par huaso » 26 Jan 2008, 13:03
M: Je te promet que je ne dirai rien à personne.
Elle fronce les sourcils et me fixe bizarrement de ses yeux verts, sûrement pour voir si j'ai une tête à mentir ce que je ne pense avoir car ça fait des années que l'ont m'a fait confiance, des années où j'ai trahi cette confiance en répétant ce qu'on m'avait raconter et que l'ont m'a refait confiance, que j'ai REtrahi cette confiance, que l'on ma rerefait confiance etc... Toutes ces années de révélations et de trahisons ne peuvent pas s'arrêter en deux minutes. C'est impossible même si la situation a l'air gravissime.
A: Non, oublies tout !
M: C'est trop tard, tu as réveillé ma curiosité.
A: Écoutes, c'est pas quelque chose que tu dois prendre à la légère, c'est très grave, plus que tu ne le crois.
M: Et alors?
A: Et alors tant que tu es irresponsable et non digne de confiance, tu n'en saura rien.
Je n'en peut plus je suis tellement surexcitée et stressée à l'idée de savoir pourquoi ma mère est dans cet état et qui est ce "Wiliam" qui ce croit tout permis et qui fait du mal au gens dans la rue, et qui a l'air de faire peur à Aelita.
M: Aelita, s'il te plaît, je ne dirai rien à personne !
Elle soupire un bon coup avant de quitter la place qu'elle a occupé jusqu'à présent et de s'installer sur la chaise la plus proche. Elle dépose ses coudes sur la petite table de bois ronde, appuie sa tête contre les paumes de ses mains pour les passer dans ses cheveux roses et referme ses doigts sur quelques mèches comme si elle va s'en arracher. Elle semble pensive et ailleurs comme si son âme s'est absenté quelques instants et qu'il faut laisser un message après le bip sonore.
Sans que je m'en rende compte son regard s'est porté vers moi, son air absent est devenu grave. Je ne pense pas que je vais répéter tout ça si c'est si important.
A: Ok, t'as gagné ! Lyokô est un monde virtuel. Il est géré par un ordinateur géant et futuriste appelé « Le supercalculateur ». C’est un ordinateur créé par Franz Hopper, mon père et un physicien de génie, qui voulait contrer un projet militaire. Pour parvenir à ses fins, il a créé, dans son monde virtuel, un programme nommé Xana. Repéré par des agents engagés pour le tuer, il a dû fuir sur Lyokô en m'emmenant avec lui.
Mais plus tard, Xana se réveilla, déchaîné, bien décidé à étendre sa sombre domination sur le monde. Face à lui, j'étais seule et amnésique sur Lyokô, je désactivais les tours, seul moyen pour lui d’affecter le monde réel. Mais je n'étais pas seule. Quatre élèves d’un collège environnant l’usine luttaient sans relâche contre Xana. Ils s’appellent Jérémie, Odd, Ulrich, et Yumi, et oui tes parents.
Tandis que Jérémie utilisait le Supercalculateur pour aider ses amis, les autres combattaient sur Lyokô, pour me protéger le temps que je désactive les tours, et que Jérémie lance un retour dans le temps pour réparer les dégâts.
A terme, Jérémie parvint à me libérer de l’emprise de Xana. Mais il n’eut pas l’occasion d’éteindre à jamais le supercalculateur, ainsi que Xana. Car il put se libérer de Lyokô. Nous l'avons combattu durant des années et je retrouvais peu à peu ma mémoire ce qui était difficile à vivre car j'avais toujours été la fille virtuelle et au fil du temps, je découvrais que j'avais une famille, une vie...
Elle a dit ses derniers mots sur un ton chevrotant, des larmes ont commencé à couler sur ses joues pâles, elle pleurait.
A: ...Jusqu'au jour où Jérémie trouva le moyen de nous rendre assez puissants pour contrer Xana et après... c'est une autre histoire.
Je n'ose pas lui demander la suite car ses larmes ont redoublé et l'une de ses plaies s'est réouverte provoquant une faible hémorragie. Je me dirige vers l'armoire à pharmacie qui heureusement pour moi ne se trouve pas loin, j'ai moins de chemin à faire.
Soudain, j'ai comme un "tilt" dans ma tête, je me souviens, l'ordinateur du prof de physique mon rêve étrange et l'article de Marie, oui c'est ça, il parlait de cinq adolescent qui avait sauver le monde d'un programme informatique nommé Xana mais aussi Marie m'a parler de deux cadavres, celui de Franz Hopper et de... Wiliam Dunbar. Elle vient juste de dire que Franz était son père et Wiliam est le type qui nous a attaqué. C'est trop bizarre et j'ai trop une mémoire de poisson.
