21 Jan 2012, 22:19
Le commun des mortels.
Bonsoir,
à tous je n'ai pas vu de topic où l'on pouvait se présenter alors je le fais ici même, tout en vous propsant une de mes fanfics. Je suis une jeune-femme de 19 ans (Non, ce n'est pas vieux pour aimer les dessins annimés) ensuite je me nomme Aurore, née en Belgique un 24 décembre, pourtant je ne suis pas un cadeau et j'aime le sport, le dessin et écrire. Alors s'en plus tardée, je vous présente une de mes fanfic sur laquelle j'aimerais avoir votre avis
Prologue :
*Point de vue masculin*
Le train qui s’en va loin, loin d’ici, loin de nous, loin du bonheur, nos jours heureux sont écoulés sans qu’on ne puissent rien n’y faire, nous avons dépenser notre quota de bonheur pour nos misérables vies … Le train qui s’en va, toujours plus vite, toujours plus loin, je tends la main, j’ai l’espoir que tu ne l’attrape mais rien juste ce grand caisson où aucune vies n’a l’aire possible à l’intérieur … Tu as été l’amour de ma vie, l’étoile de mon ciel, le soleil de ma vie, toujours plus ce maudit train s’éloigne rien n’est possible, il ne s’arrêtera plus, plus maintenant, doucement les larmes coules sur mes joues, je ne veux plus avoir l’air digne, l’air fort, l’air impassible, je ne suis pas d’acier ! Je ne veux plus être faux, je veux être celui qui à jamais aurait dû être à toi !
Chapitre 1 : « Le moi est haïssable. »
*Point de vue masculin*
Je ne suis pas plus beau, ni plus grand et je n’ai sans doute rien de bien spécial, je ne suis qu’un homme malheureusement, un homme élevé par des parents absents et pourtant je ressemble bien à quelqu’un mais celle-ci et floue, il n’y a dans ma vie aucune place pour un père et une mère censés s’aimer pour toujours, d’ailleurs aimer est stupide ! J’ai vu des murs blancs, j’ai vu ma familles se déchirée. J’ai demandé pourquoi, on m’a répondu c’est la vie… J’ai vu l’amour se transformer en haine sans rien y faire, je ne suis plus assez naïf pour avoir un avis. Voilà ce qui en ai, un enfant dont les parents ont gâché la vie !
« Eh Ulrich ! » s’exclama un blond dans la salle.
« Odd, qui y a-t-il ?! » ma voix était presque méfiante envers mon meilleur ami.
« Rien, je veux juste parler un peu » dit-il décontenancé.
« Pourquoi ?! » c’était plus fort de moi, je devais savoir est-ce qu’il était vrai.
« Parce que, je suis ton ami et que je veux savoir à quoi penser pour obtenir ce bel air ténébreux qui fait craquer toutes les filles » cette phrase fut suivie d’un large sourire, ce qui m’offrit une vue panoramique sur toutes ces dents.
« Hum ! Il te suffit d’av… »
La fin de ma phrase se perdit dans ma tête et se mélangea tant bien que je ne pouvais plus sortir ne serais-ce qu’un mot.
*Point de vue féminin*
Mais qu’est-ce qu’ils sont tous à me regarder, je ne suis pas une bête de foire à ce que je sache ! Et voilà, il faut rester discrète et voilà que je débarque talon aiguille, accoutrée d’une stupide robe rouge à volants … Faut dire, qu’ils sont tous horriblement beaux et moi dans ce décor, je dois faire tâche.
« Aelita, pourquoi tu ne m’as pas dit que c’était une soirée en noir et blanc ?! » Demandais-je à mon amie aux cheveux rose qui souriait d’un air innocent.
« Mais parce que cette robe te va à ravire, regarde toi on dirait une des première rose de printemps » rétorqua-t-elle
« Oui, je dirais plutôt une tâche de vin »
« Oh Yumi ! Tu es une jeune-fille magnifique et il est tant que tu n’en profite un peu ! » Elle avait cet air déterminé.
« Mais … mais imagine un peu si il me demandait ne serais-ce que mon nom, qu’est-ce que je répondrais que je suis une des résistantes, que je veux démanteler leurs service de l’intérieur pour venger mes parents ! Ce n’est pas sérieux enfin ! » En prononçant ces quelques mots, je sentis les larmes me montaient soudainement.
« C’est derrière toi maintenant, ne t’inquiète pas on va trouver le moyen de faire tomber ce régime ignoble. Oh ! Regarde un peu qui nous a repérer ! Il est plutôt mignon dis-donc ! » Ajouta-t-elle en étirant un fin sourire en coin.
« Voyons, tu es mariée ! » sentant que besoin est de le lui rappeler.
« Mais, je le sais pas la peine de me le rappeler, puis c’est plus toi que moi qu’il regarde si tu veux mon avis » le sourire toujours aux lèvres.
