par KidNova » 21 Fév 2010, 18:36
Aïe =S
Bon, j'ai écris le chapitre suivant, en essayant de rectifier un peu le tir... J'espère que ca ira =/
Enjoy ! =S
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Tel le son irritant d’un réveil vous extirpe d’une nuit de sommeil, la sonnerie du collège francilien sortit les élèves de leur statut semi-endormi afin de les envoyer en cour. Odd, inquiet, jeta un œil à son emploi du temps, affirmant qu’ils avaient cours de Français avec leur professeur principal. Ulrich se mit en marche nonchalamment, suivi de près par Odd et Elisabeth, Ulrich et elle ayant fait la paix la veille. Ils approchaient de la porte, quand le chat violet aperçut la Geisha sortir de l’internat, en silence. Cette dernière les interpella, révélant à Odd et à Ulrich ce que Jérémie avait tenté de faire. Ces derniers furent peu surpris.
« Il faut le comprendre, aussi. Hopper nous a bien aidés dans la lutte contre XANA. En plus, c’est le père d’Aelita.
- Peut-être, mais c’est du suicide. On a eu tant de mal à le neutraliser… Ca a mis plus d’un an ! Réduire plus d’un an de travail en quelques clics !? Et tout ça pour quoi ?
- Pour sauver le père d’Aelita, répliqua Ulrich, les yeux fermés, perdu dans ses pensées.
- Voilà ! On va mettre le monde en danger pour sauver une seule et unique personne ! »
Ulrich se tût, le regard plongé dans celui de Yumi. Il n’arrivait pas à croire ce qu’il venait d’entendre… La Nippone ne voulait pas sauver le père de l’une de ses meilleures amies… Il tentait de pénétrer dans son âme… Savoir pourquoi est-ce qu’elle avait répondu ça…
« Tu n’aurais pas fait la même chose pour moi ? »
Yumi le regardait avec stupeur. Elle ne s’attendait pas à ce qu’Ulrich dise ça, et ne savait pas vraiment quoi répondre. La bouche ouverte par l’étonnement, elle cherchait une réplique, mais ne trouva rien à redire.
« Qui es-tu ? »
La geisha se posait avec effroi la même question, regardant la paume de ses mains… Elle n’était plus elle-même… Yumi tremblait, apeurée… Au loin, un inconnu frottait deux objets l’un contre l’autre… Odd et Ulrich, conscient de l’heure, allèrent en cours, laissant la Nippone seule. Celle-ci, n’ayant pas cours, partit en étude, tremblante.
Dans la salle de cours, l’ambiance se faisait lourde. Le professeur de français, qui était aussi le professeur principal de la classe de 3ème, attendait quelque chose. Les élèves étaient un peu stressés, et inquiets, ne sachant pas ce qu’il se passait. Odd jeta un œil à sa montre, constatant qu’il s’était déjà passé dix minutes dans le calme. La tension monta encore d’un cran quand on toqua à la porte, alors certains élèves avaient commencé à discuter à voix basse, demandant à leurs camarades s’ils savaient ce qui allait se passer. Le professeur, un peu soulagé, donna l’autorisation d’entrer. Ce ne furent pas une, mais deux jeunes qui entrèrent. D’abord, un jeune garçon d’une quinzaine d’ année se mit devant le bureau du PP. La seconde personne ne leur apparût pas de suite : Ce fût d’abord une canne blanche qui entra, hésitante. A l’autre bout, une adolescente, un peu plus jeune que l’autre, marchait, hésitante. Ses lunettes attirèrent l’attention de la salle : Elle était non-voyante. Des murmures se firent entendre dans la salle, mettant la jeune fille mal à l’aise. Grâce à sa canne, elle réussit à se placer aux cotés de l’adolescent. Alors qu’il était plutôt « fier de lui », essayant de se faire remarquer pour se faire accepter, elle restait plutôt à l’écart, les deux mains posées sur la canne de métal. Ses vêtements étaient grisâtres, marqués par quelques gouttes de pluie… Pourtant, il n’avait pas plût, ce matin… Le professeur pris la parole, présentant les deux adolescents comme de nouveaux élèves de la classe. Il appris leur nom aux autres élèves. La jeune non-voyante se nommait Céleste, et venait d’un petit collège parisien. Quant au garçon, il venait de Nice, et s’appelait Morgan. Il demanda ensuite aux deux nouveaux de se présenter. Le prénommé Morgan commença :
« Salut, comment allez-vous ? Je m’appelle Morgan, comme le prof l’a dit, j’ai quinze ans, et je viens de Nice. Je suis excellent en dessin, et je peux le prouver ! »
Il sortit une feuille A4 de son sac, et la montra à l’auditoire. Il y avait dessiné le Collège Kadic par un jour de pluie… Un son d’admiration se fît entendre, alors qu’il fît passer son œuvre entre les mains des élèves. Il reprit :
« Je fais également des portraits. Si vous en voulez un, c’est au dortoir, chambre 350 ! Au fait, je ne signe des autographes qu’après la fin des cours, pour ceux que ça intéresse. »
La présentation de cet élève eût un goût amer pour les ex-lyokoguerriers. Elle fût encore plus désagréable à Jérémie quand ce nouveau se permit de donner son téléphone à Aelita. Cette dernière n’y prêta même pas attention, jetant le bout de papier froissé dans une poubelle proche. Ce fût à la jeune non-voyante de se présenter.