M: Ton père et ce Wiliam, sont...mort.
A: Comment tu sais ça ?
M: Une amie me l'a dit.
A: Oh, je vois.
M: Alors si il est décédée, pourquoi il est encore là ? Enfin non, comment il est encore vivant ? Mais non !
A: Je n'en sais pas plus que tu toi.
M: Tu sais, un jour j'ai ouvert l'ordi' de ton mari et il y avait marqué un truc trop zarb' : Chargement de programme Xana terminé. Je sais que je ne devais pas l'ouvrir, que c'est atteinte à la vie privée des gens mais je l'ai fait.
À ces mots, elle se lève brutalement et fait les cent pas dans la cuisine en marmonnant des mots qui ressemble : Pourquoi il ne m'a rien dit.... Pourquoi il ne m'a rien dit... jusqu'à ce qu'elle s'assoit par terre dos au frigo.
Elle ne m'a pas parlé pendant de très longues minutes voire même des heures jusqu'à ce que le téléphone sonne. Elle se jette dessus avant que j'ai eu le temps de faire un pas. Elle prend le combiné aussi vite que possible et là : plus un bruit, je me rapproche et remarque qu'elle chuchote au destinataire. Elle raccroche si rapidement que le téléphone en est par terre, elle s'empare de son manteau et quitte en courant l'appartement de ma mère et en étouffant un au revoir que j'ai à peine entendu.
J'ai attendu comme une conne, peut être une heure ou deux jusqu'à ce que le porte d'entrée s'ouvre brutalement me faisant sursauter. Je rentre dans le couloir d'entrée, ma mère, avant même que j'ai eu le temps de dire quoi que ce soit, m'attrape par le bras et descend quatre à quatre les escaliers me forçant à faire de même. Qu'est ce qu'ils ont tous à être pressé comme ça ?
Elle rentre dans sa voiture coté conducteur et moi coté passager. Avant de démarrer, elle se tourne la tête vers moi et me dit tranquillement :
Y: On va voir un vieil ami. Tu dois le connaître.
Durant le trajet, elle m'a posé toutes sortes de questions, si Aelita était parti, si ses blessures avait commencé à cicatriser, si quelqu'un avait appeler. Elle m'a dit aussi qu'elle était désolée de son comportement, qu'elle n'aurait jamais dû quitter l'appartement comme ça.
Le trajet est long, il commence à pleuvoir de grosses gouttes, ma mère me parle de la pluie et du beau temps mais j'ai l'impression que c'est plutôt de la pluie en ce moment, j'ai envi de vomir, j'ai froid parce que je n'avais pas eu le temps de prendre une veste ou un pull en gros, je suis maudite et en plus je sens que je vais avoir mes règles, quoi de pire ?
Nous arrivons près d'un petit patelin paumé, rien que de voir la pancarte indiquant le nom de la ville, je soupire, je suis vraiment une maudite de la vie. Bien que le village ait l'air désert, au milieu de la place de l'église, une petite brasserie décoré à l'ancienne avec un écriteau bleu avec marqué en blanc, "le pèlerin". En rentrant à l'intérieur, je remarque qu'il n'y a pas plus de monde dans la brasserie qu'à l'extérieur. Seul une table est occupée un homme vêtu, d'une veste et des lunettes noires et d'un immonde chapeau de supporters de l'équipe de France, bleu, blanc et rouge. À sa vue, ma mère ne peut s'empêcher d'exploser de rire. Je trouve que ce n'est pas très poli pour ce pauvre homme qui n'a pas de bons goûts vestimentaires. Elle s'approche de sa table toujours en train rire et s'assoie en face de lui et me faisant signe de venir. L'homme fit la moue en regardant ma mère continuer de ricaner.
L'homme : Franchement Yumi, c'est pas marrant !
Y: Excuse-moi mais là c'est trop drôle !
Elle repart dans son fou-rire tandis que l'inconnu me regarde en haussant les sourcils l'air de dire : "elle est pas bien". C'est vrai qu'il est ridicule mais ça ne se fait pas de se moquer de personnes qu'on ne connaît pas. Le serveur e le barman qui n'ont pas l'air d'avoir beaucoup de travail vu le monde et qui nous observe depuis tout à l'heure se mettent aussi à rigoler du pauvre homme au chapeau de trente centimètres de hauteur aux couleurs de la France.
Après un bon fou-rire tout le monde a repris son sérieux, et le barman est reparti essuyer ses verres, le serveur est parti en cuisine et ma mère s'est calmé et, d'un sourire radieux me présente le pauvre inconnu :
Y: Sue, voici Odd Della-Robia, il est comédien.
