Futur Lyokofan
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Inscription: 12 Nov 2013, 14:57
Localisation: ici et là, où tu ne me trouveras pas
12 Nov 2013, 15:09
choisir est difficile
bonjour. je suis nouvelle sur ce site est je suis trop contente 
alors, c'est ma première fic et je pense qu'elle est bof mais bon faut bien essayer
dite moi ce qui ne va pas comme ça après, je me corrigerai
ps : désolé pour les fautes de tout genre
BONNE LECTURE
introduction
10 ans après avoir éteins le super calculateur, entre Ulrich qui ne donne plus de ses nouvelles, Odd qui est a l'autre bout du monde pour son boulot «mannequin», Aelita et Jérémy qui habite maintenant dans un endroit que je ne connaît pas, je suis la seule qui est restée a paris(au fait, si vous n'avez pas compris, c'est de Yumi qu'on parle). Je me sens si seule ici sans personne avec qui rire ni parler, je peux vous dire c'est l'enfer. Heureusement, que j'ai mon ami Sébastien pour me remonter le moral pendant mes coups de blouse. Sébastien était brun et avait les cheveux bouclés. Il avait des taches de rousseurs. Toutes les filles l'aimait mais lui n'avait d'yeux que pour moi mais je ne l'aimais pas moi. Alors nous sommes restés amis.
Chapitre 1 : confusion.
depuis qu'Ulrich est parti, je ne sais plus ou j'en suis. Je me sens tellement perdue. Pendant que je suis plongée dans mes pensées on frappe a ma porte. J'ouvre et … :
« Salut Sébastien, ça va ?
Oui et toi, toujours en train de déprimer pour quelqu'un qui en vaux même pas la peine ?
S'il te plaît, ne parle pas de lui comme sa.
J'ai presque rien dit par rapport à d'habitude, excuse moi, je fais des efforts.
Oui tu as raison, je me sens un peu mal, désolé. J'ai vraiment besoin de sortir moi.
Viens je t’emmène, on va au café du coin ça te va ?
Dans mon cas, tout me va. »
Je prends mon manteau, enfile mes chaussures et je suis déjà dans la rue.
Arrivé là bas, nous nous installons à l'intérieur car il fait froid dehors. Sébastien me dit alors :
« Tu prends quoi ? En tout cas c'est moi qui l'offre.
Merci beaucoup. Je vais prendre un chocolat chaud s'il te plaît ?
D'accord. »
après avoir commandés, nous parlons encore et encore.
Une heure plus tard, Sébastien et moi rentrons chez nous. Chez moi, je décide de faire quelque chose qui va peut-être remettre les idées en place dans ma tête ou, au moins, la moitié des idées. Je prends le téléphone et compose un numéro gravé dans ma mémoire depuis le collège.
1ère sonnerie : je me demande si j'ai vraiment envie de le faire.
2ème sonnerie : j'appréhende un peu la réaction de chacun.
3ème sonnerie : elle décroche...
« Allô ?
Aelita ?
Yu … Yumi ?
Oui, oui c'est moi.
Ça va ?
Oui et toi, comme tu m'as manquée.
Tu es où ?
Toujours a Paris et toi ?
Heu , à Marseille.
Quoi, si loin enfin quand même. Pourquoi vous êtes partis et tu as toujours le contact avec les autres ?
On entendit un petit gémissement au bout du fil, c'était Yumi qui avais mal car toutes ces questions, elle les posées sans cesse dans sa tête.
alors pour la deuxième question, on a gardés le contact avec Odd mais pas avec Ulrich et pour la première, pour le boulot de Jérémie mais on ne voulait pas allait aussi loin. Jérémie ne voulait pas que je garde le contact parce que sinon ça me ferait beaucoup de mal.
O.K je comprends.
Yumi je ne voulait pas.
Oui c'est bon. »
on entendit un long soupir et puis plus rien, juste quelques bip pour rappeler que quelqu'un avais raccroché.(c'était Yumi)
Quelques jours plus tard, un téléphone sonna. Une japonaise allât décrocher puis dit :
« Oui, Yumi Ishiyama a l'appareille ?
Yumi, comment ça va ? Oh mais que tu m'as manqué !
Odd, c'est toi ?
Odd Della Robbia lui même.
Mais qui t'as donner mon numéro ?
C'est Aelita qui me l'as donner mais on dirait que t'es pas contente de m'entendre ?
Non c'est pas ça mais tu es devenu quoi ?
Je suis rédacteur en chef du grand magazine Dahlia.
C'est pas vrai, j'y crois pas, c'est merveilleux. Je suis contente pour toi.
Merci mais et toi ?
Je suis devenu avocate dans un grand tribunal à Paris.
Je m'attendais a un grand boulot comme ça moi.
Oh et tu as gardé contact avec … Ulrich ?
Non, non pourquoi ?
Comme ça, comme ça.
Sinon je t'invite chez moi pour dîner ce soir ça te va ?
Je ne sais pas.
S'il te plaît, pour notre amitié.
d'accord mais j’emmène un ami,OK ?
OK. bon je te donne mon adresse... »
après avoir notée l'adresse de Odd, Yumi allât prévenir Sébastien qui, bien sur, dit oui.
Le soir même, Yumi et Sébastien, après un long voyage, arrivât devant une fabuleuse maison en pierre et repeinte en gris très clair. Yumi était en extase devant tant de beauté. Mais le son de la porte s'ouvrant la fit sortit de ses pensées. la personne dit :
« salut Grande sœur, ça va ?
coucou Odd, tu n'as pas changer toujours aussi joyeux. Sinon ça va.
Oh tu ne me présente pas ton ami ?
Si, si voilà Sébastien c'est un très grand ami.
Enchanté bon maintenant nous allons rentrez.
OK nous te suivons. »
nous entrons dans sa belle demeure qui dehors était magnifique mais dedans était époustouflant. Il y avait une fine nappe rose clair sur une table en bois peint en blanc. Les murs étaient vert anis. Il y avait une grande cheminée qui brûlait déjà le bois. J'entendis parler et bizarrement je reconnut tout de suite cette voix, c'était celle d'Ulrich. Mais étrangement, il y avait pleins de « mon amour » et de « ma chérie » dans ses paroles. J’eus un pincement au cœur quand j'entendis Aelita dire, car oui Aelita était là, « arrêter de vous embrasser, vous allez manqué d’oxygène... » Sébastien me fit sortir de mes pensées et me dit d'entrée dans cette salle tant redoutée avec ces belles paroles que j'aurais voulais qu'elles soient pour moi, mais je suis entrée quand même. Aelita était très belle dans sa robe légère rose avec de petites fleurs blanches brodaient sur le coté, Jérémie lui n'avait pas changé : il avait un tee-shirt bleu pâle avec un bermuda beige et des baskets bleu pâle aussi. Ses cheveux allaient un peu dans tous les sens ce qui le rendit séduisant. À sa gauche se tenait une femme blonde avec une robe légère rouge. Elle était très belle et quand je vis Odd la rejoindre pour l'enlacer, je compris tout de suite qui c'était. Sinon il y avait Ulrich qui lui était très beau dans son tee-shirt vert foncé et son baggy couleur kaki avec des chaussures vert foncées aussi. Mais il y avait quelque chose qui me dérangée du plus profond de moi même, c'était qu'il avait un de ses bras sur les hanche d'une jeune femme brune avec une robe légère noir assortit à ses chaussures à talons. Odd commençât à parler ce qui me fit sortir encore une fois de mes pensées. il dit :
« alors Yumi je crois que tu te rappelles de Aelita et de Jérémie.
mais bien sur Odd.
Et en disant cette parole, je fit la bise au deux concernés. Odd reprend tout de suite.
et lui tu t'en rappelles ?
Comment oublier.
J'avais dit ces mots à voix basse pour ne pas qu'on m'entende. Je me dirigeât vers Ulrich qui lui, n'avait pas dit un mot depuis mon arrivée. Je lui la bise a lui aussi. Je reprit :
alors voilà Sébastien mon meilleur ami.
Bienvenu Sébastien. Dit Aelita et Jérémie en cœur.
Ulrich quand à lui, avait perdu son sourire quand Sébastien me prit la main. C'était un petit geste que faisait Sébastien quand il était stressé. Moi je n'y faisait rien mais passons. Odd prit la parole :
à moi de présenté les nouvelles. Alors Claire, c'est ma femme et Angélique c'est la femme d'Ulrich.
