cauchemar

CODE LYOKO
Cauchemar
Depuis que Xana était désactiver, il y a 10 ans exactement, nos héros avaient beaucoup grandis.
-Lay qu’est ce qu’on a dit ? Lança un jeune homme à sa petite fille.
Ulrich avait énormément changé et grandis. Il se spécialisait dans le penchak silat. Il c’était transformé en un beau brun, d’une carrure athlétique. Il était grand, avec de beaux yeux marron, les cheveux de la même couleur, mais avec quelques mèches rebelles lui tombant parfois sur le front.
Il se tenait debout, toujours avec son air impassible, vêtu d’un t-shirt noir collant presque à sa peau et d’un pantalon vert, face à sa fille Lay qui lui ressemblait beaucoup. Cette petite fillette d’à peine 4 ans et demie, espiègle, très sage et obéissante, sous son petit air angélique cachait une enfant très dégourdie, mais qui avait hérité de la timidité de ses parents. A ses fesses, s’arrêtaient les beaux cheveux bruns de son père, elle avait un visage fin et des yeux noirs et expressifs comme ceux de sa mère. Vêtu d’une petit robe bleue à fleurs, elle paraissait toujours très joueuse et gentille.
Lay aimait beaucoup ses parents, mais pour la première fois, se rebellait contre son père, Ulrich, qui était ferme et juste, mais très permissif, attentionné, gentil et tendre avec elle et sa mère.
-Lay, si tu continues, je vais te punir. Tonna Ulrich à bout de nerfs.
-Je VEUX ce jouet. Tout de suite! Hurla t-elle en se mettant à se rouler par terre.
-Lay, on en a déjà parlé, ce n’est pas un jouet. Ce n’est pas comme ça que sa ce passe! Les sabres que j’utilise ne sont pas faits pour jouer! Si tu fais un faux mouvement, tu te blesses! Essaya de la résonner Ulrich.
-Papa, j’en veux un quand même ! Dit-elle en plissant ses petits yeux et croisant les bras.
-Qu’est ce que tu peut-être têtu quand tu t’y mets… Bon, je te fais une proposition. Je vais aller t’en acheter un. Pas un vrai, un jouet. Si dans deux ou trois ans tu veux encore faire du penchak silat, je t’initierai. Tu es d’accord? Proposa Ulrich en s’accroupissant afin que son visage soit en face de celui de son enfant.
-Mais je veux commencer tout de suite! Insista t-elle.
-Tout de suite… Ce n’est pas possible ma chérie, et tu le sais. Tu oublies qu’aujourd’hui, on t’emmène au cinéma, et pour ça, il faut aller chercher maman à son travail. Et à cause de ta petite crise, on à déjà perdu 10 minutes. Lui rappela Ulrich en souriant.
-Bon, d’accord, on commencera plus tard. Dimanche alors ? Insista t-elle encore.
-Si tu insistes, mais il faudra qu’à 6H00 tu sois debout. Répondit Ulrich en regardant sa montre.
-Bon d’accord. Merci papa, je t’aime… Dit-elle en se blottissant au creux des bras de son père.
-Je t’aime aussi ma chérie. Lui répondit Ulrich en la serrant dans ses bras.
-Bon, on va être en retard. Lui rappela Lay tandis qu’elle l’embrassait sur la joue et qu’il la déposait par terre.
-Tiens, vas dans la voiture ma petite pomme, je vais chercher la veste de maman à l’étage et j’arrive. Et interdiction de démarrer. Tu poses les clés sur le tableau de bord. L’avertit Ulrich en lui tendant les clés.
Tandis que sa fille se dirigeait vers la porte, Ulrich monta dans sa chambre, enfila sa veste, attrapa celle de sa femme et de Lay et redescendit. Avec une télécommande, il verrouilla la porte d’entrée et se dirigea vers sa voiture personnelle, une superbe BMW noir.