M: Je te promet que je ne dirai rien à personne.
Elle fronce les sourcils et me fixe bizarrement de ses yeux verts, sûrement pour voir si j'ai une tête à mentir ce que je ne pense avoir car ça fait des années que l'ont m'a fait confiance, des années où j'ai trahi cette confiance en répétant ce qu'on m'avait raconter et que l'ont m'a refait confiance, que j'ai REtrahi cette confiance, que l'on ma rerefait confiance etc... Toutes ces années de révélations et de trahisons ne peuvent pas s'arrêter en deux minutes. C'est impossible même si la situation a l'air gravissime.
A: Non, oublies tout !
M: C'est trop tard, tu as réveillé ma curiosité.
A: Écoutes, c'est pas quelque chose que tu dois prendre à la légère, c'est très grave, plus que tu ne le crois.
M: Et alors?
A: Et alors tant que tu es irresponsable et non digne de confiance, tu n'en saura rien.
Je n'en peut plus je suis tellement surexcitée et stressée à l'idée de savoir pourquoi ma mère est dans cet état et qui est ce "Wiliam" qui ce croit tout permis et qui fait du mal au gens dans la rue, et qui a l'air de faire peur à Aelita.
M: Aelita, s'il te plaît, je ne dirai rien à personne !
Elle soupire un bon coup avant de quitter la place qu'elle a occupé jusqu'à présent et de s'installer sur la chaise la plus proche. Elle dépose ses coudes sur la petite table de bois ronde, appuie sa tête contre les paumes de ses mains pour les passer dans ses cheveux roses et referme ses doigts sur quelques mèches comme si elle va s'en arracher. Elle semble pensive et ailleurs comme si son âme s'est absenté quelques instants et qu'il faut laisser un message après le bip sonore.
Sans que je m'en rende compte son regard s'est porté vers moi, son air absent est devenu grave. Je ne pense pas que je vais répéter tout ça si c'est si important.
A: Ok, t'as gagné ! Lyokô est un monde virtuel. Il est géré par un ordinateur géant et futuriste appelé « Le supercalculateur ». C’est un ordinateur créé par Franz Hopper, mon père et un physicien de génie, qui voulait contrer un projet militaire. Pour parvenir à ses fins, il a créé, dans son monde virtuel, un programme nommé Xana. Repéré par des agents engagés pour le tuer, il a dû fuir sur Lyokô en m'emmenant avec lui.
Mais plus tard, Xana se réveilla, déchaîné, bien décidé à étendre sa sombre domination sur le monde. Face à lui, j'étais seule et amnésique sur Lyokô, je désactivais les tours, seul moyen pour lui d’affecter le monde réel. Mais je n'étais pas seule. Quatre élèves d’un collège environnant l’usine luttaient sans relâche contre Xana. Ils s’appellent Jérémie, Odd, Ulrich, et Yumi, et oui tes parents.
Tandis que Jérémie utilisait le Supercalculateur pour aider ses amis, les autres combattaient sur Lyokô, pour me protéger le temps que je désactive les tours, et que Jérémie lance un retour dans le temps pour réparer les dégâts.
A terme, Jérémie parvint à me libérer de l’emprise de Xana. Mais il n’eut pas l’occasion d’éteindre à jamais le supercalculateur, ainsi que Xana. Car il put se libérer de Lyokô. Nous l'avons combattu durant des années et je retrouvais peu à peu ma mémoire ce qui était difficile à vivre car j'avais toujours été la fille virtuelle et au fil du temps, je découvrais que j'avais une famille, une vie...
Elle a dit ses derniers mots sur un ton chevrotant, des larmes ont commencé à couler sur ses joues pâles, elle pleurait.
A: ...Jusqu'au jour où Jérémie trouva le moyen de nous rendre assez puissants pour contrer Xana et après... c'est une autre histoire.
Je n'ose pas lui demander la suite car ses larmes ont redoublé et l'une de ses plaies s'est réouverte provoquant une faible hémorragie. Je me dirige vers l'armoire à pharmacie qui heureusement pour moi ne se trouve pas loin, j'ai moins de chemin à faire.
Soudain, j'ai comme un "tilt" dans ma tête, je me souviens, l'ordinateur du prof de physique mon rêve étrange et l'article de Marie, oui c'est ça, il parlait de cinq adolescent qui avait sauver le monde d'un programme informatique nommé Xana mais aussi Marie m'a parler de deux cadavres, celui de Franz Hopper et de... Wiliam Dunbar. Elle vient juste de dire que Franz était son père et Wiliam est le type qui nous a attaqué. C'est trop bizarre et j'ai trop une mémoire de poisson.
