code Baal
Épisode 1 :La bataille de Carthage.
Rapport M26-I7C
Carthage lab, Texas, 26 mai 20xx
Suite à un acte de piratage, Nous avons mis en pratique l’alinéa 34 du code de l’établissement en rapport à la base de donnée.
Selon les scientifiques, l’attaque n’a pas été assez longue pour permettre de localiser l’intrus.
Aucun des dossiers du projet n’aurait été ouvert lors de l’attaque.
Secrétaire :Voilà mon colonel, imprimé en trois exemplaires comme demandé.
Colonel. Jephries : Poser les sur mon bureau.
Le secrétaire s’exécuta sur le champ.
Il était presque sorti quand le colonel l’appela.
Cl J :John pouvez-vous convoquer le Lieutenant Karsov, j’ai quelque question à lui poser.
Quelques minutes plus tard.
Lnt Karsov :vous m’avez fait mander mon colonel.
Cl J : Vous étiez dans la salle de commandement lors de l’attaque n’est-ce pas ? pouvez-vous me décrire précisément ce qui s’y est passé ? Certains des soldats ont vu des événements que l’on pourrait classé de paranormal. J’aimerais avoir votre opinion sur ce piratage hors du commun.
Lnt K : sans vous manquer de respect, mais je suis un peu perplexe. J’ai vu ce qui est arrivé à ceux qui ont essayé de couper le supercalculateur. Ils sont tous à l’hôpital maintenant, des soldats ont même été projetés à plus de six mètres du supercalculateur.
Voyant l’échec de nos tentatives d’éteindre le supercalculateur, j’ai donné l’ordre de couper tout lien avec l’extérieur.
Cl J : vous avez bien fait, c’est pour votre réaction exemplaire que j’ai décidé de vous charger de l’enquête sur les intrus.
Lnt K : comment pourrais-je puisque nous n’avons pas pu les localiser ?
Cl J : il ne faut pas toujours croire les rapports, lieutenant. En fait nous avons détecté une dizaine d’adresses IP, nous piratant en même temps. Le sergent Hardman, spécialiste en informatique, sera votre second dans cette affaire, il est dans la salle de réunion B-214, il brief déjà votre équipe. Vous devez vous douter que cette affaire est classée top secret et requiert votre plus grande attention. Vous pouvez disposez.
Lnt K : A vos ordres mon Colonel.
Le Lieutenant approchait du bâtiment B quand soudain l’alarme sonna dans toute la base, suivie de près par des salves de coup de feu du côté de l’aile Sud.
On voit trois kankrelats passer le coin d’un bâtiment.
Des soldats affluèrent vers le bâtiment C d’où venaient les kankrelats. Une foule de Kankrelats vint renforcer les premiers.
Le lieutenant dégaina son arme de point et parti à l’assaut du bâtiment rassemblant tout les soldats qu’il pouvait trouver.
Lnt K : Il faut faire évacuer les civils. Soldats suivez-moi.
Entrant par les garages, une partie des soldats s’arrêta et sécurisa quelques APC (armored personnal carrier :traduit par : Transport de troupe blindé). Le reste continua d’avancer dans le couloir vers l’ascenseur principal.
L’ascenseur s’ouvrit et les soldats trouvèrent les scientifiques du projet.
Lnt K : Professeur Martens (dernier scientifique de la première équipe), que se passe-t-il ?
Martens : je n’en sais rien, mais je suppose qu’il y a un lien avec l’attaque d’hier.
Un informaticien : Notre sigle est apparu sur tous les écrans, et depuis des monstres ne cessent pas de venir de la salle du supercalculateur.
Un garde : J’ai vu une de ces bestioles de près, elles portent notre sigle sur elle.
L’informaticien : Notre sigle ? Qui peut connaître notre sigle en dehors de cette base ?
