Le monde ne suffit pas (interdit aux moins de dix ans)

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Message par Maggy' » 01 Déc 2008, 10:29

oh putain ! décidemment on est décidé à les éliminés ces trois là ! c'est pas possible ! ils auront donc jamais la paix ? vivement la suite ! en espérant qu'on aura des nouvelles de yumi...

Message par Fleurdequinoxe » 30 Nov 2008, 23:39

Le petit groupe quitta la place bondée de touristes en tout genre et se dirigea vers le sud. Ils ne savaient pas précisément où ils se rendaient, mais la surveillance du passager du 4x4 mettait Belpois mal à l'aise, et la seule chose qu'il était réellement en mesure de faire était de quitter les lieux. Le petit groupe emprunta une passerelle et se dirigea vers les vieux quartiers. Cela semblait le chemin le plus court pour retrourner dans le centre ville. Ils longèrent des espaces verts et de grands axes routiers encombrés de véhicules de toutes sortes, perdus dans leurs pensées respectives sans vraiment se soucier de savoir où ils allaient. Quand ils songèrent à s'en inquiéter ils ne reconnurent plus rien. Le quartier où il se trouvaient leur était entièrement inconnu et de toute évidence assez mal famé. Un sentiment étrange leurs monta au coeur simultanément: en voulant échapper au renard, ils venaient de se jeter dans la gueule du loup.
A ce moment, Patrick Belpois regretta de ne pas être armé. Il n'aimait pas les armes à feu, mais il aimait encore moins le parfum de traquenard qui flottait autour d'eux et dont l'odeur ne les avait pas quitté depuis leur arrivée à Singapour. Pourtant, William et lui s'étaient préparés à une arrivée mouvementée: ils avaient passés leurs dernières vacances dans un camps d'entraînement paramilitaire où ils s'étaient "aguerris"; à présent même Jim Moralès n'avait plus rien à leur apprendre sur l'autodéfense. Cependant jusqu'à ce matin, Patrick ne croyait pas vraiment que Xana s'en prendrait à eux: au plus il pensait que William était légèrement paranoïaque et que Yumi avait besoin d'un bon psy. Mais les récents évènements lui avait permis de voir la réalité en face: ils était bel et bien en danger de mort, et le fait que Yumi en ait réchappé tenait tout bonnement du miracle. Si Odd ne lui avait pas tendu la cannette il serait peut-être en train de conduire ses funérailles à l'heure actuelle. Toutefois, le jeune homme avait quand même du mal à croire qu'un tueur à gages professionnel puisse être mis en échec par un cylindre en alu de cinq centimètres de diamètres, où bien alors que la vie ne puisse tenir qu'à une simple boîte de conserve? Le jeune Belpois avait cependant la conviction que quelque chose lui échappait, quelque chose de très important...
Triiiiiiiiiiiiiiiiiiii.....

