par yumi72 » 28 Oct 2007, 23:30
voilà la suite désolé pour le temps avec ma panne d'inspiration je savais plus trop enfin voilà
Chez les Belpois
Aelita venait de finir de donné a mangé à Maya, ensuite Jérémie monta la petite-fille dans la salle de bain la changea et il la coucha en prenant bien soin de ne pas oublier le petit rituel du couché qu’ils avaient tous les trois habitudes de faire maintenant, quand il descendit il vit sa femme assise sur leur canapé, les yeux perdus dans le vide, elle semblait rêvée, il la tira de sa rêveries en la prenant dans ses bras.
J : A quoi pensais-tu ?
A : je pensais à demain et à mon père…
J : (en souriant) je comprend ma chérie
A : j’aurais tellement aimé qu’il soit là, c’est vrai, on c’est tous battus pendant plusieurs années et pour au final que mon père ne sois resté qu’un an en vie sur terre, je me rappelle encore le jour de sa mort Jérémie.
J : on ne peut pas oublier un jour comme celui-là, moi non plus je ne l’ai pas oublié
Flash Back :
A : Papa, il faut que tu manges un peu
Y : votre fille a raison Franz, il vous faut des forces
F : oh à quoi bon mes enfants, je ne suis plus bon à grand-chose
A : papa, arrête de dire ça c’est totalement faux.
U : Le médecin ne devrait plus tardé Franz vous allez voir je suis sur que vos résultas d’aujourd’hui seront bon.
F : tu sais Ulrich je ne me ferais pas d’illusion si j’étais toi, à propos quand pars-tu ?
Yumi baissa les yeux en entendant la question de Franz, celui-ci comprit un peu tard son erreur mais ne dit rien attendant la réponse du samouraï qui tardait à répondre.
U : eh bien…en fin de semaine normalement
Ulrich sentit le regard désespéré de Yumi mais ne bougea pas pour autant, il savait qu’il lui faisait du mal mais lui avait mal depuis longtemps, depuis trop longtemps et pourtant Dieu qu’il s’en voulait de lui faire du mal.
Le médecin entra brisant le silence qui c’était installé entre nos amis, mais le médecin avait l’expression d’un mauvais pressage tout le monde faisait comme-ci de rien n’était et Aelita suivit de très près pas Jérémie, sachant qu’une mauvaise nouvelle allait arrivé
A : Docteur comment va mon père ?
D : je crains fort Madame que votre père ne sent remette pas…
A : mais enfin vous rigolez c’est impossible ! Comment vous pouvez dire ça, il a encore une chance
D : il n’y a quasiment plus d’espoir Madame croyez moi que j’en suis vraiment navré.
Les larmes coulaient le long des joues de la jeune femme, Oh non ! Comme c’était injuste, elle venait de retrouvé son père après des années de séparations et là on lui annonçait qu’ils seraient de nouveau séparés mais cette fois-ci séparés pour toujours, l’épreuve était dur à surmonter elle sentit une main la prendre doucement par les épaules, un tendre « chut » se fit entendre elle leva les yeux, c’était Yumi qui essayait de lui faire cesser ces larmes malgré le faite qu’elle aussi avait les yeux rouge de tristesse décidément le sort s’acharnait sur leurs vies, pourtant ils méritaient tous d’avoir enfin la paix.
Y : Aelita je t’en pris calme toi
A : non, non Yumi c’est trop injuste pourquoi moi ?
Y : je sais ma chérie…je sais…
Franz ne disait rien de toute évidence il n’avait pas l’air d’être étonné, il aurait pourtant du nan ? Il avait mal rien qu’à voir son enfant pleuré, jamais il ne l’avait supporté, il pouvait comprendre sa peine bien sur, il savait qu’il mourrait tranquille sachant que Jérémie et ses amis seraient là pour veiller sur son enfant comme il l’avait toujours fait…
Franz Hopper mourra la nuit même le Samedi 26 juin à 6h30 du matin…
Fin du Flash Back
A : (en pleurant) oh Jérémie (elle s’effondra dans ses bras)
J : je suis là ma chérie, je suis là
A : Maya ne connaîtra jamais son grand-père elle ne pourra jamais savoir qu’elle homme extraordinaire il était…
J : ton père sera toujours là et je sais qu’il est très fière de la magnifique femme que tu es devenus, il te regarde mon amour il n’est peut-être pas là comme tu l’aimerais mais il est là et il nous protège de là ou il est.