Il s’installa sur le siège en cuir beige, côté passager, récupéra ses clés sur le tableau de bord et vérifia que sa fille, sur le siège central arrière, était bien attachée. Lay lui fit une grimace à laquelle il répondit par une autre dont lui seul avait le secret, ce qui eu pour effet de faire la petite fille éclater de rire.
Ulrich se retourna, mit le contact, enclencha la première et appuya sur l’accélérateur. La fillette sur le siège arrière aimait la façon dont conduisait son père. Comme lui, elle aimait la vitesse et l’extrême. La conduite d’Ulrich était plutôt rapide et fluette, mais ses gestes, eux, étaient toujours très précis ; et quand il se savait accompagné, sa conduite changeait totalement.
Seul dans sa voiture, il roulait plutôt vite, mais sans excès. Alors que quand il était en compagnie de sa femme, de sa fille, ou de ses amis, il préférait être prudent.
Le moteur de la belle BMW luisante dans la nuit vrombissait. Ulrich accéléra encore un peu et jeta un coup d’œil dans son rétroviseur pour apercevoir une Lay endormie sur son siège. Son père sourit et reporta toute son attention sur la route sinueuse qui s’offrait au pneu de sa voiture.
Le voyage dura près d’une demie heure et quand ils arrivèrent devant le grand bâtiment gris où se trouvait la mère de sa fille, Ulrich ralentit puis s’arrêta. Il descendit de la voiture passa à l’arrière, détacha sa fille et lui enfila sa petite veste blanche car il était 19H30 et un petit vent frais se faisait sentir.
Ulrich prit Lay dans ses bras et se dirigea vers le cabinet d’avocate de sa femme. Sa secrétaire l’annonça et il entra dans le cabinet de la mère de sa fille. Il déposa délicatement l’enfant sur une chaise à bascule et se dirigea vers sa femme.
-Alors Ulrich, tu as passé une bonne journée? Demanda celle-ci en déposant un baiser sur les lèvres d’Ulrich qui l’enlaça tendrement.
Ulrich tenait serré contre lui, sa femme, Yumi Ishyama, se faisant appeler, maintenant quel était mariée avec Ulrich, Yumi Stern.
Elle était heureuse. Elle retrouvait son mari et sa fille après une longue journée d’absence et de travail.
Yumi avait elle aussi beaucoup changé. Elle était très jolie. Ses longs cheveux, lui arrivant jusqu’aux fesses tressés en une longue natte noire, elle avait gardé ses yeux bridés et expressifs qui plaisaient toujours autant à Ulrich. Son visage toujours aussi fin était doux et sensible. Elle portait un sage ensemble blanc et pliée dans une armoire l’attendait sa robe d’avocate. Ulrich remarqua qu ‘elle n’était pas encore changée.
Yumi déposa tendrement sur les lèvres de son mari un dernier baiser et alla vers sa fille.
Elle lui caressa les cheveux et lui déposa à elle aussi un petit baiser sur les lèvres, de mère à fille. Puis, Ulrich prit Lay dans ses bras et tandis que Yumi se changeait, il l’emmena vers la voiture.
Il l’installa à l’arrière et s’installa à l’avant, puis attendit patiemment sa femme qui ne tarda pas à arriver, vêtu d’un sublime pantalon bordeaux et d’un décolleté vert.
Elle s’installa du côté passager et tandis qu’Ulrich démarrait, elle engagea la conversation.
-Alors ta journée? L’interrogea t-elle.
-Ben, entraînement toute la journée, comme d’hab. A 16H00, je suis aller chercher cette petite demoiselle Lay, je lui ai fait son goûté, prendre sa douche, habillée. Et cette petite que voilà nous a fait une crise. Répondit-elle un sourire au lèvres en entendant sa fille se réveiller.
-Lay, qu’est ce qui c’est passé avec papa? Demanda Yumi d’une voix tendre.
-Laisse là Yumi, c’était rien de grave. Elle voulait juste que je lui achète un katana et j’ai dis que je le lui en achèterai un, en jouet et que Dimanche, elle s’entraînerait avec moi a partir de 6H00. Répondis-je tandis que Lay baissait les yeux toute penaude.