« Mais qu’est-ce … »
Je relevai à peine la tête et entra en contact avec ce magnifique regard qui était posé sur moi, je détournai immédiatement le regard et rougis, mais je pu apercevoir un léger sourire ce dessinait sur ces lèvres, ce qui m’obligea à baisser encore un peu plus les yeux … Ulrich Stern, 24 ans, fils de Thomas et Victoria Stern qui sont à la base même de cette dictature, très côté auprès des femmes, mais pourtant toujours célibataire …
*Point de vue masculin*
« Il me suffit de ?! » me demanda mon ami.
« Hein ?! »
« Oh ! Rien, les cochons volent c’est tout ! » Me répondit-il ironiquement.
« Ah ! Rien que ça … » je n’avais même pas réussit à aligner trois mots de sa phrase dans ma tête.
« Mais … Qu’est-ce que tu regardes ! Oh … Je vois, et bien on peut dire qu’elle aime qu’on la remarque cette demoiselle » dit-il avec les yeux ronds et émerveillé.
« Qui est-elle ?! » lui demandais-je à lui qui connaissez toutes les plus belles filles de la soirée.
« Je n’en sais rien et crois-moi que si j’avais rencontré une si belle-fille, je ne l’aurais pas laissé filée »
Je relevai à nouveau les yeux et recroisa ses magnifiques yeux ainsi que le sourire de la jeune-fille qui l’accompagner, je ne pus que m’empêcher de sourire, lors qu’elle détourna ses yeux et que ses joues prenait littéralement feu.
*Point de vue féminin*
« Il nous regarde encore ?! » demandais-je timidement à ma meilleure amie
« Non ! »
Je relevai la tête et me retrouva face à la supercherie de mon amie car en effet celui-ci avait toujours le regard posé sur moi, je poussai un léger grognement et détourna à nouveau le regard me dirigeant vers la terrasse.
« Mais Yumi enfin attends, je plaisantais » elle se mit à me courir à près voyant que je ne reviendrais pas sur mes pas.
Je ne pouvais m’empêcher de lui en vouloir, je me devais de ne pas me montrer dans ce genre de soirée et encore moins accoutrée de la sorte, qu’est-ce qu’elle imaginait que j’allais attirer le fils unique de notre plus grand ennemi à tous, j’accélérai quand j’entendis Aelita se rapprocher. Mais une lourde main, s’opposa à ce que je m’éloigne d’avantage.
« Nous n’avons pas étaient présentaient, il me semble» Dit-il de sa voix forte dans laquelle aucun sentiments ne pouvais être traduit.
à tous je n'ai pas vu de topic où l'on pouvait se présenter alors je le fais ici même, tout en vous propsant une de mes fanfics. Je suis une jeune-femme de 19 ans (Non, ce n'est pas vieux pour aimer les dessins annimés) ensuite je me nomme Aurore, née en Belgique un 24 décembre, pourtant je ne suis pas un cadeau et j'aime le sport, le dessin et écrire. Alors s'en plus tardée, je vous présente une de mes fanfic sur laquelle j'aimerais avoir votre avis
Prologue :
*Point de vue masculin*
Le train qui s’en va loin, loin d’ici, loin de nous, loin du bonheur, nos jours heureux sont écoulés sans qu’on ne puissent rien n’y faire, nous avons dépenser notre quota de bonheur pour nos misérables vies … Le train qui s’en va, toujours plus vite, toujours plus loin, je tends la main, j’ai l’espoir que tu ne l’attrape mais rien juste ce grand caisson où aucune vies n’a l’aire possible à l’intérieur … Tu as été l’amour de ma vie, l’étoile de mon ciel, le soleil de ma vie, toujours plus ce maudit train s’éloigne rien n’est possible, il ne s’arrêtera plus, plus maintenant, doucement les larmes coules sur mes joues, je ne veux plus avoir l’air digne, l’air fort, l’air impassible, je ne suis pas d’acier ! Je ne veux plus être faux, je veux être celui qui à jamais aurait dû être à toi !
Chapitre 1 : « Le moi est haïssable. »
*Point de vue masculin*
Je ne suis pas plus beau, ni plus grand et je n’ai sans doute rien de bien spécial, je ne suis qu’un homme malheureusement, un homme élevé par des parents absents et pourtant je ressemble bien à quelqu’un mais celle-ci et floue, il n’y a dans ma vie aucune place pour un père et une mère censés s’aimer pour toujours, d’ailleurs aimer est stupide ! J’ai vu des murs blancs, j’ai vu ma familles se déchirée. J’ai demandé pourquoi, on m’a répondu c’est la vie… J’ai vu l’amour se transformer en haine sans rien y faire, je ne suis plus assez naïf pour avoir un avis. Voilà ce qui en ai, un enfant dont les parents ont gâché la vie !
« Eh Ulrich ! » s’exclama un blond dans la salle.
« Odd, qui y a-t-il ?! » ma voix était presque méfiante envers mon meilleur ami.