Enchanté. dit-je en même temps que Sébastien.
Bon nous allions passés à table Yumi et Sébastien, viens je vais te montrer ta place. Dit Aelita avec son sourire d'ange.
Nous allâmes nous mettre à table avec tout le monde. Nous étions disposés comme cela : Jérémie en face de Aelita, à coté de Jérémie, Sébastien en face moi et à coté de moi, Ulrich(bien sur) en face de Angélique. Ce qui donné Jérémie à coté de Sébastien et Angélique et en face Aelita à coté de moi et de Ulrich. Nous parlâmes de tout et de rien, nous nous amusons. Sébastien était heureux de me voir ainsi. Il me l'avait chuchoté à l'oreille quand nous avions terminé le repas, ce qui énerva Ulrich. Non mais j'y crois pas, il se permet d'avoir une femme et moi de ne pas avoir d'amis, quand même. Mais je n'y prêtât pas beaucoup d'attention. Plus tard dans la soirée, nous partîmes chez nous. Sébastien dormit chez moi car sa maison était à plus de 70 km.
Chapitre 2 : oui je le veux !
Le lendemain matin,en me levant, je sentit le doux parfum du café. Je partis dans la cuisine pour savoir si c'était Sébastien ou si c'était un rêve. C'était bien Séb(diminutif). Je l’embrassât sur la joue ce qui le fit rougir, je dit :
« c'est la première fois que tu rougis quand je te fais la bise.
oui mais habituellement je ne dors pas chez toi.
Oh Séb s'il te plaît...
non Yumi, ce n'est pas parce que nous sommes restés amis que je ne ressent plus rien pour toi et ça tu le sais.
Séb, je t'aimes aussi mais en ami. Je ne veux pas que notre amitié soit brisée pour ça.
Mais Yumi, je serait toujours ton ami mais autrement. Je serait un ami d'amour.
Oh Séb...
Yumi veux-tu m'épouser ?
En disant cela, il avait ouvert un boîtier qui dévoila une magnifique bague en argent avec un diamant. Celle la, je m'y attendais pas mais pour une fois, je succombas au doux regard de Sébastien. Je dit la voix larmoyante :
Oui
et à cette instant, je crois que je rêvé mais il m'avais bien embrassé. C'était merveilleux de se sentir aimé mais brusquement j'eus l'image d'Ulrich en train de rire au éclats et j'arrêtai progressivement le baiser pour dire :
« je suis désolé. »
je partit dans la salle de bain pour me préparer. J'avais mit une chemise blanche avec des fleurs de cerisier rose pâle cousu sur le coté, un jean slim bleu foncé et des chaussures compensées blanches.
Je lâchât mes cheveux qui m’arrivais au bas du dos. Je sortit pour aller prendre mon petit déjeuner dans la cuisine. Séb était toujours là mais avait terminé son petit déjeuner. Je crois qu'il m'attendais
mais je lui demande :
« tu ne vas pas te changer ?
tu sais Yumi, tu n'es pas obliger de faire cela. Si c'est de la pitié j'en veux pas.
Mais de quoi tu parles ?
De tout à l'heure, quand je t’embrassai tu m'as repoussé pourquoi ?
Je, je suis désolé mais je t'aime ne l'oublie pas, ce n'est pas de la pitié.
Alors embrasse moi si tu m'aimes. »
je ne me fit pas prier deux fois, je l'embrassé déjà. Ses doux baisers, je ne savais pas que je pouvais l'aimais autant. Après avoir terminé mon petit déjeuner, je sortit de la maison juste après avoir prévenu Séb de mon départ. Je partit chez Aelita qui avait pris une maison de vacances à Lille. Pendant ces deux ou trois heures de route, je n'avait fais que réfléchir. Je me demandais si j'avais fais le bon choix ou si j'avais fait le mauvais mais en tout cas, j'en sortais plus qu'heureuse. Arrivé chez elle, j'eus la surprise de voir la voiture de Odd et celle d'Ulrich. Je sonna et c'est Ulrich qui m'ouvrit. Il était tellement beau mais je ne dois pas dire ça je suis fiancée. Je dit :
« bonjour Ulrich. Ça va ?
oui, et toi ?
Ça va, Aelita est là ?
Oui entre je te l’amène.
OK. »
je le suivit jusqu'au salon, où il avait toute la troupe du soir dernier. Je dit un simple bonjours à chacun d'entre pour m’asseoir à coté d'Ulrich dans le canapé à trois. Nous parlons de la pluie et du beau temps jusqu'à cette question prononcé par Ulrich :
« et Sébastien, ça va ?
oui, en faite il m'a fait une proposition que je ne pouvais pas refuser.
À oui et c'est quoi ? Demanda Jérémie
il m'a demandé en mariage.
tout le monde me regarda avec des yeux tout rond ce qui me fit rire légèrement puis Claire lança :
félicitation !!!
Et tout le monde l'a suivit. Je remercie tout le groupe. Ulrich lui, affichait son air grognon. Mais à quoi il joue. Je sortit de mes pensées quand j’entendis la sonnerie de mon portable. Je répondis :
« Oui ?
Chérie j'ai besoin de toi là.
Pourquoi ?
Tes parents sont là.
Quoi ?
T'as bien compris.
Oui, oui j'arrive.
Merci a toute. »
je regarde chacun qui affichent un regard inquiet, je rigole a voir leurs têtes. Je dit :
« faite pas cette tête, c'était Séb, ce n'est pas un problème. Mais je dois y aller, au revoir.
je te raccompagne. »
c'était Ulrich qui avait parler, je me demande pourquoi il a été gentil avec moi alors que quand Séb est là, il est grognon. Je tourne la tête pour dire au revoir et je jette un rapide coup d’œil vers Angélique pour voir si elle n'était pas trop déçu et j'avais raison, elle était un peu énervé de la réaction d'Ulrich. Je sors de la maison accompagné d'Ulrich. Dehors il prit la parole :
« je ne t'ai jamais oublier, Yumi. Je t'aime toujours. »
on va dire que celle la je ne m'y attendais pas. Je n'y répondit rien. Je le fit la bise et rentrai dans la voiture pour repartir chez moi. Quand je suis arrivé chez moi, j’ouvris la porte rapidement pour retrouver mes parents dans le canapé du salon. Séb était dans la cuisine en train de préparer deux thé à la menthe. Je trouve qu'il se débrouille bien avec eux. Mais leurs mines à tous les deux me fait peur. Je les salut :
« bonjours papa, bonjours maman. Que me vaut l’honneur de votre visite ?
bonjours Yumi, nous passons pour te dire une grande nouvelle. Commence M. Ishiyama.
Nous voulons t’annoncer quelque chose d'important. Dit sereinement Mme. Ishiyama.
Faites court s'il vous plaît. Dit-je stressée par leurs visages.
Nous avons trouver une famille qui voudrait bien s'unir avec nous pour pas que l'on fasse faillite. Mais il y a un soucis. rajouta M. Ishiyama.
Et c'est quoi ? Demandai-je soucieuse.
Il ont un fils et il veulent te marier avec lui. Termina Mme. Ishiyama
Je ne dit plus rien, en même temps énervé et triste de cette révélation. À ce moment là, Sébastien entra dans le salon et ayant entendu tout il avait laissait tomber le plateau de thé par terre. Une larme perla ma joue et fit sa descente jusqu'à s'écraser sur le sol. Séb allât prendre le ballai pour nettoyer le sol et quand-t-il eu terminé, il s'assit près de moi, la mine déconfite. Je dit la voix larmoyante :
« il est hors de question que j'épouse un homme dont je ne connaît pas l'identité et de toute façon je vais me marier avec quelqu'un d'autre. Dit-je sur la défensive.
puis-je savoir avec qui ? Demanda mon père qui commença à s'énerver.
C'est Sébastien. Répondit-je avant de regarder Séb dans les yeux.
Alors la, tu me surprend, tu préfères ta famille ou ce, … ce ? Dit mon père sur le point d'exploser de colère.
Tu ne peut pas me faire choisir, je vous aime maman et papa, comme j'aime Sébastien mais d'une façon différente alors si tu ne comprends pas ça je te demander de partir s'il te plaît.
Si tu le prends comme ça. Au revoir Yumi, au revoir jeune homme prenez bien soin de ma fille sinon...
Takeo, arrête. Dit ma mère.
Oui Akiko .