Lay leva les yeux et voulut sauter au cou de sa maman. Mais la ceinture de sécurité la retenait.
-Et toi ma chérie, raconte moi ta journée. Lui demanda sa mère.
-Ben, école toute la journée, comme d’hab, papa est venue me chercher, j’ai goûté, il m’a baigné, habillé et voilà! Fit Lay.
-Mais, moi, tu m’as manqué. Murmura Ulrich en coupant le moteur de la voiture.
-Mais toi aussi tu m’as manqué Ulrich. Dit Yumi en l’enlaçant tendrement.
Ils allaient s’embrasser lorsque Lay, qui avait détachée sa ceinture s’interposa brutalement entre leurs deux visages.
-Pas devant moi. Refusa t-elle sèchement en éloignant les deux têtes l’une de l’autre.
Yumi et Ulrich descendirent de la voiture et Ulrich enclencha l’alarme antivol de sa belle BMW.
Ils s’engagèrent sur un petit sentier qui menait au cinéma, lorsque soudain, Ulrich enlaça Yumi et l’embrassa tendrement durant deux bonnes minutes. Lay qui ne s’étaient aperçu de rien avait continuée son chemin et n’ayant plus vu ses parents, était revenus sur ses pas.
Quelle ne fut pas sa surprise de les découvrir, enlacés, s’embrassant langoureusement sous le claire de Lune! Elle resta debout face à eux, sans rien dire, son pieds battant la mesure , signe de sa longue attente. Après deux ou trois minutes, Lay trouva qu’ils s’étaient assez embrassés pour la journée et les interrompis brusquement.
-Hum…hum… Je vous cherchais partout moi ! S’écria Lay en tirant sa mère par le bras.
Yumi arrachée des bras de son mari par sa fille qui lui tirait fermement la main, tendit sa main droite vers Ulrich qui s’empressa de la rejoindre et de prendre délicatement la main de sa femme dans la sienne. Yumi pensa qu’il fallait qu’elle s’explique avec sa fille plus tard sur ce sujet. Ils entrèrent dans le hall et tandis que Ulrich payait les places, Yumi et Lay allaient acheter du pop corn et des bonbons.
Ils se retrouvèrent dans la salle tout les trois. Lay avait tenue à regarder le Roi Lion. Les lumières étant encore très fortes, les enfants parlaient très fort avec leurs parents tandis que Lay elle était assise sur les genoux de son père ,blottit dans ses bras. Lorsque le film commença, Lay ,toujours dans les bras d’Ulrich, le regardait attentivement. Après le film qui ne dura qu’une heure et demie, Lay se leva et s’étira. Elle était épuisée et ne tenait plus sur ses jambes. Donc, Ulrich décida de la porter. Il prit sa fille dans ses bras, et passa son autre main autour de la taille de Yumi qui lui sourit tendrement.
Ils refirent le chemin en sens inverse.
Tandis que Lay dormait à l’arrière, Yumi et Ulrich parlaient de leur journée épuisante du vendredi. Heureusement que c’était le week-end !
Lorsqu’ils arrivèrent, Ulrich porta sa fille jusqu’à sa chambre et la mit en pyjama. Yumi, debout dans l’encadrement de la porte, observait les gestes tendres de son mari. Il était tellement plus doux avec sa fille qu’avec elle, qu’elle aurait pu en être jalouse ! Après avoir déposé sur le front de Lay, un doux baiser, il éteignit la lumière et se dirigea vers sa femme avec un petit sourire charmeur. Il l’attira tendrement à lui et l’embrassa amoureusement. Il se retrouvèrent dans leur chambre, où la lumière était éteinte.
-Je vais prendre un douche. Annonça Ulrich en attrapant sa serviette et en enlevant veste, et t-shirt qu’il posa sur le lit.
