A travers tes yeux ...
Posté: 10 Juil 2011, 00:41
Le 9 Juillet 2011 à 8h05 :
?: Debout, levez-vous ! C’est le grand jour aujourd’hui
Evidemment, je sentis tout de suite sa pointe d’ironie, car en se doux matin de Juillet, il fait beau enfin je crois pour vous dire, je n’ai vu la lumière du jour depuis le 17 Juin 2011, cela fait 22 jours que je suis dans cette cellule sale et humide, 22 jours c’est le temps qu’ILS leurs aura fallu pour décider de mon sort mais n’allait pas imaginer que mon histoire et une banale histoire où tout le monde s’en sort indemne et heureux. Oh non, mon histoire enfin notre histoire n’est pas un conte que l’on raconte aux enfants afin de les endormir mon histoire est celle d’un homme à l’âme inexistante, au corps meurtris et au cœur brisé.
?: Debout !
C’est qu’il deviendrait violent, il ne comprend pas que mon corps est fatigué de tous ces passages à tabac, il ne comprend pas que mes jambes sont exténuées de portée ce corps devenu fardo pour elles. Péniblement, je me lève le fixe quelques instants d’un regard j’en suis sure totalement vide mais il n’en a que faire de ma douleur car après tout dans moins de quelques minutes, je serais mort
? : Avance
Sa voix avait presque eu l’air de s’adoucir mais cela fut de courte durée puisqu’il m’attrapa l’arrière de la nuque en me poussant afin de me faire avancer alors que je parcourais les quelques mètres du couloir, j’observai ces personnes elles aussi placées en cellule mais elles n’ont pas méritée la peine de mort. Non, car la peine de mort ça se mérite, ça se gagne. Moi, c’est grâce à la trahison envers mes amis et pour avoir mis des milliers de vie en jeu que j’ai obtenu mon mandat de mis à mort. Me voilà, face à cette immense porte métallique lorsque celle-ci s’ouvrit je fus presque qu’aveuglé par la lumière du soleil, cela faisait tellement longtemps, j’avançai, jusqu’à cette estrade où l’on me fit monter, me plaçant ainsi face à une foule noir de monde. (G=garde)
G : Les mains derrière le dos Stern, ne m’oblige pas à répéter
U : C’est bon
Et oui, je m’appelle Ulrich Stern, j’ai à peine 21 ans et il y a un an, j’ai déclenché une guerre en trahissant mes amis… D’ailleurs, ils sont présents dans cette foule de « spectateurs » là-bas à gauche Odd qui n’ose même pas me regarder c’est vrai que les gardes, on du bien m’amoché à ces cotés il y a Aelita serrée dans les bras de Jeremy, la tête enfuie dans sa nuque quant à Einstein lui m’observe, observe chaque parties de mon visage, de mon corps meurtri, je sais que de sa part, je n’aurais jamais obtenu son pardon et un peu en retrait, il y a Yumi, ma Yumi, elle ne baisse pas les yeux et m’observe, elle ne les baissera pas malgré le flot de larmes que je vois à travers ceux-ci mais moi je ne supporte pas ce regard et baisse légèrement les yeux observant son nez, sa bouche, sa poitrine et me stoppe à sa main posée sur son ventre arrondi trahissant son état. Yumi est la seule des quatre autres à m’avoir réellement et entièrement pardonné, je relève les yeux et la voit me souffler un « Je t’aime », j’aurais tellement voulu répondre que moi aussi je l’aime comme un fou et pour toujours mais il est trop tard maintenant car pour moi toujours se termine aujourd’hui, tien elle porte encore mon vieux sweet-shirt tout délavé cela me fit étiré un léger sourire malgré la situation désastreuse du moment tout à coup le « préfet » pris la parole.
P : Que cela vous servent de leçon tout rebelles sera châtié de la sorte
Ulrich Stern est le premier à être exécuté pour haute trahison et mise en danger de la population, celui-ci va être brulé vif. Croyez-moi, je ne fais pas ça de gaieté de cœur.
Tu parles, ça se voit à peine qu’il est heureux, sourit un peu plus ce n’est pas assez … Il y a de l’agitation dans la foule des murmures mais le soleil m’empêche d’entrevoir la cause de leur agitation quand tout à coup, je vis Yumi se plaçait face à moi les murmures devenant des paroles audible à tous que fait tu Yumi ?