Martens : Il n’y en a qu’un seul. Waldo Schaeffer
Un des soldat aperçu cinq kankrelats arriver dans le couloir et ouvrit immédiatement le feu.
Lnt K : Il est préférable de ne pas rester ici. Nous avons des APC qui nous attendent au bout du couloir.
Ils partirent tous vers les garages.
A l’extérieur, la situation n’est pas aussi calme. Trois mégatanks et six tarentules détruisent tout véhicule au sol ou dans le ciel tandis que les kankrelats continuent de repousser les soldats, impuissant contre cette déferlante sans fin.
Loin dans le ciel, quatre TomCat foncent vers la base attaquée quand leurs radars détectent des objets volants de petite taille à leur six heures. Ils n’eurent pas le temps de réaliser l’ampleur de ce qui se passait qu’un d’entre eux salement endommagé part en vrille, se rapprochant inexorablement du sol.
Un pilote : C’est quoi çà ?
Le « ça » n’est autre qu’une escadrille de la « xana airforce ».
Episode 2 Au plus sombre de la nuit (In the dark of the night)
Laissons un peu la base « Carthage » à ses combats et allons à la base d’Edwards, en Californie, où Xana lance un autre attaque. Un Northrop, bombardier furtif américain, est sur le point d’y décoller.
Officier radio 1 :Tour de contrôle à Northrop 3 Vous avez la permission de décoller, je répète permission de décoller.
(Vue de l’intérieur du Northrop. L’écran du radar nous montre le signe de xana.)
Le premier Northrop décolle et prend le cap 043
Officier radio 1 : Manquait plus que ça. Tour de contrôle à Northrop 3 vous faite fausse route changez de cap et prenez le 167, je répète changer de cap et prenez le 167.
Officier radio 1 : tour de contrôle a Northrop 3, à vous.
Officier radio 1 : tour de contrôle a Northrop 3 répondez bon sang.
A kadic aux abords de la cantine. :
J : Aelita rendez vous ce soir à l’usine. Je vais rallumer le supercalculateur pour faire des recherches. Peut-être trouverons-nous qui ont enlevé la mère d’Aelita.
U : Attend, tu veux nous dire que nous avons combattu 3 ans pour éteindre le supercalculateur et tu veux le rallumer. C’est fou.
O : Ouais, c’est toujours comme ça les savants.
Y : Ulrick à raison mais Il faut le faire pour Aelita.
W : De toute façon Xana a été détruite que je sache.
U : Oui et ce n’est pas grâce à toi.
W :Vla qu’y m cherche encore lui.
Y : c’est vrai que tu nous a sacrément retardé mais comme tu l’a dit c’est fini et on ne devraient même plus en parler.
A Je suis pour le rallumer le temps des recherches mais il faudra le désactiver ensuite. De plus j’aimerai voir si notre multi-agent n’a pas subit des changements.
J : Il n’existe plus. Redoutant qu’il s’attaque à d’autre programme après Xana, j’ai décidé de l’anéantir. On ne sait jamais ce qui peut se produire.
O : Ouais du genre notre Xana à nous. C’est ça ?
J : effectivement. Nous ne pouvions pas courir le risque.
Y : Bon, il faut que j’y aille sinon mes parents vont devenir furieux. Je pense pas que ma présence est obligatoire lors des recherches.
J : chacun a droit à un peu de détente. Je pense que moi et Aelita nous serons assez suffisant.
Dans la salle de commandement du porte-avions de l’Otan « Belgica » quelque part dans l’Atlantique.
Officier de radio (dans son micro): Northrop 3 donnez nous votre position. Je répète Northrop 3 donnez nous votre position.
Officier de radio (à l’amiral Heinrich Von Schnuffle) : Il ne répond toujours pas mon amiral.
Amiral : Il se la joue comme ça, faite sonnez l’alarme,je veux au moins vingt avions en l’air dans un quart d’heure. Retrouver moi ce bombardier.
