Ca faisait vraiment un baille que j'avais cette idée de fan fic (juillet 2005) et que j'ai laisser murrire au mois de aout et que j'ai commencer a ecrire et maintenant apres de nombreuse modification de scenario qui ne tenait pas la route je viens tout juste de finir la premiere partie et je sens que sa va etre un chef d'oeuvre rarissime
PS: le message se metra à jour suivant ce que j'écris donc faites attention de temps en temps pour ceux qui veule lire la suite
Bonne lecture...
Ma découverte de lyoko
Partie 1) : de la terre au virtuel :
C’était l’histoire d’un adolescent qui s’appelait Janick (et oui c’est moi), appelé le plutôt Squirel c’est plus simple. Squirel était de taille moyenne (environ 1m70), avait de long cheveux châtain assorti avec ces yeux tout aussi châtain, il avait un style d’habillage assez commun (skateur) et pratiquait à merveille le BMX qu’il en faisait depuis 3ans et demi. Il avait eu seize ans assez récemment, habitait Molsheim en Alsace et il était un fan de Code Lyoko (avec la belle Aëlita et tout et tout) et puis il était à trois jours de mercredi trente et un Août, où sur France 3, il allait passer enfin la saison deux du dessins animée, Squirel l’avait attendus avec beaucoup d’impatience mais voila…
Lundi Janick était allé au skatepark comme d’habitude mais à seize heures, il était allé avec un de ses copain acheter de la boisson comme d’habitude. Enfin bref, la routine, en sortant du magasin la caissière l’avait fouillé, en fait quelqu’un c’était déjà fait prendre en train de voler des trucs ce jour là. Et quand la caissière avait pris les bonbons que Janick avait acheté le week-end dernier, même pas encore ouvert et bien il c’était fait accuser de vol à son tour, mais à tort (ça s’appelle ma chance). Le magasin avait appelé ses parents. Bien sur, ils ne l’avaient pas crut quand il avait dit que c’était un paquet d’une autre journée. Résultat, il était puni, sur le coup il pensait que dans deux jours c’était la saison deux de Code Lyoko et il avait encore insister pour essayer de dire que c’était une erreur du magasin. Mais la discussion tourna à une dispute violente entre Squirel et ses parents. Au bout d’un moment, il avait craqué et il était parti sans rien dire heureusement qu’il avait un peu d’argent sur lui, il avait envie de partir loin mais où. Et là il pensa une fois de plus à Code Lyoko (ça m’envahi toute ces pensée sur Code Lyoko) et puis il décida d’aller à Boulogne Billancourt, au moins ça lui servira à quelque chose cette fugues disait-t-il, il prit un billet pour Strasbourg. Puis une fois là-bas, il prit le train clandestinement pour Paris. Janick avait eu de la chance de ne pas se faire choper cette fois. Le voyage dura toute la nuit à arriver à destination. Jusqu'à l’aube, il vit pour la première fois de sa vie, Paris. Certes par la fenêtre des toilettes qui lui servait de planque mais c’était quand même Paris.
Après être sorti discrètement du train et de la gare, Squirel commença par entrer dans un magasin pour acheter un peu de quoi se nourrir et après se maigre petit déjeuner. Il demanda à un passant où se trouvait la ville de Boulogne-Billancourt pour aller vers le lycée Lakanal, c’était la raison pour lequel il était partis pour Paris :
Squirel- Euh… excuser moi monsieur pouvez-vous me dire où je dois aller pour trouver la ville de Boulogne-Billancourt pour pouvoir aller au lycée Lakanal ???
L’homme- Oui bien sur. Il se trouve au sud-ouest de Paris à une dizaine de kilomètre d’ici. Pourquoi tu me demandes ça ???
Squirel- Et ben, c’est que je suis nouveaux ici, donc je dois trouver mon bahut et je croyais qu’il se trouvait ici dans les alentours. (Pas bien de mentir)
L’homme- Ah bon ? Et bien si tu veux, je peux t’y emmener ma voiture n’est pas loin.
Squirel- Vous feriez ça pour moi, un inconnu ???
L’homme- C’est aussi parce que sinon tu vas être horriblement en retard et puis en plus je me dirige vers là-bas à cinq cents mètres de ce lycée.
Squirel- Ben c’est gentil à vous.
