par Darinas » 21 Sep 2009, 01:38
Oulà, je connaît un chauve à lunette qui commence à se croire dans Code Tanit...^^ Enfin, bon, voici la suite :
Will et Aelita étaient toujours suspendus dans la Tour, rageant de ne pouvoir rien faire. Ils étaient là, bêtement immobilisés, à ne rien pouvoir faire, tandis que Carthage leur faisait on ne savais quoi...
Soudain, le bruis caractéristique de quelqu'un montant dans la tour se fit entendre. Instinctivement, Aelita tourna la tête, et aperçut un visage bien connu...
- Yumi!
- Du calme! Oui, c'est moi. Vous inquiétez pas, on va vous sortir de là en moins de deux...
La japonaise arriva sur la plate-forme, suvie trés vite par Peter. Tous deux approchèrent leurs amis, et tentèrent de les libérer. Rien à faire : leurs armes passèrent simplement à travers les anneaux d'énergie sans rien faire.
Peter et Yumi se regardèrent : comment faire pour les tirer d'affaire ?
- Doit bien avoir un moyen...
- A vrai dire, peut-être, fit Aelita.
D'un mouvement de la tête, elle montra l'interface.
- Je crois que ça vient de là. Si on réussit à manipuler un truc dessus, ça pourrait nous tirer d'affaire.
- Mais tu es la seule à pouvoir utiliser les interfaces!
- On peut arranger ça...
- Et comment ?
Tout le monde se tourna vers Yumi, qui comprit tout de suite.
- La télépathie encore, c'est ça ?
- Oui. Si j'utilise ton corps via la télépathie, je devrait pouvoir manipuler l'interface.
- Tu es sur de ton coup ?
- Non. Mais ça vaut le coup d'essayer.
- Ok...
Yumi posa la main sur le front d'Aelita et activa la télépathie.
Aelita réussit à se connecter à son esprit, et la dirigea vers l'interface. Elle manipula deux minutes les commandes via le corps de son amie. Enfin, finalement, les anneaux disparurent.
- Voilà.
- Bien, fit Jérémie. A présent, filez avant que Carthage ne riposte!
Quelques heures plus tard, tous sortirent de l'Usine. Jérémie avait annoncé son intention d'essayer de comprendre pourquoi Carthage s'en était pris à eux, mais, en attendant, il leur fallait rentrer. Cela attendrait, tout comme l'attaque du Réplika récemment découvert...
Alors qu'ils quittaient le grand bâtiment, Odd commença à discuter avec les autres pour choisir un nouveau nom au Réplika de la Mer Numérique.
- Bas maintenant, c'est plus un Réplika de la Mer Numérique, expliqua-t-il. On devrait lui trouver un autre nom, un truc qui colle mieux...
- Et tu suggères quoi ? demanda Ulrich.
- Je sais pas... Réplika Cité, peut-être ?
- Sachant qu'il n'y a pas de Territoire Cité, commentat Jérémie, il est plutôt inapproprié de parler de REPLIKA Cité...
- Bon, d'accord... je vais réfléchir à un truc mieux...
Cependant, plus loin, Peter s'approcha de Yumi.
- Ahem, Yumi... je peux te parler une seconde ?
Intriguée, la japonaise tourna la tête vers lui.
- Euh... oui, bien sur...
Tous deux s'éloignèrent un peu des autres. Peter paraissait inhabituellement nerveux, détournant le regard et se crispant.
- Bon, donc voilà... Lorsque j'ai frôlé, ton esprit, duant notre contact télépathique, j'ai appris... certaines choses. Et je me suis rendu compte que, récemment, j'ai été... comment dire... violent avec toi. Et je voulais juste te dire...
Il ravala sa salive, puis baissa la tête :
- Je suis désolé.
Ces trois simples mots firent l'effet d'un coup de poing à Yumi. Avait-elle bien entendu ? Peter venait de s'excuser auprès d'elle ?
Prise au dépourvue, elle se sentit à son tour nerveuse.
- Oh, ce n'est rien. Moi aussi, j'ai été... dure avec toi. Je suis désolée aussi, Peter. En fait, tu as parfaitement l'étoffe d'un vrai Lyoko-guerrier.