Salle de Briefing
Capitaine : Nous savons qu’un Northrop est parti du Kansas, il y a une heure. Selon nos calculs et s’il n’a pas changé de cap, il devrait actuellement survoler le Kentucky en direction de Washington.
Les Etats-Unis ont déjà engagé leur aviation, ils ont besoin de notre aide pour éviter la mort de nombreux civils.
Le Northrop est furtif,sauf si vous avez de la chance votre radar ne peut pas le détecter. Il faudra chercher un contact visuel.
Voilà vous savez tout. Rompez.
Dans les minutes qui suivirent 8 AWACS (airborne warning and control systeme) et 12 F16 prirent leur envols.
À l’Usine.
Aelita (arrivé en bas avant Jeremy) : L’ascenseur ne répond pas. Jeremy.
Jeremy : c’est normal. Je l’avais coupé pour éviter une intrusion dans le laboratoire.
Aelita : il faudrait le rebrancher sinon nous serons obligé d’entrer par la sortie de secours.
Jeremy : ca ne prendra pas un instant de plus. (en branchant son ordinateur à un câble caché derrière le panneau de commande. Une fenêtre s’ouvre alors sur l’écran de son ordinateur) Enter.
L’ascenseur s’ouvrit alors et le duo descendit dans la salle de commande du supercalculateur.
Jeremy : je pense qu’on aura accès a tout ce qui nous faut ici. Pas besoin d’aller sur Lyoko. Nous utiliserons le terminal principal.
La porte s’ouvre sur la salle du supercalculateur.
Aelita : Tu veux réellement relancer le supercalculateur.
Jeremy : nous avons un supercalculateur qui ferait en une heure le travail que nous ferions en un mois par un autre moyen. Je ne vois pas pourquoi on ne l’utiliserait pas.
Aelita : C’est vrai mais et si Xana avait implanté un programme dans le supercalculateur, pour qu’il s’active lors qu’on le rallume . Tu vois ce que je veux dire, un programme de type « phénix ».
Jeremy : de toute façon si c’était le cas nous le saurions grâce au super-scan.
(Jeremy actionna la commande)
Le supercalculateur s’alluma sans problème après les quelques jours d’inactivité.
Jeremy et Aelita remontèrent a la salle principale où les dossiers se rechargèrent petit a petit.
Jeremy : cela prendra un certain temps. (il se tourna alors vers Aelita quand soudain les haut-parleurs émettent un son non voulu. )
Sur l’écran apparaissent les coordonnées d’un répliqua plus grand que ceux rencontré auparavant.
Jeremy : C’est impossible. Xana ne peut pas être sorti si vite.
Aelita : C’est peut être un bug du superscan.
Jeremy tape quelque ligne sur son clavier et une fenêtre apparaît sur l’écran de droite.
Jeremy : Ce ne peut –être Xana , notre multi-agent cours toujours dans le réseau.
À 39°30 Nord 31°16’ Est
station française de détection de missile.
21h29
Soldat 1 :Mon capitaine, Je capte un signal faible se déplacement assez rapidement. Dernière position connue 33° Est 42° nord avec un cap de 088.
Capitaine : sergent Frazer fait sonner l’alarme, ça ne peut être que notre fugitif.
Sergent : À vos ordre mon capitaine.
Colonel Armando : officier de radio ,prévenez les porte-avions Belgica, Enterprise, Britannia et Norse. Je veux que tout leurs avions convergent vers ces voleurs d’avions. E que as chamas do seu reactor iluminam o céu como se era Meio-dia. Exécution.
Kadic
21h43
Vue de l’extérieur, deux mirages passent au dessus de Kadic a une vitesse de plus de mach 1,2 ce qui eut pour effet d’en réveiller plus d’un. ( Mach 1,2 est la limite de création d’un mur du son.)
Odd (encore à moitié endormi) :hein, c’est l’apocalypse.
