu ne serais pas un génie ?
O : non, mais je suis intelligent.
A&y : quoi ?!
O : non je plaisantais.
Ils partirent tous à l’usine.
Yumi s’installa au commande et faisait à peu près les mêmes manips’ que Jérémy mais avec un peu plus d’expérience.
O : (surpris) : dis donc tu sais te servir de sa ?!
Y : et oui.
O : et depuis quand.
Malheureusement Odd aurait mieux fait de se taire car une simple phrase peu réveillé des souvenirs que vous préféreriez oublier, c’est le cas de Yumi maintenant.
Fin du chapitre 3.
Petite pause sur les secrets. Certaines phrases peuvent réveiller en vous des souvenirs de votre enfance que vous auriez préférer oublier mais quand ils viennent on ne peut pas les éviter même si on souhaite le contraire.
Chapitre 4 : Le Passé de Lyne et d’Aelita
Cette phrase, il l’a dites mais elle ne veut pas, elle ne veut pas se souvenir, se souvenir de ce moment, de ce moment qui allait changés sa vie à jamais et qui allait lui faire perdre presque tout ce qu’elle avait de plus précieux au monde : sa famille.
Flash-back
L’Hermitage, petite maison tranquille où habitaient les Hopper, Franz, Anthéa et Aelita, ce jour là ils avaient invité les Kolvalsky.
Aelita : maman c’est qu’elle arrive Lyne.
Anthéa : bientôt ma chérie.
Franz : tiens les voila.
Aelita : (courant vers une petite fille aux cheveux noirs) : Lyne.
L : Aelita comment ça va ?
A : bien je suis contente que tu sois venu.
F : (se dirigeant vers le père de la fillette) : ah ! Mickael, vous êtes finalement venus.
Mickael : bien sur, vous savez tout comme moi que les petites sont inséparables.
An : oui c’est exact.
-Ah Anthéa, alors comment vas-tu ? demanda la mère de Lyne.
An : très bien, merci.
F : bon laissons les filles s’amusez et entrons discuter de vous savez quoi.
M : oui.
Les adultes rentrèrent dans la maison des Hopper pendant que les filles s’amusaient. Cela faisaient plusieurs années qu’ils avaient créé XANA, une intelligence artificielle, inoffensive, ils l’ont programmé comme une I.A très gentille qui leur servira à faire des améliorations sur la planète mais les services du gouvernement n’étaient pas d’accord et les rechercher
Pendant ce temps dans la maison.
F : XANA ce porte bien, j’ai trouvé un programme qui permettra de perfectionner certains ordinateur.
M : très bien (se tournant vers sa femme) Rose quand penses tu ?
R : et bien, je suis contente des progrès que l’on a pu faire c’est vraiment excellent.
An : oh faites Franz, les filles ne risquent rien avec ses hommes qui nous poursuivent.
F : non et puis, Aelita viens d’avoir 10 ans elle commence à savoir ce défendre et aussi avec Lyne qui, à 11 ans, c’est déjà se battre, elles ne craignent rien et Lyne protègent Aelita comme une sœur donc.
An : oui tu as raison.
Leur discussion fut soudainement interrompu par l’arrivé de deux hommes en noirs.
Homme : très bien on ne va pas bouger et vous allez nous suivre gentiment.
M : et si on refuse ?!
Autre homme : (sortant une arme) : et bien vous ne pourrez alors plus jamais refusez ce que l’on vous dit.
- très bien, vous ne voulez rien faire et ben alors on va emmenez Mme Kolvalsky, sa ne vous poses pas de problème fit l’homme en empoigna la mère de Lyne.
Autre homme : bien Jean emmène la.
M : relâcher ma femme où je vais vous.
Autre homme : vous n’allez rien faire on vous embarque vous aussi.
Les hommes partirent laissant Franz et Anthéa sous le choc.
Anthéa : (en pleurs) : oh ! Franz qu’est ce que l’on va faire, c’est horrible.
F : (ne voulant pas montré ses larmes) : et aussi qu’est ce qu’on va dire à Lyne.
A : la pauvre, elle ne s’en remettra jamais.
Fin du flash-back
mes chapitres sont courts j'éssaierai de les faire plus long la prochaine fois.