« Salut…, dît-elle, d’une voix hésitante, Je m’appelle Céleste, Céleste Schaeffer. »
A ce nom, l’oreille d’Aelita se tendit. Elle écouta, bouche bée, le reste de la présentation, avec une attention qui pouvait sembler excessive. La jeune non-voyante reprit :
« Je vivais avant dans un orphelinat à Paris, puis, quand l’établissement à fermé, je me suis retrouvée à l’orphelinat d’en face. »
Tournant le visage vers le professeur, qu’elle avait entendu auparavant, elle ajouta qu’elle avait terminé, et se mit à chercher une place. Aelita l’interpella, lui proposant la troisième place du bureau. La lyokoguerrière était folle de joie : Elle avait peut-être retrouvé un membre de sa famille… Céleste s’assis, non sans mal, et ouvrit son sac, en sortant de quoi écrire. Aelita prit la parole :
« Je m’appelle Aelita, Aelita Schaeffer. Je crois que nous sommes cousines… »
Céleste sourit.
Aïe =S
Bon, j'ai écris le chapitre suivant, en essayant de rectifier un peu le tir... J'espère que ca ira =/
Enjoy ! =S
[color=green]
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Tel le son irritant d’un réveil vous extirpe d’une nuit de sommeil, la sonnerie du collège francilien sortit les élèves de leur statut semi-endormi afin de les envoyer en cour. Odd, inquiet, jeta un œil à son emploi du temps, affirmant qu’ils avaient cours de Français avec leur professeur principal. Ulrich se mit en marche nonchalamment, suivi de près par Odd et Elisabeth, Ulrich et elle ayant fait la paix la veille. Ils approchaient de la porte, quand le chat violet aperçut la Geisha sortir de l’internat, en silence. Cette dernière les interpella, révélant à Odd et à Ulrich ce que Jérémie avait tenté de faire. Ces derniers furent peu surpris.
« Il faut le comprendre, aussi. Hopper nous a bien aidés dans la lutte contre XANA. En plus, c’est le père d’Aelita.
- Peut-être, mais c’est du suicide. On a eu tant de mal à le neutraliser… Ca a mis plus d’un an ! Réduire plus d’un an de travail en quelques clics !? Et tout ça pour quoi ?
- Pour sauver le père d’Aelita, répliqua Ulrich, les yeux fermés, perdu dans ses pensées.
- Voilà ! On va mettre le monde en danger pour sauver une seule et unique personne ! »
Ulrich se tût, le regard plongé dans celui de Yumi. Il n’arrivait pas à croire ce qu’il venait d’entendre… La Nippone ne voulait pas sauver le père de l’une de ses meilleures amies… Il tentait de pénétrer dans son âme… Savoir pourquoi est-ce qu’elle avait répondu ça…
« Tu n’aurais pas fait la même chose pour moi ? »
Yumi le regardait avec stupeur. Elle ne s’attendait pas à ce qu’Ulrich dise ça, et ne savait pas vraiment quoi répondre. La bouche ouverte par l’étonnement, elle cherchait une réplique, mais ne trouva rien à redire.
