Je saute ? Tu sautes; Tu meurs ? Je meurs
Enfin bonne lecture ^^
Secrétaire : Melle Ishyama attendez !
Y : oui Tamara ?
Secrétaire : Le juge m’a appelé votre client à été placé en détention pour mauvaise conduite devant le juge en personne
Y : oh non mais c’est pas vrai je lui avais dit de garder son calme et puis comment sa se fait qu’il ne m’ai pas appeler tout de suite ?
Secrétaire : je l’ignore mademoiselle, il ne m’en a pas dit plus
Y : sa fait plaisir de voir qu’il prend mon travail au sérieux (elle soupire) bon je règlerais ça demain matin là je dois aller chercher de l’argent à la banque pour mes vacances, partez vous Tamara ?
Secrétaire : eh non mademoiselle il faut bien que quelqu’un s’occupe de vos appels en votre absence
Y : c’est la dur lois du travail passez deux bonnes semaines
Secrétaire : vous aussi Mademoiselle Ishyama
Elle sortie du cabiné, eh oui notre chère Yumi comme vous avez pu le remarquer est devenu une brillante avocate, elle était très apprécié de ses collègues, elle avait toujours ses cheveux noirs qui lui arrivaient au milieu du dos, elle portait une belle jupe en jean et un dos rose, elle ne s’était pas marié à cause d’Ulrich qu’elle n’a jamais pu oublié, il était parti rejoindre ses parents pour des affaires personnels dont il n’avait jamais voulu lui en parlé et depuis plus de trace du jeune homme, il l’avait rayé de sa vie sans un au revoir sans le moindre signe de tendresse depuis elle souffrait énormément et elle se réfugiait dans son travail, elle n’arrivait plus à s’attacher aux hommes car Ulrich ne l’avait jamais quitter au plus profond de son cœur l’amour qu’elle lui portait est toujours présent mais enterrer vivant.
Le téléphone de la Japonaise sonna :
Y : oui allo ?
H : salut sister !
Y : ah Hiroki, comment vas-tu ?
H : mais très bien je suis au boulot là et tout est calme
Y : aucun criminel à l’horizon eh bien temps mieux, j’en vois pas mal en ce moment
H : ah tu sais on c’est très bien que le métier de policier et d’avocat n’est pas des plus simples
Y : nan tu crois que je l’ignorais ^^, dit ton patron ne t’avais pas ordonner de ne plus appeler pendant tes heures de travails ? ^^
H : mais chut ! J’appelle ma soeurette chérie avant qu’elle parte en vacances et j’ai le droit à des reproches tu changeras jamais toi
Y : je plaisantais ptit frère
H : on ne sait jamais avec toi
Une voix (derrière Hiroki) : INSPECTEUR ISHYAMA COMBIEN DE FOIS VOUS AI-JE DIS DE NE PAS APPELER PENDANT VOS HEURES DE TRAVAILS !!!
H : soeurette je dois te laisser je vais me faire tué
Y : j’ai entendu ça fréro ^^ allez file et bosse ! ^^
Elle raccrocha elle ne put s’empêcher de rire son petit frère était toujours aussi plaisantin mais bien sur il c’était calmé avec son métier, ils étaient restés tous les deux très proches surtout depuis que Yumi était tombé en dépression à cause du départ d’Ulrich, elle arriva en face de la banque et rentra.
Y : bizarrement je n’ai jamais aimé les ambiances des banques sa sens l’argent plein nez je hais ça
Une fille : je suis exactement comme toi Yumi !
Y : Kim ! Ma chérie je ne t’ai pas vu depuis un baille
K : eh oui j’étais tellement occupé avec les enfants
Y : et comment vont-ils ?
K : très bien Maxime est rentré à l’école depuis il devient un peu plus farceur mais c’est un petit encore et puis Cassandra est une élève superbe et adorable je n’ai dont pas à me plaindre et toi comment tu vas ?
Y : oh tu sais moi avec le travail je n’ai pas grand-chose à faire
K : même pas un beau garçon en vu ?
