Voici une courte suite :) Bonne lecture !

[i]Une fois m'être convenablement lavée, je coupe l'eau et m'enroula aussitôt dans une serviette sentant le froid me gagner. Je me sèche et commence à me vêtir, j'enfile mes sous-vêtements et m'habilla pour une fois différemment. J'enfile une longue et jolie jupe à volant blanche surmonté d'un beau chemisier victorien dévoilant mon cou et mes épaules, sa couleur jaune pâle vient mettre mon teint en valeur. Je ne voulais plus passer à côté de ma chance, ma chance de pouvoir vivre comme je l'ai toujours attendu. Lorsque j'étais petite vers huit/ dix ans, ma mère avait retenue ma longue chevelure de jais par des petite pince très fine, elle disait souvent qu'elle ne voulait pas voir ma féminité de peur qu'en grandissant on puisse profité de moi. Toutes ses pinces je les enlèves enfin aujourd'hui et ma chevelure caressa ma poitrine. Je ne pensais pas qu'ils auraient autant pousser. Je les coiffe avec soin et vint poser ma chevelure sur mon épaule gauche. Je pose un passe blanc pour soutenir mes cheveux et me clipsa de jolie boucle d'oreille en filament argenté.

Je décide de mettre une montre guess à mon poignet gauche, c'est une montre qui m'a était offerte par mon père il y a deux ans. Un fin collier argenté avec un papillon habille mon cou, je me dirige vers la salle de bain et vint sortir de sous de mon évier une petite mallette rouge à poids noir. J'ouvre cette dernière et tout en choisissant précautionneusement mon maquillage, je commence à me maquiller.

Je n'en met pas une tonne, juste de quoi pour me sentir femme et surtout jolie. Lorsque enfin j'eus terminé, je range ma salle de bain et vint sortir de la pièce. Mes parents étant déjà parti depuis une vingtaine de minutes, c'est moi qui fermerai la maison. Je prend mes affaires, mon portable et sortie par la suite de la maison. Je ferme cette dernière à clés et, après avoir rangé ses dernières dans mon sac je parti direction le lycée.

Il fait bon de vivre, l'air n'est ni trop chaude ni trop froide, le ciel est complètement dégagé. Un petit sourire caresse mes lèvres lorsque au loin, j'aperçois ma bande en train de rire. J'entre à l'intérieur du lycée et me dirige vers eux.[/i]

« - Salut, tu es nouvelle ? »

[i]Intérieurement, j'ai juste envie de rire. Toute la bande m'observe sans dire un mot, suis-je si méconnaissable ? Le regard d'Ulrich croise le mien et quelques rougeurs vinrent chauffer mes joues. M'avait t-il reconnu ? Tout ce que je sais c'est que mon cœur accélère sauvagement sa cadence dans ma poitrine. Il me souris, accentuant mes rougissements.
[/i]

« - Il faudrait être aveugle pour ne pas la reconnaître, c'est Yumi,
- Yumi ?????
- Sérieusement, Yu c'est bien toi ? Demande Aelita
- Oui c'est moi. »

[i]Ils ont l'air tous aussi surpris, seul l'homme que j'aime a sue que c'était moi dès le départ. Je pose mon sac entre mes pieds et vint me mêler à la discussion du groupe.[/i]

« - Ce look te va super bien, me complimente Odd
- Merci,
- Tu devrais te mettre comme ça plus souvent, me dit Jérémy
- C'est ce que je compte faire à partir de maintenant. »

[i]Enfin, après que le reste de notre groupe ai pu récupérer leurs sacs, nous quittons le lycée et ainsi partir direction la plage ( qui en passant n'est connu que par notre bande ). Sur le trajet, je ne pouvais m'empêcher de penser à comment j'allais pouvoir m'y prendre pour avouer mon amour le plus tendre à celui que j'aime, comment pourrais-je le lui avouer avec ce que je lui avait dit il y a quelques années au paravent. [/i]

