Voici la suite ! Bonne lecture !
Yumi voit Ulrich, toujours inanimé, sortir de la salle d'opération sur une civière. Un infirmier est pris à part par la jeune fille.
Y : Va-t-il s'en sortir, monsieur ?
Infirmier : J'ai le regret de vous annoncer... que celui qui a agressé ce jeune homme ne sortira pas gagnant de cette situation puisqu'Ulrich s'en sortira très bien.
Y : Oh mon dieu ! Pour de vrai ??
Infirmier : Oui. Nous avons réparé les fibres musculaires avec succès et refermé l'entaille sans problème. Il ne risque aucune complication et ne gardera qu'une légère cicatrice.
Y : Merci beaucoup, docteur.
Infirmier : Je vous en prie.
J-P au téléphone : Voilà de bonnes nouvelles, docteur. Vous m'informerez si Ulrich Stern pourra terminer l'année scolaire. Bonne soirée, monsieur. (Raccroche.)
Les parents d'Ulrich arrivent alors et toquent à la porte.
J-P : Entrez.
Walter : C'est nous, Mr Delmas.
J-P : Ah, Mr et Mme Stern. Asseyez-vous.
Ils s'assisent.
Lilian : Alors ? Que s'est-il arrivé avec notre fils ?
J-P : Et bien, ce qui s'est produit débute mal, mais s'achève bien.
Walter : On vous écoute.
J-P : Ce soir, votre fils Ulrich s'est fait agressé par un élève de 2e du nom de William Dunbar.
Lilian : Agressé ?? Comment ?
J-P : Il a subi une grande coupure au ventre, de son rein droit à son estomac. William avait utilisé un couteau de cuisine. Ulrich est présentement à l'hôpital.
Walter : QUOI ?!? Mon fils s'est fait éventré ?!?
J-P : Non, pas tant que ça. Ses organes sont intacts. L'entaille n'est profonde qu'à ses muscles.
Lilian : Alors, il va bien ?
J-P : L'hôpital vient de me rappeler et votre fils se porte à merveille.
Walter : YES !!! Mais ? Et William ? Est-ce qu'il s'est enfui ?
J-P : Non, au contraire. La petite amie de votre fils lui a infligé une correction de taille, mais il en est aussi à l'hôpital. Il s'est fait frappé au ventre 3 fois avec une pierre avant de la recevoir au visage pour l'assommer.
Lilian : Wô, c'est brutal.
J-P : Et comment ! Aucun dommage à la tête, mais son ventre est bourré d'ecchymoses ! J'ai appris qu'il faisait une hémoraggie intestinale !
Walter : Ben, il l'a mérité, ce petit connard.
Lilian : Franchement, Walter.
Walter : Mais enfin ! Il a essayé d'assassiner Ulrich !
J-P : Ne partez pas en rogne, je vous en prie.
Walter et Lilian : Désolé.
J-P : Donc, vous pouvez vous rendre à l'hôpital porter compagnie à la jeune Yumi Ishi...
Walter : Attendez. Il a vraiment une amoureuse ?
J-P : Évidemment, je vous dis même son nom.
Lilian toute heureuse : Notre fils est en amour, enfin.
Walter : Euh... j'sais pas trop quoi en penser... J'espère qu'il ne s'agit pas de la bonne à rien aux cheveux roses.
Lilian : Walter, c'est vraiment honteux, ce que tu dis !
J-P : Aelita Stones ? C'est une de nos meilleures élèves, au contraire.
Et continue ainsi leur discution qui fait perdre leur temps et le mien aussi.
En raison de sa longue cryogénisation, Anthéa devait endurer des crampes intestinales comme unique séquelle. C'était toutefois très douloureux. Elle gémissait faiblement, allongé dans son lit, en soutien-gorge et slip. Aelita était, quant à elle, dans la salle de bain en train de se déshabiller. Alors qu'elle est en débardeur de sous-vêtement et pantalon, elle a alors une petite révélation. Exhiber le nombril a été fait par presque toutes les filles du collège Kadic sans apporter le moindre problème à la société. Elle s'habille donc dans sa tenue de DJ qu'elle portait au concert des Subdigitals et se sent plus à l'aise qu'elle ne l'aurait cru. Elle va voir sa mère pour lui montrer son look.