Squirel entra dans la voiture, c’était une petite merveille de technologie à l’intérieur, elle était cool. En un quart d’heure l’homme était déjà arrivé à Boulogne Billancourt. A croire que la voiture n’en n’avait pas que dans les circuits, mais aussi un bon et gros moteur qui ronronnait paisiblement sous le capot. Cette fugue avait été beaucoup plus simple que prévu. La voiture s’arrêta devant un portail, il y avait plein d’arbre partout se qui faisait bizarre en pleine ville, Squirel était arrivé au lycée Lakanal :
L’homme- Voilà tu es arrivé et il est tout juste 8h tu passera ta première journée, à l’heure !!!
Squirel- C’était vraiment sympa de votre part. je peut juste connaître votre prénom ???
L’homme- Oui il n’y pas de mal à ça je suis Franz.
Là je pense à un truc carrément impossible.
Squirel- Franz comment ???
Franz- Franz Hopper, bon allez, salut je suis pressé.
Il venait de laisser Squirel comme un poireau, il n’avait même pas eut le temps de lui répondre. Pour Lyokofan c’était un peu normal, parce que le fait d’entendre Franz Hopper c’est très important à mes connaissances de Code Lyoko, c’est quand même le créateur du supercalculateur. Et puis nan c’était impossible, ça ne pouvait pas être lui. Squirel entra comme prévu dans le lycée Lakanal, il aurait voulu prendre quelques photos mais il n’avait pas eu le temps de prendre son appareil photo numérique. Une fois à l’intérieur tout lui semblais familier. D’une certaine manière il connaissait ce lycée comme si il y était déjà aller pendant une année ou plus, c’était un peu normal quand on sait que le lycée Lakanal et le collège Kadic de code lyoko sont deux sosie.
Squirel se baladait tranquillement dans le parc du lycée, mais il savait qu’il ne pourrait pas rester ici éternellement vu que jamais personne ne l’avait déjà vu. Il avait réussit à retrouver la plaque d’égout au bout en quelque secondes de recherche, il ne pensait pas à s’aventurer dans les égouts, il savait que le réseau des égouts n’étaient pas le même que la réalité et aussi ils étaient bien plus pollués que dans Code Lyoko. Apres cette courte pose devant cette sublime plaque d’égout, il s’approcha doucement du lycée, il allait quand même pas aller dans la cour comme un pigeon, y avait des pions partout, alors derrière les arbres, il avait pus observer une grande parti du lycée, pendant une demi-heure il avait fait tout le tour des bâtiments. Il en revenait pas, c’était vraiment exactement pareil que dans code lyoko, le collège Kadic. Squirel décida de repartir pour pouvoir quand même explorer l’usine Renault. Mais quand Il était arrivé devant le portail, il était fermé. Alors là bravo, se faire enfermer dans un bahut faut le faire !!! Il pensa donc à Sam, la petite copine de Odd, elle avait réussi à monter le grillage pour passer, dans l’épisode 36ème dessous, il alla tenter la même chose. C’était vrai qu’ils étaient simples à escalader ces grillages comme l’avait dit Sam. Une fois sorti, il se dirigea vers le fleuve là où une moitié d’usine désaffecter se trouvait au plein milieu sur une immense île. Il avait marché pendant une demi-heure tranquillement quand il vit une affiche sur un lampadaire, il y avait écrit :
________________________________AVIS DE RECHERCHE
_____________________________________JANICK
_____________________APPELER AU 06.17.28.39.40.* SI VOUS LE REPEREZ
_________________________________MERCI D’AVANCE
*(Le numéro est faux bien sur)
En gros il y avait une photo de Squirel dessus, ce n’était pas la meilleure photo qu’il possédait. Il décida d’accélérer le pas jusqu'à sprinter même histoire de ne pas perdre du temps dans la rue. Jusqu'à ce que il puisse enfin voir l’usine Renault au milieu du fleuve. Une fois arrivé, il ralenti pour pouvoir admirer cette usine.
Elle aussi c’était un sosie de celle de code lyoko sauf qu’elle était pas entière (pourquoi la détruire alors que je la classerai monument historique). La porte était fermée à son désespoir de rentrer à l’intérieur. Jusqu'à ce que il l’examina de plus près, elle était toute rouillée. A une tentative désespéré, il pris son élan et commença à courir en mettant son épaule en avant, il défonça la porte sans effort, finalement elle tenait a peine sur ses gonds quand il l’avait examiné au par avant. Après s’être relevé, il était descendus au rée de chaussée. D’après le dessin animée le monte-charge devait être derrière moi, il se retourna et vis le célèbre monte-charge, mais encore plus pourrit et rouiller que dans code lyoko. Inconsciemment, il rentra dedans et il appuya sur le gros bouton rouge, le monte-charge trembla mais pas parce que un rideaux de fer le fermait, mais parce que le monte-charge était réellement complètement mort. Sur le coup Janick sorti du monte-charge. Mais il commença à descendre comme à son habitude, il avait eu un peu les boules. Un grand bruit se fit entendre :
BOUM !!!