Merci maman. »
c'était bien la dernière phrase que j'ai prononcé avant qu'il parte. Je regarde Sébastien, lui est un peu dans les nuages. Je lui dit après avoir fermé la porte :
« ça va ?
oui, oui mais je ne savais pas que tes parents étaient comme ça.
Je sais, je sais. Maintenant tu m'accompagne chez Aelita, avant d'entré dans la maison, Aelita m'avait appelé et nous avait invité a déjeuner avec eux mais si tu ne veux pas...
non c'est bon je suis prêt de toute façon allons y
OK »
arrivé là bas, je sonne et c'est Ulrich qui nous ouvre. La mine déçu de voir Séb, il nous accompagne dans le salon où j'étais 30 minutes avant. Tout le monde étaient là. Angélique me toisent un peu du regard avant d'embrasser Ulrich sous mes yeux comme si ça aller me faire quelque chose. J'ai mal au ventre en voyant ça, suis-je jalouse, je ne le veux pas. Mais en tout cas pour Angélique, on ne peut pas la qualifier d'un ange. Je rit doucement à ce que je vient de dire dans ma tête, personne ne l'entend à par Ulrich. Il me sourit, je fond sur place. Je ne doit pas. Nous passons à table, toujours placé comme la dernière fois. À un moment, je pars au toilette et en sortant j'ai eu la surprise de voir Ulrich m'attendre(sans blague). Il me regarde, avec ses yeux chocolat, et je crois que je vais faire une bêtise. Il avance lentement son visage pour n'être qu'a quelque centimètres même millimètres du mien. Je ne sais pas ce qui m'a prit mais j’avançai mes lèvres pour quels se collent au siennes. Et c'est comme ça qu'est né un baiser plein d'amour et de tendresse. Mais au même moment, Sébastien fait son apparition dans le couloir qui mène aux chambres et qui donne une belle vue sur la sortie des toilettes.
Chapitre 3 : trahison et nouveau départ.
Quand je vis Sébastien du coin de l’œil nous regarder, je cru faire un cauchemar. Je me détache brusquement d'Ulrich et regarde Sébastien sans rien dire à part un tout petit « ce n'est pas ce que tu crois » qui j'en suis sur de parviendra pas jusqu'à ses oreilles . Il nous fixe, les larmes aux yeux avant de les baisser, signe qu'il ne peut même plus me voir. Ulrich lui, semble gêné. Il ne dit plus un mot. D'un coup, Sébastien lève les yeux pour les fermer, il retire la bague de nos fiançailles pour ensuite la jeter par terre. Il avance jusqu'à être devant Ulrich. Il dit :
« bravo, t'as réussis à me voler ma fiancée. Maintenant se sera quoi ?
écoute, je ne voulais pas. On s'attire comme des aimants, c'est pas de notre fautes et ça tu devrais le savoir. »
Sébastien tourne la tête pour me regarder avant de commencer à partir. Je le scrute avant de crier « Sébastien ». Je cours vers lui avant de me blottir dans ses bras. Il n'y fit rien. Juste me regarder. Je le chuchote plusieurs « désolé » avant de me décoller de lui. Je le fixe pour voir chaque parties de son visage parfait. Il est si beau. Comment je ne peut pas être réellement amoureuse de lui. Si je l'était, je ne l'aurait jamais trahis comme je l'ai fais, il n'aurait pas mal comme aujourd'hui mais malheureusement, je ne l'aime pas. Il m'admire sans doute avec ses yeux verts intense. je lui marmonne un « pardonne moi » puis je remets mes idées en place et lui dit plus sérieusement :
« je t'aime mais en ami. S'il te plaît comprends moi.
je t'aimerais toujours Yumi. Ulrich prends soin d'elle.
Mais,mais tu vas où ?
Très loin.
Pourquoi ? Tu es mon meilleur ami Séb ?
Non, ils sont tes meilleur amis. Je l'était.
Mais je t'aime.
Je me rendis compte des conséquences après avoir dit ces quelques mots.
enfin je veux dire, heu enfin.
Qu'est ce que t’insinue ?
Je sais pas, laissez moi tranquille. »
et en un instant, je sentit une pression sur ma joue. Ulrich venait de me gifler. Je sanglotait par terre, j'avais envie de crier mes j'en avais plus la force. Aelita et Claire, ayant entendu le bruit de la main d'Ulrich sur ma joue, accourut vers moi pour m'aider. Séb lui, me tenait dans ses bras. Ulrich disparut.
*deux ans plus tard*
j'étais marier à Séb et j'étais la plus heureuse du monde jusqu'au jour où...
j'étais à la fac, toujours avec mon groupe de copains : Sébastien, Jérémie, Aelita, Claire et Odd. Angélique elle, était partit avec Ulrich. Sébastien et moi étions plus proche désormais. Nous nous aimions à la folie. J'étais belle et bien amoureuse. Dans la salle de cours, quelque chose me perturbais, le garçon à coté de moi ne faisais que me regarder. Je tourne la tête et j'ouvris grand les yeux quand je reconnut le garçon : c'était Ulrich. Il me regardait aussi. À la fin du cours, je sortis à une vitesse affolante mais Ulrich me suivait. j’arrivai devant mes amis qui m'attendais. Ils me fixaient et ne comprenaient rien. Je leur raconta tout. Ils n'en croyaient pas leurs oreilles. Ils le vit. Ulrich avança vers nous. Il nous dit calmement :
« bonjours.
bonjours. Dit on froidement
OK. Vous m'avez toujours pas pardonner.
Comment veux-tu qu'on te pardonne après ce que tu m'a fait.
Je suis désolé Yumi mais j'étais sur les nerfs après ce que tu venais de dire.
Comment voulais-tu que je sois sur de mes sentiments. Mais dit toi que maintenant j'en suis sur.
Yumi...
non Ulrich. Tu n'as toujours pas compris. Je suis amoureuse de Sébastien maintenant.
Oui, je comprends.
Encore heureux. »
tout d'un coup, Ulrich avance rapidement d'un pas, tiens ma taille et m'embrasse fougueusement. Je ne sais pas ce qui m'arrive. Suis-je en train d’aimés ce qu'il fait ? Oui mais je ne doit pas. Je le gifle. Il se retient de crier. Je me retient de pleurer. Il me regarde intensément, je le toise du regard. Il se lève, il part. Je me tourne vers mes amis avant de terminer en sanglots. Je me dirige vers les dortoirs et m’allonge sur mon lit. Je pleure toute la nuit avant de m'endormir au petit matin. Je pensais que Sébastien était blessé de ce qu'Ulrich avait fait. Le matin je me lève pour faire mon toilettage avant de m'habiller. Je ne prit pas de petit déj car je n'avait pas faim. J'allai dans la forêt, puis m’assoie contre un arbre. Je chante dans ma tête. Je n'entends pas Ulrich. Il me fixe, je ne l'aperçois qu'après avoir terminé ma chanson. Je me redresse pour le regarder dans les yeux. Je hurle :
« qu'est ce que tu veux ?
te parler.
Moi non.
Tu devras m'écouter alors.
Je te dis que j'ai pas envie de t'entendre ni même de te parler. Tu comprends ça ou ton intelligence à régressée depuis la dernière fois qu'on s'est vu.
On aurait dit que j'étais à la place de Sissi.
Je sais je sais. Maintenant, vas t'en.
Yumi, s'il te plaît, écoute moi.
D'accord, d'accord mais fais vite.
Yumi, tout d’abord je voulais te dire que je suis désolé de t'avoir embrassée surtout devant ton mari. Et aussi je voulais t'expliquer pourquoi je l'ai fais. Cela se dit en deux mot, je t'aime.
Moi, je ne t'aime pas.
Tu en ai sur ?
Heu,... ou...oui.
OK. mais ne compte pas sur moi pour abandonner.
Ulrich ?
Non, Yumi. »
il partit. Quand je regarda ma montre, il était l’heure de manger.
Je me dépêche d'aller au self(cantine) pour déjeuner. Je rencontre mes amis là bas. Il me font signe de les rejoindre. J'y vais de ce pas quand j'eus finit avec la cantinière. Je m'assoie et :
« bonjour les amis, ça va ?
oui. Répondirent-ils tous en même temps.
Tu n'étais pas là ce matin.
Je n'avais pas faim.
Tu me ment et je n'aime pas ça Yumi.
Mais je ne te ment pas Sébastien. Dit-je en l'embrassant.
Promets le moi.
Je te le promet.
