par ingrid642 » 03 Oct 2007, 19:04
Voilà la suite, j'ai essayé de faire attention aux "Alita", j'espère qu'elle vosu plaira! Je ne peut pas dire avec certitude si la suite de cette fic arrivera bientôt ou dans plus d'un mois; cela dépendra de... beaucoup de choses et du temps que j'aurais. Donc il se peut que la prochaine suite n'arrive que dans un mois, un mois et demi. Sur ce, bonne lecture!
Après quelques minutes de silence dans le groupe, Yumi se leva.
« Bon, dit-elle, c’est pas tout mais moi j’ai cours d’italien. Je vais y aller, sinon c’est retard assuré ! A tout à l’heure !
- A plus tard, Yumi, lui répondit gentiment Aelita. On te retrouvera devant ta salle, nous on a sport avec GI Jim, faut pas qu’on traîne non plus. »
La jeune fille avait à peine finit sa phrase que la voix tonitruante de Jim se fit entendre.
« Eh !, vous trois là !C’est l’heure du cours de sport de Jim Moralès ! Alors tous au stade, et plus vite que ça !, ajouta-t-il en voyant les trois amis se traîner vers le stade. En avant ! Une, deux, une, deux, une, deux, une…
- On y va, M’sieur, maugréa Odd, en accélérant le rythme. Vous venez ?
- Ouais, marmonna Jérémie. Odd, tu voudrais pas me casser une jambe pour que je n’aille pas au cours de Jim ?
- Désolé, vieux, mais il y a pas que le cerveau qu’il faut faire fonctionner dans la vie ! Allez, zou, tu viens !, dit-il en entraînant son ami avec lui. »
Un peu plus loin dans la cour, sur un banc. Ulrich était assit. Il regardait fixement la grille d’entrée du collège, comme s’il attendait quelque chose. Ce quelques chose, ou plutôt quelqu’un, ne tarda pas à se manifester. Victoria arrivait. En la voyant, Ulrich sauta du banc comme un ressort et se dirigea à grand pas vers elle.
« Salut mon beau brun, s’exclama le jeune fille en se précipitant vers lui. Elle l’embrassa. Tu vas bien ?
- Comment ne pas aller bien quand on te voit ?, lui répliqua Ulrich. »
Il prit le visage de sa petite amie dans ses mains et l’approcha du sien. Leurs lèvres se frôlaient quand une voix grave retentit dans toute la cour :
« Les élèves de la classe de troisième A sont priés de se rendre immédiatement au stade pour leur cours de sport ! Stern ! Vous m’avez entendu ? STERN ! beugla-t-il. Au stade, tout de suite ! ».
Le jeune homme interrompit son baiser avec Vicky, déçu. Les deux adolescents se dirigèrent à leur tour vers l’endroit où le cours de sport aurait lieu. Ulrich tenait Vicky par la taille...
Du côté de Yumi…
La japonaise montait tranquillement les marches des escaliers, allant vers sa salle de cours. Quelques élèves s’y trouvaient déjà, dont William. En la voyant, ce dernier alla vers elle, un sourire éclatant aux lèvres.
« Salut ma p’tite Yu ! Ca va ?
- William ? Euh, oui, oui, je vais bien pourquoi ?
- Bah, à cause de ce con de Stern, tiens ! Mais maintenant qu’il sort avec la nouvelle, on va pouvoir enfin…
- Ne le traite pas d…, commença-t-elle, avant de s’arrêter au beau milieu de sa phrase. Où veux-tu en venir ?
- Eh bin, ma jolie, maintenant que Stern est casé, on va enfin pouvoir vivre notre amour au grand jour !
- Attends, William, je ne te suis pas là !
- Bah, comme tu ne voulais pas sortir avec moi, de peur de lui faire du mal, comme il sort avec la nouvelle on a le champ libre maintenant ! Oh, si tu savais comme je suis content !, dit le jeune homme en lui prenant les mains.
- Ecoute, soupira Yumi en retirant ses mains des siennes, ce n’est pas ce que tu croies, je ne suis pas amoureuse de toi. Je suis désolée, mais je en t‘aime pas, tu comprends ça ?