D'un seul coup, le garçon parut se détendre. Il releva la tête et lui sourit.
- Eh bien, j'en déduit que cette histoire a été une leçon pour nous deux. Tu viens juste de gagner mon respect, Yumi Ishiyama.
- Et toi le mien, Peter Breton, répondit Yumi avec le même sourire. Mais je pense que nous auront besoin de plus que cela pour réussir à l'avenir. Alors... amis ?
Elle lui tendit la main. Peter la saisit sans hésiter.
- Amis.
*****************
Carthage était dans une rage folle. Il ne comprenait pas. Il ne comprenait pas comment le virus qu'il avait réussit à télécharger sur les Lyoko-guerriers Peter et Yumi avait soudaint cessé de fonctionner, alors que tous les tests précédents avaient été positif. Comment ils étaient parvenus à libérer les sujets, alors qu'Aelita était la seule à avoir accès aux interfaces. Et surtout, comment deux humains si haineux l'un vis-à-vis de l'autre avaient put agir de façon aussi coordonné.
Tout au moins, il savait pourquoi ils étaient ainsi parvenu à traverser son territoire si facilement. A présent, le problème était flagrant : il fallait asbolument qu'il se crée des forces armées pour le défendre et étendre ses conquètes. Malgré sa puissance, il ne pouvais plus assurer seul son entreprise, et le Trakeur ne suffirait pas non plus. Il lui fallait des sbires, ou tout au moins des armes.
Soudain, il remarqua quelque chose dans ses programmes. Regardant plus profondément, il vit ce que c'était, et sa rage se mua en frisson d'excitation : malgré la fuite, l'ADN était là. La tour avait eu le temps d'achever les analyse de façon suffisante, et le Trakeur avait parfaitement fait son travail.
Carthage exultat. En fin de compte, la mission avait été une parfaite réussite. Il était à présent en possession de quatres des six éléments qui lui manquaient. plus que deux à récupérer, et le projet serait à terme. Et alors, son objectif arriverait enfin à sa fin...
FIN.
Suite dans Code Lyoko N.A.G. XV - Liens Familiaux.
Oulà, je connaît un chauve à lunette qui commence à se croire dans Code Tanit...^^ Enfin, bon, voici la suite :
Will et Aelita étaient toujours suspendus dans la Tour, rageant de ne pouvoir rien faire. Ils étaient là, bêtement immobilisés, à ne rien pouvoir faire, tandis que Carthage leur faisait on ne savais quoi...
Soudain, le bruis caractéristique de quelqu'un montant dans la tour se fit entendre. Instinctivement, Aelita tourna la tête, et aperçut un visage bien connu...
- Yumi!
- Du calme! Oui, c'est moi. Vous inquiétez pas, on va vous sortir de là en moins de deux...
La japonaise arriva sur la plate-forme, suvie trés vite par Peter. Tous deux approchèrent leurs amis, et tentèrent de les libérer. Rien à faire : leurs armes passèrent simplement à travers les anneaux d'énergie sans rien faire.
Peter et Yumi se regardèrent : comment faire pour les tirer d'affaire ?
- Doit bien avoir un moyen...
- A vrai dire, peut-être, fit Aelita.
D'un mouvement de la tête, elle montra l'interface.
- Je crois que ça vient de là. Si on réussit à manipuler un truc dessus, ça pourrait nous tirer d'affaire.
- Mais tu es la seule à pouvoir utiliser les interfaces!
- On peut arranger ça...
- Et comment ?
Tout le monde se tourna vers Yumi, qui comprit tout de suite.
- La télépathie encore, c'est ça ?
- Oui. Si j'utilise ton corps via la télépathie, je devrait pouvoir manipuler l'interface.
- Tu es sur de ton coup ?
- Non. Mais ça vaut le coup d'essayer.
- Ok...
Yumi posa la main sur le front d'Aelita et activa la télépathie.
Aelita réussit à se connecter à son esprit, et la dirigea vers l'interface. Elle manipula deux minutes les commandes via le corps de son amie. Enfin, finalement, les anneaux disparurent.
- Voilà.
- Bien, fit Jérémie. A présent, filez avant que Carthage ne riposte!