« - Yumi ?
- Oui ? Demandais-je en sursautant
- Dit moi, est-ce que je pourrais te demandais quelque chose ?
- Quoi donc Aelita ?
- Voilà, en faite, je voudrais enfin dire à Jérémy ce que je ressens mais, je ne sais pas comment m'y prendre, tu aurais un conseil à me donner ?
- Tu sais que tu demandes conseil à quelqu'un qui est dans le même état que toi,
- Tu ne sais pas comment lui dire toi aussi ? Me demande t-elle
- Disons que maintenant je culpabilise par apport à ce que je lui avait dit il y a quatre ans,
- Le « copain et puis c'est tout » ?
- Oui, depuis cet épisode je ne sais pas comment l'approcher sans me le reprocher constamment, lui avouais-je
- On fait des choses parfois idiote lorsque nous sommes jeunes, et malheureusement nous nous en rendant compte que bien trop tard.
- Si on devais toutes les deux se donner un conseil pour avouer ce que nous ressentons se serait de laisser notre cœur prendre les reines, de ne plus penser au passé mais à l'avenir, de mon côté je sais que j'aime Ulrich du plus profond de mon cœur, j'en suis aujourd'hui si éperdument amoureuse, ma vie sans lui n'aurait aucun goût,
- C'est beau ce que tu viens de dire, et si nous nous faisions une promesse ? Me propose Aelita
- Quelle genre de promesse ?
- Qu'avant la fin de l'été nous serons avec eux,
- Essayons une première approche ce soir qu'en dis-tu ? Et pour la promesse c'est promis ! »

[i]Nous tendons nos petits doigts et les serrons pour nous promettre elle et moi de tout faire pour enfin nous donner la chance d'être enfin avec les garçons de nos cœurs[/i].

Voici la seconde partie en espérant que celle-ci vous aura plu :)

Bonjour à tous :) je m'appelle Sandy j'ai 29 ans et je suis depuis de longues années une fan incontestée de Code Lyoko, un dessin-animé qui a bercé toute mon enfance et mon adolescence. Je travail dans un Esat en blanchisserie ( Un esat est un milieu professionnel protéger, c'est un établissement qui accueil les jeunes adultes en situation de handicap pour travailler tout en prenant en compte leur difficultés ). Je me passionne pour l'écriture mais ayant eu un parcours scolaire compliqué je vous demanderais d'être indulgent car je sais que mon français n'a pas un grand niveau ( je confond souvent le présent et le passé lorsque j'écris, donc veuillez me le dire gentiment si mon écriture vous gêne car je ne le fais pas exprès ). Voilà, je pense avoir fait le tour pour le moment, j'essayerai de poster de tout les jours en fin d'après-midi. Bonne lecture à tous et je suis très heureuse de rejoindre cette si belle communauté :)


[b]Tendresse[/b]

[u]Point de vue Yumi.[/u]

[i]Je me suis toujours demandais pourquoi est-ce que certaines personnes avaient le droit d'exprimer si librement leurs sentiments. Pourquoi ne peut t-on pas être tout simplement être libre d'exposer au grand jour, tout ce que nous pouvons ressentir et cela, peut importe notre origine. Etant japonaise, je ne possède malheureusement pas ce droit, surtout en tant que femme. Depuis ma plus tendre enfance, mes parents m'on inculqués une éducation assez dure, en tant que femme je devais maîtriser chacune de mes émotions, je devais toute les enfouir au fond de moi pour ne pas montrer mes faiblesses. C'est une chose que j'ai acceptée sans broncher étant enfant. Aujourd'hui, et cela depuis quatre longues années je n'arrive plus à freiner mes émotions, mes sentiments. Agée de dix-huit ans, je suis une jeune femme affable et bienveillante, j'aime être à l'écoute et aider ceux qui me sont cher. Bien que je sache cacher à la perfection mes émotions, je suis derrière ma carapace une jeune femme très sensible qui, au
fond d'elle ne rêve que d'une chose : m'éterniser auprès de la personne que j'aime le plus au monde.

Je fais parti d'un petit groupe de cinq avec moi depuis le collège. Mon groupe est composé de trois garçons et de deux filles, il y a d'abord Jérémy notre petit surdoué d'informatique, il est de taille moyenne et possède une chevelure blonde plaquée avec soin autour de son visage. Il se passionne pour l'informatique et voudrait un jour après l'obtention de son bac s'orienter vers des études plus poussées afin de devenir ingénieur en informatique.

Viens ensuite Odd le clown de notre bande, il a un look assez déjanté avec ses vêtements flashy et sa chevelure plaquée avec une tonne de gel en triangle, lui aussi blond il y a une petite tâche violette au centre de ses cheveux. Odd voudrait après le bac partir dans une université et faire des études dans le cinéma, il aime tout ce qui touche à l'art visuel.