Y : eh non même pas ^^, enfin là je suis en vacances je pars samedi matin à Marrakech peut-être que je vais croiser quelqu’un
K : oh il y a des chances il y a de beau spécimen de sexe opposé
Y : voyons Kim nous sommes dans une banque ne parle pas si fort et surtout pas de ce genre de conversation ^^
K : toujours aussi sérieuse fidèle à toi-même
Y : toujours
Elle avait rencontré Kim à la FAC et c’était lié d’amitié très vite avec la jeune fille, mais elles étaient très différente Kim était le genre de fille à s’amusé énormément mais depuis son mariage et la naissance de ses enfants, elle avait calmé un peu son amour pour la fête et des garçons et elle était comblé.
A l’entrée de la banque :
…1 : tu es prêt ?
… 2: je crois oui
… 1: t’inquiètes pas il arriva rien
… 2: c’est ce que tu dis
… 1: allez on y va
Dans la banque
Banquier : Mademoiselle bonjour puis je vous aidé ?
Y : oui alors j’aimerais …
Elle fut coupé par un coup de fusil qui fut tiré en l’air les gens crièrent, deux hommes cagoulés venaient de rentré dans la banque.
…1 : tout le monde se couche magnez vous si vous nous écoutez on ne vous fera aucun mal c’est clair ?
Yumi se coucha à côté de son amie Kim qui tremblait de peur
K : Yumi, j’ai peur, qu’est ce qu’on peux faire ?
Y : ne fait rien Kim ne t’inquiètes pas, il faut les écouter, ils ne nous feront rien si ont les écoutent alors reste calme
… 1 : oh les deux filles fermez là !
Kim se tus aussitôt, Yumi elle essayait tant bien que mal de garder son calme, mais elle ne devait surtout pas se faire reconnaître en tant qu’avocate sinon les hommes pourraient paniqués
…1 : vide la caisse dépêche toi (il regarda son collègue qui ne disait rien et qui se contentait de le regarder) ça va mec ?
…2 : oui tant fait pas je préfère te laisser faire
Le deuxième garçon marcha en regardant les gens assis ou allongés sur le sol, il remarqua Kim qui pleurait soutenu par Yumi qui elle n’avait pas vu que le jeune homme la regardait, il s’approcha et s’agenouilla en face de Kim
…2 : ne vous inquiétez pas on ne vous fera pas de mal d’accord, restez calme
Y : ne nous approchez pas !!
Il ne dit rien mais son collègue vit la jeune fille lui répondre et se dirigea vers son ami
…1 : nan mais l’insolente tu vas te calmer sinon je vais te remettre à ta place alors parle meilleurs que ça à mon pote
Yumi ne dit rien et regarda le garçon d’une manière très froide, dés que Yumi avait vu que ces personnes étaient des hommes elle bouillonnait et était très méfiante
…2 : ne t’énerves pas Enrique sa sers à rien tu leur fais peur
…1 : ouè mais quel te respecte un minimum cette fille, je vais surveiller la caisse fait gaffe
…2 : oui
Il retourna son regarda en direction de Yumi et de Kim, voyant le regard de Yumi il se leva et s’éloigna quand :
Y : pourquoi vous faites sa ?
…2 : sa ne regarde personne, mais je ne suis pas là pour faire peur aux gens et encore moins aux jeunes femmes telles que vous
Y : vous croyez me faire peur vous, vous trompez lourdement
…2 : rassurez vous je prendrais l’argent avec mon ami et nous partirons et tout le monde ira bien
Y : vous n’avez qu’a libéré des gens ils sont tous effrayer.
…2 : c’est mon ami qui se charge de ça moi je surveille c’est tout
Y : en gros vous êtes le petit con qui attend
…2 : je ne vous ai pas manqué de respect alors je vous pris de me parlez autrement
Il s’approcha d’elle et lui prit le menton doucement pour ne pas lui faire de mal
…2 : gardez votre sans froid je comprend votre colère mais mon ami lui pourrait mal le prendre et vous faire du mal et quand il est en colère il peut devenir très violant
Y : et vous ?
