Code Z.O.B.
Voici une petite fic dont j'ai eu l'idée il y a quelques temps déjà. Je me suis enfin décidé à l'écrire. Et après quelques réécritures totales du début, je la soumets enfin à votre appétit insatiable de fan fic!
Pour ceux qui suivent également mon autre fic en cours ("Je ne t'attends plus"), sachez que je ne l'abandonne pas! C'est juste que j'ai moins d'inspiration sur ce sujet-là en ce moment!
Avertissement
À tous ceux qui ont été attirés par cette fic en ayant une petite pensée du genre lubrique ou toute autre idée salace, vous vous fourrez le doigt dans l'oeil! (D'ailleurs, j'aurais pas dit le doigt et autre part que dans l'oeil, mais je tenais à rester poli et à ne pas sombrer dans un genre déplacé pour un forum de cette qualité...). Cette fic n'est pas du tout d'ordre pornographique ni érotique! Et si jamais ça avait été le cas, ce n'est pas sur ce forum que je l'aurais postée... Alors, à toi le pervers qui te cache derrière son clavier (Oui, toi, là-bas! Ça sert à rien d'essayer de te planquer, je t'ai grillé!!!), passe ton chemin car tu vas être très déçu par cette fic!
Je tiens aussi à vous prévenir que, par moments, l'humour de cette fic est susceptible de descendre parfois bien bas... (Ha, l'humour pipi-caca! Y a rien de tel pour rigoler un bon coup!)
De plus, le langage employé et certaines situations dans cette fic sont parfois bien vulgaires. Oreilles (ou plutôt yeux) prudes, s'abstenir!
Maintenant, place donc à cette nouvelle fic! Voici donc:
Code Z.O.B.
Prologue
Deux heures du matin, devant l'entrée de Kadic. Le ciel était dégagé et un fin croissant de lune illuminait du peu qu'il pouvait le firmament de sa faible lueur blanchâtre. Dans la pénombre de la cour, deux silhouettes étaient en train de se faire la malle. En effet, elles venaient de franchir le portail du collège en prenant la peine de faire le moins de bruit possible et se mirent à courir du plus vite qu'elles pouvaient dans la rue afin de s'éloigner le plus rapidement possible de l'endroit d'où elles s'étaient échappées.
Quelques minutes plus tard, les deux silhouettes firent leur apparition sur la rive du fleuve. Au loin, on pouvait apercevoir la vielle usine désaffectée. Les deux noctambules semblaient se diriger dans sa direction. Attardons-nous quelques instants sur ces deux attardés* afin de les décrire brièvement. Le jeune homme de gauche est plus grande d'environ dix centimètres de celui de droite. Il est grand, blond, beau et intelligent. C'est un séducteur né. D'ailleurs, son succès auprès des filles en témoigne. L'autre, quant à lui, est un peu plus petit. Il porte des lunettes. Il est tout aussi beau gosse que son ami mais il semble être le plus intellectuel des deux. La preuve, il cartonne en cours. Et il plait aux filles tout autant que son compagnon de toujours.
Ouais... Enfin... Ça, c'est dans leurs rêves les plus fous, ça, quand même! Parce que, franchement, ils ne sont pas vraiment aidés par la nature! Et niveau filles, c'est un peu le gros désert bien sec de la mort qui tue! Et on les comprend! Les filles, pas eux! Ce n'est pas facile de plaire à la gent féminine quand on est en proie aux affres de l'adolescence, comme eux! En clair, pour ceux qui n'auraient toujours pas compris, ils sont moches, boutonneux, la voix chevrotante et la peau grâce! En fait, c'est surtout le plus grand qui a la peau grâce et l'autre qui est boutonneux avec la voix qui mue! Par contre, ils sont tous les deux moches! Et puis ce qui les distingue le plus, c'est le remarquable Q.I. de poulpe du plus grand des deux! Et même que son cas inquiète plus d'un spécialiste. C'est dire! Aux vues des origines qui semblent être celles de sa famille, certains de ces mêmes spécialistes se demandent s'il n'a pas été le sujet d'expériences scientifiques barbares qui auraient grandement affecté ses capacités intellectuelles et que ces expériences auraient été menées par d'anciens chercheurs soviétiques afin de tenter d'anéantir le grand démon Capitalisme qui régnait alors en maître quelques années après l'effondrement de l'URSS en 1990. À moins qu'il n'entretienne tout simplement sa connerie naturelle avec des trucs pas clairs, genre cigarettes qui font rire, cachetons colorés avec des petits dessins dessus ou même poudre blanche pour inhalations. Vous voyez le genre! Bref, voilà à quoi ressemblent nos deux protagonistes du moment.