P : Mademoiselle veillez descendre de cette estrade dépêchez-vous
Y : Je veux juste lui parlé
P : Hors de questions
P : Voyons laissez leur une minute, le temps qu’il comprenne ce qu’il perd
U : Qu’est-ce que tu fais Yumi ?
Y : Je t’aime Ulrich, je ne veux pas te laisser
U : Moi aussi mais descend d’ici
Y : Non –doucement elle prit mon visage entre ces mains et m’embrassa avec énormément de tendresse trop de tendresse lorsque Yumi m’embrasse de la sorte c’est qu’elle à quelque chose à se faire pardonnée, non Yumi, non je t’interdit de faire ça –
Y : Nous sommes prêts
P : Pardon ?
U : Non Yumi, pense à lui –je lui désignai son ventre –pense à son avenir
Y : Quel avenir ? Un avenir sans père, ce n’est pas une vie ça
U : Il aura un père, Josh s’occupera bien de vous ne t’en fait pas
Y : Non, Ulrich et tu sais pourquoi parce que Josh n’est pas toi
U : Josh silt plait emmène là – Tu me détesteras Yumi mais cela me rend la tâche encore plus difficile mais croit-moi si je suis prêt à céder ma place à Joshua c’est qu’il te rendra heureuse et qu’il s’occupera bien de vous. Alors que j’observe t’emmenée loin de moi, je vois tes larmes que tu ne retiens même plus arrête de te débattre Yumi je t’en supplie, pense à « lui ».
Vous devez vous demandez surement comment un mec comme moi à fini de la sorte prêt à recevoir le pire des châtiments pour comprendre, il suffit de retourner 1 an dans le passé en cette froide soirée d’hiver, en ce 19 décembre …
Voilà c’est un début de fan fic que j’avais écrit, c’est là que je vois combien j’étais nul en écriture mais bon après avoir remanier le texte je me décide à le poster, restez objectif c’était l’une de mes premières fan fics et bon voilà quoi donc je ne sais pas s’il y aura une suite parce que pour tous dire je ne me souviens même plus comment, je voulais tourner cette histoire donc laisser vos com’s et j’essayerais de poster une suite à mon autre fan fic et je tenterais (tenterais est un grand mot) d’écrire une suite à celle-ci
?: Debout, levez-vous ! C’est le grand jour aujourd’hui
Evidemment, je sentis tout de suite sa pointe d’ironie, car en se doux matin de Juillet, il fait beau enfin je crois pour vous dire, je n’ai vu la lumière du jour depuis le 17 Juin 2011, cela fait 22 jours que je suis dans cette cellule sale et humide, 22 jours c’est le temps qu’ILS leurs aura fallu pour décider de mon sort mais n’allait pas imaginer que mon histoire et une banale histoire où tout le monde s’en sort indemne et heureux. Oh non, mon histoire enfin notre histoire n’est pas un conte que l’on raconte aux enfants afin de les endormir mon histoire est celle d’un homme à l’âme inexistante, au corps meurtris et au cœur brisé.
?: Debout !
C’est qu’il deviendrait violent, il ne comprend pas que mon corps est fatigué de tous ces passages à tabac, il ne comprend pas que mes jambes sont exténuées de portée ce corps devenu fardo pour elles. Péniblement, je me lève le fixe quelques instants d’un regard j’en suis sure totalement vide mais il n’en a que faire de ma douleur car après tout dans moins de quelques minutes, je serais mort
? : Avance
Sa voix avait presque eu l’air de s’adoucir mais cela fut de courte durée puisqu’il m’attrapa l’arrière de la nuque en me poussant afin de me faire avancer alors que je parcourais les quelques mètres du couloir, j’observai ces personnes elles aussi placées en cellule mais elles n’ont pas méritée la peine de mort. Non, car la peine de mort ça se mérite, ça se gagne. Moi, c’est grâce à la trahison envers mes amis et pour avoir mis des milliers de vie en jeu que j’ai obtenu mon mandat de mis à mort. Me voilà, face à cette immense porte métallique lorsque celle-ci s’ouvrit je fus presque qu’aveuglé par la lumière du soleil, cela faisait tellement longtemps, j’avançai, jusqu’à cette estrade où l’on me fit monter, me plaçant ainsi face à une foule noir de monde. (G=garde)
G : Les mains derrière le dos Stern, ne m’oblige pas à répéter