En faite nan il avait pas du tout les boule, parce quand on entend un monte-charge se cracher au fond d’un puit, sa donne pas trop envie d’être à l’intérieur. Donc comme l’ont déjà fait Jérémie et Odd dans l’épisode piège, Squirel avait l’intention de passer par le corridor de la chaufferie, mais ce n’était pas gagné quand on savait que l’usine était un immense labyrinthique. Au même moment, à cause du bruit du crash du monte-charge, un ouvrier chargé de la destruction de l’usine fit son apparition :
L’ouvrier : HEY !!! Qu’est ce que tu fiches ici !!! SALE GOSSE !!!
Et l’ouvrier se mit à sa poursuite, Squirel prit ses jambes à son cou et s’en alla le plus vite possible en prenant toute sorte de couloirs plus ou moins délabré après avoir enjambé une fissure de un mètre de large, il m’apprêtait à prendre un autre couloir quand soudain un cri perçant lui déchira les tympans. L’homme venait de tomber dans la fissure, par curiosité, Squirel s’approcha de la fissure et tendis le cou. Il y faisait très noir mais on pouvait y voir la silhouette de l’homme étalé par terre, il était inconscient seulement. Il ne fallait pas traîner, Squirel pris le couloir qu’il comptait empreinter avant le couloir le guida à la chaufferie. La chaudière était complètement foutue, comme si elle avait déjà explosé. Et puis il trouva enfin le petit passage qui menait au labo dans Code Lyoko, quand il arriva dans la pièce, il y faisait tout noir, il n’arrivait pas à voir à l’autre bout de la pièce tellement que c’était sombre, mais par contre il voyait nettement un étrange pilier enroulé de câble électrique. Il en revenais pas, rien qu’en pensant que c’était peut-être se qui relie jusqu’au écran du labo du supercalculateur. Mais à cause du noir, il n’y voyait pas l’intérêt d’y descendre. Il retourna sur ses pas. Quand il était au niveau de la fissure où l’ouvrier avait chuté à l’intérieur, il vit une vieille lampe au bord de la crevasse. Ca devait être celle de l’ouvrier. Il la prit et la mis en marche, ça c’était une chance que la lampe n’était pas endommagé par le choc du sol. Squirel retourna dans la pièce, ralluma sa lampe, vit à nouveau le pilier mais avec les écrans au bout, plus loin il trouva un grand siège posé sur un monorail et au centre du laboratoire, il vit une espèce de socle creux en bol à l’intérieur qui ne pouvait être que le projecteur holographique tridimensionnel. Et enfin, il trouva le petit passage qui menait à l’étage en dessous pour nos héros, quand ils étaient en mission urgente. Il y avait une légère lumière à travers l’ouverture, Squirel descendit et il se retrouva devant trois grands cylindres. C’était obligé, c’étaient les scanners. Squirel était impressionner de voir le seul et unique passage entre Lyoko et la Terre. Et au milieu de la pièce, il y avait une trappe qui menait encore à l’étage en dessous, c’était de là que venait la lumière. Il se rapprocha tout doucement de la trappe. Mais avant d’y arriver la lumière qui éclairait la salle s’intensifia brusquement et on entendis la voix d’un homme crier de toute ses force, il avait l’air de souffrir atrocement, avec des grésillements, comme si une forte concentration d’électricité passait dans un tout petit câble. La lumière repris sa luminosité normale et les grésillements s’estompèrent, mais la voix de l’homme c’était arrêté bien avant les grésillements produits par l’électrocution. En continuant à me rapprocher de la trappe, Squirel vit un homme, il était couché sur le ventre on ne voyait pas son visage mais son bras était dans un autre grand cylindre encore plus grand que dans la salle des scanners, mais avec une base plus large mais toujours cylindrique. Le cylindre était au milieu d’un bassin de liquide qui m’est inconnu. Là où Squirel se trouve il y avait une échelle pour pouvoir descendre rejoindre l’homme. Il descendit et s’approcha de l’homme allongé par terre, Squirel le retourna. Il était tout noirs comme grillé et… :
Squirel- mais !!! … Je le reconnais c’est … c’est Franz Hopper !!!
