salut les potes^^ je vous met une petite suite (j'entend deja les autres "oh non!!!"
) mais moi je m'enfou, puisque j'avais le temps je vous la poste
J’ouvris difficilement les yeux ne sachant pas où je me trouvais. Affaibli par les rayons du soleil qui traversaient les fenêtres, j’avais du mal à voir la pièce. Elle ressemblait à une chambre. J’étais allongé sur un lit et j’entendais un bruit qui provenait d’une machine, un bruit modéré comme des pulsations. Bientôt je recouvrai peu à peu la vue, ce qui me permit de déduire que je me trouvais dans une salle d’hôpital. Qu’est ce que j’y faisais je ne le savais pas. J’avais du mal à faire bouger mes jambes comme si je ne les avais pas utilisées pendant des mois. Je tentai de me relever quand soudain mon bras, qui était embaumé dans des bandages et du plâtre, me fit souffrir me replongeant dans d’horribles souvenirs que j’aurais préféré oublier. D’incontrôlables flashs back me vinrent à l’esprit. Comme une vague déferlante, ils devenaient de plus en plus nombreux. Une véritable furie d’images défilait dans ma tête. J’entendis la porte grincer et une personne entra. Son visage semblait incroyablement surprit qu’elle en laissa tomber son gobelet sur le sol. Mais toute la stupeur qui venait de la prendre au dépourvue s’effaça pour laisser place à une joie incontrôlable.
Elle courut vers moi et me sauta au cou tout en me serrant amoureusement. Elle me regardait dans les yeux. Les siens étaient remplis de larmes et de joie. Elle approcha son visage du mien et nos lèvres se touchèrent.
C’était si doux, si sucré, ça me brûlait la bouche, tout mon corps tremblait, frissonnant comme jamais. Une vague de chaleur envahit mon être et entraîna mon cœur dans un rythme effréné.
Elle retira doucement ses lèvres des miennes. Ni moi, ni elle ne pouvions dire la moindre parole, comme si nous ne voulions surtout pas briser ce moment si intense.
Son regard plongé dans le mien, rien n’aurait pu gâcher cette instant…… à part peut-être.
- JEREMIE !!!!!! S’exclama étonné un garçon aux cheveux brun.
Je tournais brusquement la tête vers la personne en question, quand deux autres adolescents entrèrent, un petit blond et maigrichon ainsi qu’une asiatique au vêtement noir.
- Bienvenue dans le monde des vivants Einstein !!!!! Souhaita joyeusement le petit blond.
Ils s’approchèrent tous du lit où je me trouvais actuellement. Ils avaient l’air soulagé.
- Yumi, Ulrich, Odd, Aelita ? Mais qu’est ce que je fais ici ???? Demandai-je.
- C’est une très longue histoire. Me répondit Yumi.
Pendant ce temps, loin de là, dans l’usine où l’alerte avait été lancée, une toute autre ambiance y flottait.
Dans une salle froide où divers outils de médecine traînaient sur une table d’opération, un homme en blouse blanche était en train d’examiner un animal mort. Soudain, les portes de la salle s’ouvrirent brusquement et un autre homme entra et s’avançât vers le scientifique.
- Alors docteur quelle est la cause de sa mort ? Demanda-t-il d’un ton posé.
- Et bibibibibien il à susus subit un coup viviviolent sur la trtrtrtruffe mais ce n’est ppp pas cela qqqqui l’a tutututué, bégaya t’il en tremblant de peur devant l’homme qui se dressait devant lui.
- Alors comment est il mort ?
- Après une exppppertise appprofffondie je ne suis pas arrivé à retrtrtrouver le *trofas* que je lui avais implplplanté ! Annonça-t-il sur un ton faible.
- QUOI !!!!!!
Le scientifique bondit de peur devant la colère de l’homme.
- Ne vous fâchez ppp pas monsieur Dalburd, s’excusa le scientifique.
- Non je ne suis pas fâché. JE SUIS EN RAGE !!!!!!! Vous imaginez ce que vaut cette petite bactérie que nous avons créée et qui maintenant se balade dans la nature ? Alors je crois que j’ai une bonne raison de me mettre en colère.
- Oui mm mais je crcrcrcois qu’il a changé d’hôte.
- Comment ça ? Expliquez-vous ?
- Et bien jjj’ai trtrtrouvé au niveau de la tt tête du loup un liqqquide d’alerte que sécrète le *trofas* quand il se sent en danggger.
- Et alors ? Même si il à pût changer d’hôte il ne peut survivre en dehors de celui d’origine.
- C’est ce qqque je me suis dit. Mm mais avant qu’il se sauve jjj’ avais remarqué une certaine évvvolution de sa pp part.
- Mais comment aurait il réussi à se déplacer d’un corps à un autre ? Interrogea-t-il.
- Pp part mélange de sang !!! J’ai trtrtr trouvé au niveau de sa trtrtr truffe une ouverture due à un choc vivivi violent …, expliqua nerveusement le scientifique qui fut coupé par Dalburd.
- Ce qui veut dire qu’un animal dans cette forêt a en lui le *trofas* en lui. C’est bien cela ?
- Oui mm mais……, il fut de nouveau coupé.
- Donc il nous suffit de capturer tous les animaux de cette forêt et nous le trouverons. Parfait vous avez fait du beau travail.
Dalburd partit à toute vitesse sans attendre l’importante information du scientifique.