Le 4x4 surgit devant eux comme dans un cauchemard, leur coupa la route, et fonça sur eux en manquant de peu de les écraser. Par pur réflexe, Patrick se jeta sur le côté et se coucha à plat ventre, juste à temps: un des occupant du véhicule sortit de la voiture en brandissant une mitraillette et commença à tirer. De son côté, Odd avait saisi Hervé par l'épaule et projeté derrière une pile de boite en carton entassées au coin d'une ruelle.
L'homme à la mitraillete s'avança lentement vers Patrick qui n'avait pas remué d'un pouce depuis le début de l'attaque: il valait mieux que ses agresseurs le croient mort. Mais cette feinte risquait de ne pas fonctionner très longtemps, car l'homme qui venait vers lui avait visiblement pour mission de vérifier qu'il avait bien passé l'arme à gauche. Il s'approcha du jeune homme doucement, et avec le canon de son arme entreprit de soulever suffisamment son épaule pour le retourner. Patrick saisi un couteau de chasse dans la poche avant de son jean et se prépara à vendre chèrement sa peau. Cela dit, avec le canon d'une arme automatique braqué sur sa poitrine, il serait mort avant d'avoir pu dire ouf: il lui fallait un autre plan. C'est alors que Hervé lui sauva la vie: il fit la chose la plus stupide à faire, la dernière chose qu'aucune personne censée dans sa situation aurait faite. Il jaillit de derrière ses cartons comme un diablotin à ressort et insulta généreusement ses assaillants. Surpris, l'homme à la mitraillette se retourna et sans s'interesser davantage au jeune homme étendu à ses pied, s'avança vers Hervé qui gesticulait de plus belle. Le conducteur sortit à son tour pour contempler le spectacle imprévu qui s'offraient aux deux truands. Patrick choisit ce moment pour relever discrètement la tête et faire un relevé de l'état des lieux. L'homme à la mitraillette était encore proche de lui, à une dizaine de mètres au plus, mais il lui tournait le dos. Il ne bougeait plus, il conncentrait toute son attention sur Hervé qui hurlait à plein poumons.
Patrick ne se rappelerait jamais si il avait pris consciemment une décision, ou si une fois de plus ses réflexes avaient pris le dessus. Il se releva comme un chat, les yeux fixés sur son objectif-le creux des reins de l'homme-exactement comme on le lui avait appris à l'entraînement. Il ne lui fallut que quelque secondes pour couvrir la distance qui le séparait de son assaillant. A un mètre cinquante, il abaissa son épaule et plongea vers les jambes pour un placage. Son entraîneur aurait été fier. Le placage par l'angle mort réussit à la perfection: le dos de l'homme s'arqua et Belpois entendit des os craquer alors que sa victime tombait à plat ventre. Patrick se releva instantanément et s'empara de l'arme de son mystérieux agresseur. Pendant une fraction de seconde il hésita à tirer sur l'homme étendu sur la chaussée. Il semblait inconscient-plus que lui en tout cas-mais il ne pouvait pas se permettre d'être attaqué par derrière par ce type pendant qu' il allait affronterai l'autre tueur à gages. Le jeune ferma les yeux et appuya sur la gachette.
C'était au tour de l'autre homme de hurler comme un cochon qu'on égorge. Il visa Patrick et tira une rafale de balle, ce dernier plongea derrière une voiture pour se mettre à couvert. Son épaule gauche lui faisait mal, mais il n'avait pas le temps de s'en soucier. C'est alors qu'un projectile frappa le tireur en pleine tête; il s'agissait d'une bouteille en verre, ou quelque chose comme ça. Le visage couvert de sang, il chercha à savoir d'où venait la bouteille. Patrick s'accroupit pour jeter un coup d'oeil derrière la carosserie. Le jeune homme respira profondément et se détacha de la voiture qui le protégeait des balles en braquant son automatique sur le torse du conducteur du 4x4. Le tueur tourna la tête et ramena son bras armé. Tout deux tirèrent en même temps. Une éternité s'écoula avant que Patrick ait le courage de relever la tête. Le conducteur de la voiture gisait à terre; la tête baignant dans une mare de sang.
L'adrénaline reflua aussi vite qu'elle était venue. Patrick se sentit pris de vertiges et de nausées: alors qu'à la seconde précedente il se sentait près à défier le monde, la force qui le rendait capable du pire l'abandonnait, le laissant au bord de l'effondrement. C'est à peine si il sentit Odd l'attrapper par le bras et le traîner dans la voiture de leurs agresseurs. Il vit Hervé ouvrir la portière et s'engouffrer dans la voiture, mais il n'entendit ni la portière se fermer, ni la voiture démarrer en trombe. Il ne sentit pas Hervé lui retirer la mitraillette des mains, ou lui attacher sa ceinture de sécurité. La seule chose qu'il ressentit fut une douleur lacinante dans son épaule gauche, et tout devint noir.

Message par Fleurdequinoxe » 30 Nov 2008, 04:06

Ok, je vois un peu. Bon tout de suite, la suite:


La sonnerie d'un téléphone portable la tira de ses pensée: c'était le sien. En voyant le numéro qui s'affichait sur l'écran, Sissi s'écarta de la salle de conférence. Elle se réfugia dans un bureau vide pour prendre l'appel.
-"Moshi? questionna une voix rauque à l'autre bout du fil. Miss Delmas, nous avons honoré notre contrat. Yumi Ishamaya a été livrée à Tsun Wo, comme convenu."
-"Bien, je vous remercie." Elisabeth, raccrocha et se dirigea vers l'ascenseur, suivie de ses deux gorilles. Il était temps de passer aux choses sérieuses.

Chapitre IV: Pris au piège

"Il faut prendre les Renards à leur propre jeu."


Complètement démoralisés, Odd, Patrick et Hervé flânaient sans but dans les rues de la ville. Ils avaient essayé de retrouver le professeur Azuka, sans succès. Cet homme semblait s'être volatilisé sans laisser la moindre trace. Les trois jeunes gens avaient frappé à de nombreuses portes et questionnés beaucoup de monde, mais retrouver quelqu'un dans cette cité-état sans parler un traître mot de chinois, ni de mandarin, encore moins de malais ou de tamoul était une tâche ardue. A présent, Hervé, Odd et Patrick contemplait d'un oeil morne le "Merlion", l'emblème de Singapour. Et une fois de plus Hervé donnait l'impression à ses compagnons d'avoir avalé le guide touristique.
"-Vous savez que Singapour signifie lion en Sanscrit? demanda le jeune intellectuel. Mais ce n'est pas à cause de l'onomastie que cette statut a été érigée. En fait cette statue mi lion mi poisson a été inventée dans les années 60 en référence à un aventurier de Sumatra qui, lorsqu'il est arrivé sur Singapour au XIVème siècle, a cru voir un lion. Il paraît d'ailleurs qu'il y a différentes répliques de cette statue, avec différentes tailles, éparpillées un peu partout à Singapour, poursuivit Hervé. Certaines sont officiellement reconnues par les Autorités de Singapour mais d'autres pas et...
-Hervé, je me demande si tu ne devrais pas te mettre au mandarin, railla Odd, avec ta mémoire tu pourrait sans doute maîtriser la langue avant la fin de la journée.
-J'ai déjà commencé mon vieux, rétorqua Hervé. D'après toi qu'est ce que je faisais tout à l'heure pendant que tu était en train de te gaver de riz cantonais et de calamar frits? Du tricot? Il était dit que ces deux là ne pouvaient pas s'empêcher de se bouffer le nez en toute occasion, même les plus critiques. Patrick n'avait pas toujours réussi à déterminer si cette attitude désinvolte tenait de la stupidité ou de l'inconscience.
-J'sais pas, répondit le blondinet du tac au tac, mais si tu es aussi doué pour la couture que pour les langues, je crois que je peux espérer recevoir une écharpe de laine pour mon entrée en maison de retraite.