C’était la première fois qu’il avait un cadavre tout chaud tout frais sous les yeux. Squirel regardait le gros cylindre où Franz HOPPER avait le bras coincé, et il vit que c’était un énorme tas de circuit électrique une pur merveille technologique, je pensa donc au hardware du supercalculateur. Squirel fit le tour du supercalculateur sans s’occuper de Franz HOPPER qui était à présent mort et il trouva une gros levier abaissé, il le remonta et toutes les lumières commencèrent à éclairer la pièce et le supercalculateur commença à émettre des sons grave, genre une multitude de ventilateurs, les sons allaient de plus en plus dans les aigu et le supercalculateur commença à descendre dans le bassin de liquide. Maintenant que Squirel venais de faire la plus grande connerie de toute sa vie d’allumer le plus puissant supercalculateur au monde. Il remonta par l’échelle de là où il était venu, la salle des scanners était aussi éclairée par de faibles lumières mais celle des scanners suffisait amplement à éclairer toute la salle. Il repris le passage pour rejoindre le labo, là rien n’avait bougé en dehors de l’éclairage. Squirel s’installa dans le fauteuil à un bout du labo et automatiquement, il se déplaça vers les écrans du labo. Il ouvrit le premier fichier qui était affiché et au bout de quelque clique une voix se fit entendre :
Connexion en cour… connexion en cour…
Cette voix se répéta quatre fois et subitement la voix s’arrêta et le fauteuil commença de nouveau à se déplacer automatiquement, mais cette fois pour faire le tour du labo. Suivant la distance parcourue le projecteur holographique au centre de la salle commença à émettre une lumière, puis une image floue et enfin une carte tridimensionnelle. Pas besoin de réfléchir c’était la carte en trois dimension de Lyoko, et oui Lyoko existe belle et bien. Une fois retourné devant les écrans Squirel vis une icône nommé Aëlita je la sélectionna et elle apparut dans une nouvelle fenêtre :
Aëlita- Salut. Mais qui es tu ???
Squirel- Euh…
Aëlita- Je suis Aëlita.
Squirel- Je… je m’appelle… Janick. Tu… tu existes ?
Aëlita- Ben oui ??? Pourquoi je n’existerais pas Janick ???
Squirel- Appelle moi plutôt Squirel.
Aëlita- D’accord. Mais comment m’as-tu découvert ???
Squirel- C’est une longue histoire… et je ne crois pas que j’aurais le temps de te la raconter il y a un ouvrier qui me recherche, il m’a vu traîner dans l’usine et…
Aëlita- Vient sur Lyoko, tu auras tout ton temps et tu en craindras rien de l’ouvrier.
Squirel- Je ne sais pas pourquoi mais je le sens pas, mais pas du tout.
Aëlita- Tu n’as pas à t’en faire. Tu fais tout ce que je te dis et tout se passera bien.
Squirel- Bon… d’accord.
Aëlita- Bien alors maintenant tu vas …
Après quelques explications compliquées et vérification de Aëlita, le protocole de transfert était achevé :
Aëlita- Bravo !!! On a réussi. Tu vas pouvoir me rejoindre sur Lyoko. Maintenant tu as plus qu’a l’appliquer et le compte à rebours qu’on a programmer se mettra en route.
Squirel- D’accord, j’arrive, à toute à l’heure.
La fenêtre qui contenait le visage d’Aëlita se ferma et Squirel cliqua sur la touche application. Le compte à rebours était lancé comme prévu pour deux minutes. Squirel se leva de son siège coura vers le passage au niveau des échelons. Il s’y introduit et descendis à toute vitesse en direction de la salle des scanners. Les trois scanners étaient fermés en attendant le compte à rebours. Squirel se retourna et dit d’une voix tremblante :
Squirel- Adieu la Terre !!!
L’un des scanners s’ouvrit après cet adieu, et la place qui lui était réservé se découvrit. Squirel rentra à l’intérieur d’un pas mal assuré, contempla le scanner de l’intérieur, mais juste avant qu’il ne se ferme, il vit Franz Hopper se dirigé vers lui en émettant des grognements et les pupilles étaient remplacées par deux oeils de XANA. Le scanner étant complètement fermé, Franz Hopper ne pouvait plus l’attaquer. Le scanner se mit en route et parcoura toute la hauteur de mon corps tout en me soulevant d’une vingtaine de centimètres au dessus du sol. Et subitement sans le vouloir, je m’évanoui dans une lumière blanche aveuglante. Squirel n’était plus un terrien.
à suivre...
