Et voici comme promis, la suite !
Je l'ai fait sous l'idée originale de Rahma mais c'est moi qui ai dévellopé les dialogues et les actions.
C'est ma première alors dites moi vos impressions svp
Bon c'est un peu court mais bonne lecture !
Après le geste de William, Yumi le gifla violemment et, hors d'elle, les larmes aux yeux hurla :
Yumi : William ! Qu'a tu...Tu es devenu fou, violent...
William : OUI !!! OUI FOU DE TOI !!! Je suis en rage devant ta beauté, ta voix, ton odeur mais je suis d'autant plus fou depuis que tu es avec ce bon à rien...
Yumi à ces mots s'emporta :
Yumi : Il est moins bon à rien que toi qui es devenu un grand malade ! J'appelle la police...
Elle croyait que cette menace allait le dissuader de rester car William avait déjà eu de sérieux problèmes avec la police, William observa le téléphone un moment puis Yumi, à quatre pattes qui essayait de s'enfuir : il l'attrapa par derrière puis la plaqua au sol :
William : Pfft, ce Ulrich t'a rendue bien naïve dis-moi...Je n'ai pas peur de tes menaces alors je vais te laisser un choix puisque qu'aujourd'hui je suis de bon cœur...
Yumi : Ah bon ? Tu as un cœur, toi ?
William : oui et qui ne cesse de battre depuis toujours, depuis que je t'ai vue...Bon option numéro 1 :
Tu viens avec moi et tu oublie ce Ulrich ou bien option numéro 2 : Ulrich quand il ne sera plus là, c'est à dire dans pas longtemps si tu réfléchis trop, te forcera à revenir vers moi.
Ceci doit je pense mettre un terme à tes négociations, non ?
Yumi se mit à pleurer : elle savait que William était capable de tout même de commettre un crime pour arriver à ses fins...C'est son seul coté qu'il a gardé et qu'il gardera toujours suite à son emprisonnement au service de X.A.N.A, c'est là que Yumi eu une idée :
Yumi : William ! Je ne peux pas venir avec toi...
William : Et pourquoi donc ? Je suis plus fort que toi et Ulrich n'est pas là pour te venir en aide alors, tu ose me résister ?
Yumi : William ! Je ne peux pas car je suis...Je suis enceinte tu sais alors si tu m 'aime vraiment pars, ne reviens jamais si tu veux que je sois heureuse...
Le visage de William s'assombrit alors. Terme à ne pas employer car il était devenu très pâle tout d'un coup. Mais sa colère le regagna et se mit à monter le ton :
William : Comment as tu osé ? Tu...Tu m'as trahi au plus profond de moi et ça, je ne te le pardonnerais JAMAIS tu m'entends JAMAIS à toi ni à ce con d'ailleurs....
Yumi : Je ne t'ai aucunement trahie, William, pour la bonne et simple raison qu'il aurais fallu une relation entre nous pour que je puisse te trahir mais il en a jamais été question...
A ces mots, le mâle se transforma en furie vivante : il cria de rage et se jeta sur Yumi (qui s'était assise sur le lit dans l'intervalle) et lui arracha ses vêtements, tous, et bondissa tel un tigre sur sa proie sur la geisha, mise à nue, et lui aussi par la même occasion.
Le pire arriva : William venait de commettre un crime, il avait violé Yumi.
Et Yumi...Ah, Yumi elle était effondrée a pauvre en larmes et détruite par la terreur mais le pire n'étais pas là : elle aimait William comme un ami avant, elle le trouvait vraiment sympa mais depuis ce terrible soir, il était passé du camp des gentils à celui des méchants, des criminels qui ne valent moins que rien. Pour Yumi c'était une déchirure au cœur, la perte d'un ami, d'un frère, un frère d'arme qui est devenu en l'espace d'une heure : un monstre.
William se mit à rire comme un fou et saccagea tout dans la maison, enfin tout ce qui pouvait faire partie des souvenirs du couple. Il avait emporter tout avec lui : les souvenirs, les rires, la confiance (bien que Yumi n'en a jamais vraiment eu en lui), l'enfance, tout....
Le monstre se décida à partir :
William : Tu vois, je te l'avais dit Yumi que ça finirais mal un conseil, n'en parle pas à ce cher Ulrich, il pourrait mal le prendre....
Soudain, le téléphone sonna et, après trois sonneries, la messagerie retentissa :
Ulrich : *Allô chérie, c'est ton trésor à l'appareil bon j'arrive dans 5 minutes avec Odd, je l'ai invité à manger j'espère que ça ne t'embêtera pas et que tu seras disponible d'ici là tu doit être débordée mon poussin avec tous ces travaux
Bisous je t'aime.*
Une sensation d'effroi se dessinait sur le visage de William....