OK. »
ce fut le dernier mot qu'il dit. Le déjeuner se passât tranquillement. Mais dans la cantine, je vis Ulrich avec... comment elle s’appelle elle encore... à oui, Angélique. Il riait de bon cœur, cela me faisait repenser au souvenir de notre enfance, de lyoko, de XANA, du « copain et puis c'est tout. » je m'en souvenais comme si c'était hier. Je repris mes esprits car Séb tapotait sur mon épaule. Quand je découvris Ulrich me regardant aussi, je rougis fortement, ce qui ne passa pas inaperçu au yeux de Sébastien. Il regarda dans la même direction que moi et vit que c’était mon ami d'enfance. Il devenu rouge aussi mais pas pour la même raison, lui était rouge de colère. Il sortit de la cantine tellement vite qu'on aurait dit passer un éclair. Je le poursuivit jusqu'à arrivé a sa position qui était assez loin de l'université. Je l’espionnais. Il pleurait appuyé contre un arbre. Je le regardais tendrement avant d'ouvrir la bouche :
« Ce n'est pas ce que tu crois, si je le regardais c'est parce...
S'il te plaît, laisse moi.
Sébastien, écoute moi. Tu es mon marie, je t'aime et personne d'autre.
Je suis désolé mais je ne peut plus te croire. Je l'ai déjà fait beaucoup de fois et sa n'a mené a rien.
Comprend moi Sébastien. Un amour d'enfance ne s'oublie pas mais je ne l'aime plus. Je le regardais parce que sa me fais revoir de bon souvenir de longtemps.
Tu aurais pu regarder Aelita, Jérémy ou Odd pour ça et tu le sais. »
et d'un coup, et je crois que maintenant c'est pour de bon, il retire sa bague de mariage. J'eus un pincement au cœur en voyant cela. Tout mon monde s’effondre. je le regarde, les larmes aux yeux, j'allais faire un pas quand il se retourne pour partir. Il me chuchote un « désolé mais cela me fais du mal ». quand il partit, je tomba sur mes genoux avant de pleurer de plus belle. Je repense a mon mariage, à ce moment là de ma vie, je n'étais pas très heureuse. Je ne voulais pas me marier mais je ne supporter pas de le voir si triste, oui avant j'éprouvais de la pitié en vers lui. Je repense au « oui »
tellement différent d'une femme qui ressent de l'amour mais je ne laisser pas paraître cette émotion mis à part ma voix, incontrôlable pour moi. Je cours dans la forêt, m'enfonçant de plus en plus. Je percute quelqu'un mais en relevant la tête, je m'aperçois une personne que je ne voulais pas voir, une personne qui venait de cassait mon bonheur juste d'un simple regard : Ulrich. je commence à le taper fortement mais en pleurant, je perd de la force. Progressivement, mes coups deviennent des caresses de plus en plus douce. Il ne fit rien a part me prendre dans ses bras. Il relève mon menton, pour contempler mon visage. Dans mon cœur, je me dit que nous pourrons vivre enfin le parfait amour mais l'expression d'Ulrich change d'un coup. Il devient froid et distant. Il dit :
« va t'en !!!!!
mais...
non, va t'en !!
pourquoi ? J'avais dit cela en prenant un ton dur et ferme.
Je ne t'aime plus. »
j'ouvris grand les yeux avant de laisser s'échapper une larme. Celui qui me courrait derrière quand je ne voulait pas, me disait non quand je voulait de lui. Je me lève avant de murmurer un « ok » laissant planer le fait qu'il n'aurait plus de chance. Je repars dans ma chambre et fais le point sur cette journée vraiment horrible. Je finis par m'assoupir. La sonnerie de mon téléphone me sors de ma rêverie. Je réponds :
« allô ?
coucou, c'est Aelita.
Ah, salut.
Tu n'as pas l'air d'être contente de m'entendre ?
Non c'est pas ça. Sébastien a … il a...
qu'est-ce qu'il a fait ?
Il a rompu nos fiançailles. Aelita j'ai pleurais et il est partit. Après...
Après.
J'ai rencontrais Ulrich et je l'ai taper mais lui m'a enlacer. Mais il est devenu froid et il m'a dit de partir.
Et tu t'es laisser faire quand il t'a pris dans ses bras ?
Ou... oui. »
elle me conseilla de plonger dans mes études pour les oublier mais cela aller être dur. Trois jours plus tard, un nouveau rentrât dans la classe. Il était plutôt mignon avec son tee-shirt blanc tout à fait normal mais qui lui aller à merveille avec son baggy bleu et ses baskets noir. Il avait les cheveux à la façon de Harry Style. Il jette un coup d’œil vers moi et j'aperçois qu'il à les yeux vert. Je rougis fortement quand il me fit un clin d’œil. Ulrich brûle de colère en voyant ça. Le professeur parla :
« bonjours jeune homme, présentez-vous à la classe s'il vous plaît ?
alors je m'appelle Benoît, Ben pour les intimes. J'ai 25 ans et je suis en droit.
Merci, allez-vous asseoir à coté de Yumi.
D'accord. »
Il s'approche et bizarrement mon cœur bat plus fort. Il me fait signe de la tête pour me dire bonjours et je le réponds simplement avec un hochement de tête tellement mon gêne était grand. Il me chuchote pour ne pas que le prof l'entende :
« salut Yumi, moi c'est Ben. Je me disais que tu pouvais peut-être me faire visiter l'université après les cours ?
oui, bien sur.
Tu m'as l'air d'être gentille, je sens qu'on va bien s'entendre tous les deux. On pourrais devenir amis ou même plus.
Heu oui, oui. Mais pourquoi plus ?
Parce que je te trouve plutôt à mon goût.
Ah, ok.
Bon ce cours... »
et il suivit le cours normalement. Moi j’avais du mal à écouter temps ce garçon me faisait de l'effet. Après le cours je présenta Ben à mes amis.
« bonjours, je suis Ben. Je dois vous le dire, vous avez la chance d'avoir Yumi comme amie, c'est un ange.
oh, oui tu as raison. Moi c'est Aelita. Lui à coté de moi, c'est Jérémy mon petit ami, à coté c'est Odd et encore à coté c'est Sébastien.
Parce que oui, Sébastien était là en train de toiser du regard le nouveau. Pour qui il se prend. Il rompt nos fiançailles et après il fait la tête, je vais le faire regretter.
alors enchanté.
Ben, je peut te parler ?
Bien sur Yumi. »
quand nous étions à l'écart, je me précipite et dit :
« je voulais te parler de ce que tu avais dit tout à l'heure sur nous deux.
oui.
Je voulais te dire que moi, je veux bien être avec toi.
tu... tu veux sortir avec moi ?
Oui.
ok alors tu es ma petite amie.
Tu as tout compris. »
je m'avance timidement, m'assurant bien que Sébastien et Ulrich le voyait et je l'embrassa. Et à ce moment là, je sentais que tout s’écroulait autour de nous tellement je me sentais bien. Je me recule délicatement et ferme les yeux pour savourer ce moment magique. Je les ouvre brusquement quand j'entends un cri. Je découvris Ulrich devant Ben mais en regardant bien, je vis que Ben saignait. Je poussa un petit gémissement en voyant ça. La seul chose qui m'est venue à ce moment là, c'est qu'Ulrich venait de frapper Ben et une raison se déclara, la jalousie. Lui-même m'avait dit qu'il ne m'aimait pas. Je hurle :
« oh Ulrich, je te déteste. Regarde ce que tu as fait.
je le fait par amour, tu devrait me comprendre.
Non, je ne te comprends pas, il y a deux jours tu me disais que tu ne voulait plus de moi et là...
Yumi, je ne savais plus où j'en n'étais.
Moi je sais où j'en suis. Arrête de me harceler ou je porte plainte.
qu...quoi ?
Tu m'as bien entendu. Vas t'en.
Mais...
VAS T'EN ! »
et il partit, il sortit de ma vie, sortit de mes pensées, sortit de mon cœur en fin ce que vous voulez mais il sortit de mon âme ou de moi en tout cas. Je ne sais pas si c'est pour longtemps ou si c'est pour peu de temps mais je conte en profiter. Je me tourne vers Ben qui, depuis avoir reçut un coup, n'avait rien dit. Le saignement avait cessé. Il me regardait avec des yeux d'enfant. Il était beau, même très beau mais c'est bizarre, je crois que je ne l'aime pas vraiment comme j'ai aimé Ulrich. Mai je ne voulais pas l'abandonner à ce moment là, je devais être forte. Je lui dis :
« ça va ?