Dites tout de suite si il y a des probleme de scénario ou autre chose pour que je modifie tout ca
[color=red]Ca faisait vraiment un baille que j'avais cette idée de fan fic (juillet 2005) et que j'ai laisser murrire au mois de aout et que j'ai commencer a ecrire et maintenant apres de nombreuse modification de scenario qui ne tenait pas la route je viens tout juste de finir la premiere partie et je sens que sa va etre un chef d'oeuvre rarissime
PS: le message se metra à jour suivant ce que j'écris donc faites attention de temps en temps pour ceux qui veule lire la suite ;)
Bonne lecture...[/color]
[u][color=violet][size=150]Ma découverte de lyoko[/size][/color][/u]
[u]Partie 1) : de la terre au virtuel :[/u]
C’était l’histoire d’un adolescent qui s’appelait Janick (et oui c’est moi), appelé le plutôt Squirel c’est plus simple. Squirel était de taille moyenne (environ 1m70), avait de long cheveux châtain assorti avec ces yeux tout aussi châtain, il avait un style d’habillage assez commun (skateur) et pratiquait à merveille le BMX qu’il en faisait depuis 3ans et demi. Il avait eu seize ans assez récemment, habitait Molsheim en Alsace et il était un fan de Code Lyoko (avec la belle Aëlita et tout et tout) et puis il était à trois jours de mercredi trente et un Août, où sur France 3, il allait passer enfin la saison deux du dessins animée, Squirel l’avait attendus avec beaucoup d’impatience mais voila…
Lundi Janick était allé au skatepark comme d’habitude mais à seize heures, il était allé avec un de ses copain acheter de la boisson comme d’habitude. Enfin bref, la routine, en sortant du magasin la caissière l’avait fouillé, en fait quelqu’un c’était déjà fait prendre en train de voler des trucs ce jour là. Et quand la caissière avait pris les bonbons que Janick avait acheté le week-end dernier, même pas encore ouvert et bien il c’était fait accuser de vol à son tour, mais à tort (ça s’appelle ma chance). Le magasin avait appelé ses parents. Bien sur, ils ne l’avaient pas crut quand il avait dit que c’était un paquet d’une autre journée. Résultat, il était puni, sur le coup il pensait que dans deux jours c’était la saison deux de Code Lyoko et il avait encore insister pour essayer de dire que c’était une erreur du magasin. Mais la discussion tourna à une dispute violente entre Squirel et ses parents. Au bout d’un moment, il avait craqué et il était parti sans rien dire heureusement qu’il avait un peu d’argent sur lui, il avait envie de partir loin mais où. Et là il pensa une fois de plus à Code Lyoko (ça m’envahi toute ces pensée sur Code Lyoko) et puis il décida d’aller à Boulogne Billancourt, au moins ça lui servira à quelque chose cette fugues disait-t-il, il prit un billet pour Strasbourg. Puis une fois là-bas, il prit le train clandestinement pour Paris. Janick avait eu de la chance de ne pas se faire choper cette fois. Le voyage dura toute la nuit à arriver à destination. Jusqu'à l’aube, il vit pour la première fois de sa vie, Paris. Certes par la fenêtre des toilettes qui lui servait de planque mais c’était quand même Paris.
Après être sorti discrètement du train et de la gare, Squirel commença par entrer dans un magasin pour acheter un peu de quoi se nourrir et après se maigre petit déjeuner. Il demanda à un passant où se trouvait la ville de Boulogne-Billancourt pour aller vers le lycée Lakanal, c’était la raison pour lequel il était partis pour Paris :
Squirel- Euh… excuser moi monsieur pouvez-vous me dire où je dois aller pour trouver la ville de Boulogne-Billancourt pour pouvoir aller au lycée Lakanal ???
L’homme- Oui bien sur. Il se trouve au sud-ouest de Paris à une dizaine de kilomètre d’ici. Pourquoi tu me demandes ça ???
Squirel- Et ben, c’est que je suis nouveaux ici, donc je dois trouver mon bahut et je croyais qu’il se trouvait ici dans les alentours. (Pas bien de mentir)
L’homme- Ah bon ? Et bien si tu veux, je peux t’y emmener ma voiture n’est pas loin.
Squirel- Vous feriez ça pour moi, un inconnu ???
L’homme- C’est aussi parce que sinon tu vas être horriblement en retard et puis en plus je me dirige vers là-bas à cinq cents mètres de ce lycée.
Squirel- Ben c’est gentil à vous.