Alors qu'ils poursuivent leur chemin à la lueur des éclairages publics, le plus idiot des deux (que nous appellerons Numéro 1) s'adressa à son acolyte (que nous appellerons donc Numéro 2):
1: Dis, BIIIP!... Tiens! C'est quoi ce bip???
2: Ça? C'est la censure de l'auteur!
1: Ben, pourquoi on se fait censurer??
2: C'est pour préserver notre anonymat!
1: Ha ouais, tiens! J'y avais pas pensé! Mais pourquoi il veut préserver notre anonymat??
2: Pour éviter les représailles de certains fans après ce qu'on va faire!
1: Ha ouais, tiens! Ça aussi, j'y avais pas pensé!
2: Normal, tu penses jamais à rien!
1: Mais qu'est-ce qu'on va faire, d'abord??
2: Mais qu'il est con c'ui-là! Me dis pas que t'as déjà oublié!!
1 (l'air penaud et tortillant son pied droit sur le sol en le regardant) : Heu... Ben si...
2: C'est pas possible! Ça t'arrive d'apprendre ton texte avant d'apparaitre ne serait-ce que dans une fic???
2: Ben oui! Mais c'est pas de ma faute! J'avais perdu le script et je l'ai retrouvé que cet après-midi! Alors forcément pour apprendre mon texte...
1: Mais quel abruti, franchement! Bon, je vais te rappeler ce qu'on va faire. On BIIIP dans BIIIIIIP BIIIIIIIIP, ensuite on BIIIIIIIP le BIIIIIIIIIIIIP et on BIIIIIIIIP les BIIIIIP des BIIIIIIIP! C'est clair, là??
1: Heu... Ben... C'est-à-dire que...
2: 'Tain! Ch'uis pas aidé, moi! Bon, laisse tomber et continue à avancer!
1: O.K.! Au fait! De quoi on parlait, déjà??
2: De ma nouvelle coiffure!
1: Ha oui! Ça y est! J'm'en rappelle! Pourquoi t'as changé de coiffure? Ça fait bizarre maintenant, avec ta grosse mèche qui par de tout à droite et qui va tout à gauche!
2: C'est BIIIP qui m'a conseillé de changer de coiffure parce que l'ancienne ne m'allait pas, soit disant. Et puis si j'mets ma mèche ailleurs, ça me rend moche!
1: En même temps, pour que ça te rende moche, il aurait fallu que tu sois déjà beau avant!
2: Ha! Parce que tu t'imagines que t'es plus beau que moi?
1: Plus beau qu'un type qu'est moche comme un cul, c'est pas dur...
2: Et ma main dans ta gueule, ça te tente??
1: Ha ouais?! Répète un peu ça, pour voir!
Et le pugiliste multi-récidiviste d'expédier une fois de plus son poing dans la face de son ami, si on peut encore l'appeler ainsi... Ils se mirent à se taper dessus sans retenue. Très vite, ils se retrouvèrent à terre à se rouler l'un sur l'autre tout en continuant à se tabasser, tant et si bien qu'ils roulèrent sur près d'une dizaine de mètres. Au bout de quelques minutes, quand ils furent tous deux presque à bout de force, ils stoppèrent les échanges de coups. Numéro 1, qui était au dessus, commença alors à se relever. C'est alors qu'il remarqua que la tête de son camarade avait atterri à une trentaine de centimètres d'une énorme crotte de chien posée là sur le trottoir. Les noms d'oiseaux continuaient cependant à fuser de toute part.