- sa pourrait aller mieux.
pour l'instant, j'ai fini j'espère que vous avais aimé
alors, c'est ma première fic et je pense qu'elle est bof mais bon faut bien essayer
dite moi ce qui ne va pas comme ça après, je me corrigerai
ps : désolé pour les fautes de tout genre
BONNE LECTURE
introduction
10 ans après avoir éteins le super calculateur, entre Ulrich qui ne donne plus de ses nouvelles, Odd qui est a l'autre bout du monde pour son boulot «mannequin», Aelita et Jérémy qui habite maintenant dans un endroit que je ne connaît pas, je suis la seule qui est restée a paris(au fait, si vous n'avez pas compris, c'est de Yumi qu'on parle). Je me sens si seule ici sans personne avec qui rire ni parler, je peux vous dire c'est l'enfer. Heureusement, que j'ai mon ami Sébastien pour me remonter le moral pendant mes coups de blouse. Sébastien était brun et avait les cheveux bouclés. Il avait des taches de rousseurs. Toutes les filles l'aimait mais lui n'avait d'yeux que pour moi mais je ne l'aimais pas moi. Alors nous sommes restés amis.
Chapitre 1 : confusion.
depuis qu'Ulrich est parti, je ne sais plus ou j'en suis. Je me sens tellement perdue. Pendant que je suis plongée dans mes pensées on frappe a ma porte. J'ouvre et … :
« Salut Sébastien, ça va ?
Oui et toi, toujours en train de déprimer pour quelqu'un qui en vaux même pas la peine ?
S'il te plaît, ne parle pas de lui comme sa.
J'ai presque rien dit par rapport à d'habitude, excuse moi, je fais des efforts.
Oui tu as raison, je me sens un peu mal, désolé. J'ai vraiment besoin de sortir moi.
Viens je t’emmène, on va au café du coin ça te va ?
Dans mon cas, tout me va. »
Je prends mon manteau, enfile mes chaussures et je suis déjà dans la rue.
Arrivé là bas, nous nous installons à l'intérieur car il fait froid dehors. Sébastien me dit alors :
« Tu prends quoi ? En tout cas c'est moi qui l'offre.
Merci beaucoup. Je vais prendre un chocolat chaud s'il te plaît ?
D'accord. »
après avoir commandés, nous parlons encore et encore.
Une heure plus tard, Sébastien et moi rentrons chez nous. Chez moi, je décide de faire quelque chose qui va peut-être remettre les idées en place dans ma tête ou, au moins, la moitié des idées. Je prends le téléphone et compose un numéro gravé dans ma mémoire depuis le collège.
1ère sonnerie : je me demande si j'ai vraiment envie de le faire.
2ème sonnerie : j'appréhende un peu la réaction de chacun.
3ème sonnerie : elle décroche...
« Allô ?
Aelita ?
Yu … Yumi ?
Oui, oui c'est moi.
Ça va ?
Oui et toi, comme tu m'as manquée.
Tu es où ?
Toujours a Paris et toi ?
Heu , à Marseille.
Quoi, si loin enfin quand même. Pourquoi vous êtes partis et tu as toujours le contact avec les autres ?
On entendit un petit gémissement au bout du fil, c'était Yumi qui avais mal car toutes ces questions, elle les posées sans cesse dans sa tête.
alors pour la deuxième question, on a gardés le contact avec Odd mais pas avec Ulrich et pour la première, pour le boulot de Jérémie mais on ne voulait pas allait aussi loin. Jérémie ne voulait pas que je garde le contact parce que sinon ça me ferait beaucoup de mal.
O.K je comprends.
Yumi je ne voulait pas.
Oui c'est bon. »
on entendit un long soupir et puis plus rien, juste quelques bip pour rappeler que quelqu'un avais raccroché.(c'était Yumi)
Quelques jours plus tard, un téléphone sonna. Une japonaise allât décrocher puis dit :
« Oui, Yumi Ishiyama a l'appareille ?
Yumi, comment ça va ? Oh mais que tu m'as manqué !
Odd, c'est toi ?
Odd Della Robbia lui même.
Mais qui t'as donner mon numéro ?
C'est Aelita qui me l'as donner mais on dirait que t'es pas contente de m'entendre ?
Non c'est pas ça mais tu es devenu quoi ?
Je suis rédacteur en chef du grand magazine Dahlia.
C'est pas vrai, j'y crois pas, c'est merveilleux. Je suis contente pour toi.
Merci mais et toi ?
Je suis devenu avocate dans un grand tribunal à Paris.
Je m'attendais a un grand boulot comme ça moi.
Oh et tu as gardé contact avec … Ulrich ?
Non, non pourquoi ?
Comme ça, comme ça.
Sinon je t'invite chez moi pour dîner ce soir ça te va ?
Je ne sais pas.
S'il te plaît, pour notre amitié.
d'accord mais j’emmène un ami,OK ?
OK. bon je te donne mon adresse... »
après avoir notée l'adresse de Odd, Yumi allât prévenir Sébastien qui, bien sur, dit oui.
Le soir même, Yumi et Sébastien, après un long voyage, arrivât devant une fabuleuse maison en pierre et repeinte en gris très clair. Yumi était en extase devant tant de beauté. Mais le son de la porte s'ouvrant la fit sortit de ses pensées. la personne dit :
« salut Grande sœur, ça va ?
coucou Odd, tu n'as pas changer toujours aussi joyeux. Sinon ça va.
Oh tu ne me présente pas ton ami ?
Si, si voilà Sébastien c'est un très grand ami.
Enchanté bon maintenant nous allons rentrez.
OK nous te suivons. »
nous entrons dans sa belle demeure qui dehors était magnifique mais dedans était époustouflant. Il y avait une fine nappe rose clair sur une table en bois peint en blanc. Les murs étaient vert anis. Il y avait une grande cheminée qui brûlait déjà le bois. J'entendis parler et bizarrement je reconnut tout de suite cette voix, c'était celle d'Ulrich. Mais étrangement, il y avait pleins de « mon amour » et de « ma chérie » dans ses paroles. J’eus un pincement au cœur quand j'entendis Aelita dire, car oui Aelita était là, « arrêter de vous embrasser, vous allez manqué d’oxygène... » Sébastien me fit sortir de mes pensées et me dit d'entrée dans cette salle tant redoutée avec ces belles paroles que j'aurais voulais qu'elles soient pour moi, mais je suis entrée quand même. Aelita était très belle dans sa robe légère rose avec de petites fleurs blanches brodaient sur le coté, Jérémie lui n'avait pas changé : il avait un tee-shirt bleu pâle avec un bermuda beige et des baskets bleu pâle aussi. Ses cheveux allaient un peu dans tous les sens ce qui le rendit séduisant. À sa gauche se tenait une femme blonde avec une robe légère rouge. Elle était très belle et quand je vis Odd la rejoindre pour l'enlacer, je compris tout de suite qui c'était. Sinon il y avait Ulrich qui lui était très beau dans son tee-shirt vert foncé et son baggy couleur kaki avec des chaussures vert foncées aussi. Mais il y avait quelque chose qui me dérangée du plus profond de moi même, c'était qu'il avait un de ses bras sur les hanche d'une jeune femme brune avec une robe légère noir assortit à ses chaussures à talons. Odd commençât à parler ce qui me fit sortir encore une fois de mes pensées. il dit :
« alors Yumi je crois que tu te rappelles de Aelita et de Jérémie.
mais bien sur Odd.
Et en disant cette parole, je fit la bise au deux concernés. Odd reprend tout de suite.
et lui tu t'en rappelles ?
Comment oublier.
J'avais dit ces mots à voix basse pour ne pas qu'on m'entende. Je me dirigeât vers Ulrich qui lui, n'avait pas dit un mot depuis mon arrivée. Je lui la bise a lui aussi. Je reprit :
alors voilà Sébastien mon meilleur ami.
Bienvenu Sébastien. Dit Aelita et Jérémie en cœur.
Ulrich quand à lui, avait perdu son sourire quand Sébastien me prit la main. C'était un petit geste que faisait Sébastien quand il était stressé. Moi je n'y faisait rien mais passons. Odd prit la parole :
à moi de présenté les nouvelles. Alors Claire, c'est ma femme et Angélique c'est la femme d'Ulrich.
Enchanté. dit-je en même temps que Sébastien.
Bon nous allions passés à table Yumi et Sébastien, viens je vais te montrer ta place. Dit Aelita avec son sourire d'ange.