…2 : je suis différent, je sais garder mon calme alors je vous en pris détendez vous ainsi que votre ami
Y : vous…vous avez l’air d’être quelqu’un de gentil alors pourquoi faire cette chose ?
…2 : problème personnel je ne vole pas cette argent pour m’enrichir je veux en faire bonne usage malgré ce que vous pouvez en pensé
…1 : eh vieux tu t’en fais une sans me le dire tu prends celle qu’a du caractère en plus
…2 : ne déconne pas je ne suis pas là pour ça
…1 : allez emmène là
Le premier garçon commença à prendre le bras de Yumi pour l’emmener, Kim se retint de crier
Y : lâchez moi vous me faites mal !!
…2 : Enrique arrête lâche là
E : oh allez vieux on va s’amuser
…2 : nan je ne suis pas d’accord, tu crois que violé une fille c’est s’amusé bravo
Y : mais lâchez moi merde alors !
Enrique lâcha violemment Yumi qui atterrit dans les bras du deuxième garçon
…2 : nan mais qu’est ce qui te prend je croyais que tu voulais m’aider à emmener l’argent c’est tout tu sais très bien que je déteste la violence, donne l’argent maintenant on s’en va
E : nan mais tu rêves là vieux
Il pointa son pistolet sur le garçon qui tenait toujours Yumi
…2 : arrête tu vas blesser quelqu’un lâche ce flingue (à Yumi) retourné à côté de votre amie on ne sait jamais je ne préfère pas qu’il vous blesse
Y : et vous ?
…2 : ne vous inquiétez pas je vais essayer de le calmer
Yumi se dégagea des bras du garçon et retourna près de Kim qui lui sauta au cou
K : oh Yumi ma chérie j’ai bien cru qu’il allait te tué
Y : t’en fais pas je n’ai rien, maintenant il faut qu’on se décale un peu si jamais il tire on pourrait être touché
Elles se décalèrent prudemment pour ne pas que Enrique ne les voit et tire, pendant ce temps l’autre jeune homme tentait de le calmer
…2 : Qu’est ce que tu fous arrête maintenant tu sais très bien que cette argent j’en ai besoin allez on file mais baisse ton arme
Un bruit se fit entendre la sirène de la police plusieurs véhicule s’arrêtèrent devant l’immeuble.
…2 : voilà maintenant on est piégé, baisse moi cette…
Il ne put finir sa phrase Enrique lui tira dessus, il n’eu pas le temps d’esquiver le tire il fut touché à l’épaule et il s’écroula en criant
K : oh mon dieu Yumi il est blessé
Yumi fronça les sourcils elle voulait aller l’aider mais Enrique tenait toujours son arme menaçant
E : maintenant vous allez m’écoutez tous je vais me barrer, le premier qui bouge tant que je suis là je lui tire dessus c’est clair.
Tout le monde se retenait de crier Enrique commença à sortir par la porte arrière mais toujours en pointant son arme quand il sorti Yumi se leva et se précipita vers le jeune homme qui était toujours conscient
Y : vous allez bien ?
…2 : j’ai connu des jours meilleurs (avec un soupsons d’ironie dans sa voix)
Y : et vous trouvez le moyen de plaisanter, montrez moi votre bras
Elle retira en douceur la veste du jeune homme la balle était rentré mais elle n’était pas ressortit
Y : je ne suis pas médecin je ne sais pas quoi faire
…2 : prenez un foulard et serrez le autour de mon bras
Elle sortit un foulard de son sac et l’enroula autour du bras du jeune homme qui grimaça
Y : personne n’est médecin ici ?
Personne ne répondit, elle soupira, mais Enrique surgit de la porte de derrière avec son arme
E : je pense que je vais resté avec vous tous mes chers amis, les flics sont partout alors tu vois vieux on va partager cette galère, Yumi prit son courage à deux mains
Y : je vous en pris faites sortir ces personnes elles n’ont rien à voir avec tous sa
E : (en pointant son arme sur elle) tu parles comme un flic ma mignonne
Y : je ne suis pas flic rassurez vous
E : tu es quoi alors ?
