par L'anonyme » 26 Aoû 2006, 16:12
Je remet le topic au gout du jour: pendant mes vacances, j'ai lu les trois "Contes et légendes inachevées" (premier âge, deuxième âge, troisième âge). Ca apporte à l'univers des précisions considérables, il faut bien l'avouer, et nous fait indirectement comprendre deux trois paradoxes, et subtilités psychologiques que l'on ne comprend pas immédiatement avec le seigneur des anneaux. Mais ce n'est pas de cela que je veux parler.
J'ai également lu Faërie. Ce coup ci, ça n'a rien à voir avec le seigneur des anneaux, ni même avec la terre du milieu. En effet, il s'agit d'un recueuil de trois contes de fées suivis d'un essai sur les contes de fées.
Il y a trois contes:
Le fermier Gilles de Ham (Farmer Giles of Ham).
Ce fermier, réussissant avec un coup de pot démentiel à chasser un géant particulièrement gros et bête de ses terres, et acquiert de ce fait une réputation nationale, qui finira par le contraindre à partir à la chasse au dragon. Là, c'est l'humour qui est particulièrement remarquable, dans ce conte qui ne manque pas de rappeler dans le concept "Le petit tailleur" de Waltdisney. (je donne cet exemple pour que le principe de base soit bien compris, bien que ce ne soit que le chassis de la chose, si j'ose dire)
Smith de Grand Wooton (Smith of Wooton major).
Une jeune fils de forgeron découvre dans le gâteau de la fête municipale une étoile de fée, qui se révèlera être un passeport pour leur pays. Dit ainsi, ça peut paraître simpliste, mais raconter dans le détail ce qu'il en est sans le déformer me parait infaisable, à moins d'en faire un synopsis détaillé.
Feuille, de niggle.
Impossible à bien raconter, lisez par vous mêmes.
Quant à l'essai, il est remarquable. Tolkien ne tente pas de définir le conte de fées avec exactitude, ceci risquant de l'amenuiser, mais en explore les origines, les fonctions, et le ressenti qu'en a la population, critiquant la fausseté de celui ci, tout en parlant d'une manière générale de ce qui fait, ou ne fait pas, ou même pourrait faire un conte de fées. C'est assez long, et le style est assez accidenté, si j'ose dire, mais c'est remarquable.
Je remet le topic au gout du jour: pendant mes vacances, j'ai lu les trois "Contes et légendes inachevées" (premier âge, deuxième âge, troisième âge). Ca apporte à l'univers des précisions considérables, il faut bien l'avouer, et nous fait indirectement comprendre deux trois paradoxes, et subtilités psychologiques que l'on ne comprend pas immédiatement avec le seigneur des anneaux. Mais ce n'est pas de cela que je veux parler.
J'ai également lu Faërie. Ce coup ci, ça n'a rien à voir avec le seigneur des anneaux, ni même avec la terre du milieu. En effet, il s'agit d'un recueuil de trois contes de fées suivis d'un essai sur les contes de fées.
Il y a trois contes:
Le fermier Gilles de Ham (Farmer Giles of Ham).
Ce fermier, réussissant avec un coup de pot démentiel à chasser un géant particulièrement gros et bête de ses terres, et acquiert de ce fait une réputation nationale, qui finira par le contraindre à partir à la chasse au dragon. Là, c'est l'humour qui est particulièrement remarquable, dans ce conte qui ne manque pas de rappeler dans le concept "Le petit tailleur" de Waltdisney. (je donne cet exemple pour que le principe de base soit bien compris, bien que ce ne soit que le chassis de la chose, si j'ose dire)
Smith de Grand Wooton (Smith of Wooton major).
Une jeune fils de forgeron découvre dans le gâteau de la fête municipale une étoile de fée, qui se révèlera être un passeport pour leur pays. Dit ainsi, ça peut paraître simpliste, mais raconter dans le détail ce qu'il en est sans le déformer me parait infaisable, à moins d'en faire un synopsis détaillé.
Feuille, de niggle.
Impossible à bien raconter, lisez par vous mêmes.
Quant à l'essai, il est remarquable. Tolkien ne tente pas de définir le conte de fées avec exactitude, ceci risquant de l'amenuiser, mais en explore les origines, les fonctions, et le ressenti qu'en a la population, critiquant la fausseté de celui ci, tout en parlant d'une manière générale de ce qui fait, ou ne fait pas, ou même pourrait faire un conte de fées. C'est assez long, et le style est assez accidenté, si j'ose dire, mais c'est remarquable.