Nous allâmes nous mettre à table avec tout le monde. Nous étions disposés comme cela : Jérémie en face de Aelita, à coté de Jérémie, Sébastien en face moi et à coté de moi, Ulrich(bien sur) en face de Angélique. Ce qui donné Jérémie à coté de Sébastien et Angélique et en face Aelita à coté de moi et de Ulrich. Nous parlâmes de tout et de rien, nous nous amusons. Sébastien était heureux de me voir ainsi. Il me l'avait chuchoté à l'oreille quand nous avions terminé le repas, ce qui énerva Ulrich. Non mais j'y crois pas, il se permet d'avoir une femme et moi de ne pas avoir d'amis, quand même. Mais je n'y prêtât pas beaucoup d'attention. Plus tard dans la soirée, nous partîmes chez nous. Sébastien dormit chez moi car sa maison était à plus de 70 km.
Chapitre 2 : oui je le veux !
Le lendemain matin,en me levant, je sentit le doux parfum du café. Je partis dans la cuisine pour savoir si c'était Sébastien ou si c'était un rêve. C'était bien Séb(diminutif). Je l’embrassât sur la joue ce qui le fit rougir, je dit :
« c'est la première fois que tu rougis quand je te fais la bise.
oui mais habituellement je ne dors pas chez toi.
Oh Séb s'il te plaît...
non Yumi, ce n'est pas parce que nous sommes restés amis que je ne ressent plus rien pour toi et ça tu le sais.
Séb, je t'aimes aussi mais en ami. Je ne veux pas que notre amitié soit brisée pour ça.
Mais Yumi, je serait toujours ton ami mais autrement. Je serait un ami d'amour.
Oh Séb...
Yumi veux-tu m'épouser ?
En disant cela, il avait ouvert un boîtier qui dévoila une magnifique bague en argent avec un diamant. Celle la, je m'y attendais pas mais pour une fois, je succombas au doux regard de Sébastien. Je dit la voix larmoyante :
Oui
et à cette instant, je crois que je rêvé mais il m'avais bien embrassé. C'était merveilleux de se sentir aimé mais brusquement j'eus l'image d'Ulrich en train de rire au éclats et j'arrêtai progressivement le baiser pour dire :
« je suis désolé. »
je partit dans la salle de bain pour me préparer. J'avais mit une chemise blanche avec des fleurs de cerisier rose pâle cousu sur le coté, un jean slim bleu foncé et des chaussures compensées blanches.
Je lâchât mes cheveux qui m’arrivais au bas du dos. Je sortit pour aller prendre mon petit déjeuner dans la cuisine. Séb était toujours là mais avait terminé son petit déjeuner. Je crois qu'il m'attendais
mais je lui demande :
« tu ne vas pas te changer ?
tu sais Yumi, tu n'es pas obliger de faire cela. Si c'est de la pitié j'en veux pas.
Mais de quoi tu parles ?
De tout à l'heure, quand je t’embrassai tu m'as repoussé pourquoi ?
Je, je suis désolé mais je t'aime ne l'oublie pas, ce n'est pas de la pitié.
Alors embrasse moi si tu m'aimes. »
je ne me fit pas prier deux fois, je l'embrassé déjà. Ses doux baisers, je ne savais pas que je pouvais l'aimais autant. Après avoir terminé mon petit déjeuner, je sortit de la maison juste après avoir prévenu Séb de mon départ. Je partit chez Aelita qui avait pris une maison de vacances à Lille. Pendant ces deux ou trois heures de route, je n'avait fais que réfléchir. Je me demandais si j'avais fais le bon choix ou si j'avais fait le mauvais mais en tout cas, j'en sortais plus qu'heureuse. Arrivé chez elle, j'eus la surprise de voir la voiture de Odd et celle d'Ulrich. Je sonna et c'est Ulrich qui m'ouvrit. Il était tellement beau mais je ne dois pas dire ça je suis fiancée. Je dit :
« bonjour Ulrich. Ça va ?
oui, et toi ?
Ça va, Aelita est là ?
Oui entre je te l’amène.
OK. »
je le suivit jusqu'au salon, où il avait toute la troupe du soir dernier. Je dit un simple bonjours à chacun d'entre pour m’asseoir à coté d'Ulrich dans le canapé à trois. Nous parlons de la pluie et du beau temps jusqu'à cette question prononcé par Ulrich :
« et Sébastien, ça va ?
oui, en faite il m'a fait une proposition que je ne pouvais pas refuser.
À oui et c'est quoi ? Demanda Jérémie
il m'a demandé en mariage.
tout le monde me regarda avec des yeux tout rond ce qui me fit rire légèrement puis Claire lança :
félicitation !!!
Et tout le monde l'a suivit. Je remercie tout le groupe. Ulrich lui, affichait son air grognon. Mais à quoi il joue. Je sortit de mes pensées quand j’entendis la sonnerie de mon portable. Je répondis :
« Oui ?
Chérie j'ai besoin de toi là.
Pourquoi ?
Tes parents sont là.
Quoi ?
T'as bien compris.
Oui, oui j'arrive.
Merci a toute. »
je regarde chacun qui affichent un regard inquiet, je rigole a voir leurs têtes. Je dit :
« faite pas cette tête, c'était Séb, ce n'est pas un problème. Mais je dois y aller, au revoir.
je te raccompagne. »
c'était Ulrich qui avait parler, je me demande pourquoi il a été gentil avec moi alors que quand Séb est là, il est grognon. Je tourne la tête pour dire au revoir et je jette un rapide coup d’œil vers Angélique pour voir si elle n'était pas trop déçu et j'avais raison, elle était un peu énervé de la réaction d'Ulrich. Je sors de la maison accompagné d'Ulrich. Dehors il prit la parole :
« je ne t'ai jamais oublier, Yumi. Je t'aime toujours. »
on va dire que celle la je ne m'y attendais pas. Je n'y répondit rien. Je le fit la bise et rentrai dans la voiture pour repartir chez moi. Quand je suis arrivé chez moi, j’ouvris la porte rapidement pour retrouver mes parents dans le canapé du salon. Séb était dans la cuisine en train de préparer deux thé à la menthe. Je trouve qu'il se débrouille bien avec eux. Mais leurs mines à tous les deux me fait peur. Je les salut :
« bonjours papa, bonjours maman. Que me vaut l’honneur de votre visite ?
bonjours Yumi, nous passons pour te dire une grande nouvelle. Commence M. Ishiyama.
Nous voulons t’annoncer quelque chose d'important. Dit sereinement Mme. Ishiyama.
Faites court s'il vous plaît. Dit-je stressée par leurs visages.
Nous avons trouver une famille qui voudrait bien s'unir avec nous pour pas que l'on fasse faillite. Mais il y a un soucis. rajouta M. Ishiyama.
Et c'est quoi ? Demandai-je soucieuse.
Il ont un fils et il veulent te marier avec lui. Termina Mme. Ishiyama
Je ne dit plus rien, en même temps énervé et triste de cette révélation. À ce moment là, Sébastien entra dans le salon et ayant entendu tout il avait laissait tomber le plateau de thé par terre. Une larme perla ma joue et fit sa descente jusqu'à s'écraser sur le sol. Séb allât prendre le ballai pour nettoyer le sol et quand-t-il eu terminé, il s'assit près de moi, la mine déconfite. Je dit la voix larmoyante :
« il est hors de question que j'épouse un homme dont je ne connaît pas l'identité et de toute façon je vais me marier avec quelqu'un d'autre. Dit-je sur la défensive.
puis-je savoir avec qui ? Demanda mon père qui commença à s'énerver.
C'est Sébastien. Répondit-je avant de regarder Séb dans les yeux.
Alors la, tu me surprend, tu préfères ta famille ou ce, … ce ? Dit mon père sur le point d'exploser de colère.
Tu ne peut pas me faire choisir, je vous aime maman et papa, comme j'aime Sébastien mais d'une façon différente alors si tu ne comprends pas ça je te demander de partir s'il te plaît.
Si tu le prends comme ça. Au revoir Yumi, au revoir jeune homme prenez bien soin de ma fille sinon...
Takeo, arrête. Dit ma mère.
Oui Akiko .
Merci maman. »
c'était bien la dernière phrase que j'ai prononcé avant qu'il parte. Je regarde Sébastien, lui est un peu dans les nuages. Je lui dit après avoir fermé la porte :
« ça va ?
oui, oui mais je ne savais pas que tes parents étaient comme ça.