A: qu’est ce que la vie serait amère sans toi Jérémie
Elle redressa la tête et donna un tendre baiser à son mari qui se laissa faire sachant que malgré toute la douceur qu’elle mettait dans son baiser elle souffrait il le sentait à travers se baiser.
Chez les Della Robia :
La petite famille venait de rentrée de la séance de kiné de Lisa, enfin pendant qu’elle était partie faire ses exercices. Odd avait emmené son petit garçon dans un magasin de jouet juste à côté, il faut dire que le petit garçon c’était drolement senti à l’aise dans se petit paradis. A présent Odd tenait Fabien dans ses bras et le monta dans sa petite chambre, lui mit son joli petit pyjama bleu qui faisait ressortir la couleur de ses petits yeux, Lisa prit ensuite l’enfant et le coucha dans son berceau le sourire aux lèvres, son petit garçon était un véritable ange, elle revoyait encore le jour ou Yumi avait fait mine d’un crise à Ulrich sur le faite qu’il aurait du lui faire également un petit garçon aussi mignon que son petit bout, Ulrich prenant la blague comme une vérité avait fait mine de bouder, ce qui avait bien fait rire tout le monde et comme d’habitude cela c’était terminé en embrassade ah là, là…
Lisa descendit en bas, Odd n’était pas dans le salon puis elle entendit l’eau coulée dans la salle de bain, elle sourit amoureusement prenant un malin plaisir à imaginer son mari sous la douche, elle se dirigea vers la commode et alluma la chaîne Hi-fi, une musique plutôt entraînante la fit sourire elle commença à danser toute seule en faisant bien attention de ne pas trop forcer sur sa jambe, elle sentit alors deux bras l’agripper par la taille elle sursauta :
L : idiot, tu m’as fais une de ses peurs !
O : voilà bien longtemps que je ne t’avais pas vu danser, ça m’avait manqué.
L : (en riant) eh bien je vais bientôt m’y remettre un peu
O : sans forcer sur ta jambe
L : oui papa ! Depuis quelque temps tu parles comme lui
O : il faut bien que je te surveille
L : je ne suis pas une délinquante, tu as plus de travail avec ton fils
O : hum, j’aime bien surveiller ma petite femme, comme ça je sais exactement ce qu’elle fait et avec qui.
L : t’es pire qu’Ulrich toi !
O : PIRE QU’ULRICH ! Ah nan ma chérie pire sa n’existe pas ^^
L : si il t’entendait tu te serais fait tué
O : je tiens à ma vie moi !
L : t’as qu’à te mettre au sport de combat aussi
O : bah quoi avec mon métier artistique j’en gagne des abdos !
L : oh ne t’inquiètes je te vois tous les soirs torse nu j’ai compris que tu avais des abdos, abdos qui me font littéralement fondre d’ailleurs (regard coquin)
O : ma chérie tu ne voudrais pas aller dans notre petit lit douillet.
L : mais bien sûr mon cœur je suis morte de fatigue
O (la retenant par le bras : hep, hep, hep qui t’as dis que c’était pour dormir toi
L : c’est ce qu’on fait généralement dans une chambre mon chéri.
O : pas seulement
L : va jusqu’aux bout de tes pensées mon ange je t’en pris. ^^
Odd la prit par la taille et l’embrassa doucement passant sa main dans les cheveux de la jeune femme.
L : hum je crois que je commence à comprendre mieux maintenant
O : alors ?
L : bonne nuit mon chéri ^^
Elle se dirigea vers leur chambre, Odd tira une mine à la fois déçu et amusé
O : C’EST PAS JUSTE !!!!!!!
L : LA VIE EST INJUSTE MON AMOUR !
O : attend un peu si je t’attrape !