-Non, moi d’abord! Lança Yumi en s’élançant vers la salle de bain en courant.
-Pas question! Cria Ulrich en la rattrapant.
-Si. Répondit-elle.
-Yumi, tu sais bien que si tu rentre là dedans, tu en auras pour des heures! Supplia Ulrich.
-Hé bien, tu attendras mon cher Ulrich… Lui répondit-elle tendrement avant de s’enfermer dans la salle de bain.
Ulrich avait perdu. Il était encore debout dans le couloir lorsque la porte s’ouvrit.
-J’ai oublié de te dire un truc… Murmura Yumi.
-Hum ? Répondit Ulrich en regardant sa femme.
-Je t’aime. Chuchota t-elle avant de refermer la porte de la salle de bain.
Ulrich, un petit sourire moqueur sur les lèvres, se dirigea vers la seconde salle de bain et se doucha. Quand il sortit, il était en pyjama : un débardeur blanc et un short noir. Les cheveux encore humides, il s’allongea sur le lit en attendant Yumi.
Lorsque celle-ci arriva, Ulrich ne s’en aperçut pas, car il c’était assoupi. Yumi toujours aussi joueuse décida de le réveiller.
Elle grimpa sur lui et se mit à le secouer comme un prunier. Le pauvre Ulrich endormi s’éveilla en sursaut et croyant être attaqué, il laissa ses réflexes de penchak silat le guider. Il immobilisa son adversaire qu’il ne reconnu pas tout de suite, le fit basculer sur le lit, le retînt par les poignets et se pencha vers son visage pour le voir de plus près. Lorsqu’il reconnu Yumi avec un petit sourire moqueur accroché aux lèvres, il se rendit compte de sa gaffe et l’embrassa tendrement. Yumi caressa doucement les épaules d’Ulrich qu’elle adorait. Elle ne savait pas pourquoi, mais les épaules d’Ulrich étaient douces et l’attiraient. Elle l’embrassa tendrement lorsque soudain la lumière s’alluma révélant une Lay toute endormie.
Cauchemar
Depuis que Xana était désactiver, il y a 10 ans exactement, nos héros avaient beaucoup grandis.
-Lay qu’est ce qu’on a dit ? Lança un jeune homme à sa petite fille.
Ulrich avait énormément changé et grandis. Il se spécialisait dans le penchak silat. Il c’était transformé en un beau brun, d’une carrure athlétique. Il était grand, avec de beaux yeux marron, les cheveux de la même couleur, mais avec quelques mèches rebelles lui tombant parfois sur le front.
Il se tenait debout, toujours avec son air impassible, vêtu d’un t-shirt noir collant presque à sa peau et d’un pantalon vert, face à sa fille Lay qui lui ressemblait beaucoup. Cette petite fillette d’à peine 4 ans et demie, espiègle, très sage et obéissante, sous son petit air angélique cachait une enfant très dégourdie, mais qui avait hérité de la timidité de ses parents. A ses fesses, s’arrêtaient les beaux cheveux bruns de son père, elle avait un visage fin et des yeux noirs et expressifs comme ceux de sa mère. Vêtu d’une petit robe bleue à fleurs, elle paraissait toujours très joueuse et gentille.
Lay aimait beaucoup ses parents, mais pour la première fois, se rebellait contre son père, Ulrich, qui était ferme et juste, mais très permissif, attentionné, gentil et tendre avec elle et sa mère.
-Lay, si tu continues, je vais te punir. Tonna Ulrich à bout de nerfs.
-Je VEUX ce jouet. Tout de suite! Hurla t-elle en se mettant à se rouler par terre.
-Lay, on en a déjà parlé, ce n’est pas un jouet. Ce n’est pas comme ça que sa ce passe! Les sabres que j’utilise ne sont pas faits pour jouer! Si tu fais un faux mouvement, tu te blesses! Essaya de la résonner Ulrich.
-Papa, j’en veux un quand même ! Dit-elle en plissant ses petits yeux et croisant les bras.
