Je vais tenter de faire une petite suite qui suit la continuité de celle de flunne. Alors il ne faut pas s'attendre à un chef d'oeuvre
.
Réveillée par les rayons du soleil qui traversaient les stores de sa chambre, Yumi émergea lentement de son doux et profond sommeil.
Elle s'étira, nue, et bailla.
Y : Oh je dormais tellement bien !
Soudain, son regard s'abaissa légèrement et un immense sourire rempli de joie, d'amour et de tendresse se dessina sur son visage. Ses yeux ne pouvaient plus se passer de cette vision angélique et reposante : Ulrich dormait paisiblement, nu, avec un petit sourire sur les lèvres. Ces paupières bougeaient légèrement : il rêvait. Yumi lui caressa le visage avec délicétesse, de peur de le sortir de ses songes : il était tellement beau. Ses muscles étaient totalemet détendus et il semblait ne jamais vouloir se réveiller.
Y (en chuchotant) : Oh que non. Ne te réveilles surtout pas tout de suite mon ange. Je pourrais te contempler encore pendant des heures.
Elle lui déposa un petit baiser dans le coup. Elle aimait bien lui faire ça. Surtout, depuis cette formidable nuit qu'il avient passée ensemble. Quelle nuit ! Elle ne l'oublieras jamais ! Elle lui avait offert son corps sans retenue et sans pudeur. Et en échange, il en avait fait de même : et ils en ont profité autant qu'ils le pouvaient, l'un comme l'autre.
Perdue dans ses pensées, elle vint à peine de sentir son petit ami bouger. Elle l'observa : il s'étira lentement les bras vers le haut, tendit aussi ses jambes pour les décontracter et il bailla en même temps. Yumi l'admirait sans dire un mot : elle trouvait qu'il ressemblait à un petit chat en train de se réveiller. Ulrich croisa son regard, lui pris tendrement la main et la baisa avec tout autant de délicatesse.
U : Bonjour... Mon grand amour.
Y : Salut.
Il l'entraîna doucement vers lui et l'embrassa amoureusement tout en caressant ses hanches. Il descendit lentement dans son cou pour y déposer quelques baisers en lui soufflant des mots tendres à l'oreille.
U : Je t'aime tellement. Et cette nuit aussi je l'ai beaucoup aimée.
Y : Moi aussi. J'en voudrait tellement d'autres, et pour toujours... Je t'aime plus qu'il ne pourrait être permis d'aimer.
U (en l'embrassant plus passionnément) : Je sais que je te l'ai déjà dis... Mais je veux vraiment faire ma vie avec toi. Et je veux aussi faire l'amour avec toi... Rien qu'avec toi.
Y (en le calmant gentiment) : Moi aussi mon ange... Mais mes parents doivent être rentrés. Alors il vaut mieux attendre.
U : Oh j'avais oublié. Bon d'accord, mais après...
Y (souriant malicieusement) : Après...
U : Après tu es à moi !
Y : Mmm... On verra bien.
Mme I : Les enfants venez déjeuner ?
Y : Oui ! (à Ulrich) On y va.
U : Ok.
Ils se rhabillèrent et descendirent les escaliers main dans la main.
Je vais tenter de faire une petite suite qui suit la continuité de celle de flunne. Alors il ne faut pas s'attendre à un chef d'oeuvre :oops: .
Réveillée par les rayons du soleil qui traversaient les stores de sa chambre, Yumi émergea lentement de son doux et profond sommeil.
Elle s'étira, nue, et bailla.
Y : Oh je dormais tellement bien !
Soudain, son regard s'abaissa légèrement et un immense sourire rempli de joie, d'amour et de tendresse se dessina sur son visage. Ses yeux ne pouvaient plus se passer de cette vision angélique et reposante : Ulrich dormait paisiblement, nu, avec un petit sourire sur les lèvres. Ces paupières bougeaient légèrement : il rêvait. Yumi lui caressa le visage avec délicétesse, de peur de le sortir de ses songes : il était tellement beau. Ses muscles étaient totalemet détendus et il semblait ne jamais vouloir se réveiller.
Y (en chuchotant) : Oh que non. Ne te réveilles surtout pas tout de suite mon ange. Je pourrais te contempler encore pendant des heures.
Elle lui déposa un petit baiser dans le coup. Elle aimait bien lui faire ça. Surtout, depuis cette formidable nuit qu'il avient passée ensemble. Quelle nuit ! Elle ne l'oublieras jamais ! Elle lui avait offert son corps sans retenue et sans pudeur. Et en échange, il en avait fait de même : et ils en ont profité autant qu'ils le pouvaient, l'un comme l'autre.
Perdue dans ses pensées, elle vint à peine de sentir son petit ami bouger. Elle l'observa : il s'étira lentement les bras vers le haut, tendit aussi ses jambes pour les décontracter et il bailla en même temps. Yumi l'admirait sans dire un mot : elle trouvait qu'il ressemblait à un petit chat en train de se réveiller. Ulrich croisa son regard, lui pris tendrement la main et la baisa avec tout autant de délicatesse.
U : Bonjour... Mon grand amour.
Y : Salut.
Il l'entraîna doucement vers lui et l'embrassa amoureusement tout en caressant ses hanches. Il descendit lentement dans son cou pour y déposer quelques baisers en lui soufflant des mots tendres à l'oreille.
U : Je t'aime tellement. Et cette nuit aussi je l'ai beaucoup aimée.
Y : Moi aussi. J'en voudrait tellement d'autres, et pour toujours... Je t'aime plus qu'il ne pourrait être permis d'aimer.
U (en l'embrassant plus passionnément) : Je sais que je te l'ai déjà dis... Mais je veux vraiment faire ma vie avec toi. Et je veux aussi faire l'amour avec toi... Rien qu'avec toi.
Y (en le calmant gentiment) : Moi aussi mon ange... Mais mes parents doivent être rentrés. Alors il vaut mieux attendre.
U : Oh j'avais oublié. Bon d'accord, mais après...
Y (souriant malicieusement) : Après...
U : Après tu es à moi !
Y : Mmm... On verra bien.
Mme I : Les enfants venez déjeuner ?
Y : Oui ! (à Ulrich) On y va.
U : Ok.
Ils se rhabillèrent et descendirent les escaliers main dans la main.