Re: L'impensable
-Bonjour messieurs, l'opération de demain est baptisé bouclier du désert, nous avons appris qu'une compagnie entière de l'armée indépendante avance vers le village de Kisangani par la foret. L'armée nationale est occupé au nord pour barré la route du gros des forces indépendantes, nous sommes donc les plus proches pour intervenir. Nous enverrons une escouade en éclaireur tandis que le reste de la compagnie se tiendra juste après la clairière 500m avant le village. Les éclaireurs se tiendront a 1km plus profondément dans la forêt afin de nous donner les informations adéquate au bon déroulement de la mission. J'ai donc besoin qu'une des escouade se porte volontaire, je ne tiens pas a vous obliger de le faire donc parler en entre vous, je vous laisse 10 minutes.
Chaque escouade se rassembla pour discuter y comprit celle d'Ulrich. Ce fut Benoit qui commença a parler.
-Je pense qu'on devrait se porter volontaire. On l'a souvent fait et je pense qu'on aurait les meilleurs chance de réussite.
-Je suis d'accord avec Benoit, on a toute les chance de récolter rapidement des informations et même de ralentir l'ennemie si besoin est. Rajouta Damien
Leblanc et Borel acquiescent.
-Vous êtes sur? si il sont plus nombreux sa risque d'être très chaud.
-on se connait par cœur tous, tu sais qu'on peut réussir lui répondit Benoit.
-Très bien.
Les dix minutes étaient passé et tout le monde se remit devant le commandant qui prit tout de suite la parole.
-Alors qui est volontaire?
-Mon escouade est volontaire mon commandant dit Ulrich en s’avançant avec ses hommes
-J'aurais du m'en douter, Très bien escouade 6 vous vous équiperez pour la reconnaissance. Nous Partons demain a 6h00 alors reposez vous messieurs. Rompez!
Après la réunions et le repas les 3 inséparables étaient allée dans un coin tranquille de la base pour parler.
-les gars, j'ai quelque chose a vous demandez
-vas y on t'écoute Ulrich dit Damien
-je sais qu'on en a déjà parler brievement, mais j'ai un mauvais pressentiment pour la mission donc je souhaite que vous me promettiez que vous accomplirez mes dernières volontés ou cas oue je ne reviendrait pas.
-Ulrich...
-laisse moi parler, il y a un coffre dans ma cantine avec plusieurs affaires, si je rentre pas au pays je veux que vous l'apportiez a mes amis. C'est très important, il faut que sa leur parvienne voici la clé. dit il en leur tendant le clé argenté. Mais je veux aussi que si un jour quelque de grave arrivait dans notre pays, si vous en avez la possibilité, je veux que vous protégiez mes amis au mieux.
-Ulrich sa porte malheur, et on ne veut pas pensé que tu reviendra pas. dit Benoit tristement
-promettez le moi! s'il vous plait.
-C'est d'accord lui répondirent les deux hommes
-merci allons dormir maintenant.
Damien et benoit dormirent peux ils ne comprenaient pas les paroles d'Ulrich, jamais il n'avait été pessimiste sur une mission, et pourquoi parlait il de quelque chose arrivant au pays. vers 1h du matin ils réussirent a s'endormir malgré leurs interrogations.
Le lendemains la compagnie partit rapidement vers leur destination. Dès 7h ils étaient tous en place, pour le commandant tout se passait bien, tout était en place pour repousser efficacement la compagnie ennemie mais il ne se doutait pas de ce qui allait se passer.
L'escouade d'ulrich était en place a l'endroit prévu, il avait envoyé Benoit et Damien en éclaireur. Une demi heure plus tard ils revinrent exténué et apparemment effrayé ce qui interloqua Ulrich.
-Qu'es qui se passe les gars vous êtes revenus plus tôt que prévu?
-Ils...ils..ils sont beaucoup plus nombreux que prévu bafouilla Benoit
-comment sa beaucoup plus nombreux? il y a deux compagnie?
-non Ulrich ils sont au moins 300, dit Damien péniblement.
-QUOI?? mais c'est impossible
-je t'assure que si.
Ulrich prit la radio et contacta le commandant
-Forteresse ici tour de guet, répondez forteresse.
-ici forteresse on vous écoute tour de guet.
-nombre d'ennemis prévu complétement faux
-combien sont ils tour de guet?