Y : je…je suis avocate
E : pour moi sa rentre dans le même sac, tout le monde dégage, sauf toi ma jolie, une avocate comme otage c’est pas mal vous ne trouvez pas allez tout le monde dégage !
Les gens se levèrent Kim lança un regard suppliant celle-ci lui sourie voulant dire de ne pas s’inquiétez, Kim sortit affolée de la banque et courut immédiatement vers les officiers de police dont Hiroki qui était présent elle courut vers lui.
K : Hiroki !
H : oh mon dieu Kim tu vas bien ils ne t’ont rien fait
K : non, non mais ils ont gardé Yumi en otage
H ; quoi Yumi est à l’intérieur
K : écoute moi l’un des braqueurs est blesser, mais il n’a rien fait de mal c’est celui qui lui a tiré dessus surtout, ne vous en prenez pas à celui qui est blesser il nous a bien traité
H : Kim c’est un braqueur, je serais obligé de l’arrêté
K : ne faites rien ou Yumi sera blessé
Hiroki crispait sa chère sœur était en danger et il ne pouvait rien faire pour la sauver pourtant étant policier il devait faire quelque chose mais si il tentait la moindre compromit Yumi pourrait être blesser voir pire.
Dans la banque
…2 : laisse la sortir Enrique, c’est pas parce qu’elle est avocate que sa te sauvera
E : que sa nous sauveras tu es dans le cou tu connaîtras le même sort que moi si cette fille sort, je vais faire un tour pour voir si il n’y a pas d’autre sorti au faite j’espère que ta blessure t’emportera en enfer
Il s’éloigna vers un couloir
Y : j’aurais mieux fait de ne jamais venir dans cette banque moi
…2 : vous auriez du évité effectivement, dites moi vous êtes vraiment avocate
Y : oui depuis 4 ans je travaille au cabinet au coin de la rue
…2 : il faudra que je m’en trouve un moi enfin si je ne meurs pas avant d’ici là
Y : je pourrais peut-être …
…2 : vous aideriez un gars à cause de qui vous êtes détenu en otage
Y : vous m’avez sauvé la vie si mes souvenirs son bon, désolé mais je vais devoir enlever votre cagoule vous allez mourir de chaud
…2 : allez y je vous en pris
Elle lui enleva doucement sa cagoule, il était fiévreux et pourtant il avait toujours un léger sourire, quand elle vit son visage son cœur fit un bon, il était très beau, elle lui sourie timidement
…2 : au faite je ne connais pas votre nom ?
Y : je m’appelle Yumi Ishyama
…2 : yu…yumi ? C’est un très joli nom
Y : et vous ?
…2 : hum je m’appelle…Rayan
Y : rencontre un peu surprenante (elle ria doucement)
R : c’est le cas de le dire effectivement, dites puis je vous dire quelque chose d’un peu déplacé
Y : hum dîtes toujours
R : vous êtes magnifique
Elle rougie, ce n’était vraiment pas le moment de faire ce genre de compliment mais cela lui faisait bien plaisir.
Y : c’est…c’est très gentil de votre pars, je ne comprend pas comment avez-vous pu finir dans ce braquage vous êtes tellement gentil avec moi je ne comprend vraiment pas…
R : je ne fais pas ça par plaisir croyez moi
Y : alors pourquoi le faites vous ? (Voyant son regard gêné) oh pardonnez moi je suis indiscrète
R : non ce n’est rien je veux bien vous le dire comme vous serez sûrement ma future avocate vous devrez bien le savoir (il sourit) eh bien pour vous expliquez, ma…ma mère est très malade elle à une leucémie et il lui faut une greffe de Moelle osseuse et je n’ai pas les moyens de payez une telle opération mais j’ai perdu mon père dans un accident de voiture il y a 2 ans il ne me reste plus que ma mère et je n’ai pas envie de la perdre
Y : je comprend mieux maintenant, mais il y a d’autre solution vous savez
R : oui mais moi je suis un idiot contrairement à vous
Y : ne dîtes pas ça ce n’est pas vrai, c’est étrange…
R : ah oui pourquoi ?