A toque à la porte : Maman ? J'peux entrer ?
Anthéa : Oui, entre.
A entre : T'as vu mes fringues, m'man ?
Anthéa : Wow ! Tu es ravissante, ma chérie ! Mais mon mal de ventre limite mon enthousiasme.
A : Je pourrais dormir avec toi, au moins ?
Anthéa : Mais bien sûr. Viens t'étendre près de moi.
Aelita s'allonge sur le dos à la gauche de sa jeune mère qui pose alors sa main sur le ventre de sa fille.
Anthéa : Ça t'embête si je te flatte le ventre ?
A : Non, du tout. J'vais justement commencer à me vêtir de manière ombilicale, dès demain.
Anthéa sourit : Mmh... grande fille.
Elle relève alors le débardeur d'Aelita et lui caresse donc les abdos avec tendresse.
Anthéa : Ton ventre est très joli, Aelita. Quel âge as-tu, au fait ?
A : 13 ans. Et toi ?
Anthéa : 32 ans.
A : Quoi ? Tu es jeune, dis donc !
Anthéa : Avec ce corps, c'est sûr.
Éclat de rire général.
Anthéa : Mais je suis toujours une scientifique malgré ma beauté.
A : C'est vrai que tu es belle.
Anthéa : Tu l'es plus. (L'embrasse sur le front.)
Mère et fille se serrent dans leurs bras, collant leurs nombrils ensemble pour s'endormir ainsi.
Yumi était restée assise dans la salle d'attente lorsque Walter et Lilian arrivèrent. La jeune fille les a alors reconnu et s'est présentée à eux.
Y : Mr et Mme Stern. Je suis Yumi Ishiyama, l'amie d'Ulrich.
Walter : Enchanté, jeune fille. Je me nomme Walter, Thomas est mon deuxième prénom.
Lilian : Enchantée aussi, Yumi. Mon nom est Lilian et c'est mon seul prénom.
Yumi rit comme dans Oeil pour Oeil. Walter affiche un air « What the Fuck ? », mais se tait. Une chance que Yumi n'ait pas remarqué son visage.
Lilian : Le proviseur nous a dit qu'Ulrich se portait bien et que tu es son amoureuse. Celle d'Ulrich, pas du proviseur.
Y rie encore : Ha ha ! Effectivement, on est en couple depuis le crépuscule d'aujourd'hui. Et oui, il va très bien, ça me réjouit.
Walter : Ont-ils dit qu'on pourrait le voir ?
Y : En fait, il vient d'être opéré. Il est encore sous anesthésie. Mais son ventre est réparé comme neuf.
Walter : Dommage. Ça signifie qu'on doit attendre encore.
Lilian : On peut passer le temps. Faisons connaissance avec Yumi.
Walter sourit : J'dis pas non.
Yumi enlace alors Lilian.
Y : Désolée, mais j'avais besoin d'affection vu la situation.
Lilian : Ça va aller, Yumi. Tu es si belle. En plus, tu montres le nombril.
Y embarrassée : Euh... c'est mal de le montrer ?
Lilian : Pas du tout. Montrer le nombril, c'est cool.
Y sourit : C'est justement grâce à mon nombril qu'Ulrich et moi sommes amoureux.
Walter : Ah bon ?
Y : Oui. Allons nous assoir, je vais vous raconter ce qui nous a unis.
La jeune fille et les parents allèrent donc s'assoir pour une nuit blanche de discution.
Il est 7 heures du matin lorsque Yumi et les Stern se réveillent. Un médecin vient les informer qu'Ulrich peut recevoir de la visite. Ils se rendent donc à la chambre indiquée et entrent. Ulrich est alors réveillé et en pleine forme. L'infirmière aux cheveux noirs et lunettes passe alors une sonde à ultrasons sur le pansement d'Ulrich pour accélérer la guérison mais aussi éviter qu'une cicatrice prend place définitivement sinon son ventre sera amoché.
Y, Walter et Lilian : ULRICH !!!
U : YUMI ! PAPA ! MAMAN !
Yumi l'embrasse tandis que ses parents serrent chacune de ses mains dans les bras. Ils laissent ensuite l'infirmière achever le traitement qui en a pour 5 minutes seulement. Par la suite, Ulrich discute avec sa famille, dont Yumi. Lilian lui caresse les abdos.