Quelques heures plus tard, tous sortirent de l'Usine. Jérémie avait annoncé son intention d'essayer de comprendre pourquoi Carthage s'en était pris à eux, mais, en attendant, il leur fallait rentrer. Cela attendrait, tout comme l'attaque du Réplika récemment découvert...
Alors qu'ils quittaient le grand bâtiment, Odd commença à discuter avec les autres pour choisir un nouveau nom au Réplika de la Mer Numérique.
- Bas maintenant, c'est plus un Réplika de la Mer Numérique, expliqua-t-il. On devrait lui trouver un autre nom, un truc qui colle mieux...
- Et tu suggères quoi ? demanda Ulrich.
- Je sais pas... Réplika Cité, peut-être ?
- Sachant qu'il n'y a pas de Territoire Cité, commentat Jérémie, il est plutôt inapproprié de parler de REPLIKA Cité...
- Bon, d'accord... je vais réfléchir à un truc mieux...
Cependant, plus loin, Peter s'approcha de Yumi.
- Ahem, Yumi... je peux te parler une seconde ?
Intriguée, la japonaise tourna la tête vers lui.
- Euh... oui, bien sur...
Tous deux s'éloignèrent un peu des autres. Peter paraissait inhabituellement nerveux, détournant le regard et se crispant.
- Bon, donc voilà... Lorsque j'ai frôlé, ton esprit, duant notre contact télépathique, j'ai appris... certaines choses. Et je me suis rendu compte que, récemment, j'ai été... comment dire... violent avec toi. Et je voulais juste te dire...
Il ravala sa salive, puis baissa la tête :
- Je suis désolé.
Ces trois simples mots firent l'effet d'un coup de poing à Yumi. Avait-elle bien entendu ? Peter venait de [i]s'excuser[/i] auprès d'elle ?
Prise au dépourvue, elle se sentit à son tour nerveuse.
- Oh, ce n'est rien. Moi aussi, j'ai été... dure avec toi. Je suis désolée aussi, Peter. En fait, tu as parfaitement l'étoffe d'un vrai Lyoko-guerrier.
D'un seul coup, le garçon parut se détendre. Il releva la tête et lui sourit.
- Eh bien, j'en déduit que cette histoire a été une leçon pour nous deux. Tu viens juste de gagner mon respect, Yumi Ishiyama.
- Et toi le mien, Peter Breton, répondit Yumi avec le même sourire. Mais je pense que nous auront besoin de plus que cela pour réussir à l'avenir. Alors... amis ?
Elle lui tendit la main. Peter la saisit sans hésiter.
- Amis.
*****************
Carthage était dans une rage folle. Il ne comprenait pas. Il ne comprenait pas comment le virus qu'il avait réussit à télécharger sur les Lyoko-guerriers Peter et Yumi avait soudaint cessé de fonctionner, alors que tous les tests précédents avaient été positif. Comment ils étaient parvenus à libérer les sujets, alors qu'Aelita était la seule à avoir accès aux interfaces. Et surtout, comment deux humains si haineux l'un vis-à-vis de l'autre avaient put agir de façon aussi coordonné.
Tout au moins, il savait pourquoi ils étaient ainsi parvenu à traverser son territoire si facilement. A présent, le problème était flagrant : il fallait asbolument qu'il se crée des forces armées pour le défendre et étendre ses conquètes. Malgré sa puissance, il ne pouvais plus assurer seul son entreprise, et le Trakeur ne suffirait pas non plus. Il lui fallait des sbires, ou tout au moins des armes.
Soudain, il remarqua quelque chose dans ses programmes. Regardant plus profondément, il vit ce que c'était, et sa rage se mua en frisson d'excitation : malgré la fuite, l'ADN était là. La tour avait eu le temps d'achever les analyse de façon suffisante, et le Trakeur avait parfaitement fait son travail.
Carthage exultat. En fin de compte, la mission avait été une parfaite réussite. Il était à présent en possession de quatres des six éléments qui lui manquaient. plus que deux à récupérer, et le projet serait à terme. Et alors, son objectif arriverait enfin à sa fin...
FIN.
Suite dans Code Lyoko N.A.G. XV - Liens Familiaux.