Ulrick : Non, ça c’est quand tu enlèves tes chaussures. Ça ressemblait plutôt à des explosions, il faudrait aller voir ce qui se passe.
Ulrick passa la tête pour voir ce qui se passe dans le couloir.
Jim (sortant de sa chambre) :Saleté de Japs, on peut même pas dormir tranquille ici. Ils vont voir de quel bois je me chauffe.
A ce moment-là, le gsm d’Ulrick sonna dans sa poche.
Ulrick : Allo. Non on n’a rien. Pourquoi ? Quoi mais je croyait. Bon on rapplique au plus vite. J’appelle Yumi.
Odd : Alors.
Ulrick : Jeremy a détecté un répliqua activé et que Xana l’utiliserai peut-être pour nous attaquer.
Odd : Alors si j’ai bien compris l’aventure continue.
Ulrick :Malheureusement, oui.
Ulrick composa le numéro de yumi.
Ulrick : Yumi ca va ?
Maison des Ishiyama
21h53
Yumi : allo. Non c’était pas de mon côté. Qu’y a-t-il ? Quoi !! On se retrouve à l’usine.
Yumi s’habilla en vitesse et sorti de sa chambre mais manque de bol elle ne fut pas seule à le faire.
Mr Ishiyama : Yumi puis-je savoir où tu va ?
Kadic.
21h54
Jim (patrouillant dans le couloir) : rentrer tous dans vos chambres. Ce n’est pas des explosions qui vont vous empêcher de dormir. Quand j’était en service en indonésie, des explosion nocture se produisaient très fréquemment et ca ne nous empêchait pas de domir comme de Marmatte, non des Mormatte, non des …
Odd : Des Marmottes messieur.
Jim : comme je le disait cela ne doit pas vous empêcher de dormir comme des marmottes. Alors, tous dans vos chambres respectives.
Dans sa chambre, Ulrick téléphone à Jeremy.
Ulrick : Jeremy,il se peut que Moi et Odd ont soit un petit peu retardé de notre côte. Tu connais Jim, impossible de s’éclipser avant au moins dix bonnes minutes.
Au dessus du golf de Gascogne.
22h20
Pilote 1 : EF 21 to squadron leader, nothing in sight yet .
Squadron leader

Pilote 1 : Hey , Whats that ?
Two tiny black shape fly next to him. (oups , déso. Traduction

Squadron leader : Qu’est-ce ?
Pilote 1 : Je sais pas,c’est trop gros que pour être des oiseaux.
C’est alors qu’un troisième arriva par derrière et ouvrit le feu . ses lasers percèrent le fuselage de l’euro fighter en plusieurs endroits.
Pilote 1 : They’ve attack me. Mayday, Mayday.
Un trou dans la couverture nuageuse permit au pilote d’apercevoir le Northrop entouré de nombreuse autres Mantas.
Squadron leader: Northrop spotted at 45° North 8°East. Beware he has an strange escort.
Pilote 2 : Roger Roger.
Pilote 1 : Ejection, éjection, éjection.
Ainsi débuta la « bataille de France ». Trois euro fighters en formation serrée foncèrent vers les coordonnées juste émises. Près de trente chasseurs de toutes nationalités survolaient en ce moment le golfe de Gascogne et partirent pour engager le Northrop avant qu’il n’atteigne la côte française.
Les trois euro fighter arrivèrent aux coordonnées pour voir leur « squadron leader » partant en vrille après avoir perdu la quasi entièreté de son aile gauche.
Squadron leader : Ej…
L’avion explosa avant que le pilote pu s’éjecter.
Pilote 2 : EF 17 et EF 06 écarter l’escorte, j’engage le Northrop.
Pilote 3 et 4 (à quelque seconde d’intervalle) : Roger.
Les deux euro fighter eurent difficulté à attirer l’attention des mantas, et quand il réussir, il le regrettèrent amèrement. Quelques minutes après leur engagement, ils survolèrent Nantes.