-Qu’est ce que tu peut-être têtu quand tu t’y mets… Bon, je te fais une proposition. Je vais aller t’en acheter un. Pas un vrai, un jouet. Si dans deux ou trois ans tu veux encore faire du penchak silat, je t’initierai. Tu es d’accord? Proposa Ulrich en s’accroupissant afin que son visage soit en face de celui de son enfant.
-Mais je veux commencer tout de suite! Insista t-elle.
-Tout de suite… Ce n’est pas possible ma chérie, et tu le sais. Tu oublies qu’aujourd’hui, on t’emmène au cinéma, et pour ça, il faut aller chercher maman à son travail. Et à cause de ta petite crise, on à déjà perdu 10 minutes. Lui rappela Ulrich en souriant.
-Bon, d’accord, on commencera plus tard. Dimanche alors ? Insista t-elle encore.
-Si tu insistes, mais il faudra qu’à 6H00 tu sois debout. Répondit Ulrich en regardant sa montre.
-Bon d’accord. Merci papa, je t’aime… Dit-elle en se blottissant au creux des bras de son père.
-Je t’aime aussi ma chérie. Lui répondit Ulrich en la serrant dans ses bras.
-Bon, on va être en retard. Lui rappela Lay tandis qu’elle l’embrassait sur la joue et qu’il la déposait par terre.
-Tiens, vas dans la voiture ma petite pomme, je vais chercher la veste de maman à l’étage et j’arrive. Et interdiction de démarrer. Tu poses les clés sur le tableau de bord. L’avertit Ulrich en lui tendant les clés.
Tandis que sa fille se dirigeait vers la porte, Ulrich monta dans sa chambre, enfila sa veste, attrapa celle de sa femme et de Lay et redescendit. Avec une télécommande, il verrouilla la porte d’entrée et se dirigea vers sa voiture personnelle, une superbe BMW noir.
Il s’installa sur le siège en cuir beige, côté passager, récupéra ses clés sur le tableau de bord et vérifia que sa fille, sur le siège central arrière, était bien attachée. Lay lui fit une grimace à laquelle il répondit par une autre dont lui seul avait le secret, ce qui eu pour effet de faire la petite fille éclater de rire.
Ulrich se retourna, mit le contact, enclencha la première et appuya sur l’accélérateur. La fillette sur le siège arrière aimait la façon dont conduisait son père. Comme lui, elle aimait la vitesse et l’extrême. La conduite d’Ulrich était plutôt rapide et fluette, mais ses gestes, eux, étaient toujours très précis ; et quand il se savait accompagné, sa conduite changeait totalement.
Seul dans sa voiture, il roulait plutôt vite, mais sans excès. Alors que quand il était en compagnie de sa femme, de sa fille, ou de ses amis, il préférait être prudent.
Le moteur de la belle BMW luisante dans la nuit vrombissait. Ulrich accéléra encore un peu et jeta un coup d’œil dans son rétroviseur pour apercevoir une Lay endormie sur son siège. Son père sourit et reporta toute son attention sur la route sinueuse qui s’offrait au pneu de sa voiture.
Le voyage dura près d’une demie heure et quand ils arrivèrent devant le grand bâtiment gris où se trouvait la mère de sa fille, Ulrich ralentit puis s’arrêta. Il descendit de la voiture passa à l’arrière, détacha sa fille et lui enfila sa petite veste blanche car il était 19H30 et un petit vent frais se faisait sentir.
Ulrich prit Lay dans ses bras et se dirigea vers le cabinet d’avocate de sa femme. Sa secrétaire l’annonça et il entra dans le cabinet de la mère de sa fille. Il déposa délicatement l’enfant sur une chaise à bascule et se dirigea vers sa femme.
-Alors Ulrich, tu as passé une bonne journée? Demanda celle-ci en déposant un baiser sur les lèvres d’Ulrich qui l’enlaça tendrement.