Odd couru vers leur chambre, mais sa femme ne s’y trouvait pas, bizarre ? Mais la porte claqua derrière lui.
O : ehhh !!! Ouvre moi !
L : désolé mon mignon mais nan je ne veux pas que tu me fasses des misères
O : moi ? Je suis doux comme un agneau mon bébé
Des pleurs de firent entendre à l’autre bout du couloir, Fabien avait du entendre ses parents parlés.
L : en parlant de bébé tu as réveillé le notre
O : moi ? Tu rigoles c’est toi qui cris depuis tout à l’heure
L : oh le menteur ! ^^
O : allez ouvre moi !
L : je vais voir mon bébé avant d’ouvrir à mon grand bébé ^^
O : mais !! Ma chérie !
Plus un bruit, Lisa était sûrement partis s’occuper de leur fils, il confirma son idée lorsque les pleures de son fils se calmèrent, puis il entendit la clé tournée doucement dans la serrure laissant apparaître sa femme tenant son petit garçon dans les bras, le petit avait encore les yeux rouges, mais il ne pleurait plus.
Odd contempla longuement son fils et sa maman, il avait sur son visage un air attendri. Quel bonheur !
Chez les Stern
Ulrich était assis par terre, avec sa fille assise en face de lui, ils jouaient tous les deux tranquillement à la poupée tandis que Yumi préparait le repas, elle était tellement concentré dessus qu’elle mis quelque minutes à sentir la main de Jade qui lui tirait sur son jean.
Y : qu’est ce qu’il y a ma chérie ?
J : veux jouer avec toi maman
Y (en s’agenouillant près d’elle) oh ma chérie maman prépare à manger, tu joues pourtant avec papa non ?
J : oui mais veux jouer avec toi
U : j’ai bien essayé de lui dire ma chérie mais elle ne m’écoute pas, elle veut sa maman, si tu veux je peux finir de préparer le dîner ?
Y : (avec un sourire) tu es un amour mais non ça va aller mon cœur, j’ai fini
Elle s’avança vers son mari et l’embrassa tendrement sous le regard à la fois dégoûter et innocent de Jade.
J : beurk
Ulrich ria en plein baiser, Yumi fit de même, la petite fille avait dit ça sur un ton un peu bizarre mais très comique, Yumi voulut partir des bras d’Ulrich mais celui-ci en avait décidé autrement il serra sa femme encore plus fort contre lui.
Y : décidément tu es très câlin ces derniers temps
U : et encore je me retiens parce qu’il y a notre petite puce avec nous et puis demain c’est ta journée alors demain soir tu verras ce que je te réserves
Y : oh ! Eh bien je sais que demain c’est mon anniversaire mais ne fait pas de folie non plus mon ange.
U : niveau câlin, oh tu vas voir de quoi je suis capable
Y : mais chut voyons idiot, non mais je vais te changer les idées monsieur, allez va mettre ta fille à table
U : mon bisou avant !
Y : qu’est ce que tu peux être gourmand c’est dingue
Elle prit tendrement le visage de son mari et l’embrassa doucement, très doucement, celui-ci sourit en plein baiser, sa femme avait toujours des lèvres aussi douce qui le faisait fondre, jamais il ne se lassait de toute cette tendresse et pour rien au monde il n’échangerait sa vie
Y : oh, oh Ulrich ici ta femme tu m’écoutes
U : hein oui ?
Y : va mette ta fille à table gros bêta ^^
U : ah oui bien sûr
Ulrich se dirigea vers sa petite fille et la prit tendrement dans ses bras en lui donnant un baiser sur le front et prit sa chaise haute et la mis dedans, la petite fille contente prit sa petite cuillère et frappa sur la table, amusant certes mais pas pour les oreilles des parents ^^
Y : stop Jade arrête !
J : frappé, frappé ! Bing, bing !
U : Jade je t’en pris nos oreilles
Ulrich s’avança prêt de sa fille et lui prit la cuillère des mains sans trop y aller brusquement.
J : mais (petites larmes) veux ma cuillère papa !
U : alors arrête de frapper sur la table ma chérie, allez chut maman va apporter a mangé.
Y : j’arrive deux secondes !