Le Pilote 2 désengagea quand un orage éclata rendant les abord du Northrop mortellement dangereux.
Quelque instants plus tard, les autres chasseurs arrivèrent.
Tout les avions qui osèrent engager le Northrop furent soit foudroyé soit détruit. Quelques avions parvinrent à tirer leurs missiles sur le Bombardier, mais les mantas se sacrifièrent pour défendre le xanatifié de 2 milliard de Dollar américain.
Le Northrop passa au-dessus de Angers, le Mans, Chartres sans se soucier des chasseurs qui cherchaient une ouverture pour l’abattre. Déjà La tour Eifel brillait au loin. Jusqu'à ce moment le Northrop continuait sa course sans avoir subit de dégâts.
A ce moment précis advint l’élément que Xana n’a pas pris en compte dans ses calculs, la surchauffe du supercalculateur. A ce moment, la plupart des monstres pourchassant les rescapés de Carthage furent détranslatés pour diminuer la consommation du supercalculateur. Malheureusement, la base de Carthage était équipée de refroidisseurs au fréon qui se mirent automatiquement en marche refroidissant le supercalculateur pour quelque minutes supplémentaires.
L’aile portante ouvrit ses soutes et engagea sa cible. Quand un des chasseurs ayant volé au raz du sol pendant quelques minutes parti en chandelle faisant feu de toutes pièces. Un des tirs toucha la soute faisant exploser les bombes. Le Northrop perdit sa portance, mais pas sa manoeuvrabilité. Dans un dernier soubresaut, le bombardier furtif s’écrasa sur l’usine de l’île Seguin. Endommageant toute la partie sud du complexe.
À l’usine
23h09
Jeremy et Aelita entendirent une énorme explosion dont l’écho se répercuta dans la cage de l’ascenseur.
Episode 3 : La dernière brigade.
Base carthage
Dans les garages du bâtiment B
22 h 30 Le même jour.
une trentaine de personnes se massent autour de trois APC placé en triangle au centre du garage.
Private Ryan : Mon lieutenant, le dix-septième régiment blindé est a dix kilomètres.
Lieutenant Karsov : C’est bien. Des nouvelles du colonel ?
Un silence s’abattit dans le garage.
Private August : Le colonel Jephries est certes un bon chef ,mais j’ai peur que cela n’ai pu l’aider contre ces monstres.
Un vitre éclata alors derrière le lieutenant suivie par quelques lasers.
« To cover » cria le soldat Ryan.
Les soldats s’exécutèrent et après quelque salves de tir, la situation se calma à nouveau.
Lieutenant.Karsov : il nous faut sortir d’ici.
Private Ryan : avec ces boules blindée dehors ? On a aucune chance de passer sans y passer nous même.
Private august : Il a raison. Il nous faut attendre le régiment de blindé. A ce moment-là, nous aviserons.
Sentinelle :Mon lieutenant, ils reviennent en force.
Lieutenant En position de combat.
Trois block arrivaient par le couloir, escorté par cinq kankrelats et trois frelion. Rapidement, les block furent hors d’état de nuire,mais les frelions parvinrent a sortir du couloir et prirent les marines dans un feu croisé.
C’est ma dernière grenade cria private taylor en la dégoupillant. Il n’eut pas le temps de la jeter dans le couloir qu’il se prit un laser de frelion dans le dos, lâchant ladite grenade.
Grâce aux réflexes du Private August, la grenade fut envoyée dans le couloir juste à temps.
On we go. Tous dans le couloir. Vite, cria Le lieutenant.
Le private Ryan voulu aider le private Taylor a se relever mais la vie l’avait déserté.
Les frelions voulurent les suivre, mais quelques tirs avisés les abattirent en plein vol.
Lieutenant Karsov : Le dépôt de munition est au troisième sous sol. Ryan, August protéger les civils, l’ennemi peut venir de tous côtés.