La boutade arracha un sourire à Patrick. Le jeune homme était passablement anxieux. Avant d'être mis sous les verrous, William lui avait "confié" Odd et Hervé. Mais ce n'était pas une mission de tout repos: Odd avait la fâcheuse manie de passer ses nerfs sur Hervé qui n'était pas très endurant. Avec son Q.I exceptionnel, ce dernier leur avait été d'une aide précieuse: il pouvait craquer la plupart des codes de sécurité informatique et sa mémoire était extraordinaire. Mais cependant il lui manquait le génie créatif des Hoppers. Soudain, le jeune homme tourna la tête; il se sentait observé. Pourtant mis à part les badauds qui miraient le jet d'eau que crachait la sculture hybride, il ne voyait rien d'anormal. Brusquement il le vit, de l'autre côté de la place, le 4x4 noir qui les suivait depuis le buisness district. Il se souvenait clairement avoir déjà vu cette voiture sur le "Boat Quay". Il avait remarqué ce véhicule qui stationnait non loin du petit restaurant où ils avaient pris leur dernier repas, au pied des tours du business District. En effet, le Boat Quai n'est aitre qu'une charmante ruelle au bord de l'eau, qui sert de cantine aux buisnessmen et autres employés du quartier des affaires de Singapour. C'est également le lieu de restauration incontournable pour le touriste le soir.
Patrick hésitait à mettre ses compagnons au courant du fait qu'ils étaient surveillés. Mais il était inquiet: ils n'avaient toujours pas trouvé d'endroit ou passer la nuit et celle-ci n'allait pas tarder à tomber. Si l'occupant du mystérieux véhicule attendait la tombée de la nuit pour les expédier par le fond, ils se devaient d'être prêt à le recevoir.

Message par Maggy' » 29 Nov 2008, 22:01

digne de compassion je dirais moi, pour william, hum... je prèfère ne pas en parler!

Message par Fleurdequinoxe » 29 Nov 2008, 20:19

Question: ai-je réussi à rendre ma Sissi plus sympathique? Digne de compassion? Pathétique? Et William? Comment le trouvez-vous?

Message par julien-dupont » 29 Nov 2008, 16:51

et deviner qui avait dit que maggaelita 123456789 allait arrivez

c'est bibi

je suis le meillieur

mais il faut pas me croire car je suis aussi pas gentil que xana

Message par Maggy' » 29 Nov 2008, 15:38

julien-dupont a écrit:c'est beau y'a pas a dire,
franchement a nous deux en se moment elle a vraiment pas de chance la pauvre Sissi.

et attention a toi homme ou femme qui va poster derriere ce message,si t'es attention ne sont pas pure envers Sissi et Xana tu t'expose au couroux de deux auteurs :evil:

te voila prevenu. :evil:

mais je vois déja maggaelita123456789 qui pointe le bout de son nez :D


1 : je suis morte de trouille ! si si vraiment !
2 : ... j'ai pas tout compris !

sinon, sinon, sinon, ah... on dirait que sissi à quelques... problème, dirons-nous. parce que pour souhaiter n'avoir jamais réussi, faut quand même être à la limite de la dépression nerveuse ! sinon vivement la suite !

Message par julien-dupont » 29 Nov 2008, 13:30

c'est beau y'a pas a dire,
franchement a nous deux en se moment elle a vraiment pas de chance la pauvre Sissi.

et attention a toi homme ou femme qui va poster derriere ce message,si t'es attention ne sont pas pure envers Sissi et Xana tu t'expose au couroux de deux auteurs :evil:

te voila prevenu. :evil:

mais je vois déja maggaelita123456789 qui pointe le bout de son nez :D

Message par Fleurdequinoxe » 29 Nov 2008, 03:26

William fixa Sissi pendant un long moment en silence: "-Qu'est ce qui me dit que tu ne te moque pas de moi?" lui demanda-t'il. La jeune femme se redressa et le toisa d'un oeil méprisant. "Absolument rien, lui répondit-elle, tu n'as que ma parole et si cela ne te suffit pas je ne peux rien pour toi." Sur ce elle tourna les talons et se dirigea vers la porte. William eut une bouffée de panique, il était en train de faire fuir la seule personne susceptible de le renseigner sur le guêpier dans lequel il s'était fourré. Cependant, au moment de poser sa main sur la poignée de la porte, Sissi se figea et lui dit encore: "Je vais te faire sortir d'ici que tu le veuille ou non... tu n'as pas besoin de me remercier car ce n'est pas pour toi que je le fais." Elle ne l'avais pas regardé en disant cela, elle s'était contentée de fixer la porte. William eu presque pitié d'elle à ce moment précis, mais une pitié teinté de mépris. " Je suppose que tu le fais pour ne pas détourner la tête quand tu croise ton joli petit minois dans un miroir alors?" répondit il avec un cynisme presque palpable. Ces mots firent l'effet d'un coup de fouet, la jeune femme se cabra comme si on l'avait frappé. Elle se retourna lentement les yeux luisant de haine, "prend garde de ne jamais te mordre la langue, tu risquerais d'en mourir, siffla-t'elle entre ses dents. A moins que le reflet de ta pitoyable existence ne te pousse à te tirer une balle dans la tête avant. " Ils se fixèrent un long moment, échangeant en un seul regard bien plus que les mots auraient jamais pu exprimer. Mais William ne comprit pas ce que les yeux de Sissi semblaient lui dire. Il y lisait un mélange de dépit et de tristesse, de douleur et de haine qui reveillait en lui un pénible sentiment d'abandon. Mais cette fugitive impression se dissipa comme la brume du matin, et le temps que Elisabeth franchisse le seuil de la porte, elle avait disparu.

Sissi quitta le local de détention d'un pas vif, décidée à ne pas revenir en arrière. Ses deux gardes du corps postés de part et d'autre de la porte lui emboîtèrent le pas d'une manière tellement naturelle, qu'on aurait pu penser que les deux gorilles faisaient partie de la garde robe de la jeune femme. Lorsqu'elle traversa le commisariat, tout les hommes présent dans la pièce se retournèrent sur son passage; belle,brune, magnifique distante et le regard un peu absent, Sissi laissait errer sur son visage un sourire qui n'était que de commande le sourire qu'une femme seule et sans amour se doit de porter pour les hommes qui la dévore du regard. Cette morte sans tombeau trompait ses jours trop longs par des occupations inutiles, collectionnait les bijoux et les oeuvres d'art et c'était là tout l'intérêt qui lui restait au monde, ou qu'elle feignait d'avoir.
Elle venait de retrouver une ombre de son passé, un passé où elle n'était pas tout à fait seule dans ce jeune homme si séduisant aux yeux sombres. Elle s'était demandée si elle saurait le séduire, lui faire oublier ce pourquoi il était venu. Eclipser de son regard la vision d'une belle jeune femme brune aux yeux en amande..mais à présent elle avait sa réponse et elle n'avait plus rien à faire en ces lieux, si ce n'est fuir pour retrouver la seule "personne" susceptible de la comprendre, à défaut de pouvoir l'aimer. Un de ses garde du corps ouvrit la porte qui donnait sur l'extérieur et la jeune femme fut éblouie par la lumière du jour. Elle sortit ses lunettes de soleil, imitée en cela par ses gardes du corps et se dirigea vers une limousine. Elle monta dans le véhicule et ordonna à ses garde du corps de clore l'étroit volet qui séparait le siège du conducteur de celui du passager. Une fois isolée des regards indiscrets de ses gardes du corps elle fut prise d'un tremblement qui lui venait de tout le corps, de la poitrine, des jambes, du ventre, de toute cette beauté inutile; elle put enfin pleurer.

Lorsque la voiture s'arrêta devant les bureaux de "sa" holding. Ainsi pouvait on appeller la Xanadu Corporation. Elle avait fondée la société mère à l'âge de dix-huit ans avec l'aide de Xana. C'était lui qui lui avait inspiré le nom de la holding ainsi que son logo, le même que celui qui s'était affiché sur l'écran de l'ordinateur alimenté par le super calculateur. Le Groupe Xanadu était sans conteste la plus belle réussite d'Elisabeth, il comptait 262 sociétés sans compter les filiales, lesquelles employaient environ 250 000 personnes dans 37 pays différents. A l'heure actuelle, le chiffre d'affaire s'élevait à peu près à 24 milliards de dollars. Toujours escortée de ses hommes de mains la jeune buisness-woman pénetra dans le bâtiment. Elle emprunta un des luxueux ascenseurs et monta au 21e étage de l'enceinte de ces lieux de pouvoir. Les neuf membres du conseils d'administrations tenaient "salon" une fois de plus, du moins c'est ainsi que Sissi qualifiait ces réunions passablements ennuyeuses auquelles elle n'assistait que deux fois par mois, alors qu'il s'en tenait bien quatre. Lorsqu'elle ouvrirait la porte ils seraient tous, les "esprits servant de l'anneaux" comme elle les appellait. Ces hommes d'affaires en costard sombre à la face cireuse pour la plupart qui la considéraient comme une jolie poupée à déshabiller du coin de l'oeil pendant qu'ils la noyaient sous des flots de statistiques commerciale. Ces vautours de Wall Street et de la bourse Asiatique pensaient qu'elle ne comprennait pas un traître mot de leur baratin, mais peu lui importait ce qu'ils pensaient: elle avait bien plus à gagner en se faisant passer pour une ravissante petite idiote qu'à leur prouver qu'ils n'étaient rien de plus que des vieillards bornés et libidineux. Arrivée devant la porte de la salle de conférence elle s'arrêta. Elle avait déjà rectifié son maquillage et seul un oeil exercé aurait pu décelé sa récente crise de larmes, mais elle se sentait patraque, et elle ne se sentait pas le courage d'affronter ces vieux fauves de la finance. Par la porte légèrement entrebaillée, elle entendit le numéro 2 du groupe Arnold Scuito vanter son propre mérite, à défaut de celui de la holding, à ses associés:
" -Depuis l'absorption de la Hendler, la société d'assurance suisse, le Groupe X compte pas moins de 387 entreprises dans le monde, examinées de façon itinérante par 48 contrôleurs de gestion; il est primordial de se concentrer sur..."
Elle n'eut pas le courage d'en entendre davantage. Elle se disposait à s'en aller quand elle se souvint du courage qu'elle avait du rassembler la première fois qu'elle s'était retrouvée face au conseil. Ce jour là, Xana l'avait pratiquement accompagnée dans la pièce, elle se souvenait de sa maxime préférée: "Courage Elisabeth, tu es seule dans l'arène et les lions sont affamés, mais il ne faut jamais que tu oublies qu'ils ont plus à perdre que toi dans cette histoire." Cette petite phrase lui redonna un peu de courage, mais l'espace d'un instant elle souhaita ne jamais avoir fondé la Xanadu corporation, ne jamais être devenue riche, ne jamais avoir réalisé ses rêves de grandeurs, et même ne jamais avoir entendu parler de Xana.