A suivre
voilà la suite désolé pour le temps avec ma panne d'inspiration je savais plus trop enfin voilà
Chez les Belpois
Aelita venait de finir de donné a mangé à Maya, ensuite Jérémie monta la petite-fille dans la salle de bain la changea et il la coucha en prenant bien soin de ne pas oublier le petit rituel du couché qu’ils avaient tous les trois habitudes de faire maintenant, quand il descendit il vit sa femme assise sur leur canapé, les yeux perdus dans le vide, elle semblait rêvée, il la tira de sa rêveries en la prenant dans ses bras.
J : A quoi pensais-tu ?
A : je pensais à demain et à mon père…
J : (en souriant) je comprend ma chérie
A : j’aurais tellement aimé qu’il soit là, c’est vrai, on c’est tous battus pendant plusieurs années et pour au final que mon père ne sois resté qu’un an en vie sur terre, je me rappelle encore le jour de sa mort Jérémie.
J : on ne peut pas oublier un jour comme celui-là, moi non plus je ne l’ai pas oublié
[i]Flash Back :
A : Papa, il faut que tu manges un peu
Y : votre fille a raison Franz, il vous faut des forces
F : oh à quoi bon mes enfants, je ne suis plus bon à grand-chose
A : papa, arrête de dire ça c’est totalement faux.
U : Le médecin ne devrait plus tardé Franz vous allez voir je suis sur que vos résultas d’aujourd’hui seront bon.
F : tu sais Ulrich je ne me ferais pas d’illusion si j’étais toi, à propos quand pars-tu ?
Yumi baissa les yeux en entendant la question de Franz, celui-ci comprit un peu tard son erreur mais ne dit rien attendant la réponse du samouraï qui tardait à répondre.
U : eh bien…en fin de semaine normalement
Ulrich sentit le regard désespéré de Yumi mais ne bougea pas pour autant, il savait qu’il lui faisait du mal mais lui avait mal depuis longtemps, depuis trop longtemps et pourtant Dieu qu’il s’en voulait de lui faire du mal.
Le médecin entra brisant le silence qui c’était installé entre nos amis, mais le médecin avait l’expression d’un mauvais pressage tout le monde faisait comme-ci de rien n’était et Aelita suivit de très près pas Jérémie, sachant qu’une mauvaise nouvelle allait arrivé
A : Docteur comment va mon père ?
D : je crains fort Madame que votre père ne sent remette pas…
A : mais enfin vous rigolez c’est impossible ! Comment vous pouvez dire ça, il a encore une chance
D : il n’y a quasiment plus d’espoir Madame croyez moi que j’en suis vraiment navré.
Les larmes coulaient le long des joues de la jeune femme, Oh non ! Comme c’était injuste, elle venait de retrouvé son père après des années de séparations et là on lui annonçait qu’ils seraient de nouveau séparés mais cette fois-ci séparés pour toujours, l’épreuve était dur à surmonter elle sentit une main la prendre doucement par les épaules, un tendre « chut » se fit entendre elle leva les yeux, c’était Yumi qui essayait de lui faire cesser ces larmes malgré le faite qu’elle aussi avait les yeux rouge de tristesse décidément le sort s’acharnait sur leurs vies, pourtant ils méritaient tous d’avoir enfin la paix.
Y : Aelita je t’en pris calme toi
A : non, non Yumi c’est trop injuste pourquoi moi ?
Y : je sais ma chérie…je sais…
Franz ne disait rien de toute évidence il n’avait pas l’air d’être étonné, il aurait pourtant du nan ? Il avait mal rien qu’à voir son enfant pleuré, jamais il ne l’avait supporté, il pouvait comprendre sa peine bien sur, il savait qu’il mourrait tranquille sachant que Jérémie et ses amis seraient là pour veiller sur son enfant comme il l’avait toujours fait…
Franz Hopper mourra la nuit même le Samedi 26 juin à 6h30 du matin…
Fin du Flash Back [/i]
A : (en pleurant) oh Jérémie (elle s’effondra dans ses bras)
J : je suis là ma chérie, je suis là
A : Maya ne connaîtra jamais son grand-père elle ne pourra jamais savoir qu’elle homme extraordinaire il était…
J : ton père sera toujours là et je sais qu’il est très fière de la magnifique femme que tu es devenus, il te regarde mon amour il n’est peut-être pas là comme tu l’aimerais mais il est là et il nous protège de là ou il est.