Lilian : Ton ventre est si beau et musclé, Ulrich. Sinon, comment vas-tu ?
U : À l'exception de ma blessure qui brûle un peu mon ventre, je vais très bien. Alors, vous avez discuté avec Yumi ?
Walter : Ouaip. On a discuté ensemble, durant la nuit, pour faire connaissance. Elle est vraiment sympa.
Y : Merci, monsieur.
Walter : Par contre, la partie léchage de bide était trop bizarre.
U stresse : Hein ?
Walter : J'veux dire... je n'étais pas fâché du tout pour ça, mais ça semble trop dégoûtant de le faire.
U : Mmh...
Lilian : Et moi ? Si je fais ça ? (Elle embrasse le nombril d'Ulrich avec ses lèvres.) C'est dégueu ?
U : Euh... pourquoi tu m'as embrassé le nombril ? J'suis ton fils !
Walter : Ça veut dire oui. C'est pire entre mère et fils qu'entre amoureux.
Lilian : Mais merde.
Y : Moi, je trouve que c'était très gentil comme geste.
U : Que ma mère embrasse mon ventre ?
Y : Ben ouais. J'aimerais bien que ma mère me le fasse.
Walter : Euh... Peu importe. Sinon, traînez-vous encore avec cette tête rose ringuarde ?
U et Y devinent de qui il parle : QUOI ?!?
Lilian : Walter !
Walter : Mais elle est trop bizarre avec sa couleur rose ! J'ai vu ses sourcils, ils sont roses aussi !
U : Et alors ?
Walter : (Soupir désespéré.) C'est bon, j'arrête de critiquer la fille rose. Par contre, j'ai oublié son nom.
Lilian : Aelita. Aelita Stones.
L'infirmière revient alors avec une bouteille d'huile.
Infirmière : Vous pouvez lui masser le ventre si vous voulez. Et celui d'autres parmi vous. Évitez seulement de toucher à son pansement, il est neuf.
Lilian : Wow ! Merci, docteur. C'est combien ?
Infirmière : Oh, on vous le donne.
Walter : M'enfin, c'est trop. On ne peut pas accepter ça.
Infirmière : Mais si. On en a beaucoup.
Lilian : Voici tout de même 1 euro. Voilà.
Infirmière : J'ai déjà un très bon salaire.
Lilian : Dans ce cas, donnez cet euro à la charité.
Infirmière : D'accord, merci. Prenez l'huile.
Lilian : Merci.
Une fois l'infirmière partie, Lilian verse un peu d'huile dans sa main, la chauffe et l'étale sur le jeune ventre sexy d'Ulrich. Ce dernier regarde sa jeune mère avec des sourcils tristes et un sourire. Elle fait tourner deux doigts autour de son nombril dans le sens des aiguilles d'une montre.
Y : Avez-vous remarqué que son ventre brille avec l'huile ?
Lilian : Wow ! C'est plus joli comme ça.
Par chance, c'était samedi. Tandis qu'Ulrich allait bénificier de plus de temps pour guérir sans rater le moindre travail scolaire, Aelita pouvait passer autant de temps avec sa mère qui ressent de moins en moins de douleurs au ventre au fur et à mesure qu'elle reste calme avec son corps. La jeune fille était toujours vêtue de son ensemble de DJ et attendait sa mère qui s'habillait. Le gouvernement français leur ont fourni des allocations et une voiture pour leur assurer une qualité de vie favorable à leurs besoins. La voiture allait servir pour que les filles aillent acheter de nouveaux vêtements. Anthéa sortit alors, vêtue d'un débardeur bleu noué au diaphragme pour exhiber son ventre et de sa jupe. Aelita avait également noué son débardeur et se reposait, couchée sur le balcon, en attendant sa jeune mère. Cette dernière la taquine sur son nombril.
Anthéa coquine : Pourquoi cachais-tu ton joli bedon à Kadic ? Pourquoi cachais-tu ton nombril sexy ? Guili guili guili. (Lui chatouille le ventre.)
A : Ha ha ha ! Non, arrête ! Pas ça ! Non !!! À moi ! Ha ha ha !
Anthéa : OK, j'arrête. Voilà. Oufff... (L'allonge avec elle.) T'es vraiment une fille parfaite.