Car il avait trouvé du sang desséché sur les dents du loup, et ce sang n’appartenait pas a un animal…
salut les potes^^ je vous met une petite suite (j'entend deja les autres "oh non!!!" :D ) mais moi je m'enfou, puisque j'avais le temps je vous la poste ;)
J’ouvris difficilement les yeux ne sachant pas où je me trouvais. Affaibli par les rayons du soleil qui traversaient les fenêtres, j’avais du mal à voir la pièce. Elle ressemblait à une chambre. J’étais allongé sur un lit et j’entendais un bruit qui provenait d’une machine, un bruit modéré comme des pulsations. Bientôt je recouvrai peu à peu la vue, ce qui me permit de déduire que je me trouvais dans une salle d’hôpital. Qu’est ce que j’y faisais je ne le savais pas. J’avais du mal à faire bouger mes jambes comme si je ne les avais pas utilisées pendant des mois. Je tentai de me relever quand soudain mon bras, qui était embaumé dans des bandages et du plâtre, me fit souffrir me replongeant dans d’horribles souvenirs que j’aurais préféré oublier. D’incontrôlables flashs back me vinrent à l’esprit. Comme une vague déferlante, ils devenaient de plus en plus nombreux. Une véritable furie d’images défilait dans ma tête. J’entendis la porte grincer et une personne entra. Son visage semblait incroyablement surprit qu’elle en laissa tomber son gobelet sur le sol. Mais toute la stupeur qui venait de la prendre au dépourvue s’effaça pour laisser place à une joie incontrôlable.
Elle courut vers moi et me sauta au cou tout en me serrant amoureusement. Elle me regardait dans les yeux. Les siens étaient remplis de larmes et de joie. Elle approcha son visage du mien et nos lèvres se touchèrent.
C’était si doux, si sucré, ça me brûlait la bouche, tout mon corps tremblait, frissonnant comme jamais. Une vague de chaleur envahit mon être et entraîna mon cœur dans un rythme effréné.
Elle retira doucement ses lèvres des miennes. Ni moi, ni elle ne pouvions dire la moindre parole, comme si nous ne voulions surtout pas briser ce moment si intense.
Son regard plongé dans le mien, rien n’aurait pu gâcher cette instant…… à part peut-être.
- JEREMIE !!!!!! S’exclama étonné un garçon aux cheveux brun.
Je tournais brusquement la tête vers la personne en question, quand deux autres adolescents entrèrent, un petit blond et maigrichon ainsi qu’une asiatique au vêtement noir.
- Bienvenue dans le monde des vivants Einstein !!!!! Souhaita joyeusement le petit blond.
Ils s’approchèrent tous du lit où je me trouvais actuellement. Ils avaient l’air soulagé.
- Yumi, Ulrich, Odd, Aelita ? Mais qu’est ce que je fais ici ???? Demandai-je.
- C’est une très longue histoire. Me répondit Yumi.
Pendant ce temps, loin de là, dans l’usine où l’alerte avait été lancée, une toute autre ambiance y flottait.
Dans une salle froide où divers outils de médecine traînaient sur une table d’opération, un homme en blouse blanche était en train d’examiner un animal mort. Soudain, les portes de la salle s’ouvrirent brusquement et un autre homme entra et s’avançât vers le scientifique.
- Alors docteur quelle est la cause de sa mort ? Demanda-t-il d’un ton posé.
- Et bibibibibien il à susus subit un coup viviviolent sur la trtrtrtruffe mais ce n’est ppp pas cela qqqqui l’a tutututué, bégaya t’il en tremblant de peur devant l’homme qui se dressait devant lui.
- Alors comment est il mort ?
- Après une exppppertise appprofffondie je ne suis pas arrivé à retrtrtrouver le *trofas* que je lui avais implplplanté ! Annonça-t-il sur un ton faible.
- QUOI !!!!!!
Le scientifique bondit de peur devant la colère de l’homme.
- Ne vous fâchez ppp pas monsieur Dalburd, s’excusa le scientifique.
- Non je ne suis pas fâché. JE SUIS EN RAGE !!!!!!! Vous imaginez ce que vaut cette petite bactérie que nous avons créée et qui maintenant se balade dans la nature ? Alors je crois que j’ai une bonne raison de me mettre en colère.
- Oui mm mais je crcrcrcois qu’il a changé d’hôte.
- Comment ça ? Expliquez-vous ?
- Et bien jjj’ai trtrtrouvé au niveau de la tt tête du loup un liqqquide d’alerte que sécrète le *trofas* quand il se sent en danggger.
- Et alors ? Même si il à pût changer d’hôte il ne peut survivre en dehors de celui d’origine.
- C’est ce qqque je me suis dit. Mm mais avant qu’il se sauve jjj’ avais remarqué une certaine évvvolution de sa pp part.
- Mais comment aurait il réussi à se déplacer d’un corps à un autre ? Interrogea-t-il.
- Pp part mélange de sang !!! J’ai trtrtr trouvé au niveau de sa trtrtr truffe une ouverture due à un choc vivivi violent …, expliqua nerveusement le scientifique qui fut coupé par Dalburd.
- Ce qui veut dire qu’un animal dans cette forêt a en lui le *trofas* en lui. C’est bien cela ?
- Oui mm mais……, il fut de nouveau coupé.
- Donc il nous suffit de capturer tous les animaux de cette forêt et nous le trouverons. Parfait vous avez fait du beau travail.
Dalburd partit à toute vitesse sans attendre l’importante information du scientifique.
Car il avait trouvé du sang desséché sur les dents du loup, et ce sang n’appartenait pas a un animal…