1: ...Et puis d'abord, je t'emmerde!
2: Ha bon?! Et avec quoi, crétin??
La mine qu'afficha alors Numéro 1 fit comprendre très vite à Numéro 2 qu'il aurait mieux fait de se taire sur ce coup-là. En effet, le sang de Numéro 1 ne fit qu'un tour. Il jeta brièvement un coup d'oeil sur le sol à proximité de la tête de Numéro 2. Il saisit alors à pleine main la crotte qui s'y trouvait et l'étala de toutes ses forces sur le visage de Numéro 2 en criant:
1: Avec ça, du con!!!
Les noms de volatiles rares et précieux se firent entendre encore quelques minutes. Soudain, une grande boule lumineuse apparut dans le ciel et une grosse voix divine, accompagnée de son petit écho, se fit entendre:
HÉ HO!! VOUS DEUX!! C'EST PAS BIENTÔT FINI, VOS CONNERIES?! POUR QUOI JE PASSE, MOI, MAINTENANT?! HEIN?! Z'AVEZ PAS INTÉRÊT À RECOMMENCER, SINON JE VOUS COLLE UNE DE CES TATANES DONT VOUS VOUS SOUVIENDREZ TOUTE VOTRE VIE!! PIGÉ?? Z'AVEZ DÉJÀ PERDU ASSEZ DE TEMPS COMME ÇA!! ALLEZ VOUS LAVER! ET ENSUITE, EN ROUTE!! ET QUE ÇA SAUTE!!
C'était l'auteur en personne qui venait de les engueuler. Le tout fut suivi d'un pied divin descendant du ciel, heurtant dans un premier temps le derrière de Numéro 1 et finissant sa course dans celui de Numéro 2, puis disparut aussitôt.
1 & 2 (n'en menant pas large et une main posée à l'endroit de leur douleur): O.K., O.K.! C'est bon, on y va... Faut pas s'énerver...
1: 'Tain! La vache! Il y est pas allé de main morte avec son coup de pied! J'ai super mal au cul, maintenant!!!
2: La faute à qui? Pauv' tâche!!!
Les deux clampins descendirent alors au plus près du fleuve et se nettoyèrent afin de se débarrasser de toute trace de cet immondice puis se remirent immédiatement en route. Très vite, ils se retrouvèrent à la hauteur du pont d'accès à l'usine, l'empruntèrent et s'engouffrèrent dans le vieux bâtiment à toute allure, comme si ce n'était pas la première fois qu'ils y pénétraient. Quand ils furent face au monte-charge, Numéro 1 se dirigea vers celui-ci, y prit place et appuya sur le bouton de commande afin de tenter d'amorcer une descente dans les profondeurs du lieu.
2: Mais qu'est-ce que tu fais?
1: Ben, j'essaye d'utiliser le monte-charge! Ça se voit pas??
2: Crétin! Il marche pas, ton monte-charge! On a déjà essayé hier soir, je te signale!
1: Ha ouais, tiens! J'avais oublié!
2 (s'agenouillant en joignant les mains et levant les yeux au ciel): Pourquoi?? Pourquoi?? M'sieur l'auteur! Pourquoi vous m'avez refourgué un crétin pareil?? Siouplé, dites-le moi!
Ha, ça! C'est pas à moi qu'il faut demander!
2 (écarquillant les yeux): Ha bon?! C'est à qui, alors, qu'il faut demander???
Ben, aux créateurs de Code Lyoko, évidement!!
2: Quoi?! C'est pas vous qui avez créé tout ça?? C'est du plagiat, alors, ce que vous êtes en train de faire!
Dis donc, p'tit con! Je te signale que ça tient toujours pour la tatane dans la gueule!