- Quoi ? Mais m**de Yu ! Stern est plus libre, tu l’as pigé, ça ? Alors viens avec moi, je suis à toi maintenant, je t’aime moi !
- Eh bien moi pas ! Vraiment désolée, mais tu deviens lourd William et tu commence à sérieusement m’énerver, donc t’arrête tes plans dragues et tu me fous la paix, OK ?
- D’accord ma chérie, tu sais que t’es encore plus belle en colère, hein ? »
La gifle partit toute seule, Yumi ne s’était pas contrôlée tant elle en avait marre de William. Elle sourit néanmoins, elle message devait être passer maintenant. La jeune fille rajouta juste :
« Et arrête avec tes surnoms débiles, OK ? ».
Puis elle s’éloigna de quelques mètres, en se rapprochant de la salle. Leur prof arrivait.
Les élèves s’installèrent à leurs places habituelles, Yumi se retrouvant malgré elle à côté de William. Heureusement, ce dernier ne lui adressa pas al parole de tout le cours, ce qui la soulagea fortement. Mr. Caggia faisait son cours dans le plus grand calme, les lycéens l’écoutant tous attentivement ; enfin, presque tous… Yumi, elle, prenait de rapides notes de ce qu’il disait sans pour autant écouter avec attention. Malgré tous ses efforts, la jeune japonaise ne pouvait s’empêcher de penser Ulrich et Victoria. A ce qu’ils avaient fait, à la manière dont ils s’embrassaient avec passion,… L’adolescente était triste, elle se sentait perdue, elle ne le reconnaissait plus. Non, elle ne reconnaissait plus Ulrich, ce garçon qu’elle avait aimé et qu’elle aimait toujours, malgré tout. Jamais son ami ne se serait comporté comme ça, du moins pas l’Ulrich que Yumi connaissait.
La journée se déroula normalement, ou presque. Deux choses la rendait différentes des autres : l’absence d’Ulrich dans le groupe et le fait de le voir toujours en la bonne compagnie de Victoria, s’embrassant.
Cette dernière avait, pour le cours de Jim, mit une tenue bien… spéciale: un short très court, blanc et noir, ne cachant que cinq petits centimètres de ses cuisses, des petites chaussures rouge pétant, dont dépassait sur 15 bon centimètres de chaussettes blanches. Enfin, en haut, elle avait abordét un minuscule T-shirt, enfin, bout de tissu plutôt, couvrant la moitié de son ventre et laissant voir son nombril et très très échancré, surtout pour une tenue de sport. Elle portait toujours cette tenue en sortant du cours, au détail près qu’elle avait changé son T-shirt. Tout les garçons, à l’exception d’Odd et Jérémie, la regardait avec admiration. Mais elle n’avait d’yeux que pur Ulrich.
Le soir venu, chacun rentra chez lui. Yumi retourna chez elle, triste. Elle n’arrivait toujours pas à croire que Ulrich sortait avec Victoria, qu’il lui avait fait l’amour, que… Durant toute l’après-midi, elle avait multiplié ses efforts pour ne pas éclater en sanglots. « Je suis forte, se disait-elle ». Mais la tristesse était la seule chose que la jeune fille ressentait en ce moment même. Devant ses amis, elle tentait de faire bonne figure, mais seule, seul le désespoir persistait, pas la force de continuer. Triste et déprimée, elle avançait à pas lents, tête baissée…
Du côté d’Ulrich…
Après avoir laissé partir sa dulcinée, le jeune homme retourna dans sa chambre. La pièce était vide, rein d’étonnant, son colocataire était sûrement avec les deux intellos ! Il s’allongea, faisant le bilan de sa journée : i lavait rencontré une fille géniale, il sortait avec cette fille, il avait fait l’amour à cette fille et cette fille l’aimait, sentiment réciproque ! Quelle fantastique journée, pensa-t-il. Qu’il l’aurait crût ?!? ». Il s’étira, un large sourire éclairant son visage. Une seule ombre au tableau : Vicky n’était pas interne, elle rentrait donc tous les soirs. « Dommage, si elle avait été interne, on aurait pu être tout le temps ensemble. ». Sa copine lui manquait déjà, sa présence à ses côtés, son souffle chaud, ses baisers passionnés… Ulrich se releva, puis sortit de sa chambre pour aller au distributeur.
