Chapitre 8 : Une lueur d’espoir
…Aelita ne se laissa pas distraire par ce magnifique paysage et chercha son père. Elle l’aperçut au milieu de la Grande Ourse et se dirigea vers lui.
Hiroki et Jonny arrivèrent devant l’Ermitage.
Jo : Cet endroit est lugubre. A ton avis, ils viennent faire quoi ici ?
H : Je sais pas mais ils sont plusieurs.
Jo : Pourquoi tu dis ça ?
H : Parce qu’ils y sont allés après le coup de fil.
Jo : Pas bête on entre ?
H : On entre !
A l’Ermitage, dans la chambre d’Aelita, Jérémie avait prit une chaise et s’était installé à côté d’elle. Odd et Sarah étaient assis sur le lit et parlé du film qu’ils avaient vus. Yumi était assise au sol, contre le mur et dormait. A l’autre bout de la chambre, Ulrich, qui était adossé au mur, la regardait en pensant à ce qu’il s’était passé chez Yumi. William avait remarqué qu’Ulrich et Yumi ne s’étaient pas parlés depuis qu’ils étaient à l’Ermitage. Il s’approcha de Yumi, s’accroupi et approcha sa main du visage de Yumi quand, tout à coup :
U : Ne la touche pas !
Tout le monde regarda Ulrich puis William. Yumi, qui s’était réveillées, aperçut la main de William près de son visage. Elle se leva alors brusquement, prit le bras de William et le fit tomber par terre. Tout cela s’était passé tellement vite que William n’eut pas le temps de réagir. Furieuse, elle dévala les escaliers et vit…
Y : Jonny, Hiroki ?
En entendant ceci, tout le reste de la bande (sauf Aelita) la rejoignit.
Y : Qu’est ce que vous faites ici les mioches ?
H : Ben…on pourrait vous retourner la question.
Sa : Ceci ne vous regarde pas et on vous a posé une question.
Jo : Ben…on est là par hasard.
Y : C’est ça, avec moi ça ne prend pas.
H : Bon d’accord, on vous a suivit.
O : Bravo ! Faut faire attention à vos arrières !
U : Oh tais-toi !
H : Au fait, qu’est ce qui s’est passé quand Ulrich a dit désolé on a pas vu.
Yumi partit, folle de rage.
U : Yumi.
Ulrich pointa William puis les deux espions du doigt.
U : Vous, vous êtes mort !
Et il sortit de la maison pour rattraper Yumi. Le reste de la bande remonta accompagnée de Jonny et Hiroki. William se dirigea vers la fenêtre pour espionner Yumi et Ulrich. Odd et Sarah expliquèrent tout à Jonny et Hiroki. Par la fenêtre, William aperçut Ulrich rattraper Yumi.
Ulrich tira Yumi et l’obligea à s’arrêter.
U : Hé, Yumi, ça va pas ?
Yumi avait les larmes aux yeux, elle avait craqué, elle n’en pouvait plus.
Y : C’est…c’est William, il me colle tout le temps et…j’en ai mare.
Elle baissa la tête. Ulrich lui releva la tête et lui enleva une mèche qui cachait son visage.
U : Yumi, calmes-toi.
Y : désolé.
Ulrich posa délicatement sa main sur la joue de la jeune japonaise.
U : Je t’aime.
Y : Moi aussi.
Elle se blottit alors dans ses bras.
William, lui, était toujours en train de les espionner par la fenêtre.
W : Saleté d’Ulrich !
O : Qu’est ce qui se passe ?
W : Ben viens voir.
Hiroki et Odd se dirigèrent vers la fenêtre et observèrent la scène.
W : Il va me le payer cher.
O : Heu…t’es sûr d’avoir tout pigé là ?
W : Pourquoi ?
O : Ben c’est pas pour dire mais, Yumi, c’est pas toi quelle aime, c’est Ulrich.
En entendant ça, Jonny baissa la tête.
W : T’es trop débile !
William dévala les escaliers…
Aelita et Franz parlaient toujours. Aelita avait les larmes aux yeux.
A : Tu es sûr que ça va marcher ?
FH : Non, mais c’est le seul moyen.
A : Tu vas me manquer papa.
Aelita se réveilla et vit Odd et Sarah discuter avec Hiroki et Jonny. Jérémie était à côté d’elle.
Elle entendit ce qui se passait en bas.
W : Saleté d’Ulrich !
U : Au fait William, t’es mort.
Y : Je monte.
U : Ouais.
Yumi rentra dans la chambre.
Y : Salut Aelita, t’es revenu !
A : Ouais mais j’ai pas tout suivit.
Y : T’inquiète pas, on t’expliquera.
H : Et promis, on dira rien.
Y : Mais vous avez intérêt sinon…
Le lendemain, à 20h00, Aelita se rendit dans le territoire de la banquise avec le reste de la bande. Sarah portait une tenue verte avec des chaussures noires. Elle possédait de longs ongles quelle pouvait agrandir à sa guise et qui tranchait magnifiquement bien. Ses ongles étaient recouverts de verni vert clair.
X : Alors, qu’as-tu choisis ?
A : J’ai choisi de sauver le monde !
X : Très bien. Franz venez donner les dernières données.
Franz Hopper avait presque terminé de transférait les donnés quand les monstres arrivèrent à le tuer.
X : Ha ha ha, il est mort plus rien ne peut m’arrêter !
A : C’est ce que tu crois X.A.N.A…
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L'esprit philosophique consiste à préférer aux mensonges qui font vivre les vérités qui font mourir.
Gustave Thibon