2: Oups! Ha... Heu... J'ai rien dit!
1: P'tit con, p'tit con, c'est bien beau! Mais p'tit con, comment?
2: Gnéééé???
Pardon??
1: Bah oui! P'tit con... Stipé? Sistant? Séquent? Sensuel? Trôleur? Tagieux?...
Hou là! Ha ouais, quand même!! C'est vrai que Numéro 2 n'est pas gâté! Mais bon, c'est la vie...
2: Et c'est comme ça tous les jours!! Vous comprenez ce que j'endure, maintenant?!
En même temps, plus j'y pense et plus je me dis que, fort heureusement, ce n'est pas moi qui l'ait créé. Et ça, quelque part, ça me rassure!
2: Ça, c'est surtout du plagiat!
1 (après s'être arrêté dans son énumération): Sans blague!? C'est vrai, ça!? Ça veut dire que vous êtes plagiste, alors, m'sieur l'auteur!!!
2: Gnééé???
Heu... Là, je crois qu'il va falloir que je fasse quelque chose pour lui, là... Parce que j'ai comme l'impression que ça devient urgent! Je dirais vital, même!
1: Dites! J'peux avoir un parasol, siouplé? C'est pour ma mémé! Elle a toujours chaud, l'été, quand elle vient avec nous à la plage, à Dunkerque!!
Numéro 2, toujours à genoux, éclata alors en sanglots en répétant:
2: Pourquoi??? Pourquoi??? Qu'ai-je donc fait pour mériter ça??
Allons, allons, petit! Reprends-toi! C'est pas si grave! Ça se soigne très bien, tu sais! Il a juste dû être bercé trop près du mur, c'est tout!
2: Ouais, sauf que ses parents, ils habitent au septième étage sans ascenseur et y a une fenêtre au milieu du mur!!!
Après quelques minutes, Numéro 2 finit par sécher ses larmes, se leva et partit en direction des escaliers, suivi de Numéro 1. Ils s'engouffrèrent tous deux dans les profondeurs de l'usine. Après bien des hauts et des bas en termes d'échelles, escaliers et autres coursives, nos deux causes perdues se retrouvèrent dans une salle assez obscure. Ha non, tiens! Y a la lumière qui vient de s'allumer!
1: Bah, c'est normal! C'est moi que j'viens d'appuyer sur le bouton!
Heu... Là, je vois pas trop ce qu'on peut répondre à un truc pareil, à part peut-être "apprends à parler avant de faire des phrases!". Non, honnêtement, j'ai beau chercher, je vois pas... Bon, c'est pas grave. Passons. Je disais donc, au centre de cette salle, qui fut obscure mais qui ne l'est plus, trônait une espèce de demi-sphère métallique reposant sur le sol. À proximité se trouvait un pupitre informatique accroché au plafond et duquel sortaient moult câbles divers et variés, ainsi qu'un fauteuil. Numéro 2 s'y assit en disant
2: À nous deux! On va voir ce que t'as dans le ventre!
Puis il se mit à tapoter à toute berzingue sur le clavier, ce qui avait pour effet de faire apparaître et disparaître nombre de fenêtres à l'écran. Dehors, le ciel était toujours dégagé et la nuit noire. L'air se rafraichissait quelque peu après l'une des premières chaudes journées qui venait de se terminer. Dans les sous-sols de l'usine, Numéro 2 avait visiblement trouvé quelque chose d'intéressant pour lui et Numéro 1, et l'on pouvait y entendre résonner un rire malsain à plusieurs reprises:
GNERK GNERK GNERK GNERK...!
Ces rires étaient parfois entrecoupés de courtes chamailles entre les deux gugus ainsi que de "Prends ça! Et ça! Et ça aussi!", puis ils se remettaient à rire de plus belle. Avant de partir, Numéro 1 voulut s'amuser lui aussi quelque peu avait le beau joujou qu'ils venaient de trouver et rallumer la veille sans savoir vraiment de quoi il s'agissait.