« Qui es-tu ? »
La geisha se posait avec effroi la même question, regardant la paume de ses mains… Elle n’était plus elle-même… Yumi tremblait, apeurée… Au loin, un inconnu frottait deux objets l’un contre l’autre… Odd et Ulrich, conscient de l’heure, allèrent en cours, laissant la Nippone seule. Celle-ci, n’ayant pas cours, partit en étude, tremblante.
Dans la salle de cours, l’ambiance se faisait lourde. Le professeur de français, qui était aussi le professeur principal de la classe de 3ème, attendait quelque chose. Les élèves étaient un peu stressés, et inquiets, ne sachant pas ce qu’il se passait. Odd jeta un œil à sa montre, constatant qu’il s’était déjà passé dix minutes dans le calme. La tension monta encore d’un cran quand on toqua à la porte, alors certains élèves avaient commencé à discuter à voix basse, demandant à leurs camarades s’ils savaient ce qui allait se passer. Le professeur, un peu soulagé, donna l’autorisation d’entrer. Ce ne furent pas une, mais deux jeunes qui entrèrent. D’abord, un jeune garçon d’une quinzaine d’ année se mit devant le bureau du PP. La seconde personne ne leur apparût pas de suite : Ce fût d’abord une canne blanche qui entra, hésitante. A l’autre bout, une adolescente, un peu plus jeune que l’autre, marchait, hésitante. Ses lunettes attirèrent l’attention de la salle : Elle était non-voyante. Des murmures se firent entendre dans la salle, mettant la jeune fille mal à l’aise. Grâce à sa canne, elle réussit à se placer aux cotés de l’adolescent. Alors qu’il était plutôt « fier de lui », essayant de se faire remarquer pour se faire accepter, elle restait plutôt à l’écart, les deux mains posées sur la canne de métal. Ses vêtements étaient grisâtres, marqués par quelques gouttes de pluie… Pourtant, il n’avait pas plût, ce matin… Le professeur pris la parole, présentant les deux adolescents comme de nouveaux élèves de la classe. Il appris leur nom aux autres élèves. La jeune non-voyante se nommait Céleste, et venait d’un petit collège parisien. Quant au garçon, il venait de Nice, et s’appelait Morgan. Il demanda ensuite aux deux nouveaux de se présenter. Le prénommé Morgan commença :
« Salut, comment allez-vous ? Je m’appelle Morgan, comme le prof l’a dit, j’ai quinze ans, et je viens de Nice. Je suis excellent en dessin, et je peux le prouver ! »
Il sortit une feuille A4 de son sac, et la montra à l’auditoire. Il y avait dessiné le Collège Kadic par un jour de pluie… Un son d’admiration se fît entendre, alors qu’il fît passer son œuvre entre les mains des élèves. Il reprit :
« Je fais également des portraits. Si vous en voulez un, c’est au dortoir, chambre 350 ! Au fait, je ne signe des autographes qu’après la fin des cours, pour ceux que ça intéresse. »
La présentation de cet élève eût un goût amer pour les ex-lyokoguerriers. Elle fût encore plus désagréable à Jérémie quand ce nouveau se permit de donner son téléphone à Aelita. Cette dernière n’y prêta même pas attention, jetant le bout de papier froissé dans une poubelle proche. Ce fût à la jeune non-voyante de se présenter.
« Salut…, dît-elle, d’une voix hésitante, Je m’appelle Céleste, Céleste Schaeffer. »
A ce nom, l’oreille d’Aelita se tendit. Elle écouta, bouche bée, le reste de la présentation, avec une attention qui pouvait sembler excessive. La jeune non-voyante reprit :
« Je vivais avant dans un orphelinat à Paris, puis, quand l’établissement à fermé, je me suis retrouvée à l’orphelinat d’en face. »
Tournant le visage vers le professeur, qu’elle avait entendu auparavant, elle ajouta qu’elle avait terminé, et se mit à chercher une place. Aelita l’interpella, lui proposant la troisième place du bureau. La lyokoguerrière était folle de joie : Elle avait peut-être retrouvé un membre de sa famille… Céleste s’assis, non sans mal, et ouvrit son sac, en sortant de quoi écrire. Aelita prit la parole :
« Je m’appelle Aelita, Aelita Schaeffer. Je crois que nous sommes cousines… »
Céleste sourit.