Message par Maggy' » 28 Nov 2008, 19:49

je ne sais pas quoi dire, pas assez d'infos !

ps : c'était la traduction!

Message par julien-dupont » 28 Nov 2008, 17:26

hum... hum... hum...


avec la traduction sa gagnerait en clarté

sinon je suppose que tu est soit allé chez le dentiste soit tu post em mangeant des chamalow .

sinon GNE ?!!!!

Message par Maggy' » 28 Nov 2008, 13:57

hum... hum... hum...

Message par julien-dupont » 28 Nov 2008, 01:24

l histoire prend forme c'est le jeux des faux semblant
la vérite et aillieurs


et felicitation pour ton examen :D

Message par Fleurdequinoxe » 28 Nov 2008, 01:18

Pour fêter ma promotion "accro à code Lyoko", la suite:

"Il y a deux ans, commença Elisabeth, ta chère Yumi a pris contact avec son oncle, le professeur Azuka; dans le but, je suppose, d'obtenir son aide. Peut-être aurait elle dû se soucier de savoir pour qui travaillait son parent avant de se laisser aller à faire des confidences: car..il se trouve que son oncle Azuka travaille, ou plutôt travaillait pour la Beiring."

Elisabeth marqua une pause, William ne l'avait pas quitté des yeux, et le fait de le voir si attentif aux mots qui pouvaient sortir de sa bouche ne lui déplaisait pas. Mais elle se reconcentra aussitôt sur son récit.

"Je suppose que tu ne sais rien de précis sur la Beiring, n'est ce pas? demanda Elisabeth. William hocha négativement la tête, elle reprit avec un sourire: La Beiring est une entreprise d'import-export, du moins c'est ce qu'elle prétend; mais en fait cette boite blanchit l'argent de la mafia locale depuis près d'un demi-siècle. Cela représente beaucoup d'argent, énormément d'argent....la jeune femme posa sur William un regard sombre, comme si la simple évocation de ce mot lui rappelait de funestes souvenirs.
Mais pour en revenir au professeur Azuka, ce brillant génie semble ne pas avoir suffisamment tenu sa langue, et certains membres de la Beiring ont appris l'existence de la technologie développée par Franz Hopper. Parmis ces personnes, une en particulier a retenu mon attention: Ishiro Daouji, un japonais engagé par la Beiring comme ingénieur en chef du secteur recherche & développement. Il faut savoir que cet ingénieur n'est pas venu à Singapour par hasard, il a fuit le Japon pour avoir eu...disons...un différent avec un des chef de gang Yakusa. Je suppose qu'il a commencé à divulguer des informations sur le supercalculateur afin de se racheter aux yeux sa Némesis. Enfin, toujours est-il que les Yakusas ont fait enlever le professeur Azuka. Ce sont eux qui ont tendu un piège à Yumi, et qui l'ont capturé afin d'avoir un moyen de pression sur son oncle. "

Message par Fleurdequinoxe » 11 Nov 2008, 21:48

Exactement c'est là où je voulais en venir, il ne s'agit pas de "bons" et de "méchants" juste d'êtres humains avec leurs forces et leurs faiblesses qui sont confrontés à un certains nombre de choix à faire, et qui les font la plupart du temps dans leurs propres intérets (sauf quelques exceptions qui prennent à postériori le nom d'actes héroïques...).