A: qu’est ce que la vie serait amère sans toi Jérémie
Elle redressa la tête et donna un tendre baiser à son mari qui se laissa faire sachant que malgré toute la douceur qu’elle mettait dans son baiser elle souffrait il le sentait à travers se baiser.
Chez les Della Robia :
La petite famille venait de rentrée de la séance de kiné de Lisa, enfin pendant qu’elle était partie faire ses exercices. Odd avait emmené son petit garçon dans un magasin de jouet juste à côté, il faut dire que le petit garçon c’était drolement senti à l’aise dans se petit paradis. A présent Odd tenait Fabien dans ses bras et le monta dans sa petite chambre, lui mit son joli petit pyjama bleu qui faisait ressortir la couleur de ses petits yeux, Lisa prit ensuite l’enfant et le coucha dans son berceau le sourire aux lèvres, son petit garçon était un véritable ange, elle revoyait encore le jour ou Yumi avait fait mine d’un crise à Ulrich sur le faite qu’il aurait du lui faire également un petit garçon aussi mignon que son petit bout, Ulrich prenant la blague comme une vérité avait fait mine de bouder, ce qui avait bien fait rire tout le monde et comme d’habitude cela c’était terminé en embrassade ah là, là…
Lisa descendit en bas, Odd n’était pas dans le salon puis elle entendit l’eau coulée dans la salle de bain, elle sourit amoureusement prenant un malin plaisir à imaginer son mari sous la douche, elle se dirigea vers la commode et alluma la chaîne Hi-fi, une musique plutôt entraînante la fit sourire elle commença à danser toute seule en faisant bien attention de ne pas trop forcer sur sa jambe, elle sentit alors deux bras l’agripper par la taille elle sursauta :
L : idiot, tu m’as fais une de ses peurs !
O : voilà bien longtemps que je ne t’avais pas vu danser, ça m’avait manqué.
L : (en riant) eh bien je vais bientôt m’y remettre un peu
O : sans forcer sur ta jambe
L : oui papa ! Depuis quelque temps tu parles comme lui
O : il faut bien que je te surveille
L : je ne suis pas une délinquante, tu as plus de travail avec ton fils
O : hum, j’aime bien surveiller ma petite femme, comme ça je sais exactement ce qu’elle fait et avec qui.
L : t’es pire qu’Ulrich toi !
O : PIRE QU’ULRICH ! Ah nan ma chérie pire sa n’existe pas ^^
L : si il t’entendait tu te serais fait tué
O : je tiens à ma vie moi !
L : t’as qu’à te mettre au sport de combat aussi
O : bah quoi avec mon métier artistique j’en gagne des abdos !
L : oh ne t’inquiètes je te vois tous les soirs torse nu j’ai compris que tu avais des abdos, abdos qui me font littéralement fondre d’ailleurs (regard coquin)
O : ma chérie tu ne voudrais pas aller dans notre petit lit douillet.
L : mais bien sûr mon cœur je suis morte de fatigue
O (la retenant par le bras : hep, hep, hep qui t’as dis que c’était pour dormir toi
L : c’est ce qu’on fait généralement dans une chambre mon chéri.
O : pas seulement
L : va jusqu’aux bout de tes pensées mon ange je t’en pris. ^^
Odd la prit par la taille et l’embrassa doucement passant sa main dans les cheveux de la jeune femme.
L : hum je crois que je commence à comprendre mieux maintenant
O : alors ?
L : bonne nuit mon chéri ^^
Elle se dirigea vers leur chambre, Odd tira une mine à la fois déçu et amusé
O : C’EST PAS JUSTE !!!!!!!
L : LA VIE EST INJUSTE MON AMOUR !
O : attend un peu si je t’attrape !
Odd couru vers leur chambre, mais sa femme ne s’y trouvait pas, bizarre ? Mais la porte claqua derrière lui.