Ulrich tenait serré contre lui, sa femme, Yumi Ishyama, se faisant appeler, maintenant quel était mariée avec Ulrich, Yumi Stern.
Elle était heureuse. Elle retrouvait son mari et sa fille après une longue journée d’absence et de travail.
Yumi avait elle aussi beaucoup changé. Elle était très jolie. Ses longs cheveux, lui arrivant jusqu’aux fesses tressés en une longue natte noire, elle avait gardé ses yeux bridés et expressifs qui plaisaient toujours autant à Ulrich. Son visage toujours aussi fin était doux et sensible. Elle portait un sage ensemble blanc et pliée dans une armoire l’attendait sa robe d’avocate. Ulrich remarqua qu ‘elle n’était pas encore changée.
Yumi déposa tendrement sur les lèvres de son mari un dernier baiser et alla vers sa fille.
Elle lui caressa les cheveux et lui déposa à elle aussi un petit baiser sur les lèvres, de mère à fille. Puis, Ulrich prit Lay dans ses bras et tandis que Yumi se changeait, il l’emmena vers la voiture.
Il l’installa à l’arrière et s’installa à l’avant, puis attendit patiemment sa femme qui ne tarda pas à arriver, vêtu d’un sublime pantalon bordeaux et d’un décolleté vert.
Elle s’installa du côté passager et tandis qu’Ulrich démarrait, elle engagea la conversation.
-Alors ta journée? L’interrogea t-elle.
-Ben, entraînement toute la journée, comme d’hab. A 16H00, je suis aller chercher cette petite demoiselle Lay, je lui ai fait son goûté, prendre sa douche, habillée. Et cette petite que voilà nous a fait une crise. Répondit-elle un sourire au lèvres en entendant sa fille se réveiller.
-Lay, qu’est ce qui c’est passé avec papa? Demanda Yumi d’une voix tendre.
-Laisse là Yumi, c’était rien de grave. Elle voulait juste que je lui achète un katana et j’ai dis que je le lui en achèterai un, en jouet et que Dimanche, elle s’entraînerait avec moi a partir de 6H00. Répondis-je tandis que Lay baissait les yeux toute penaude.
Lay leva les yeux et voulut sauter au cou de sa maman. Mais la ceinture de sécurité la retenait.
-Et toi ma chérie, raconte moi ta journée. Lui demanda sa mère.
-Ben, école toute la journée, comme d’hab, papa est venue me chercher, j’ai goûté, il m’a baigné, habillé et voilà! Fit Lay.
-Mais, moi, tu m’as manqué. Murmura Ulrich en coupant le moteur de la voiture.
-Mais toi aussi tu m’as manqué Ulrich. Dit Yumi en l’enlaçant tendrement.
Ils allaient s’embrasser lorsque Lay, qui avait détachée sa ceinture s’interposa brutalement entre leurs deux visages.
-Pas devant moi. Refusa t-elle sèchement en éloignant les deux têtes l’une de l’autre.
Yumi et Ulrich descendirent de la voiture et Ulrich enclencha l’alarme antivol de sa belle BMW.
Ils s’engagèrent sur un petit sentier qui menait au cinéma, lorsque soudain, Ulrich enlaça Yumi et l’embrassa tendrement durant deux bonnes minutes. Lay qui ne s’étaient aperçu de rien avait continuée son chemin et n’ayant plus vu ses parents, était revenus sur ses pas.
Quelle ne fut pas sa surprise de les découvrir, enlacés, s’embrassant langoureusement sous le claire de Lune! Elle resta debout face à eux, sans rien dire, son pieds battant la mesure , signe de sa longue attente. Après deux ou trois minutes, Lay trouva qu’ils s’étaient assez embrassés pour la journée et les interrompis brusquement.
-Hum…hum… Je vous cherchais partout moi ! S’écria Lay en tirant sa mère par le bras.