Du côté des trois amis…
La petite bande était assise devant le distributeur de boissons, Odd ayant à faire un choix crucial entre le chocolat chaud et le café au lait. A sa gauche, Jérémie et Alita travaillait sur l’ordinateur portable de ce dernier :
« Et ça, Aelita ? T’en pense quoi ? J’ai modifié la courbe essentielle de la vitalisation, pour que le résultat sois plus précis !
- Bonne idée Jérèm’ !, renchérit l’humanoïde. Et si tu essayait de modifié aussi la tangente au programme annexe, ça pourrait le faire, non ?
- Euh… Oui, je suppose ! Attends, je teste ça immédiatement !
- Eh, les génies, vous pourriez pas parlez un peu moins fort, j’ai mal à la tête à force de vous entendre parler en langage Einsteinien !
- Désolé Odd, marmonna Jérémie, mais là on bosse, ou plutôt on t’attends !
- Moi ? Mais vous attend…
- Que tu choisisses ta boisson qu’on puisse allez dans la chambre de Jérémie, répliqua Aelita.
Soudain, quelqu’un arriva derrière eux. Aelita et Odd se retournèrent en premier, Jérémie ayant toujours les yeux fixés sur son ordinateur.
« Ca alors, voilà mon ex ! Mon ex-meilleur pote, je veux dire. Alors, vieille patate, ça va ?, dit méchamment Odd en apercevant Ulrich.
- On t’a sonné vieux clown à deux balles ?
- Odd, gaspille pas ta salive pour ce truc, conseilla la jeune fille aux cheveux roses. Venez, ça commence à puer ici ! ».
L’humanoïde se leva, sans un regard pour le beau brun. Les deux garçons la suivirent, Odd balançant au passage son chocolat chaud sur le T-shirt de son ancien ami. Comment diable avait-il pu changer ainsi ? Se transformer en un monstre pareil ? Le blondinet ne comprenait pas… La solution XANA ne l’aurait pas étonné, mais aucune tour n’était activée sur Lyoko ! Il suivit se deux amis d’un pas traînant…
Alors?
Voilà la suite, j'ai essayé de faire attention aux "Alita", j'espère qu'elle vosu plaira! Je ne peut pas dire avec certitude si la suite de cette fic arrivera bientôt ou dans plus d'un mois; cela dépendra de... beaucoup de choses et du temps que j'aurais. Donc il se peut que la prochaine suite n'arrive que dans un mois, un mois et demi. Sur ce, bonne lecture!
Après quelques minutes de silence dans le groupe, Yumi se leva.
« Bon, dit-elle, c’est pas tout mais moi j’ai cours d’italien. Je vais y aller, sinon c’est retard assuré ! A tout à l’heure !
- A plus tard, Yumi, lui répondit gentiment Aelita. On te retrouvera devant ta salle, nous on a sport avec GI Jim, faut pas qu’on traîne non plus. »
La jeune fille avait à peine finit sa phrase que la voix tonitruante de Jim se fit entendre.
« Eh !, vous trois là !C’est l’heure du cours de sport de Jim Moralès ! Alors tous au stade, et plus vite que ça !, ajouta-t-il en voyant les trois amis se traîner vers le stade. En avant ! Une, deux, une, deux, une, deux, une…
- On y va, M’sieur, maugréa Odd, en accélérant le rythme. Vous venez ?
- Ouais, marmonna Jérémie. Odd, tu voudrais pas me casser une jambe pour que je n’aille pas au cours de Jim ?
- Désolé, vieux, mais il y a pas que le cerveau qu’il faut faire fonctionner dans la vie ! Allez, zou, tu viens !, dit-il en entraînant son ami avec lui. »
Un peu plus loin dans la cour, sur un banc. Ulrich était assit. Il regardait fixement la grille d’entrée du collège, comme s’il attendait quelque chose. Ce quelques chose, ou plutôt quelqu’un, ne tarda pas à se manifester. Victoria arrivait. En la voyant, Ulrich sauta du banc comme un ressort et se dirigea à grand pas vers elle.
« Salut mon beau brun, s’exclama le jeune fille en se précipitant vers lui. Elle l’embrassa. Tu vas bien ?