Y : j’ai l’impression de vous connaître depuis toujours et pourtant nous venons à peine de nous rencontrez
R : vous me donnez la même impression pour être franc
Elle lui sourie tendrement, elle passa doucement sa main dans les cheveux du jeune homme, quand au garçon il lui prit doucement sa main et la serra dans la sienne
R : je ferais tout pour vous sortir de là
E : alors, alors tu profites bien pour draguer, moi qui croyait que tu ne voulais pas de femme
R : fout moi la paix et laisse là tranquille elle aussi
Enrique comprenant bien que Rayan avait un faible pour la belle avocate pris le bras de celle-ci et l’attira contre lui la menaçant avec son arme
Y : arrêtez je vous en pris, vous me serrez trop
E : t’inquiètes ma jolie je vais m’occuper de ton cas viens avec moi
R : arrête que vas-tu lui faire !?
E : je croyais qu’elle ne t’intéressait pas alors elle est pour moi je vais me payer du bon temps
Y : oh non je vous en pris lâchez moi je ne veux pas Rayan aidez moi pitié
Elle pleurait cela faisait des années que cela ne c’était pas produit, elle n’avait jamais supplié personne, elle avait peur, tellement peur que ce garçon la souille.
R : Yumi je vais venir vous sauvez
E : mais oui c’est ça vieux tu l’as sauveras quand j’en aurais fini avec elle
Il entraîna Yumi dans un bureau, Yumi se libéra de son emprise et se mit derrière le bureau
Y : ne me faites pas de mal s’il vous plaît
E : t’inquiètes pas je vais te faire passer du bon temps
Elle se retint de crier, le garçon lui riait à l’idée de ce qu’il allait lui faire, il la saisit violemment par le poigné et l’attira contre lui et l’embrassa dans le cou
Y : arrêtez je ne veux pas
E : tu crois que tu vas me résister (il la gifla)
Elle s’écroula, il la souleva et la coucha sur le bureau, elle essayait de se débattre mais l’homme était beaucoup trop fort, il commença à lui arracher son haut, elle criait mais à chaque crie une giflé s’abattait sur ses joues voir sur ses cuisses, il avait l’air de s’amuser avec le corps de la japonaise, pendant qu’elle pleurait, il était près à la souiller et il en prenait plaisir.
Y : RAYAN JE VOUS EN PRIS AIDER MOI !!
Il la gifla à nouveau, il enleva la jupe de la jeune fille, elle était presque nue, elle pleurait sous la torture de l’homme
E : il ne risque pas de t’entendre dommage c’est plu lui que tu voulais voir au dessus de toi pas vrai
R : lâche là !
Enrique releva la tête Rayan était là en face de lui avec une arme à la main, pointant son pistolet sur lui avec un regard noir qui en disait long sur sa haine
R : tu m’as entendus lâche là !
Enrique balança le corps de la japonaise sur le sol, elle tomba et cria, elle tremblait de peur et de froid, elle suffoquait son visage était perdu dans le vide, Rayan s’inquiétait de l’état de la jeune fille
R : maintenant tu vas t’assoires sur cette saleté de chaise et tu attendras que je r’habille Yumi ensuite on descendra et on se rendra au flic ai-je été clair !?
E : tu es bien le fils à sa maman toi, qu’est ce que tu espères ta mère est en fin de vie elle va mourir tu m’entends (il riait)
R : nan tais-toi ferme ta grande bouche !
E : tu n’oseras jamais tirer ta pas de crans
R : combien tu paris ne joue pas avec mes nerfs
E : allez mauviette, ouè tu veux passé pour le gentil mais les cons dans ton genre je connais bien leur jeux !
Le cou partit tout seul, il avait trop exagéré au goût de Rayan c’était la première fois qu’il avait tiré, Enrique lui fut touché au ventre il s’écroula sur le sol une flaque de sang s’éparpilla autour de son corps, Rayan lâcha son arme et courut vers Yumi qui n’avait même plus la force de crier
R : vous tremblez, attendez il y a une couverture sur l’étagère ne bougez pas
Il saisit la couverture et entoura le corps de la jeune femme avec.