M: Ton père et ce Wiliam, sont...mort.
A: Comment tu sais ça ?
M: Une amie me l'a dit.
A: Oh, je vois.
M: Alors si il est décédée, pourquoi il est encore là ? Enfin non, comment il est encore vivant ? Mais non !
A: Je n'en sais pas plus que tu toi.
M: Tu sais, un jour j'ai ouvert l'ordi' de ton mari et il y avait marqué un truc trop zarb' : Chargement de programme Xana terminé. Je sais que je ne devais pas l'ouvrir, que c'est atteinte à la vie privée des gens mais je l'ai fait.
À ces mots, elle se lève brutalement et fait les cent pas dans la cuisine en marmonnant des mots qui ressemble : Pourquoi il ne m'a rien dit.... Pourquoi il ne m'a rien dit... jusqu'à ce qu'elle s'assoit par terre dos au frigo.
Elle ne m'a pas parlé pendant de très longues minutes voire même des heures jusqu'à ce que le téléphone sonne. Elle se jette dessus avant que j'ai eu le temps de faire un pas. Elle prend le combiné aussi vite que possible et là : plus un bruit, je me rapproche et remarque qu'elle chuchote au destinataire. Elle raccroche si rapidement que le téléphone en est par terre, elle s'empare de son manteau et quitte en courant l'appartement de ma mère et en étouffant un au revoir que j'ai à peine entendu.
J'ai attendu comme une conne, peut être une heure ou deux jusqu'à ce que le porte d'entrée s'ouvre brutalement me faisant sursauter. Je rentre dans le couloir d'entrée, ma mère, avant même que j'ai eu le temps de dire quoi que ce soit, m'attrape par le bras et descend quatre à quatre les escaliers me forçant à faire de même. Qu'est ce qu'ils ont tous à être pressé comme ça ?
Elle rentre dans sa voiture coté conducteur et moi coté passager. Avant de démarrer, elle se tourne la tête vers moi et me dit tranquillement :
Y: On va voir un vieil ami. Tu dois le connaître.
Durant le trajet, elle m'a posé toutes sortes de questions, si Aelita était parti, si ses blessures avait commencé à cicatriser, si quelqu'un avait appeler. Elle m'a dit aussi qu'elle était désolée de son comportement, qu'elle n'aurait jamais dû quitter l'appartement comme ça.
Le trajet est long, il commence à pleuvoir de grosses gouttes, ma mère me parle de la pluie et du beau temps mais j'ai l'impression que c'est plutôt de la pluie en ce moment, j'ai envi de vomir, j'ai froid parce que je n'avais pas eu le temps de prendre une veste ou un pull en gros, je suis maudite et en plus je sens que je vais avoir mes règles, quoi de pire ?
Nous arrivons près d'un petit patelin paumé, rien que de voir la pancarte indiquant le nom de la ville, je soupire, je suis vraiment une maudite de la vie. Bien que le village ait l'air désert, au milieu de la place de l'église, une petite brasserie décoré à l'ancienne avec un écriteau bleu avec marqué en blanc, "le pèlerin". En rentrant à l'intérieur, je remarque qu'il n'y a pas plus de monde dans la brasserie qu'à l'extérieur. Seul une table est occupée un homme vêtu, d'une veste et des lunettes noires et d'un immonde chapeau de supporters de l'équipe de France, bleu, blanc et rouge. À sa vue, ma mère ne peut s'empêcher d'exploser de rire. Je trouve que ce n'est pas très poli pour ce pauvre homme qui n'a pas de bons goûts vestimentaires. Elle s'approche de sa table toujours en train rire et s'assoie en face de lui et me faisant signe de venir. L'homme fit la moue en regardant ma mère continuer de ricaner.
L'homme : Franchement Yumi, c'est pas marrant !
Y: Excuse-moi mais là c'est trop drôle !
Elle repart dans son fou-rire tandis que l'inconnu me regarde en haussant les sourcils l'air de dire : "elle est pas bien". C'est vrai qu'il est ridicule mais ça ne se fait pas de se moquer de personnes qu'on ne connaît pas. Le serveur e le barman qui n'ont pas l'air d'avoir beaucoup de travail vu le monde et qui nous observe depuis tout à l'heure se mettent aussi à rigoler du pauvre homme au chapeau de trente centimètres de hauteur aux couleurs de la France.
Après un bon fou-rire tout le monde a repris son sérieux, et le barman est reparti essuyer ses verres, le serveur est parti en cuisine et ma mère s'est calmé et, d'un sourire radieux me présente le pauvre inconnu :
Y: Sue, voici Odd Della-Robia, il est comédien.