Message par Maggy' » 11 Nov 2008, 19:49

mais quel c** William ! bon ok, il vaut mieux accepter, mais c'est pas une raison pour... ben accepter justement! j'en ai ras le bol de ces imbéciles qui sont sensés être les gentils et les méchants ! au bout du compte, ils sont tous pareil ! (enfin les entils sont plus gentils et les méchants plus méchant quand même)

Message par Fleurdequinoxe » 11 Nov 2008, 06:49

-Qui l'a enlevé, Sissi? ce n'était pas une demande mais une prière, Elizabeth avait à nouveau le contrôle de la situation.

-Si je te dis ce que tu veux savoir, reconsidèreras-tu mon offre? demanda t'elle d'une voix douce.

-Elizabeth, lui répondit-il, personnellement je ne demande rien de mieux que de partir de ce pays de fous et de laisser à quelqu'un d'un peu moins usé que moi le soin de mettre le nez dans tes petites affaires avec Xana.

-Certes, répliqua la jeune femme avec un sourire perfide, quoi de mieux en effet que de convoler avec la femme que tu aimes sans plus te soucier de ton rival, disons...définitivement absent. William devint blanc de rage, Sissi savait très bien comment lui faire mal. Il avait eu le malheur de la sous-estimer alors qu'il la savait redoutable sur ce terrain.

-Et toi donc, ma chère Sissi, combien de temps compte tu garder ton Ulrich comme un bel oiseau en cage? Peut-être que les dix ans à venir seront suffisant pour apaiser ta frustration? En la voyant pâlir sous son fard, William sut qu'il avait marqué un point. Toutefois Sissi n'avait pas dit son dernier mot. Elle s'approcha de lui et lui murmura à l'oreille:

-Ne joue pas avec moi William, j'ai passé l'âge. Sache que Xana a déjà signé votre arrêt de mort et que je suis la dernière chose entre vous et une balle de calibre douze. Il est peut-être temps pour vous de vous reveiller les enfants, il n'y a plus de jeu video, ni de monde virtuel et certainement pas de retour vers le passé. Ici tout est bien réel et personne n'a de seconde chance. Les mains blanches de Sissi se crispèrent un peu plus fort sur les barreaux de sa cellule.
Je ne suis pas une meurtrière, William, reprit-elle, et je n'ai aucune envie d'avoir ton sang sur la conscience ni celui des autres d'ailleurs. Mais ce n'est pas le cas de Xana, lui il n'aura aucun scrupule à vous expedier outre. Alors soit tu te ranges à mes côtés pour sauver tes amis, soit je laisse Xana faire de toi ce qu'il jugeras bon.

William s'assit et respira un bon coup. Il n'avait encore jamais osé envisager les choses sous cet angle, mais Sissi avait raison.
-Voilà ce que je te propose reprit cette dernière. Je vais te faire sortir d'ici et nous allons retrouver Yumi et les autre, ensuite vous reprennez le premier vol en direction de Paris et je n'entend plus parler de vous.
En ce qui concerne les autres, Jeremie Belpois, Aelita et Franz Hopper sont bien trop dangereux pour ma sécurité pour que je les libère maintenant. Quand à Ulrich, elle eût presque un rire, tu seras le premier à te rejouir de ne pas le trouver dans tes pattes je pense. Pour le reste personne d'autre que nous n'a besoin de connaître notre petit arrangement. Tu es le leader de cette équipe, je suis certaine que tu saura faire entendre raison aux autres.

Le jeune homme réfléchit: c'était malgré tout une proposition en or, il fallait bien le reconnaître. Et pour l'instant, Yumi risquait peut-être sa vie en ce moment même aussi lui fallait il agir rapidement.
-Très bien Elisabeth tu as gagné j'accepte, laissa t-il tomber finalement. Pendant une seconde il crut entendre son interlocutrice soupirer de soulagement. Il en fut surpris car jusqu'à maintenant il ne pensait pas qu'Elisabeth puisse avoir des sentiments aussi bien disposées à leur égard. Bien, et maintenant si tu me disais ce que je veux savoir, Sissi demanda William.
Le jeune homme croisa le regard froid d'Elisabeth, quelle était cette lueur au fond de ses yeux? Du dépit, de la tristesse ou de la haine? Il n'aurait su le dire, mais il commençais à connaître suffisamment les femmes pour savoir qu'une créature de cette espèce n'est jamais indifférente au fait d'être depréciée au profit d'une autre. Mais la jeune femme se ressaisit bien vite et exposa en peu de mot à Willliam, la situation quelque peu complexe où il se trouvait.

Message par Fleurdequinoxe » 09 Nov 2008, 15:24

Pour moi les personnages ne sont pas tout noir ni tout blanc, il faut les prendre avec leurs qualités et leur défauts tous autant qu'ils sont (y compris Xana). Dans notre monde d'image, la séduction fait partie des armes sur lesquelles les femmes de notre société peuvent compter (je ne suis pas en train de dire que j'approuve ce genre d'attitude, au contraire je suis contre, je suis juste en train de décrire un fait de notre société), donc du point de vue de Sissi, ce qu'elle n'obtient pas avec son fric, elle l'obtient d'un sourire. Je poursuis ainsi le côté "Electra" de Sissi (cf: James Bond) mais par la suite je compte bien montrer ses qualités..les détracteurs de Sissi Delmas ne vont pas être content. :)

Message par Maggy' » 09 Nov 2008, 13:46

super suite, mais là tu rend pas sissi apréciable du tout, au contraire tu la fait passer pour une belle s***** !

julien-dupont : si on peut plus rigoler...