A : Que veux-tu dire ?
Anthéa : Tu as une très jolie voix, un très joli visage, un très joli ventre, un très joli nombril, de très jolies cuisses, de très jolis cheveux, de très jolis yeux, de très jolis bras, un très joli torse, de très jolis sourcils... Bref, tu es une très jolie fille ! Je t'aime tant, Aelita. (L'embrasse sur le front.)
A : Moi aussi. Beaucoup. (L'embrasse sur la joue.) Tu m'as vraiment manqué, m'man.
Anthéa : Je suis là, maintenant. Jamais je ne te quitterai. Enfin, je veux dire que je ne mourrais pas de sitôt. Je ne suis pas une mère poule, je te laisserai tes libertés, c'est sûr.
A ricane : Hé hé.
Anthéa : Ma belle rose. Allons acheter de nouveaux vêtements.
A : Et un nouveau maillot de bain. Celui que j'ai est un une-pièce. J'aimerais me baigner en bikini, maintenant. Comme Sissi et Heidi.
Anthéa : Moi aussi, j'veux porter un bikini. Allons-y.
A : Je te suis.
Mère et fille se dirigent main dans la main à leur voiture. Anthéa ouvre la portière de sa fille, la laisse s'assoir, lui attache sa ceinture et fait glisser sa main sur son jeune ventre sexy, ce qui la fait rougir et sourire. Anthéa prend sa place et laisse Aelita attacher sa ceinture et caresser son ventre tout aussi beau que le sien.
Anthéa : J'ai une idée.
A : Je t'écoute.
Anthéa : Je suis d'envie pour me faire faire un piercing au nombril. En veux-tu un, toi aussi ?
A : Moi ? Euh... j'sais pas quoi dire... j'ai 13 ans mais ça a l'air cool...
Anthéa : C'est toi qui décide. Je ne t'oblige pas, tu sais ?
A : Et bien... oui, j'veux un piercing au nombril !
Anthéa : Comme tu veux, ma belle ! En route !
Le duo en rose fonce à toute allure au centre commercial.
De retour à l'hôpital, Yumi commençait à ressentir d'étranges douleurs à l'intestin grêle. L'infirmière lui examina donc le ventre aux ultrasons.

Lilian : Qu'est-ce qu'elle a ?
Infirmière : Euh... je n'ai pas encore d'idée exacte de son état. Faudra que je discute avec les autres médecins pour avoir un diagnostic officiel.
Cette dernière part donc avec l'enregistrement de l'examen. Lilian verse donc de l'huile sur le ventre pâle et moelleux de la jeune geisha pour le masser.
Y : Merci de me faire un massage.
Lilian : Y a pas de quoi, Yumi.
Y sourit : Mmh...
Akiko apparaît alors, vêtue de ses habits de la saison 4 (Chemise sexy et pantalon moulant).
Akiko : Salut, Yumi. Comment va Ulrich ?
U : Je vais très bien, Mme Ishiyama.
Y : Maman. Voici les parents d'Ulrich. Walter et Lilian.
Walter et Lilian : Enchantés, madame.
Akiko : Enchantée, monsieur et madame.
Lilian : Votre chemise est très séduisante, vous ressemblez à votre charmante fille.
Akiko ricane : Ha ha ! Merci beaucoup. Je prends ça comme un compliment vu que ça revient à dire que moi et ma fille Yumi sommes très belles.
Y sourit : Mmh...
Oh merde ! Je viens d'écrire la même ligne qu'avant les 12 précédentes ! FUCK ! (Oups...)
Aelita et Anthéa sont dans la rangée des maillots de bain pour femmes et cherchent des bikinis. La première était si heureuse d'avoir le ventre à l'air. Elle ne comprenait pas pourquoi était-elle timide à ce point-là.
A : Maman.
Anthéa : Oui ?
A : Je suis si fière d'exhiber mon ventre après toutes ces années de pudeur enfantine. C'est ma partie du corps favorite à présent.
Anthéa : Je suis contente que tu adores montrer ton ventre. C'est la mode de toutes les jeunes filles de ton âge, maintenant.
A : Ouais. C'est vraiment agréable, cette tendance.
Elle se caresse alors le ventre avec passion.
À suivre...