Une fois ma caresse terminée avec mon beau et séduisant samouraï, Aelita demanda au reste du groupe ce qu'il devait faire. Jérémie demanda :
Jérémie : T'as essayé de voir la police ?
Aelita : Oui, mais sans succès car ils veulent des preuves irréfutables.
Ulrich : Dans ce cas, je ne vois qu'une solution, lui mettre une bonne raclée ! Je le haîts ! Je ne lui pardonnerais jamais ce qu'il a fait à Yumi !
Jérémie : Ulrich, la violence ne résout pas les problèmes. Il doit bien avoir une autre solution.
Odd : Moi j'en ai une !!! Mais il faut que Yumi joue le jeu.
Yumi (ayant peur) : J'espère que ce n'est pas ce que je pense ?!
Aelita : Odd ? C'est quoi ton plan ?
Odd : Comme pour Xana, ni vu ni connu je t'embrouille ! Ce que je veux dire, c'est qu'on prend William en flagrant délit !
Jérémie : Euh attend Odd, je te suis pas là.
Odd : C'est simple, on emmène Yumi dans la même baraque, ensuite, on téléphone à William en changeant notre voix, pour lui dire qu'il y a quelqu'un dans la baraque, une fois le beau pervers avec Yumi, si il l'a viole encore, on filme la scène avec mon tout nouveau caméscope numérique. Et on va voir la police ensuite.
Aelita : C'est dangereux, mais ça vaut le coup.
Yumi : Donc, vous me demander que je sois encore plus salie ?!
Ulrich : Mon amour, c'est juste pour le coincer. Ensuite, se sera fini ma belle japonaise que j'aime.
Jérémie : Ok. Allons-y ! Préparons l'opération "Coincé William" !
Nous allions dans la vieille maison et ils me laissèrent sur le lit que je connaissait déjà. Odd ne mit pas longtemps à chercher chez lui son caméscope. Jérémie dit à Ulrich, d'accrocher le caméscope au plafond, comme ça, William ne se douterait de rien. Une fois fait, ils me laissèrent seule, et ils allèrent chercher une cabine téléphonique. C'est Jérémie qui se colla le bouleau....
Portable William : BIIIPPPP !!! BIIIIIPPPP !!!
William : Allô ? William Dunbar à l'appareil.
Jérémie (modifiant sa voix) : Bonjour mr Dunbar, ici Steven Gekk, je suis le propriétaire de la vieille maison. Je sais aussi que vous êtiez avec une fille, je crois, que c'était une japonaise.
William : C'est exact ! Mais je croyais que cette baraque était abandonnée ?
Jérémie : Non elle est à moi. Bon enfin bref, je vous téléphone, car je suis retourné chez moi, et j'ai trouvé encore cette japonaise, seule sur mon lit. Alors pouvez-vous aller la chercher ?
William : Bien sur mr Gekk, aucun problème. J'y vais de ce pas.
Jérémie : En attendant que vous l'a cherchiez, je pars faire mes courses. Aurevoir mr Dunbar.
William : Aurevoir mr Gekk.
Et William coupa son téléphone. Mes amis allèrent de suite à la vieille maison et ils se cachèrent un peu partout. William ne mit pas très longtemps pour me rejoindre. Il me retrouva alors que j'était effrayée. Le beau ténébreux dit d'un ton mielleux :
William (souriant) : Yumi, j'ai été prévenu par le propriétaire de cette baraque, il m'a dit de partir avec toi loin de cette baraque. Mais avant qu'il ne revienne, j'aimerais encore goûter à ton corps.
Yumi : NOOOONNN !!! Laisse moi tranquille !!!
William ne me laissa aucun répit. D'un coup de main, il arracha encore plus mes vêtements. Il se désabilla à son tour et il commenca à me violé encore une fois. Le caméscope d'Odd filma toute la scène. Une heure plus tards, quand le pervers eut fini, il se rabilla me laissan en pleure. Odd éteigna son caméscope quand William fut partit. Je dis d'un ton frileux :
Yumi : Il m'a salie encore une fois. Je le déteste !
Odd : T'inquiète, j'ai tout filmé.
Ulrich : Et maintenant, la police.
Jérémie : Je ne savais pas qu'il te ferais autant de mal Yumi.
Aelita (furieuse) : C'est un salopard !!! Il doit payer !!! Allons voir la police !
Et mes amis et moi même quittèrent la vieille baraque et en cinq minutes, on étaient reçu par le commissaire de police.
Voilà la suite. Je te laisse continuer Sandy. Bisou je t'adore.