1: Attends! Attends! Elles, c'est moi qui m'en occupe!
2 (en voyant ce que Numéro 1 était en train de faire): Hé!! Mais qu'est-ce que tu fais?!
1: C'est rien! Juste un petit fantasme à moi!
2: Gros pervers!
1: Ben quoi?! C'est juste un peu de "tuning"! J'ai bien l'droit, non? Ça lui fera pas de mal!
2: Heu...
1: Alors? Ça te plait?!
2 (tout troublé face au résultat plus que probant): Heu... Ben... Heu...
1: Tout pareil! Et regarde c'que j'vais lui faire, à la noich'! On va bien rigoler!
2 (en voyant la manipulation en cours): Nan!! Tu vas pas lui en faire un troisième?!
1: Ben si!! C'est ça qu'est marrant!!!
2: Ouais, mais avec ce que je lui ai déjà fait, ça fait pas un peu chargé, là, non?
1: Mais non! Faut savoir ne pas être un petit joueur!!
2: On t'as jamais dit que t'étais un grand malade??
1(essayant de réfléchir): Heu si! Mon psychiatre me l'a déjà dit. Pourquoi?
2: Pour rien, pour rien!!
Puis Numéro 2 regarda l'heure tardive qu'il était.
2: Bon! Maintenant, faut rentrer sinon on va se faire gauler par Jim!
Ils sauvegardèrent toutes les âneries qu'ils avaient faites. Puis une fenêtre inattendue apparut avec le message suivant:
Voulez-vous appliquer les modifications apportées aux fichiers?
1: Ho oui! Ho oui! Vas-y! On va rigoler!
Numéro 2 ne se fit pas prier et cliqua sur "Appliquer". Le gros engin dont ils s'étaient servi se mit immédiatement à ronronner plus fort qu'auparavant. Numéro 1 s'en inquiéta mais son ami lui dit que cela était tout ce qu'il y a de plus normal après ce qu'ils venaient de faire. Soudain, une lueur apparut au dessus de tous les lecteurs de cette fic et une voie divine se fit entendre:
« Chères lectrices, chers lecteurs, pardonnez-leurs car ils ne savent pas ce qu'ils font! »
Humm... Pardon! Je crois que je suis trop allé à la messe quand j'étais petit... Bon, reprenons. Après cette série de questions, ils mirent les voiles sans s'inquiéter plus de la chose terrible qu'ils venaient de commettre. Très vite, nos deux imbéciles de service réapparurent au niveau de l'entrée de l'usine et, en moins de temps qu'il en faut pour le dire, ils regagnèrent leurs pénates en chantant à tue-tête durant tout le chemin qui séparait l'usine de Kadic alors qu'il faisait encore nuit noire:
« Debout, bande de trolls!!
We're gonna rock it tonight!!
Debout, bande de trolls!!
We're gonna make it alright!! » **
Alors que nos deux guignols retournaient se coucher le cœur léger, dans les sous-sols de l'usine, un destin implacable se mettait inexorablement en marche car, à l'heure où il prenait place, personne ne pouvait alors s'y opposer afin de l'éviter. Une dizaine de minutes après qu'ils se soient enfin couchés, un puissant flash blanc sortit du supercalculateur, illuminant ainsi brièvement la salle de contrôle d'ordinaire si sombre. Puis tout redevint bien, calme dans l'usine, comme s'il ne s'y était jamais rien produit.
Fin du prologue
*: « Attardons-nous [...] sur ces deux attardés » : Une phrase aussi élaborée, ça mérite d'être remarqué! Je parie que vous n'y aviez même pas prêté attention en la lisant!
** Savez-vous d'où provient cette chanson?
VIENDEZ VOIR MES AUTRES FIC!!! Protocole Carthage (version 2), Je ne t'attends plus (terminée) et Sacré Jimbo! (one shot).
Non, je ne m'appelle pas Ann!!! Appelez-moi Vince. (Hé oui! Je suis un mec!!!)