Yumi arrachée des bras de son mari par sa fille qui lui tirait fermement la main, tendit sa main droite vers Ulrich qui s’empressa de la rejoindre et de prendre délicatement la main de sa femme dans la sienne. Yumi pensa qu’il fallait qu’elle s’explique avec sa fille plus tard sur ce sujet. Ils entrèrent dans le hall et tandis que Ulrich payait les places, Yumi et Lay allaient acheter du pop corn et des bonbons.
Ils se retrouvèrent dans la salle tout les trois. Lay avait tenue à regarder le Roi Lion. Les lumières étant encore très fortes, les enfants parlaient très fort avec leurs parents tandis que Lay elle était assise sur les genoux de son père ,blottit dans ses bras. Lorsque le film commença, Lay ,toujours dans les bras d’Ulrich, le regardait attentivement. Après le film qui ne dura qu’une heure et demie, Lay se leva et s’étira. Elle était épuisée et ne tenait plus sur ses jambes. Donc, Ulrich décida de la porter. Il prit sa fille dans ses bras, et passa son autre main autour de la taille de Yumi qui lui sourit tendrement.
Ils refirent le chemin en sens inverse.
Tandis que Lay dormait à l’arrière, Yumi et Ulrich parlaient de leur journée épuisante du vendredi. Heureusement que c’était le week-end !
Lorsqu’ils arrivèrent, Ulrich porta sa fille jusqu’à sa chambre et la mit en pyjama. Yumi, debout dans l’encadrement de la porte, observait les gestes tendres de son mari. Il était tellement plus doux avec sa fille qu’avec elle, qu’elle aurait pu en être jalouse ! Après avoir déposé sur le front de Lay, un doux baiser, il éteignit la lumière et se dirigea vers sa femme avec un petit sourire charmeur. Il l’attira tendrement à lui et l’embrassa amoureusement. Il se retrouvèrent dans leur chambre, où la lumière était éteinte.
-Je vais prendre un douche. Annonça Ulrich en attrapant sa serviette et en enlevant veste, et t-shirt qu’il posa sur le lit.
-Non, moi d’abord! Lança Yumi en s’élançant vers la salle de bain en courant.
-Pas question! Cria Ulrich en la rattrapant.
-Si. Répondit-elle.
-Yumi, tu sais bien que si tu rentre là dedans, tu en auras pour des heures! Supplia Ulrich.
-Hé bien, tu attendras mon cher Ulrich… Lui répondit-elle tendrement avant de s’enfermer dans la salle de bain.
Ulrich avait perdu. Il était encore debout dans le couloir lorsque la porte s’ouvrit.
-J’ai oublié de te dire un truc… Murmura Yumi.
-Hum ? Répondit Ulrich en regardant sa femme.
-Je t’aime. Chuchota t-elle avant de refermer la porte de la salle de bain.
Ulrich, un petit sourire moqueur sur les lèvres, se dirigea vers la seconde salle de bain et se doucha. Quand il sortit, il était en pyjama : un débardeur blanc et un short noir. Les cheveux encore humides, il s’allongea sur le lit en attendant Yumi.
Lorsque celle-ci arriva, Ulrich ne s’en aperçut pas, car il c’était assoupi. Yumi toujours aussi joueuse décida de le réveiller.
Elle grimpa sur lui et se mit à le secouer comme un prunier. Le pauvre Ulrich endormi s’éveilla en sursaut et croyant être attaqué, il laissa ses réflexes de penchak silat le guider. Il immobilisa son adversaire qu’il ne reconnu pas tout de suite, le fit basculer sur le lit, le retînt par les poignets et se pencha vers son visage pour le voir de plus près. Lorsqu’il reconnu Yumi avec un petit sourire moqueur accroché aux lèvres, il se rendit compte de sa gaffe et l’embrassa tendrement. Yumi caressa doucement les épaules d’Ulrich qu’elle adorait. Elle ne savait pas pourquoi, mais les épaules d’Ulrich étaient douces et l’attiraient. Elle l’embrassa tendrement lorsque soudain la lumière s’alluma révélant une Lay toute endormie.