Squirel entra dans la voiture, c’était une petite merveille de technologie à l’intérieur, elle était cool. En un quart d’heure l’homme était déjà arrivé à Boulogne Billancourt. A croire que la voiture n’en n’avait pas que dans les circuits, mais aussi un bon et gros moteur qui ronronnait paisiblement sous le capot. Cette fugue avait été beaucoup plus simple que prévu. La voiture s’arrêta devant un portail, il y avait plein d’arbre partout se qui faisait bizarre en pleine ville, Squirel était arrivé au lycée Lakanal :
L’homme- Voilà tu es arrivé et il est tout juste 8h tu passera ta première journée, à l’heure !!!
Squirel- C’était vraiment sympa de votre part. je peut juste connaître votre prénom ???
L’homme- Oui il n’y pas de mal à ça je suis Franz.
Là je pense à un truc carrément impossible.
Squirel- Franz comment ???
Franz- Franz Hopper, bon allez, salut je suis pressé.
Il venait de laisser Squirel comme un poireau, il n’avait même pas eut le temps de lui répondre. Pour Lyokofan c’était un peu normal, parce que le fait d’entendre Franz Hopper c’est très important à mes connaissances de Code Lyoko, c’est quand même le créateur du supercalculateur. Et puis nan c’était impossible, ça ne pouvait pas être lui. Squirel entra comme prévu dans le lycée Lakanal, il aurait voulu prendre quelques photos mais il n’avait pas eu le temps de prendre son appareil photo numérique. Une fois à l’intérieur tout lui semblais familier. D’une certaine manière il connaissait ce lycée comme si il y était déjà aller pendant une année ou plus, c’était un peu normal quand on sait que le lycée Lakanal et le collège Kadic de code lyoko sont deux sosie.
Squirel se baladait tranquillement dans le parc du lycée, mais il savait qu’il ne pourrait pas rester ici éternellement vu que jamais personne ne l’avait déjà vu. Il avait réussit à retrouver la plaque d’égout au bout en quelque secondes de recherche, il ne pensait pas à s’aventurer dans les égouts, il savait que le réseau des égouts n’étaient pas le même que la réalité et aussi ils étaient bien plus pollués que dans Code Lyoko. Apres cette courte pose devant cette sublime plaque d’égout, il s’approcha doucement du lycée, il allait quand même pas aller dans la cour comme un pigeon, y avait des pions partout, alors derrière les arbres, il avait pus observer une grande parti du lycée, pendant une demi-heure il avait fait tout le tour des bâtiments. Il en revenait pas, c’était vraiment exactement pareil que dans code lyoko, le collège Kadic. Squirel décida de repartir pour pouvoir quand même explorer l’usine Renault. Mais quand Il était arrivé devant le portail, il était fermé. Alors là bravo, se faire enfermer dans un bahut faut le faire !!! Il pensa donc à Sam, la petite copine de Odd, elle avait réussi à monter le grillage pour passer, dans l’épisode 36ème dessous, il alla tenter la même chose. C’était vrai qu’ils étaient simples à escalader ces grillages comme l’avait dit Sam. Une fois sorti, il se dirigea vers le fleuve là où une moitié d’usine désaffecter se trouvait au plein milieu sur une immense île. Il avait marché pendant une demi-heure tranquillement quand il vit une affiche sur un lampadaire, il y avait écrit :
________________________________AVIS DE RECHERCHE
_____________________________________JANICK
_____________________APPELER AU 06.17.28.39.40.* SI VOUS LE REPEREZ
_________________________________MERCI D’AVANCE
*(Le numéro est faux bien sur)
En gros il y avait une photo de Squirel dessus, ce n’était pas la meilleure photo qu’il possédait. Il décida d’accélérer le pas jusqu'à sprinter même histoire de ne pas perdre du temps dans la rue. Jusqu'à ce que il puisse enfin voir l’usine Renault au milieu du fleuve. Une fois arrivé, il ralenti pour pouvoir admirer cette usine.
Elle aussi c’était un sosie de celle de code lyoko sauf qu’elle était pas entière (pourquoi la détruire alors que je la classerai monument historique). La porte était fermée à son désespoir de rentrer à l’intérieur. Jusqu'à ce que il l’examina de plus près, elle était toute rouillée. A une tentative désespéré, il pris son élan et commença à courir en mettant son épaule en avant, il défonça la porte sans effort, finalement elle tenait a peine sur ses gonds quand il l’avait examiné au par avant. Après s’être relevé, il était descendus au rée de chaussée. D’après le dessin animée le monte-charge devait être derrière moi, il se retourna et vis le célèbre monte-charge, mais encore plus pourrit et rouiller que dans code lyoko. Inconsciemment, il rentra dedans et il appuya sur le gros bouton rouge, le monte-charge trembla mais pas parce que un rideaux de fer le fermait, mais parce que le monte-charge était réellement complètement mort. Sur le coup Janick sorti du monte-charge. Mais il commença à descendre comme à son habitude, il avait eu un peu les boules. Un grand bruit se fit entendre :
BOUM !!!