Je sais, je sais. Maintenant tu m'accompagne chez Aelita, avant d'entré dans la maison, Aelita m'avait appelé et nous avait invité a déjeuner avec eux mais si tu ne veux pas...
non c'est bon je suis prêt de toute façon allons y
OK »
arrivé là bas, je sonne et c'est Ulrich qui nous ouvre. La mine déçu de voir Séb, il nous accompagne dans le salon où j'étais 30 minutes avant. Tout le monde étaient là. Angélique me toisent un peu du regard avant d'embrasser Ulrich sous mes yeux comme si ça aller me faire quelque chose. J'ai mal au ventre en voyant ça, suis-je jalouse, je ne le veux pas. Mais en tout cas pour Angélique, on ne peut pas la qualifier d'un ange. Je rit doucement à ce que je vient de dire dans ma tête, personne ne l'entend à par Ulrich. Il me sourit, je fond sur place. Je ne doit pas. Nous passons à table, toujours placé comme la dernière fois. À un moment, je pars au toilette et en sortant j'ai eu la surprise de voir Ulrich m'attendre(sans blague). Il me regarde, avec ses yeux chocolat, et je crois que je vais faire une bêtise. Il avance lentement son visage pour n'être qu'a quelque centimètres même millimètres du mien. Je ne sais pas ce qui m'a prit mais j’avançai mes lèvres pour quels se collent au siennes. Et c'est comme ça qu'est né un baiser plein d'amour et de tendresse. Mais au même moment, Sébastien fait son apparition dans le couloir qui mène aux chambres et qui donne une belle vue sur la sortie des toilettes.
Chapitre 3 : trahison et nouveau départ.
Quand je vis Sébastien du coin de l’œil nous regarder, je cru faire un cauchemar. Je me détache brusquement d'Ulrich et regarde Sébastien sans rien dire à part un tout petit « ce n'est pas ce que tu crois » qui j'en suis sur de parviendra pas jusqu'à ses oreilles . Il nous fixe, les larmes aux yeux avant de les baisser, signe qu'il ne peut même plus me voir. Ulrich lui, semble gêné. Il ne dit plus un mot. D'un coup, Sébastien lève les yeux pour les fermer, il retire la bague de nos fiançailles pour ensuite la jeter par terre. Il avance jusqu'à être devant Ulrich. Il dit :
« bravo, t'as réussis à me voler ma fiancée. Maintenant se sera quoi ?
écoute, je ne voulais pas. On s'attire comme des aimants, c'est pas de notre fautes et ça tu devrais le savoir. »
Sébastien tourne la tête pour me regarder avant de commencer à partir. Je le scrute avant de crier « Sébastien ». Je cours vers lui avant de me blottir dans ses bras. Il n'y fit rien. Juste me regarder. Je le chuchote plusieurs « désolé » avant de me décoller de lui. Je le fixe pour voir chaque parties de son visage parfait. Il est si beau. Comment je ne peut pas être réellement amoureuse de lui. Si je l'était, je ne l'aurait jamais trahis comme je l'ai fais, il n'aurait pas mal comme aujourd'hui mais malheureusement, je ne l'aime pas. Il m'admire sans doute avec ses yeux verts intense. je lui marmonne un « pardonne moi » puis je remets mes idées en place et lui dit plus sérieusement :
« je t'aime mais en ami. S'il te plaît comprends moi.
je t'aimerais toujours Yumi. Ulrich prends soin d'elle.
Mais,mais tu vas où ?
Très loin.
Pourquoi ? Tu es mon meilleur ami Séb ?
Non, ils sont tes meilleur amis. Je l'était.
Mais je t'aime.
Je me rendis compte des conséquences après avoir dit ces quelques mots.
enfin je veux dire, heu enfin.
Qu'est ce que t’insinue ?
Je sais pas, laissez moi tranquille. »
et en un instant, je sentit une pression sur ma joue. Ulrich venait de me gifler. Je sanglotait par terre, j'avais envie de crier mes j'en avais plus la force. Aelita et Claire, ayant entendu le bruit de la main d'Ulrich sur ma joue, accourut vers moi pour m'aider. Séb lui, me tenait dans ses bras. Ulrich disparut.
*deux ans plus tard*
j'étais marier à Séb et j'étais la plus heureuse du monde jusqu'au jour où...
j'étais à la fac, toujours avec mon groupe de copains : Sébastien, Jérémie, Aelita, Claire et Odd. Angélique elle, était partit avec Ulrich. Sébastien et moi étions plus proche désormais. Nous nous aimions à la folie. J'étais belle et bien amoureuse. Dans la salle de cours, quelque chose me perturbais, le garçon à coté de moi ne faisais que me regarder. Je tourne la tête et j'ouvris grand les yeux quand je reconnut le garçon : c'était Ulrich. Il me regardait aussi. À la fin du cours, je sortis à une vitesse affolante mais Ulrich me suivait. j’arrivai devant mes amis qui m'attendais. Ils me fixaient et ne comprenaient rien. Je leur raconta tout. Ils n'en croyaient pas leurs oreilles. Ils le vit. Ulrich avança vers nous. Il nous dit calmement :
« bonjours.
bonjours. Dit on froidement
OK. Vous m'avez toujours pas pardonner.
Comment veux-tu qu'on te pardonne après ce que tu m'a fait.
Je suis désolé Yumi mais j'étais sur les nerfs après ce que tu venais de dire.
Comment voulais-tu que je sois sur de mes sentiments. Mais dit toi que maintenant j'en suis sur.
Yumi...
non Ulrich. Tu n'as toujours pas compris. Je suis amoureuse de Sébastien maintenant.
Oui, je comprends.
Encore heureux. »
tout d'un coup, Ulrich avance rapidement d'un pas, tiens ma taille et m'embrasse fougueusement. Je ne sais pas ce qui m'arrive. Suis-je en train d’aimés ce qu'il fait ? Oui mais je ne doit pas. Je le gifle. Il se retient de crier. Je me retient de pleurer. Il me regarde intensément, je le toise du regard. Il se lève, il part. Je me tourne vers mes amis avant de terminer en sanglots. Je me dirige vers les dortoirs et m’allonge sur mon lit. Je pleure toute la nuit avant de m'endormir au petit matin. Je pensais que Sébastien était blessé de ce qu'Ulrich avait fait. Le matin je me lève pour faire mon toilettage avant de m'habiller. Je ne prit pas de petit déj car je n'avait pas faim. J'allai dans la forêt, puis m’assoie contre un arbre. Je chante dans ma tête. Je n'entends pas Ulrich. Il me fixe, je ne l'aperçois qu'après avoir terminé ma chanson. Je me redresse pour le regarder dans les yeux. Je hurle :
« qu'est ce que tu veux ?
te parler.
Moi non.
Tu devras m'écouter alors.
Je te dis que j'ai pas envie de t'entendre ni même de te parler. Tu comprends ça ou ton intelligence à régressée depuis la dernière fois qu'on s'est vu.
On aurait dit que j'étais à la place de Sissi.
Je sais je sais. Maintenant, vas t'en.
Yumi, s'il te plaît, écoute moi.
D'accord, d'accord mais fais vite.
Yumi, tout d’abord je voulais te dire que je suis désolé de t'avoir embrassée surtout devant ton mari. Et aussi je voulais t'expliquer pourquoi je l'ai fais. Cela se dit en deux mot, je t'aime.
Moi, je ne t'aime pas.
Tu en ai sur ?
Heu,... ou...oui.
OK. mais ne compte pas sur moi pour abandonner.
Ulrich ?
Non, Yumi. »
il partit. Quand je regarda ma montre, il était l’heure de manger.
Je me dépêche d'aller au self(cantine) pour déjeuner. Je rencontre mes amis là bas. Il me font signe de les rejoindre. J'y vais de ce pas quand j'eus finit avec la cantinière. Je m'assoie et :
« bonjour les amis, ça va ?
oui. Répondirent-ils tous en même temps.
Tu n'étais pas là ce matin.
Je n'avais pas faim.
Tu me ment et je n'aime pas ça Yumi.
Mais je ne te ment pas Sébastien. Dit-je en l'embrassant.
Promets le moi.
Je te le promet.