U : C’est bon
Et oui, je m’appelle Ulrich Stern, j’ai à peine 21 ans et il y a un an, j’ai déclenché une guerre en trahissant mes amis… D’ailleurs, ils sont présents dans cette foule de « spectateurs » là-bas à gauche Odd qui n’ose même pas me regarder c’est vrai que les gardes, on du bien m’amoché à ces cotés il y a Aelita serrée dans les bras de Jeremy, la tête enfuie dans sa nuque quant à Einstein lui m’observe, observe chaque parties de mon visage, de mon corps meurtri, je sais que de sa part, je n’aurais jamais obtenu son pardon et un peu en retrait, il y a Yumi, ma Yumi, elle ne baisse pas les yeux et m’observe, elle ne les baissera pas malgré le flot de larmes que je vois à travers ceux-ci mais moi je ne supporte pas ce regard et baisse légèrement les yeux observant son nez, sa bouche, sa poitrine et me stoppe à sa main posée sur son ventre arrondi trahissant son état. Yumi est la seule des quatre autres à m’avoir réellement et entièrement pardonné, je relève les yeux et la voit me souffler un « Je t’aime », j’aurais tellement voulu répondre que moi aussi je l’aime comme un fou et pour toujours mais il est trop tard maintenant car pour moi toujours se termine aujourd’hui, tien elle porte encore mon vieux sweet-shirt tout délavé cela me fit étiré un léger sourire malgré la situation désastreuse du moment tout à coup le « préfet » pris la parole.
P : Que cela vous servent de leçon tout rebelles sera châtié de la sorte
Ulrich Stern est le premier à être exécuté pour haute trahison et mise en danger de la population, celui-ci va être brulé vif. Croyez-moi, je ne fais pas ça de gaieté de cœur.
Tu parles, ça se voit à peine qu’il est heureux, sourit un peu plus ce n’est pas assez … Il y a de l’agitation dans la foule des murmures mais le soleil m’empêche d’entrevoir la cause de leur agitation quand tout à coup, je vis Yumi se plaçait face à moi les murmures devenant des paroles audible à tous que fait tu Yumi ?
P : Mademoiselle veillez descendre de cette estrade dépêchez-vous
Y : Je veux juste lui parlé
P : Hors de questions
P : Voyons laissez leur une minute, le temps qu’il comprenne ce qu’il perd
U : Qu’est-ce que tu fais Yumi ?
Y : Je t’aime Ulrich, je ne veux pas te laisser
U : Moi aussi mais descend d’ici
Y : Non –doucement elle prit mon visage entre ces mains et m’embrassa avec énormément de tendresse trop de tendresse lorsque Yumi m’embrasse de la sorte c’est qu’elle à quelque chose à se faire pardonnée, non Yumi, non je t’interdit de faire ça –
Y : Nous sommes prêts
P : Pardon ?
U : Non Yumi, pense à lui –je lui désignai son ventre –pense à son avenir
Y : Quel avenir ? Un avenir sans père, ce n’est pas une vie ça
U : Il aura un père, Josh s’occupera bien de vous ne t’en fait pas
Y : Non, Ulrich et tu sais pourquoi parce que Josh n’est pas toi
U : Josh silt plait emmène là – Tu me détesteras Yumi mais cela me rend la tâche encore plus difficile mais croit-moi si je suis prêt à céder ma place à Joshua c’est qu’il te rendra heureuse et qu’il s’occupera bien de vous. Alors que j’observe t’emmenée loin de moi, je vois tes larmes que tu ne retiens même plus arrête de te débattre Yumi je t’en supplie, pense à « lui ».
Vous devez vous demandez surement comment un mec comme moi à fini de la sorte prêt à recevoir le pire des châtiments pour comprendre, il suffit de retourner 1 an dans le passé en cette froide soirée d’hiver, en ce 19 décembre …
Voilà c’est un début de fan fic que j’avais écrit, c’est là que je vois combien j’étais nul en écriture mais bon après avoir remanier le texte je me décide à le poster, restez objectif c’était l’une de mes premières fan fics et bon voilà quoi donc je ne sais pas s’il y aura une suite parce que pour tous dire je ne me souviens même plus comment, je voulais tourner cette histoire donc laisser vos com’s et j’essayerais de poster une suite à mon autre fan fic et je tenterais (tenterais est un grand mot) d’écrire une suite à celle-ci