En faite nan il avait pas du tout les boule, parce quand on entend un monte-charge se cracher au fond d’un puit, sa donne pas trop envie d’être à l’intérieur. Donc comme l’ont déjà fait Jérémie et Odd dans l’épisode piège, Squirel avait l’intention de passer par le corridor de la chaufferie, mais ce n’était pas gagné quand on savait que l’usine était un immense labyrinthique. Au même moment, à cause du bruit du crash du monte-charge, un ouvrier chargé de la destruction de l’usine fit son apparition :
L’ouvrier : HEY !!! Qu’est ce que tu fiches ici !!! SALE GOSSE !!!
Et l’ouvrier se mit à sa poursuite, Squirel prit ses jambes à son cou et s’en alla le plus vite possible en prenant toute sorte de couloirs plus ou moins délabré après avoir enjambé une fissure de un mètre de large, il m’apprêtait à prendre un autre couloir quand soudain un cri perçant lui déchira les tympans. L’homme venait de tomber dans la fissure, par curiosité, Squirel s’approcha de la fissure et tendis le cou. Il y faisait très noir mais on pouvait y voir la silhouette de l’homme étalé par terre, il était inconscient seulement. Il ne fallait pas traîner, Squirel pris le couloir qu’il comptait empreinter avant le couloir le guida à la chaufferie. La chaudière était complètement foutue, comme si elle avait déjà explosé. Et puis il trouva enfin le petit passage qui menait au labo dans Code Lyoko, quand il arriva dans la pièce, il y faisait tout noir, il n’arrivait pas à voir à l’autre bout de la pièce tellement que c’était sombre, mais par contre il voyait nettement un étrange pilier enroulé de câble électrique. Il en revenais pas, rien qu’en pensant que c’était peut-être se qui relie jusqu’au écran du labo du supercalculateur. Mais à cause du noir, il n’y voyait pas l’intérêt d’y descendre. Il retourna sur ses pas. Quand il était au niveau de la fissure où l’ouvrier avait chuté à l’intérieur, il vit une vieille lampe au bord de la crevasse. Ca devait être celle de l’ouvrier. Il la prit et la mis en marche, ça c’était une chance que la lampe n’était pas endommagé par le choc du sol. Squirel retourna dans la pièce, ralluma sa lampe, vit à nouveau le pilier mais avec les écrans au bout, plus loin il trouva un grand siège posé sur un monorail et au centre du laboratoire, il vit une espèce de socle creux en bol à l’intérieur qui ne pouvait être que le projecteur holographique tridimensionnel. Et enfin, il trouva le petit passage qui menait à l’étage en dessous pour nos héros, quand ils étaient en mission urgente. Il y avait une légère lumière à travers l’ouverture, Squirel descendit et il se retrouva devant trois grands cylindres. C’était obligé, c’étaient les scanners. Squirel était impressionner de voir le seul et unique passage entre Lyoko et la Terre. Et au milieu de la pièce, il y avait une trappe qui menait encore à l’étage en dessous, c’était de là que venait la lumière. Il se rapprocha tout doucement de la trappe. Mais avant d’y arriver la lumière qui éclairait la salle s’intensifia brusquement et on entendis la voix d’un homme crier de toute ses force, il avait l’air de souffrir atrocement, avec des grésillements, comme si une forte concentration d’électricité passait dans un tout petit câble. La lumière repris sa luminosité normale et les grésillements s’estompèrent, mais la voix de l’homme c’était arrêté bien avant les grésillements produits par l’électrocution. En continuant à me rapprocher de la trappe, Squirel vit un homme, il était couché sur le ventre on ne voyait pas son visage mais son bras était dans un autre grand cylindre encore plus grand que dans la salle des scanners, mais avec une base plus large mais toujours cylindrique. Le cylindre était au milieu d’un bassin de liquide qui m’est inconnu. Là où Squirel se trouve il y avait une échelle pour pouvoir descendre rejoindre l’homme. Il descendit et s’approcha de l’homme allongé par terre, Squirel le retourna. Il était tout noirs comme grillé et… :
Squirel- mais !!! … Je le reconnais c’est … c’est Franz Hopper !!!