Quelque étage plus haut
22h28
sergent Hardman : Silence, the hornet is back.
Le frelion en question fouillait méticuleusement chaque pièce de chaque étage.
-On en a l’habitude. Dit Fergusson, un New-yorkais de quinze ans recruté pour un nouveau style d’entrainement.
Il fut ausitôt plaqué au sol quand le frelion passait devant la porte.
-On est certes habitué,Ferg , mais on est pas sur Baal ici.dit Konnor surnommé Konn, écossais de pure souche (même dans ses manière)
Pendant ce temps-là, le frelion fit demi-tour et rentra dans la salle de briefing B-214.
Le sergent Hardman ne voulant pas attirer l’attention des autres monstres se refusait de tirer sur le frelion, si celui-ci ne faisait pas le premier mouvement. ( en fait même un malvoyant pouvait lire la peur sur son visage, mais cela on ne lui dit pas.)
Oscar, un jeune Irlandais recruté de force par son père travaillant dans la base, fut celui qui débloqua la situation en lançant, tel un javelot, le porte manteau sur pied sur le frelion qui fut cisaillé en deux quand le porte manteau heurta le mur.
Bien visé Oscar. S’écria Sean (de son vrai nom :Seanlaoch) un londonien engagé pour son excellente maîtrise des art martiaux principalement l’escrime et du kalari payatu. (bien qu’on ne mentionne dans aucun rapport que son grand-père avait été préposé aux armes dans cette même base.
Sergent Hardman : Il ne faut pas rester ici. D’autre viendrons en plus grand nombre.
Leila : ce ne sera pas difficile. (Leila est la seule fille du groupe. Elle aime le noir non par gothisme mais plus pour ne pas être vu par tout le monde. La douceur a depuis longtemps quitté son quotidien depuis que ses parents sont morts l’un en mission l’autre de chagrin.)
Sergent Hardman : Nous devrions trouver des armes au troisième sous-sol.
Fergusson : Donc cap vers le troisième sous-sol.
Après avoir descendu quelque volée d’escalier, Hardman et les recrues rejoignirent Karsov et les scientifiques.
Lieutenant Karsov : Hardman. Toi qui vient des étages comment se présente la situation de ton côté.
Sergent Hardman : Tout est calme, mais l’ennemi rode. Ce fut un véritable carnage. De nombreux soldats sont tombé dans notre couloir. Peu d’entre eux avait plus qu’une arme de point. Nous n’avons pas rencontré de survivants durant notre descente.
Lieutenant Karsov : Nous nous rendons au dépôt de munition.
Fergusson : Nous aussi. Il ne faudrait pas rester ici. On est trop exposé.
Sur Baal
22h30
Trois guerrier, un lancier, un légionnaire et un « axe-man » se battent contre un nombre impressionnant de kankrelats, tarentules et manta.
Rapidement l’ « axeman » fut dévirtualisé par une charge de trois manta après avoir tué deux tarentule et sept kankrelat (en cinq minute).
Les mantas firent un demi-tour et dévirtualisèrent le lancier alors qu’il protégeait le défunt « axeman » des tirs d’une tarentule.
Le spadassin n’eut pas le temps de remarquer leur disparition qu’il fut attaqué par la méduse.
Carthage lab
S room
22H31
Soldat Barry : Ouch, C’est pas possible. Ils ont amélioré le multi-agent ou quoi.
Soldat Cathal : Il n’oserai pas le faire en plein milieu d’une séance.
Voyant un corps inanimé sur le sol,les pieds dans un des scanners.
Cathal :Hey il y a du nouveau ici.
Barry : C’est qui ?
Cathal : Comment veux-tu que je sache, on a pas été présenté.
Quelque coups de feu éclatèrent dans un lieu fort proche, annonçant au Baal warrior l’amère bataille dans laquelle leur collègue sont engagé depuis de nombreuse heures.
