Merci ^_^ !
Désolé de répondre s'y tard ^^"
La suite très en retard mais je tiens à ce que ce soit bien fait !
Embrasser quelqu’un n’est pas donné à tout le monde. Surtout celui qu’on aime. Profiter de l’instant présent est une chose, savourer ce moment en est une autre. Que ressent-on lorsque qu’on savoure au mieux un moment en en profitant un maximum ? Je ne serais y répondre. Personne dans mon entourage non plus. Le faite est que maintenant, je suis dans les bras d’Ulrich et que je ne m’en lasse pas. Un regard langoureux suivit d’un sourire tendre. Un paysage froid et glacé pour ce serré d’avantage l’un contre l’autre et des cœurs qui ne demandent qu’à sortir de la poitrine. Que demandez de mieux ? Là par contre je peux répondre. Un chaton se volatilité mystérieusement (je précise bien mystérieusement) et ne revenant jamais… Ca ce serai vraiment bien ! Je sens une main me caresser ma joue. C’est Ulrich. Je ferme les yeux en souriant doucement. Bon, c’est pas tout ça, mais quand est-ce qu’il m’embrasse encore ? C’est vrai quoi, je suis une fille moi, j’ai besoin de tendresse et de certaine envie… Oups, là je m’égare ! Pas que je n’aime pas les scènes romantique à la Titanic (si, en faite… je les déteste… et le film qui va avec !) mais je veux quand même un bisou ! Je serai même prête à celui comme dans les films d’amours où les acteurs s’embrassent très langoureusement avec les langues ! … Mais qu’est-ce que je raconte moi ! Je ne veux pas qu’il fasse ça ! Je grimace puis mon expression vire à de la peur et ça vire à la dégoutation. Je ne veux même pas voir ma tête… Ulrich s’exclame alors avec de l’interrogation
- Juste par curiosité… Pourquoi tu tire une tête à la Jeanne d’Arc sur son bûcher… ?
Je le regarde soudainement en prenant meilleur mine. Je bafouille
- Bah… EuuUuuh…
Dans quoi j’me suis fourré maintenant… Raaah… S’il m’embrasse avec la langue… Je ne veux pas ! Je lui dis… ? Je ne lui dis pas… ? Je le préviens… ou pas ? Il enlève alors ces bras de ma taille puis s’éloigne de moi, me tournant le dos. Oh non, je l’ai vexé ! Je prends une mine triste puis baisse la tête. Je me demande si je ne préférais la forte et solide amitié qu’on éprouvait l’un à l’autre avant. Je n’ai plus envie qu’on s’embrouille... Plus comme avant. Je lâche un soupire. Une larme roule sur ma joue. Elle est accompagnée d’un pleur puis d’une inondation sur mes yeux. Pas une seule réaction de mon prince charmant. Le chaton pousse un miaulement et se caresse à moi, ronronnant. Je lève fertilement mon bras pour le poser sur l’épaule du samouraï. Il soupire puis se retourne. J’éclate alors en sanglot et me jette dans ses bras, l’accrochant entre ses hanches et ses bras. Je cris alors pour faire sortir ma tristesse, des sanglots dans ma vois
- Ulrich ! J’te demande pardon mais je ne veux pas qu’on s’engueule ! J’veux rester avec toi ! J’ai tellement peur maintenant que les choses ce brusques ! J’ai peur qu’après tu veux plus de moi ! Ne m’abandonne pas !! Promet-le moi !!
Il m’enroule de ses bras en répondant d’une voix sûr
- Promis
Il me caresse les cheveux. Sa veste est inondée de mes larmes. Ma tête est dans sa veste. Mes sanglots étouffés sont les seuls bruits des alentours. Je me calme doucement, rassurée. Je le regarde, les yeux rouges puis sanglote d’une voix fragile et peu assurée
- T’es toujours d’accord… Pour venir chez moi !
- Mais oui, ne t’inquiète pas !
On se lève ensemble, moi toujours dans ses bras. Le chaton est juste à côté de nous, décider à nous coller
Chapitre II : Ca chauffe
On est chez moi. Le chat à côté de nous. Pas un bruit. On se tient debout devant le long couloir. Je suis contre le torse d’Ulrich, décidé à pas le quitter. Celui-ci à son bras sur mon épaule. Il se secoue la tête en passant sa main dans ses cheveux
- Raaah… La neige à ces inconvénients… J’peux dire adieu à ma coupe !
- Parce que t’en avais une pendant tous ce temps ? Répondis-je en souriant
- Oui mam’selle ! On voit déjà qui sont les ignorants !
- P’tit joueur ^_^ !
D’un coup, des bruits de pas résonnent dans toute la maison. La tête de Hiroki se fait voir par l’entrebâillement de la porte reliant le couloir à la pièce de l’escalier
- Salut Yumi ! Les parents sont partit au restaurant… Chacun de leurs côtés !
Puis il repart. Moi qui avais des étincelles de joie au début de la phrase…
- Bah, t’es fais pas, ils vont bien se réconcilier un jour ou l’autre !
- Moui… Répondis-je à mon amoureux (c’est fou comme j’aime bien dire ça) pas très convaincu
Il me prend ma mâchoire entre ces mains en me répondant
- Sache, ignorante, que j m’y connaît en histoire de cœur !
- J’en suis pas si convaincu, expert ! M’exclamais-je en souriant
- Moi si
!
A suivre