OK. »
ce fut le dernier mot qu'il dit. Le déjeuner se passât tranquillement. Mais dans la cantine, je vis Ulrich avec... comment elle s’appelle elle encore... à oui, Angélique. Il riait de bon cœur, cela me faisait repenser au souvenir de notre enfance, de lyoko, de XANA, du « copain et puis c'est tout. » je m'en souvenais comme si c'était hier. Je repris mes esprits car Séb tapotait sur mon épaule. Quand je découvris Ulrich me regardant aussi, je rougis fortement, ce qui ne passa pas inaperçu au yeux de Sébastien. Il regarda dans la même direction que moi et vit que c’était mon ami d'enfance. Il devenu rouge aussi mais pas pour la même raison, lui était rouge de colère. Il sortit de la cantine tellement vite qu'on aurait dit passer un éclair. Je le poursuivit jusqu'à arrivé a sa position qui était assez loin de l'université. Je l’espionnais. Il pleurait appuyé contre un arbre. Je le regardais tendrement avant d'ouvrir la bouche :
« Ce n'est pas ce que tu crois, si je le regardais c'est parce...
S'il te plaît, laisse moi.
Sébastien, écoute moi. Tu es mon marie, je t'aime et personne d'autre.
Je suis désolé mais je ne peut plus te croire. Je l'ai déjà fait beaucoup de fois et sa n'a mené a rien.
Comprend moi Sébastien. Un amour d'enfance ne s'oublie pas mais je ne l'aime plus. Je le regardais parce que sa me fais revoir de bon souvenir de longtemps.
Tu aurais pu regarder Aelita, Jérémy ou Odd pour ça et tu le sais. »
et d'un coup, et je crois que maintenant c'est pour de bon, il retire sa bague de mariage. J'eus un pincement au cœur en voyant cela. Tout mon monde s’effondre. je le regarde, les larmes aux yeux, j'allais faire un pas quand il se retourne pour partir. Il me chuchote un « désolé mais cela me fais du mal ». quand il partit, je tomba sur mes genoux avant de pleurer de plus belle. Je repense a mon mariage, à ce moment là de ma vie, je n'étais pas très heureuse. Je ne voulais pas me marier mais je ne supporter pas de le voir si triste, oui avant j'éprouvais de la pitié en vers lui. Je repense au « oui »
tellement différent d'une femme qui ressent de l'amour mais je ne laisser pas paraître cette émotion mis à part ma voix, incontrôlable pour moi. Je cours dans la forêt, m'enfonçant de plus en plus. Je percute quelqu'un mais en relevant la tête, je m'aperçois une personne que je ne voulais pas voir, une personne qui venait de cassait mon bonheur juste d'un simple regard : Ulrich. je commence à le taper fortement mais en pleurant, je perd de la force. Progressivement, mes coups deviennent des caresses de plus en plus douce. Il ne fit rien a part me prendre dans ses bras. Il relève mon menton, pour contempler mon visage. Dans mon cœur, je me dit que nous pourrons vivre enfin le parfait amour mais l'expression d'Ulrich change d'un coup. Il devient froid et distant. Il dit :
« va t'en !!!!!
mais...
non, va t'en !!
pourquoi ? J'avais dit cela en prenant un ton dur et ferme.
Je ne t'aime plus. »
j'ouvris grand les yeux avant de laisser s'échapper une larme. Celui qui me courrait derrière quand je ne voulait pas, me disait non quand je voulait de lui. Je me lève avant de murmurer un « ok » laissant planer le fait qu'il n'aurait plus de chance. Je repars dans ma chambre et fais le point sur cette journée vraiment horrible. Je finis par m'assoupir. La sonnerie de mon téléphone me sors de ma rêverie. Je réponds :
« allô ?
coucou, c'est Aelita.
Ah, salut.
Tu n'as pas l'air d'être contente de m'entendre ?
Non c'est pas ça. Sébastien a … il a...
qu'est-ce qu'il a fait ?
Il a rompu nos fiançailles. Aelita j'ai pleurais et il est partit. Après...
Après.
J'ai rencontrais Ulrich et je l'ai taper mais lui m'a enlacer. Mais il est devenu froid et il m'a dit de partir.
Et tu t'es laisser faire quand il t'a pris dans ses bras ?
Ou... oui. »
elle me conseilla de plonger dans mes études pour les oublier mais cela aller être dur. Trois jours plus tard, un nouveau rentrât dans la classe. Il était plutôt mignon avec son tee-shirt blanc tout à fait normal mais qui lui aller à merveille avec son baggy bleu et ses baskets noir. Il avait les cheveux à la façon de Harry Style. Il jette un coup d’œil vers moi et j'aperçois qu'il à les yeux vert. Je rougis fortement quand il me fit un clin d’œil. Ulrich brûle de colère en voyant ça. Le professeur parla :
« bonjours jeune homme, présentez-vous à la classe s'il vous plaît ?
alors je m'appelle Benoît, Ben pour les intimes. J'ai 25 ans et je suis en droit.
Merci, allez-vous asseoir à coté de Yumi.
D'accord. »
Il s'approche et bizarrement mon cœur bat plus fort. Il me fait signe de la tête pour me dire bonjours et je le réponds simplement avec un hochement de tête tellement mon gêne était grand. Il me chuchote pour ne pas que le prof l'entende :
« salut Yumi, moi c'est Ben. Je me disais que tu pouvais peut-être me faire visiter l'université après les cours ?
oui, bien sur.
Tu m'as l'air d'être gentille, je sens qu'on va bien s'entendre tous les deux. On pourrais devenir amis ou même plus.
Heu oui, oui. Mais pourquoi plus ?
Parce que je te trouve plutôt à mon goût.
Ah, ok.
Bon ce cours... »
et il suivit le cours normalement. Moi j’avais du mal à écouter temps ce garçon me faisait de l'effet. Après le cours je présenta Ben à mes amis.
« bonjours, je suis Ben. Je dois vous le dire, vous avez la chance d'avoir Yumi comme amie, c'est un ange.
oh, oui tu as raison. Moi c'est Aelita. Lui à coté de moi, c'est Jérémy mon petit ami, à coté c'est Odd et encore à coté c'est Sébastien.
Parce que oui, Sébastien était là en train de toiser du regard le nouveau. Pour qui il se prend. Il rompt nos fiançailles et après il fait la tête, je vais le faire regretter.
alors enchanté.
Ben, je peut te parler ?
Bien sur Yumi. »
quand nous étions à l'écart, je me précipite et dit :
« je voulais te parler de ce que tu avais dit tout à l'heure sur nous deux.
oui.
Je voulais te dire que moi, je veux bien être avec toi.
tu... tu veux sortir avec moi ?
Oui.
ok alors tu es ma petite amie.
Tu as tout compris. »
je m'avance timidement, m'assurant bien que Sébastien et Ulrich le voyait et je l'embrassa. Et à ce moment là, je sentais que tout s’écroulait autour de nous tellement je me sentais bien. Je me recule délicatement et ferme les yeux pour savourer ce moment magique. Je les ouvre brusquement quand j'entends un cri. Je découvris Ulrich devant Ben mais en regardant bien, je vis que Ben saignait. Je poussa un petit gémissement en voyant ça. La seul chose qui m'est venue à ce moment là, c'est qu'Ulrich venait de frapper Ben et une raison se déclara, la jalousie. Lui-même m'avait dit qu'il ne m'aimait pas. Je hurle :
« oh Ulrich, je te déteste. Regarde ce que tu as fait.
je le fait par amour, tu devrait me comprendre.
Non, je ne te comprends pas, il y a deux jours tu me disais que tu ne voulait plus de moi et là...
Yumi, je ne savais plus où j'en n'étais.
Moi je sais où j'en suis. Arrête de me harceler ou je porte plainte.
qu...quoi ?
Tu m'as bien entendu. Vas t'en.
Mais...
VAS T'EN ! »
et il partit, il sortit de ma vie, sortit de mes pensées, sortit de mon cœur en fin ce que vous voulez mais il sortit de mon âme ou de moi en tout cas. Je ne sais pas si c'est pour longtemps ou si c'est pour peu de temps mais je conte en profiter. Je me tourne vers Ben qui, depuis avoir reçut un coup, n'avait rien dit. Le saignement avait cessé. Il me regardait avec des yeux d'enfant. Il était beau, même très beau mais c'est bizarre, je crois que je ne l'aime pas vraiment comme j'ai aimé Ulrich. Mai je ne voulais pas l'abandonner à ce moment là, je devais être forte. Je lui dis :
« ça va ?
- sa pourrait aller mieux.
pour l'instant, j'ai fini j'espère que vous avais aimé
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