Message par julien-dupont » 09 Nov 2008, 02:52

non mais regardez moi c'est deux là ! Vous devriez echanger vos adresse et vous rencontrer parce que vous êtes fait pour vivre ensemble


tous ça parce que ont a une vision tragique en comun des héros :roll:


par contre vous vous faite une ennemie, parce que je n'aime pas qu'on dise du mal d'aelita ! (yumi passe encore).


tous ça parce que j'aurais envie de lui passer la tete dans un mixer, lui arracher les boyaux pour en faire un collier et lui teindre les cheveux en vert

ok le coup des cheveux c'est dégeulasse de ma part. :twisted:

tous se que je peux te dire c'est que d'ici le mois de janvier tu risque de me hair.

Message par Fleurdequinoxe » 09 Nov 2008, 00:42

Allez, trêves de plaisanteries, c'est parti!

Chapitre III: Jeu de dupes

C'est lorsqu'il parle en son nom que l'homme est le moins lui même. Donnez-lui un masque et il vous dira la vérité.

Oscar Wilde


Dans sa minuscule cellule de trois mètre sur deux, William tournait comme un lion en cage. Il se demandait ce qui le rendait le plus furieux; le fait qu'il soit en prison à la place du sniper qui avait faillit tuer Yumi, le fait que Yumi ait été enlevée par le sniper en question ou encore la perspective de passer les deux prochaines années dans un quelconque pénitencier miteux de la péninsule malaisienne pour détention d'armes illégales. Il se demandait également si Odd, Patrick et Hervé avaient réussis à mettre la main sur l'oncle de Yumi. Il avait essayé de joindre son père, sans succès et vu qu'on était un dimanche, les employés de l'ambassade française n'avaient pas décroché non plus (ah! les bureaucrates! ), en bref, du point de vue de William, ce voyage était un fiasco complet. Il finit par s'assoir sur son étroite couchette et pris sa tête dans ses mains. Il sentait depuis le début que quelque chose irait de travers, il avait essayé de dissuader Yumi de se rendre à Singapour, mazis elle était têtue comme une bourrique. Ce qui lui faisait le plus mal, c'était lorsque la jeune femme avait insinué qu'il ne souhaitait pas réellement tout mettre en oeuvre pour que Aelita, Jeremie et surtout Ulrich, reviennent. Même si il aurait préféré se faire découper en tranche plutôt que de l'avouer, la suspicion de la jolie japonaise l'avait profondément blessé. Premièrement parce que ce que ce n'était pas entièrement faux, deuxièmement parce que l'espoir fou que Yumi conservait vis à vis du retour de son rival prouvait combien elle l'aimait et troisièmement parce que il était certain qu'elle ne l'avait pas regrétté autant lorsque Lui avait été fait prisonnier par Xana sur Lyoko, et pourtant il y était seul et contrôlé par une I.A pourvue d'un sens de l'humour assez tordu. Et à ce moment précis, William se sentit terriblement seul et éperdument amoureux.

La porte donnant sur le couloir s'ouvrit soudainement laissant la lumière tamisée de la fin de l'après-midi s'engouffrer dans sa petite cellule sombre. Un policier entra dans l'étroit local, suivit d'une élégante silhouette, dissimulée par la semi pénombre: "Dunbar! De la visite! beugla le flic malaisien en anglais, puis il sortit en louchant à moitié sur la visiteuse qui se tenait toute droite dans l'obscurité. Intrigué William s'avança le plus qu'il le pouvait de la visiteuse, en scrutant les ténèbres pour deviner son visage. Au bout de quelques minutes d'un silence oppressant, la silhouette s'avança dans la lumière, révèlant ainsi une silhouette exquise vêtue d'un ensemble de ville hors de prix (même si il n'était pas un expert, William savait reconnaître une pièce de qualité quand il en voyait une), et le délicat visage soigneusement fardé d'Elisabeth Delmas. Comme sous l'effet d'un coup de poing, le jeune homme recula et revint s'asseoir sur son grabat. Il s'était attendu à tout mais pas à cela. Que diantre fichait Sissi hors de son appartement de Manhattan? Serait elle venue dans le seul but de s'assurer que les tueurs qu'elle avait envoyé avaient accompli leur tâche? Les questions sans réponses se bousculaient dans la tête du pauvre William qui ne savait plus très bien où il en était. Toutefois, soucieux de ne pas perdre le peu de dignité qui lui restait (pour autant qu'il lui en resta dans ce trou infâme), il releva la tête et regarda Sissi droit dans les yeux...Et il le regretta immédiatement, il n'avait pas réalisé à quel point elle était belle; et elle ne l'ignorait pas d'ailleurs, ce qui rendait la situation encore plus délicate. Elle se rapprocha encore davantage, suffisamment près pour qu'il puisse sentir les effluves enivrantes de son parfum. Dans une tentative désespérée pour échapper au redoutable pouvoir de seduction de Sissi, William recula jusqu'au fond de sa cellule, le plus loin possible d'elle. La manoeuvre n'échappa pas à Elisabeth, qui laissa fleurir son sourire le plus enjoleur sur ses lèvres pleines: avant même d'avoir prononcé la moindre parole ou présenté le moindre argument, elle avait déjà gagné. Du fond de sa cellule, William détourna les yeux afin d'éviter d'avoir à croiser son regard. Elle sut alors qu'il lui faudrait parler la première:

-Et bien William, tu ne me reconnais pas, lui demanda-t'elle sans cesser de sourire, aurais-je....changé à ce point?

-Non, tu n'as pas du tout changé, repondit le jeune homme sur le même ton badin. En fait, tu es toujours aussi...vénéneuse.

-Vénéneuse, vraiment? Je crois que la proposition que je vais te soumettre te feras changer d'avis, reprit Elisabeth en souriant de plus belle.

-Je demande à voir, retorqua William.

-Bien, continua Sissi, je t'offre de retourner en France sans plus te soucier de ta mésaventure à l'aéroport. Tu retourne voir tes parents et tu ne te mêleras jamais plus de mes affaires. Ainsi tu éviteras une longue et douloureuse procédure en justice dans ce pays plus corrompu que tu ne l'imagine, sans compter les dix prochaines années que tu passeras en prison... pour terrorisme. Ne suis-je pas généreuse. La menace à peine voilée n'échappa pas à William. Accepter eût sans doute été la meilleure chose à faire, mais il ne pouvait pas.

-Qu'est ce que ça cache? Je veux dire, tu envoie des tueurs à gages nous faire la peau, tu fais enlever Yumi et maintenant tu nous offre ton infinie mansuétude, mais à quoi joue-tu? William était blême de rage, le souvenir de Yumi couverte de sang lui revint en mémoire. Elisabeth accusa le coup, son sourire avait disparu.

-Je n'ai pas fait enlever Yumi, dit-elle d'un ton glacé, je n'en saurais que faire. Mais je sais qui l'a enlevée, ajouta t'elle.

Message par Fleurdequinoxe » 07 Nov 2008, 21:32

(même en éprouvant une aversion profonde pour l'auteur )



Oh , noooooooon, je n'ai vraiment pas mérité ça! :cry:

Message par Maggy' » 07 Nov 2008, 19:45

non mais regardez moi c'est deux là ! Vous devriez echanger vos adresse et vous rencontrer parce que vous êtes fait pour vivre ensemble ! par contre vous vous faite une ennemie, parce que je n'aime pas qu'on dise du mal d'aelita ! (yumi passe encore).

Sinon j'aime cette fic, et il me tarde de savoir la suite ! (même en éprouvant une aversion profonde pour l'auteur :lol: )

Message par Fleurdequinoxe » 07 Nov 2008, 18:10

je crois que sur ce point on est d'accord Sissi c'est une fille qui n'a pas de chance , mais qui n'est pas mauvaise dans le fond.


Je suis de tout coeur avec toi

si toi tu peut pas blairer Yumi


Je comprend mieux pourquoi tu espérais qu'elle se prenne une balle dans la tête, mais je n'allait pas la laisser finir sa carrière en pauvre victime de Xana et de Sissi, c'eût été lui laisser la part trop belle.

moi c'est contre aelita que j'ai une dent


J'ai un peu plus de sympathie pour Aelita, ne serait ce que du fait qu'au début de la série elle avait un rôle assez sympa, mais depuis qu'elle est redevenue humaine, Yumi a déteint sur elle et son personnage s'est nettement dégradé à mes yeux

,
j'ai horreur des sainte nitouche en général alors avec moi soit elle s'en prenne pliens la tete soit je les rend abjecte.


Les rendre abjecte c'est encore plus efficace que de les transformer en martyre

c'est facile de donner le beau role a ceux qui combatte le mal.


Je dirais plutôt '' c'est facile de rendre les gens tout blanc ou tout noir, car en fin de compte, si Sissi n'avait pas eu peur la première fois elle n'aurais jamais eu un statut de peste, elle serait devenue une lyoko-guerrière elle aussi, et peut être que Hervé et Nicolas avec qui sait. D'autant plus qu'en ce qui la concerne à chaque fois qu'elle redécouvre le supercalculateur, une fois sur deux elle panique, mais une fois sur deux seulement, et si celle-ci avait été la bonne? "

Message par julien-dupont » 07 Nov 2008, 17:38

je crois que sur ce point on est d'accord Sissi c'est une fille qui n'a pas de chance , mais qui n'est pas mauvaise dans le fond.
si toi tu peut pas blairer Yumi moi c'est contre aelita que j'ai une dent ,j'ai horreur des sainte nitouche en général alors avec moi soit elle s'en prenne pliens la tete soit je les rend abjecte.
c'est facile de donner le beau role a ceux qui combatte le mal.

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