« Rien, je veux juste parler un peu » dit-il décontenancé.
« Pourquoi ?! » c’était plus fort de moi, je devais savoir est-ce qu’il était vrai.
« Parce que, je suis ton ami et que je veux savoir à quoi penser pour obtenir ce bel air ténébreux qui fait craquer toutes les filles » cette phrase fut suivie d’un large sourire, ce qui m’offrit une vue panoramique sur toutes ces dents.
« Hum ! Il te suffit d’av… »
La fin de ma phrase se perdit dans ma tête et se mélangea tant bien que je ne pouvais plus sortir ne serais-ce qu’un mot.
*Point de vue féminin*
Mais qu’est-ce qu’ils sont tous à me regarder, je ne suis pas une bête de foire à ce que je sache ! Et voilà, il faut rester discrète et voilà que je débarque talon aiguille, accoutrée d’une stupide robe rouge à volants … Faut dire, qu’ils sont tous horriblement beaux et moi dans ce décor, je dois faire tâche.
« Aelita, pourquoi tu ne m’as pas dit que c’était une soirée en noir et blanc ?! » Demandais-je à mon amie aux cheveux rose qui souriait d’un air innocent.
« Mais parce que cette robe te va à ravire, regarde toi on dirait une des première rose de printemps » rétorqua-t-elle
« Oui, je dirais plutôt une tâche de vin »
« Oh Yumi ! Tu es une jeune-fille magnifique et il est tant que tu n’en profite un peu ! » Elle avait cet air déterminé.
« Mais … mais imagine un peu si il me demandait ne serais-ce que mon nom, qu’est-ce que je répondrais que je suis une des résistantes, que je veux démanteler leurs service de l’intérieur pour venger mes parents ! Ce n’est pas sérieux enfin ! » En prononçant ces quelques mots, je sentis les larmes me montaient soudainement.
« C’est derrière toi maintenant, ne t’inquiète pas on va trouver le moyen de faire tomber ce régime ignoble. Oh ! Regarde un peu qui nous a repérer ! Il est plutôt mignon dis-donc ! » Ajouta-t-elle en étirant un fin sourire en coin.
« Voyons, tu es mariée ! » sentant que besoin est de le lui rappeler.
« Mais, je le sais pas la peine de me le rappeler, puis c’est plus toi que moi qu’il regarde si tu veux mon avis » le sourire toujours aux lèvres.
« Mais qu’est-ce … »
Je relevai à peine la tête et entra en contact avec ce magnifique regard qui était posé sur moi, je détournai immédiatement le regard et rougis, mais je pu apercevoir un léger sourire ce dessinait sur ces lèvres, ce qui m’obligea à baisser encore un peu plus les yeux … Ulrich Stern, 24 ans, fils de Thomas et Victoria Stern qui sont à la base même de cette dictature, très côté auprès des femmes, mais pourtant toujours célibataire …
*Point de vue masculin*
« Il me suffit de ?! » me demanda mon ami.
« Hein ?! »
« Oh ! Rien, les cochons volent c’est tout ! » Me répondit-il ironiquement.
« Ah ! Rien que ça … » je n’avais même pas réussit à aligner trois mots de sa phrase dans ma tête.
« Mais … Qu’est-ce que tu regardes ! Oh … Je vois, et bien on peut dire qu’elle aime qu’on la remarque cette demoiselle » dit-il avec les yeux ronds et émerveillé.
« Qui est-elle ?! » lui demandais-je à lui qui connaissez toutes les plus belles filles de la soirée.
« Je n’en sais rien et crois-moi que si j’avais rencontré une si belle-fille, je ne l’aurais pas laissé filée »
Je relevai à nouveau les yeux et recroisa ses magnifiques yeux ainsi que le sourire de la jeune-fille qui l’accompagner, je ne pus que m’empêcher de sourire, lors qu’elle détourna ses yeux et que ses joues prenait littéralement feu.
*Point de vue féminin*
« Il nous regarde encore ?! » demandais-je timidement à ma meilleure amie
« Non ! »
Je relevai la tête et me retrouva face à la supercherie de mon amie car en effet celui-ci avait toujours le regard posé sur moi, je poussai un léger grognement et détourna à nouveau le regard me dirigeant vers la terrasse.
« Mais Yumi enfin attends, je plaisantais » elle se mit à me courir à près voyant que je ne reviendrais pas sur mes pas.
Je ne pouvais m’empêcher de lui en vouloir, je me devais de ne pas me montrer dans ce genre de soirée et encore moins accoutrée de la sorte, qu’est-ce qu’elle imaginait que j’allais attirer le fils unique de notre plus grand ennemi à tous, j’accélérai quand j’entendis Aelita se rapprocher. Mais une lourde main, s’opposa à ce que je m’éloigne d’avantage.
« Nous n’avons pas étaient présentaient, il me semble» Dit-il de sa voix forte dans laquelle aucun sentiments ne pouvais être traduit.