Une fois ma caresse terminée avec mon beau et séduisant samouraï, Aelita demanda au reste du groupe ce qu'il devait faire. Jérémie demanda :
Jérémie : T'as essayé de voir la police ?
Aelita : Oui, mais sans succès car ils veulent des preuves irréfutables.
Ulrich : Dans ce cas, je ne vois qu'une solution, lui mettre une bonne raclée ! Je le haîts ! Je ne lui pardonnerais jamais ce qu'il a fait à Yumi !
Jérémie : Ulrich, la violence ne résout pas les problèmes. Il doit bien avoir une autre solution.
Odd : Moi j'en ai une !!! Mais il faut que Yumi joue le jeu.
Yumi (ayant peur) : J'espère que ce n'est pas ce que je pense ?!
Aelita : Odd ? C'est quoi ton plan ?
Odd : Comme pour Xana, ni vu ni connu je t'embrouille ! Ce que je veux dire, c'est qu'on prend William en flagrant délit !
Jérémie : Euh attend Odd, je te suis pas là.
Odd : C'est simple, on emmène Yumi dans la même baraque, ensuite, on téléphone à William en changeant notre voix, pour lui dire qu'il y a quelqu'un dans la baraque, une fois le beau pervers avec Yumi, si il l'a viole encore, on filme la scène avec mon tout nouveau caméscope numérique. Et on va voir la police ensuite.
Aelita : C'est dangereux, mais ça vaut le coup.
Yumi : Donc, vous me demander que je sois encore plus salie ?!
Ulrich : Mon amour, c'est juste pour le coincer. Ensuite, se sera fini ma belle japonaise que j'aime.
Jérémie : Ok. Allons-y ! Préparons l'opération "Coincé William" !
Nous allions dans la vieille maison et ils me laissèrent sur le lit que je connaissait déjà. Odd ne mit pas longtemps à chercher chez lui son caméscope. Jérémie dit à Ulrich, d'accrocher le caméscope au plafond, comme ça, William ne se douterait de rien. Une fois fait, ils me laissèrent seule, et ils allèrent chercher une cabine téléphonique. C'est Jérémie qui se colla le bouleau....
Portable William : BIIIPPPP !!! BIIIIIPPPP !!!
William : Allô ? William Dunbar à l'appareil.
Jérémie (modifiant sa voix) : Bonjour mr Dunbar, ici Steven Gekk, je suis le propriétaire de la vieille maison. Je sais aussi que vous êtiez avec une fille, je crois, que c'était une japonaise.
William : C'est exact ! Mais je croyais que cette baraque était abandonnée ?
Jérémie : Non elle est à moi. Bon enfin bref, je vous téléphone, car je suis retourné chez moi, et j'ai trouvé encore cette japonaise, seule sur mon lit. Alors pouvez-vous aller la chercher ?
William : Bien sur mr Gekk, aucun problème. J'y vais de ce pas.
Jérémie : En attendant que vous l'a cherchiez, je pars faire mes courses. Aurevoir mr Dunbar.
William : Aurevoir mr Gekk.
Et William coupa son téléphone. Mes amis allèrent de suite à la vieille maison et ils se cachèrent un peu partout. William ne mit pas très longtemps pour me rejoindre. Il me retrouva alors que j'était effrayée. Le beau ténébreux dit d'un ton mielleux :
William (souriant) : Yumi, j'ai été prévenu par le propriétaire de cette baraque, il m'a dit de partir avec toi loin de cette baraque. Mais avant qu'il ne revienne, j'aimerais encore goûter à ton corps.
Yumi : NOOOONNN !!! Laisse moi tranquille !!!
William ne me laissa aucun répit. D'un coup de main, il arracha encore plus mes vêtements. Il se désabilla à son tour et il commenca à me violé encore une fois. Le caméscope d'Odd filma toute la scène. Une heure plus tards, quand le pervers eut fini, il se rabilla me laissan en pleure. Odd éteigna son caméscope quand William fut partit. Je dis d'un ton frileux :
Yumi : Il m'a salie encore une fois. Je le déteste !
Odd : T'inquiète, j'ai tout filmé.
Ulrich : Et maintenant, la police.
Jérémie : Je ne savais pas qu'il te ferais autant de mal Yumi.
Aelita (furieuse) : C'est un salopard !!! Il doit payer !!! Allons voir la police !
Et mes amis et moi même quittèrent la vieille baraque et en cinq minutes, on étaient reçu par le commissaire de police.
Voilà la suite. Je te laisse continuer Sandy. Bisou je t'adore. ;)