C’était la première fois qu’il avait un cadavre tout chaud tout frais sous les yeux. Squirel regardait le gros cylindre où Franz HOPPER avait le bras coincé, et il vit que c’était un énorme tas de circuit électrique une pur merveille technologique, je pensa donc au hardware du supercalculateur. Squirel fit le tour du supercalculateur sans s’occuper de Franz HOPPER qui était à présent mort et il trouva une gros levier abaissé, il le remonta et toutes les lumières commencèrent à éclairer la pièce et le supercalculateur commença à émettre des sons grave, genre une multitude de ventilateurs, les sons allaient de plus en plus dans les aigu et le supercalculateur commença à descendre dans le bassin de liquide. Maintenant que Squirel venais de faire la plus grande connerie de toute sa vie d’allumer le plus puissant supercalculateur au monde. Il remonta par l’échelle de là où il était venu, la salle des scanners était aussi éclairée par de faibles lumières mais celle des scanners suffisait amplement à éclairer toute la salle. Il repris le passage pour rejoindre le labo, là rien n’avait bougé en dehors de l’éclairage. Squirel s’installa dans le fauteuil à un bout du labo et automatiquement, il se déplaça vers les écrans du labo. Il ouvrit le premier fichier qui était affiché et au bout de quelque clique une voix se fit entendre :
Connexion en cour… connexion en cour…
Cette voix se répéta quatre fois et subitement la voix s’arrêta et le fauteuil commença de nouveau à se déplacer automatiquement, mais cette fois pour faire le tour du labo. Suivant la distance parcourue le projecteur holographique au centre de la salle commença à émettre une lumière, puis une image floue et enfin une carte tridimensionnelle. Pas besoin de réfléchir c’était la carte en trois dimension de Lyoko, et oui Lyoko existe belle et bien. Une fois retourné devant les écrans Squirel vis une icône nommé Aëlita je la sélectionna et elle apparut dans une nouvelle fenêtre :
Aëlita- Salut. Mais qui es tu ???
Squirel- Euh…
Aëlita- Je suis Aëlita.
Squirel- Je… je m’appelle… Janick. Tu… tu existes ?
Aëlita- Ben oui ??? Pourquoi je n’existerais pas Janick ???
Squirel- Appelle moi plutôt Squirel.
Aëlita- D’accord. Mais comment m’as-tu découvert ???
Squirel- C’est une longue histoire… et je ne crois pas que j’aurais le temps de te la raconter il y a un ouvrier qui me recherche, il m’a vu traîner dans l’usine et…
Aëlita- Vient sur Lyoko, tu auras tout ton temps et tu en craindras rien de l’ouvrier.
Squirel- Je ne sais pas pourquoi mais je le sens pas, mais pas du tout.
Aëlita- Tu n’as pas à t’en faire. Tu fais tout ce que je te dis et tout se passera bien.
Squirel- Bon… d’accord.
Aëlita- Bien alors maintenant tu vas …
Après quelques explications compliquées et vérification de Aëlita, le protocole de transfert était achevé :
Aëlita- Bravo !!! On a réussi. Tu vas pouvoir me rejoindre sur Lyoko. Maintenant tu as plus qu’a l’appliquer et le compte à rebours qu’on a programmer se mettra en route.
Squirel- D’accord, j’arrive, à toute à l’heure.
La fenêtre qui contenait le visage d’Aëlita se ferma et Squirel cliqua sur la touche application. Le compte à rebours était lancé comme prévu pour deux minutes. Squirel se leva de son siège coura vers le passage au niveau des échelons. Il s’y introduit et descendis à toute vitesse en direction de la salle des scanners. Les trois scanners étaient fermés en attendant le compte à rebours. Squirel se retourna et dit d’une voix tremblante :
Squirel- Adieu la Terre !!!
L’un des scanners s’ouvrit après cet adieu, et la place qui lui était réservé se découvrit. Squirel rentra à l’intérieur d’un pas mal assuré, contempla le scanner de l’intérieur, mais juste avant qu’il ne se ferme, il vit Franz Hopper se dirigé vers lui en émettant des grognements et les pupilles étaient remplacées par deux oeils de XANA. Le scanner étant complètement fermé, Franz Hopper ne pouvait plus l’attaquer. Le scanner se mit en route et parcoura toute la hauteur de mon corps tout en me soulevant d’une vingtaine de centimètres au dessus du sol. Et subitement sans le vouloir, je m’évanoui dans une lumière blanche aveuglante. Squirel n’était plus un terrien.
[color=red]à suivre...
Dites tout de suite si il y a des probleme de scénario ou autre chose pour que je modifie tout ca :oops: [/color]