-au moins six fois plus nombreux que l'estimation prévu.
-vous pouvez répétez tour de guet.
-LA FORCE ENNEMIE EST AU MOINS DE 300 HOMMES!!
En entendant sa la compagnie entière fut envahi de peur, malgré leur expérience jamais ils n'avaient affronté un ennemie autant supérieur en nombre. Le commandant contacta tout de suite la base principale.
-Chateau ici forteresse, repondez chateau.
-on vous recois forteresse, parlez.
-je passe sur le canal crypté bravo, veuillez faire de même
-c'est fait que se passe t'il commandant?
-Mon colonel, nos éclaireurs nous ont indiqué que la force ennemie était au moins six fois supérieur a celle initialement prévu.
-Vous en êtes certains ? demanda le colonel choqué
-Absolument mon colonel, nous avons besoin de renfort immédiat.
-Commandant vous savez que la plupart des troupes sont déjà partit vers le nord. Je n'ai pas assez d'hommes ici, et ils seront jamais prêt a temps.
-Mais mon colonel nous ne pourront jamais tenir face a un tel nombre.
-Alors repliez vous
-mais monsieur...
-vous n'avez pas le choix, je ne vais pas laisser massacrer nos hommes,
-Et le village colonel vous y avez pensez ?
-qui parle?
-Caporel chef Ulrich Stern mon colonel
-caporal Stern, vous devez vous repliez! C'est la seule solution
-nous n'avons pas le droit de les abandonnez, on nous fait venir ici pour proteger les civils
-nous ne pouvons rien faire caporal
-si, ordonnez un bombardement aérien!
-quoi, mais vous vous rendez compte de ce que vous dite! et de toute manière sans balise les avions ne peuvent faire un bombardement précis sur un terrain de cette nature.
-sa tombe bien j'en ai une.
-a combien de temps les ennemis sont de votre position?
-je dirait dix minutes, 15 maximum d'après mes hommes.
-caporal je ne sais pas si...
-mon colonel je ne veux pas laisser ces gens mourir, je ne suis pas ici pour fuir.
-très bien caporal, je vais ordonner aux avions de décoller, d'après ce que je vois il pourront décoller dans 5 minutes, et seront sur zone 5 minute plus tard. Bonne chance Caporal
-merci mon colonel, je vais préparer le terrain
-commandant faites replier votre compagnie au point bravo.
-A vos ordres mon colonel.
Après la conversation, Ulrich se debarrassait d'une partie de son équipement mais Damien ne pouvait plus se retenir et lui parla.
-Ulrich tu rend compte de ce que tu viens de faire? c'est bien trop dangereux
-C'est pour sa que tu prend le commandement, fait reculer l'escouade jusqu'au point de replie.
-quoi hors de question que je te laisse!
-et moi non plus continua Benoit.
-c'est un ordre! je veux que vous partiez!
-mais Ulrich...
Ulrich se rapprocha de ses 4 hommes et leur dit
-n'oubliez jamais, Force et Honneur
-Force et Honneur répétèrent les 4 autres en cœur.
-allez fichez le camp.
Ulrich regarda ses hommes partir et continua a se débarrasser du superflue.
-Cette fois je me suis vraiment mit dans le pétrin, enfin bon allons y.
Ulrich s’enfonça dans la foret et trouva un point dégagé pour poser sa balise mais il fut surpris par des voix s'approchant.
-Il sont déjà là, ils font un sprint ou quoi. Pensa t'il
-Tour de guet ici Archange vous me recevez?
-Ici tour de guet, je vous reçois archange.
-sommes a 2 minute de votre position, quel est la situation?
-ennemis en avance sur ma position, j'ai posé la balise. Executez bombardement dès que possible.
-Vous devez d'abord sortir de la zone.
-JE suis en train de me repliez. Faites pleuvoir le feu
-Bien recu, bombardement dans 1 minute, terminer
Ulrich courut a en perdre haleine mais contrairement a ce qu'il avait dit il était encore très proche de la balise quand soudain il entendit les avion arriver et quelques instants plus tard une détonation se fit entendre. Les missiles embrasèrent tout la zone autour de la balise comme si l'enfer c'était déchainé sur cette partie de la forêt. Puis seul les flammes se faisaient entendre comme si toute vie avait cesser d'exister.