- Comment ne pas aller bien quand on te voit ?, lui répliqua Ulrich. »
Il prit le visage de sa petite amie dans ses mains et l’approcha du sien. Leurs lèvres se frôlaient quand une voix grave retentit dans toute la cour :
« Les élèves de la classe de troisième A sont priés de se rendre immédiatement au stade pour leur cours de sport ! Stern ! Vous m’avez entendu ? STERN ! beugla-t-il. Au stade, tout de suite ! ».
Le jeune homme interrompit son baiser avec Vicky, déçu. Les deux adolescents se dirigèrent à leur tour vers l’endroit où le cours de sport aurait lieu. Ulrich tenait Vicky par la taille...
Du côté de Yumi…
La japonaise montait tranquillement les marches des escaliers, allant vers sa salle de cours. Quelques élèves s’y trouvaient déjà, dont William. En la voyant, ce dernier alla vers elle, un sourire éclatant aux lèvres.
« Salut ma p’tite Yu ! Ca va ?
- William ? Euh, oui, oui, je vais bien pourquoi ?
- Bah, à cause de ce con de Stern, tiens ! Mais maintenant qu’il sort avec la nouvelle, on va pouvoir enfin…
- Ne le traite pas d…, commença-t-elle, avant de s’arrêter au beau milieu de sa phrase. Où veux-tu en venir ?
- Eh bin, ma jolie, maintenant que Stern est casé, on va enfin pouvoir vivre notre amour au grand jour !
- Attends, William, je ne te suis pas là !
- Bah, comme tu ne voulais pas sortir avec moi, de peur de lui faire du mal, comme il sort avec la nouvelle on a le champ libre maintenant ! Oh, si tu savais comme je suis content !, dit le jeune homme en lui prenant les mains.
- Ecoute, soupira Yumi en retirant ses mains des siennes, ce n’est pas ce que tu croies, je ne suis pas amoureuse de toi. Je suis désolée, mais je en t‘aime pas, tu comprends ça ?
- Quoi ? Mais m**de Yu ! Stern est plus libre, tu l’as pigé, ça ? Alors viens avec moi, je suis à toi maintenant, je t’aime moi !
- Eh bien moi pas ! Vraiment désolée, mais tu deviens lourd William et tu commence à sérieusement m’énerver, donc t’arrête tes plans dragues et tu me fous la paix, OK ?
- D’accord ma chérie, tu sais que t’es encore plus belle en colère, hein ? »
La gifle partit toute seule, Yumi ne s’était pas contrôlée tant elle en avait marre de William. Elle sourit néanmoins, elle message devait être passer maintenant. La jeune fille rajouta juste :
« Et arrête avec tes surnoms débiles, OK ? ».
Puis elle s’éloigna de quelques mètres, en se rapprochant de la salle. Leur prof arrivait.
Les élèves s’installèrent à leurs places habituelles, Yumi se retrouvant malgré elle à côté de William. Heureusement, ce dernier ne lui adressa pas al parole de tout le cours, ce qui la soulagea fortement. Mr. Caggia faisait son cours dans le plus grand calme, les lycéens l’écoutant tous attentivement ; enfin, presque tous… Yumi, elle, prenait de rapides notes de ce qu’il disait sans pour autant écouter avec attention. Malgré tous ses efforts, la jeune japonaise ne pouvait s’empêcher de penser Ulrich et Victoria. A ce qu’ils avaient fait, à la manière dont ils s’embrassaient avec passion,… L’adolescente était triste, elle se sentait perdue, elle ne le reconnaissait plus. Non, elle ne reconnaissait plus Ulrich, ce garçon qu’elle avait aimé et qu’elle aimait toujours, malgré tout. Jamais son ami ne se serait comporté comme ça, du moins pas l’Ulrich que Yumi connaissait.
La journée se déroula normalement, ou presque. Deux choses la rendait différentes des autres : l’absence d’Ulrich dans le groupe et le fait de le voir toujours en la bonne compagnie de Victoria, s’embrassant.