Puis, il y a Aelita, que je considère comme ma meilleure-amie. Elle est une jeune femme très douce et souriante, mon groupe et moi l'avons sauvé d'une entité malveillante appelé Xana, ce dernier était un virus qui s'acharner sur notre monde en perpétuel, plus d'une fois il nous avait donné du fil à retordre mais, ni mon groupe et moi avons lâché, nous nous sommes battu et souder au fil des années pour venir à bout de cette entité. Aelita fut envoyé par son père dans un monde virtuel nommé " Lyoko " cela a était d'autant plus compliqué pour Jérémy de trouver la bonne méthode pour faire venir Aelita dans notre monde. Au collège mais aussi au lycée, elle est considérée comme étant la cousine de Odd, nous l'avons accepté dès le départ et une très belle amitié s'est alors tissée entre nous. Aelita voudrait après le lycée devenir institutrice dans une école primaire, aimant étudier et donner de son savoir.

Enfin, vient Ulrich un jeune homme brun aux allures mystérieuses, il est réservé et il se passionne pour les arts-martiaux. Avec les années et aussi beaucoup de patience Ulrich a réussi à se défaire de l'emprise de son père qui était constamment derrière son dos, ce dernier ne supportant pas que son fils s'écarte des études lui avait mené la vie dure. Il voudrait faire des études dans la cuisine et devenir un jour patron de son propre restaurant. Ulrich est aussi celui dont je suis tombée éperdument amoureuse, il est celui qui fait tanguer mon cœur depuis quatre longues années. Il est celui qui me donne envie de connaitre ses sentiments si forts et si doux à la fois.

Au départ, je ne comprenais pas ce qu'il m'arrivai, pas une fois avant sa rencontre je n'avais exprimé le besoin d'explorer ce monde emplit d'amour et de tendresse. Bien sûr je n'ai rien dit à mes parents car je savais parfaitement ce qu'ils allaient me dire à cette époque. Entre Ulrich et moi ça a était très compliqué au collège, je devenais subitement jalouse lorsque la fille du directeur lui faisait les yeux doux. Cela se finissait toujours en querelle et je ressentais au fond de moi une profonde douleur. Cette jalousie prenait chez moi plus d'ampleur et ayant marre que mon cœur connaisse de pareil douleur j'y ai mit fin en disant qu'entre lui et moi c'était " Copain et puis c'est tout."

Après cette période, bien que mon être mais aussi mon cœur ce soit apaisés, je ressentais une profonde culpabilité, je me sentait tellement idiote d'avoir eu recourt à cette facilité, plutôt que d'assumer mes émotions et lui avouer mes plus tendres émois. Seulement, lorsque nous sommes jeunes nous faisons et disons des choses idiotes que nous finissons par regretter lorsque nous arrivons à un âge ou l'amour vient caresser nos cœurs. Aujourd'hui, je n'ai plus envie de me cacher, ni de continuer à porter ce masque qui me sépare de celui que j'aime avec tant d'ardeur et de tendresse. Plus qu'hier je voulais et désirée enfin être moi, je voulais me défaire de cette image de femme forte qui maîtrise ses sentiments. Après-tout si mes parents m'aiment ils comprendraient mon choix, enfin du moins c'est ce que j'espérais.

Nous sommes en plein mois de juillet, mon groupe et moi avons prévu d'aller faire un petit camping à la plage afin de nous retrouver et d'être couper du monde pour profité au mieux de nos vacances. Mes parents n'avaient vue aucune objection à ce que j'y aille, vue que tout les deux avaient prévus de partir pour Tokyo avec mon petit frère durant tout l'été. Je termine mon sac et alla ensuite prendre une douche afin de me détendre. La porte fermée, je laisse mes vêtements glissés le long de mon corps et monta dans ma baignoire. Je joue avec les boutons durant quelques secondes et, une fois avoir trouvé la bonne température je me place sous le pommeau et tout en fermant les yeux je me laissa envahir par la chaleur de l'eau. Ulrich, j'ose penser trouver assez de courage et tout lui avouer, parce-ce qu'il est évident que ma vie sans lui serait dénuée de goût et de chaleur.[/i]

Voilà la première partie de cette romance, je m'excuse sincèrement pour les fautes que vous trouverez, j'accepte tout critique bonne comme mauvaise :)