O : ehhh !!! Ouvre moi !
L : désolé mon mignon mais nan je ne veux pas que tu me fasses des misères
O : moi ? Je suis doux comme un agneau mon bébé
Des pleurs de firent entendre à l’autre bout du couloir, Fabien avait du entendre ses parents parlés.
L : en parlant de bébé tu as réveillé le notre
O : moi ? Tu rigoles c’est toi qui cris depuis tout à l’heure
L : oh le menteur ! ^^
O : allez ouvre moi !
L : je vais voir mon bébé avant d’ouvrir à mon grand bébé ^^
O : mais !! Ma chérie !
Plus un bruit, Lisa était sûrement partis s’occuper de leur fils, il confirma son idée lorsque les pleures de son fils se calmèrent, puis il entendit la clé tournée doucement dans la serrure laissant apparaître sa femme tenant son petit garçon dans les bras, le petit avait encore les yeux rouges, mais il ne pleurait plus.
Odd contempla longuement son fils et sa maman, il avait sur son visage un air attendri. Quel bonheur !
Chez les Stern
Ulrich était assis par terre, avec sa fille assise en face de lui, ils jouaient tous les deux tranquillement à la poupée tandis que Yumi préparait le repas, elle était tellement concentré dessus qu’elle mis quelque minutes à sentir la main de Jade qui lui tirait sur son jean.
Y : qu’est ce qu’il y a ma chérie ?
J : veux jouer avec toi maman
Y (en s’agenouillant près d’elle) oh ma chérie maman prépare à manger, tu joues pourtant avec papa non ?
J : oui mais veux jouer avec toi
U : j’ai bien essayé de lui dire ma chérie mais elle ne m’écoute pas, elle veut sa maman, si tu veux je peux finir de préparer le dîner ?
Y : (avec un sourire) tu es un amour mais non ça va aller mon cœur, j’ai fini
Elle s’avança vers son mari et l’embrassa tendrement sous le regard à la fois dégoûter et innocent de Jade.
J : beurk
Ulrich ria en plein baiser, Yumi fit de même, la petite fille avait dit ça sur un ton un peu bizarre mais très comique, Yumi voulut partir des bras d’Ulrich mais celui-ci en avait décidé autrement il serra sa femme encore plus fort contre lui.
Y : décidément tu es très câlin ces derniers temps
U : et encore je me retiens parce qu’il y a notre petite puce avec nous et puis demain c’est ta journée alors demain soir tu verras ce que je te réserves
Y : oh ! Eh bien je sais que demain c’est mon anniversaire mais ne fait pas de folie non plus mon ange.
U : niveau câlin, oh tu vas voir de quoi je suis capable
Y : mais chut voyons idiot, non mais je vais te changer les idées monsieur, allez va mettre ta fille à table
U : mon bisou avant !
Y : qu’est ce que tu peux être gourmand c’est dingue
Elle prit tendrement le visage de son mari et l’embrassa doucement, très doucement, celui-ci sourit en plein baiser, sa femme avait toujours des lèvres aussi douce qui le faisait fondre, jamais il ne se lassait de toute cette tendresse et pour rien au monde il n’échangerait sa vie
Y : oh, oh Ulrich ici ta femme tu m’écoutes
U : hein oui ?
Y : va mette ta fille à table gros bêta ^^
U : ah oui bien sûr
Ulrich se dirigea vers sa petite fille et la prit tendrement dans ses bras en lui donnant un baiser sur le front et prit sa chaise haute et la mis dedans, la petite fille contente prit sa petite cuillère et frappa sur la table, amusant certes mais pas pour les oreilles des parents ^^
Y : stop Jade arrête !
J : frappé, frappé ! Bing, bing !
U : Jade je t’en pris nos oreilles
Ulrich s’avança prêt de sa fille et lui prit la cuillère des mains sans trop y aller brusquement.
J : mais (petites larmes) veux ma cuillère papa !
U : alors arrête de frapper sur la table ma chérie, allez chut maman va apporter a mangé.
Y : j’arrive deux secondes !
A suivre