Cette dernière avait, pour le cours de Jim, mit une tenue bien… spéciale: un short très court, blanc et noir, ne cachant que cinq petits centimètres de ses cuisses, des petites chaussures rouge pétant, dont dépassait sur 15 bon centimètres de chaussettes blanches. Enfin, en haut, elle avait abordét un minuscule T-shirt, enfin, bout de tissu plutôt, couvrant la moitié de son ventre et laissant voir son nombril et très très échancré, surtout pour une tenue de sport. Elle portait toujours cette tenue en sortant du cours, au détail près qu’elle avait changé son T-shirt. Tout les garçons, à l’exception d’Odd et Jérémie, la regardait avec admiration. Mais elle n’avait d’yeux que pur Ulrich.
Le soir venu, chacun rentra chez lui. Yumi retourna chez elle, triste. Elle n’arrivait toujours pas à croire que Ulrich sortait avec Victoria, qu’il lui avait fait l’amour, que… Durant toute l’après-midi, elle avait multiplié ses efforts pour ne pas éclater en sanglots. « Je suis forte, se disait-elle ». Mais la tristesse était la seule chose que la jeune fille ressentait en ce moment même. Devant ses amis, elle tentait de faire bonne figure, mais seule, seul le désespoir persistait, pas la force de continuer. Triste et déprimée, elle avançait à pas lents, tête baissée…
Du côté d’Ulrich…
Après avoir laissé partir sa dulcinée, le jeune homme retourna dans sa chambre. La pièce était vide, rein d’étonnant, son colocataire était sûrement avec les deux intellos ! Il s’allongea, faisant le bilan de sa journée : i lavait rencontré une fille géniale, il sortait avec cette fille, il avait fait l’amour à cette fille et cette fille l’aimait, sentiment réciproque ! Quelle fantastique journée, pensa-t-il. Qu’il l’aurait crût ?!? ». Il s’étira, un large sourire éclairant son visage. Une seule ombre au tableau : Vicky n’était pas interne, elle rentrait donc tous les soirs. « Dommage, si elle avait été interne, on aurait pu être tout le temps ensemble. ». Sa copine lui manquait déjà, sa présence à ses côtés, son souffle chaud, ses baisers passionnés… Ulrich se releva, puis sortit de sa chambre pour aller au distributeur.
Du côté des trois amis…
La petite bande était assise devant le distributeur de boissons, Odd ayant à faire un choix crucial entre le chocolat chaud et le café au lait. A sa gauche, Jérémie et Alita travaillait sur l’ordinateur portable de ce dernier :
« Et ça, Aelita ? T’en pense quoi ? J’ai modifié la courbe essentielle de la vitalisation, pour que le résultat sois plus précis !
- Bonne idée Jérèm’ !, renchérit l’humanoïde. Et si tu essayait de modifié aussi la tangente au programme annexe, ça pourrait le faire, non ?
- Euh… Oui, je suppose ! Attends, je teste ça immédiatement !
- Eh, les génies, vous pourriez pas parlez un peu moins fort, j’ai mal à la tête à force de vous entendre parler en langage Einsteinien !
- Désolé Odd, marmonna Jérémie, mais là on bosse, ou plutôt on t’attends !
- Moi ? Mais vous attend…
- Que tu choisisses ta boisson qu’on puisse allez dans la chambre de Jérémie, répliqua Aelita.
Soudain, quelqu’un arriva derrière eux. Aelita et Odd se retournèrent en premier, Jérémie ayant toujours les yeux fixés sur son ordinateur.
« Ca alors, voilà mon ex ! Mon ex-meilleur pote, je veux dire. Alors, vieille patate, ça va ?, dit méchamment Odd en apercevant Ulrich.
- On t’a sonné vieux clown à deux balles ?
- Odd, gaspille pas ta salive pour ce truc, conseilla la jeune fille aux cheveux roses. Venez, ça commence à puer ici ! ».
L’humanoïde se leva, sans un regard pour le beau brun. Les deux garçons la suivirent, Odd balançant au passage son chocolat chaud sur le T-shirt de son ancien ami. Comment diable avait-il pu changer ainsi ? Se transformer en un monstre pareil ? Le blondinet ne comprenait pas… La solution XANA ne l’aurait pas étonné, mais aucune tour n’était activée sur Lyoko ! Il suivit se deux amis d’un pas traînant…
Alors?