Y : merci de m’avoir sauvé, mais est ce qu’il… (Elle regarda le corps d’Enrique)
R : je n’en sais rien et je n’ai pas envie de le savoir, vous n’avez pas d’autre vêtement sur vous ?
Y : non je n’ai rien, votre épaule comment elle va ?
R : elle pique encore un peu, mais ne vous en faite pas j’irais à l’hôpital plus tard
Y : vous devriez partir avec l’argent je me débrouillerais
R : non, vous, vous sortez de l’immeuble dites leur ou je suis et dites leur bien que je me rend d’accord ?
Y : non, non je ne vous laisserais pas faire ça !
R : je n’ai plus que cette solution j’expliquerais mon cas à la police
Y : il ne vous écouterons pas je vous en supplie allez vous en, je vous couvrirais
R : vous êtes avocate, rendez vous compte que vous mettez votre carrière
Y : ma carrière est moins importante que…
R : que quoi ?
Y : que le faite que vous m’avez sauvé deux fois dans la même journée, je vous doit bien cela
R : malheureusement pour vous je ne bougerais pas d’ici
Y : vous ne méritez pas d’aller en prison plus maintenant vous avez un homicide sur les bras en plus du braquage
Rayan sourit tendrement à la jeune femme et lui caressa la joue délicatement
R : je dirais à la police que si j’ai tué un homme c’était pour sauvez une merveilleuse jeune femme
Yumi sentie les larmes montés, elle les laissa coulés le long de ses joues le jeune homme s’inquiéta et repoussa doucement les larmes de la jeune femme avec son pouce
R : ne vous mettez pas dans cet état je vous en pris
Yumi se rapprocha doucement du garçon, mit sa main sur son torse et mit sa tête sur son épaule (celle qui n’est pas touché bien sur), elle pleura sans faire de bruit elle se laissa enlacer par le jeune homme qui lui déposa un baiser sur son front, elle se sentait enfin en sécurité elle voulait que ce moment dur une éternité mais la police rentra à ce moment là, le garçon lâcha la jeune femme pour ne pas qu’il y ai de soupsons sur elle, Hiroki rentra en premier suivit d’autre policier quand il vit sa sœur il accouru vers elle et la serra dans ses bras
H : oh mon dieu Yumi j’ai eu tellement que ces hommes te fassent du mal
Mais quand il vit que sa sœur n’avait qu’une couverture autour d’elle et que ces vêtements étaient déchirés et éparpillé au quatre coins de la pièce, il lâcha sa sœur et prit Rayan par le col
H : qu’est ce que tu as fais à ma sœur ? Répond !!
Y : non Hiroki arrête il ne m’a pas fait de mal je t’en pris lâche le
H : comment ? Mais c’est pas possible l’autre est à terre comment veux tu que se soit lui qu’il…
Y : justement Rayan à tiré sur lui parce qu’il était sur le point de me…enfin tu vois
H : les gars comment va le suspect ?
Un des policiers : il est mort Monsieur
Y : Hiroki il ne voulait pas…
H : désolé mais ce Rayan doit être arrêter pour Homicide volontaire et Braquage à main armée
Y : non Hiroki je te jure ne fait pas ça
Elle pleura, Rayan lui ne disait rien il s’attendait à cette sentence, les policiers le menottèrent, il vit la jeune femme se rapprocher de lui et lui caressa les cheveux
Y : je m’occuperais de cette affaire personnellement je te défendrais même si je dois y passer mes nuits
R : je ne sortirais pas vainqueur du moindre procès je n’ai que ce que je mérite ne perdez pas votre temps Yumi
Y : je te défendrais crois moi je ferais tout pour !
H : Yumi vient maintenant je te ramène chez toi
Y : avant une dernière chose
Yumi prit le visage du jeune homme entre ses mains et l’embrassa tendrement devant tout le monde.
Y : je t’aime, je t’aiderais
R : mais il faut que je…
Y : chut ne dit rien laisse moi faire
H (agacé par le comportement de sa sœur) allez les gars emmenez le
Voilà je ne sais pas si sa fait très long je l'espère en tout cas ^^ voilà les comms maintenant lol eh oui ^^