L’homme barbu allongé, âgé dans la septantaine et ayant les cheveux grisonnant, essayait de se relever.
Barry : Va l’aider, Je vais voir ce qui se passe.
Cathal n’eu pas le temps de refuser que Barry disparu dans l’escalier.
Cathal : Bonjour, puis-je vous aider a vous relever.
Inconnu : Merci. J’avais oublier que cela faisait si mal.
Cathal : Je m’appelle cathal Varshneya. Et vous.
Inconnu : Waldo Schaeffer mais on me connais plus sous le nom de Franz hopper.
Cathal : Vous avez bien dit « Schaeffer ».
Franz H : Oui pourquoi ?
Cathal :J’ai le malheur de vous déclarer que vous n’êtes plus le bienvenu dans cette base. Mon père, le Docteur. Deepak Varshneya a été celui qui vous a remplacé. Il avait de l’estime pour vous. Mais il ne pouvait pas se permettre de démissionner, surtout après ce qui vous est arrivé.
(Voyant son collègue revenir)
Cathal : Il est pour le moment préférable pour vous de garder l’anonymat, John Doe.
Barry : La base est en code rouge. As-t-il dit comment il s’appelle ?
Cathal : Non. Selon la coutume, on l’appellera John Doe.
Barry : Alors, John Doe veuillez bien nous suivre.
Un étage au dessus.
22h49
Private Ryan : L’escalier de service est à l’autre bout de ce couloir.
Comme s’ils avaient été entendu, cinq kankrelats et une tarentule prirent position au fond dudit couloir.
Private Cadmon : Il n’y a pas d’autre chemin ; il faut passer.
Private Ryan : même en grand nombre et bien armé nous ne parviendrons pas à les déloger. Ils sont hors de portée de nos grenade.
Ils furent alors tous dépassé par le colonel qui s’engouffra dans le couloir
Karsov : Mon colonel, non.
Mais le colonel william Jephries continua sans broncher.
Private Ryan : c’est qu’il parvient a passer le colonel.
Private august : cela ne sent pas bon. Cela signifierai qu’il est passer à l’ennemi. Et que nous nous battons pour rien.
Karsov : On se bat pour nos vie, et celle de ceux qui comptent sur nous.
Le groupe suivit le colonel renégat, mais, quand le colonel arriva à la fin du couloir, les choses se corsèrent.
Private August : coucher vous.
L’étage du dessous.
Dans la command room
Peu de temps plus tard.
Barry : Bonjour mon colonel. Des nouvelles de la surface ?
En peu de temps qu’il n’en faut pour le dire, Barry fut projeté au loin suite à un choc fulgurant du colonel.
Cathal eut à peine le temps de réaliser ce qu’il se passait qu’un second éclair le frappait en pleine poitrine.
Les laissant pour mort, le colonel entra quelque données dans l’ordinateur le plus proche et partit vers la s room.
Le couloir de l’étage du dessus
22h54
Fergusson : August passe moi une de tes grenades.
August : je sais pas ce que tu compte faire avec mais tiens.
August fit rouler une de ses grenades vers Fergusson.
Fergusson : August tu lance ta grenade.
August. Mais…
Fergusson : Tu lance ta grenade. Point. Le reste, je m’en charge.
August :d’accord.
August lança sa grenade au plus loin qu’il pu, mais n’atteint aucun des monstres.
Profitant du nuage de poussière dû à l’explosion, Fergusson chargea les monstres et lança sa grenade dans le groupe de monstre.
Grâce à une armoire, Fergusson et un kankrelat échappèrent à l’explosion.
Fergusson : You get out of here. (donnant un coup de pied au kankrelat.)
Le kankrelat n’eut pas le temps de se remettre de ses émotions de petit programme qu’il reçut du plomb dans la caboche.
Dans la S room , un des scanners se referma, virtualisant le colonel pile dans les tentacules de la méduse.
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