Peins moi le ciel, desinne moi la vie, écris moi l'amour.
![Message Message](./styles/digital_tower_windows/imageset/icon_post_target.gif)
Bonjour, je poste aujourd'hui ma première fiction, qui portera principalement sur Aelita (deux trois infos hein >.>...). Le début peu vous semblé un peu bizzare.. Mais bon.
Bonne lecture.
Chapitre 1.
La frustration ne cessent de s'accroitre dans son esprit la poussant a manifester un agacement par un maltrètement irégulier de ses doigts sur la table. Elle passa la main dans sa chevelure teinté de vert, et soupira voyant son amie inspecté pour la dixième fois depuis une heur, les papiers qui s'entassé sur le bureau.
-Aelita, il est pas la point ! , son amie l'observe du coin de l'oeil, un sourire timide sagement dissimulé sur ces lèvres. Un pareil spectacle ne se voit pas tout les jour, voir Laure contenir ainsi son irritation et assez distrayant. L'envie irresistible lui prend de lancé une remarque narquoise a son amie, enfin...Ne vaux mieux pas tenté le Diable.
Ces recherche sur le bureau ne donnant rien, elle décide de cherché dans un autre coin de la pièce.
-Aelita sa fait 15 fois que tu regarde ici ! , se redressant vivement la concerné tente de se justifier en marmoment de confuse explication :
-Laure, je t'assure je l'est laissé ici !, elle parcoure toute la pièce du regard, maudissant son fameaux carnet toujours être sujet de discorde.
Ou avait bien pu disparaître le précieux calepin cette fois-ci ?..
-Tu perd toujours tout..., lui fait remarqué son amie avec lassitude. Aelita accepte la remarque avec bienveillance. C'est vrais qu'il a une facheuse tendance a égaré ces affaires. Il approche du fond de la salle, ou se situe une grande guitare noir, elle fait le tour du précieux instrument, mais elle ne trouve aucune piste menant a ce petit carnet...
Subitement l'image d'une petite ampoule allumé surgit au seins de ces neurones. Peu être que...Il se dirige vers la porte du fond menant officielement a la réserve. Officieusement , la pièce fait office de salle de détente avec ces deux fauteuille et son larges canapé. L'endroit privilégié de Laure lorsque cette dernière sèche les cours. Ses yeux arpente calmement la pièce pour finalement s'immobilisé sur un coin sombre.
Le carnet était presque entièrement dissimulé sous les coussins du grand sofa noir meublant la pièce. "Comment tu a attéris ici toi ?.." se demanda la jeune fille. Elle a l'esprit tranquille, a présent. En parcourant les pages du carnet, elle découvre une écriture et des mots qui ne sons pas les siens. Elle veut prévenir Laure, quitte a subir les foudres de la jeune fille, mais quelque chose l'en empêche , ou plutôt quelqu'un.
La personne qui a inscrit ces mots sur se papier doré. Ce carnet est semblable au siens, mais l'écriture en diffère. Elle est harmonieuse, teinté d'une délicate encre noir. Aelita reconnait une calligraphie typiquement masculine. A qui peu bien appartenir cela ?.. se demande t'elle en silence. Elle commence a lire les lignes inscrite sous ces yeux.
"Ils m'ont enfermés dans la prose. Il m'a enfermé dans son monde. Je subis son univers dénué de couleur, accepte la providence maussade à laquelle je suis confrontée. Je vis emprisonnée dans cette coquille d'acier qu'il a forgé autour de mon âme. Dure réalité qu'est cette vie à laquelle je suis prédestinée, prohibée de la moindre étincelle de folie. Mais Autant avoir mis au pilori – Pour trahison un oiseau. Maintenant je suis là. Assise dans ce parc malgré la température peu chatoyante de ce jour de Janvier. Et mon esprit peut enfin vivre, respirer. Et créer. Rêver. Parce qu'il n'y a que ça que l'on ne pourra pas m'enlever. Cette liberté indéniable de mon âme. Reste une question qui me chagrine. Suis-je condamnée à un destin qui n'est pas le mien ? .."
Elle referme le carnet précipitament. "Que es que tu est en train de faire ?" Cette question lui formule sa consience est comme une douche froide. Aelita comprend cette curiosité qui lui ronge les antailles. Un sentiment profond de culpabilité submerge son esprit. Les remords commence à intégrer la moindre parcelle de son âme, tissant une toile épaisse et dense d'abjection au sein de sa conscience. Elle éprouve une térrible envie de savoir qui est l'auteur.
Elle doit faire quelques chose, elle sait auprès de qui elle peu se renseigné. Rassemblant rapidement ces affaires, elle glisse un petit "Désolé" a Laure avant de quitté la pièce. Du fond du couloir,elle entend tout de même "Hey mais attend !" Laure n'obtient pas de réponse. Considérant que c'est la seule chose qui lui reste a faire, il branche l'instrument a son ampli, et se laisse porté par la passion. La douce quiétude du collège est bientôt remplacé par les première notes de All along the Watchower jouer a la perfection.
Voila. J'espère que sa aura plus. Je fait une suite uniquement si sa plait a un minimum de personnes.
Bonne lecture.
Chapitre 1.
La frustration ne cessent de s'accroitre dans son esprit la poussant a manifester un agacement par un maltrètement irégulier de ses doigts sur la table. Elle passa la main dans sa chevelure teinté de vert, et soupira voyant son amie inspecté pour la dixième fois depuis une heur, les papiers qui s'entassé sur le bureau.
-Aelita, il est pas la point ! , son amie l'observe du coin de l'oeil, un sourire timide sagement dissimulé sur ces lèvres. Un pareil spectacle ne se voit pas tout les jour, voir Laure contenir ainsi son irritation et assez distrayant. L'envie irresistible lui prend de lancé une remarque narquoise a son amie, enfin...Ne vaux mieux pas tenté le Diable.
Ces recherche sur le bureau ne donnant rien, elle décide de cherché dans un autre coin de la pièce.
-Aelita sa fait 15 fois que tu regarde ici ! , se redressant vivement la concerné tente de se justifier en marmoment de confuse explication :
-Laure, je t'assure je l'est laissé ici !, elle parcoure toute la pièce du regard, maudissant son fameaux carnet toujours être sujet de discorde.
Ou avait bien pu disparaître le précieux calepin cette fois-ci ?..
-Tu perd toujours tout..., lui fait remarqué son amie avec lassitude. Aelita accepte la remarque avec bienveillance. C'est vrais qu'il a une facheuse tendance a égaré ces affaires. Il approche du fond de la salle, ou se situe une grande guitare noir, elle fait le tour du précieux instrument, mais elle ne trouve aucune piste menant a ce petit carnet...
Subitement l'image d'une petite ampoule allumé surgit au seins de ces neurones. Peu être que...Il se dirige vers la porte du fond menant officielement a la réserve. Officieusement , la pièce fait office de salle de détente avec ces deux fauteuille et son larges canapé. L'endroit privilégié de Laure lorsque cette dernière sèche les cours. Ses yeux arpente calmement la pièce pour finalement s'immobilisé sur un coin sombre.
Le carnet était presque entièrement dissimulé sous les coussins du grand sofa noir meublant la pièce. "Comment tu a attéris ici toi ?.." se demanda la jeune fille. Elle a l'esprit tranquille, a présent. En parcourant les pages du carnet, elle découvre une écriture et des mots qui ne sons pas les siens. Elle veut prévenir Laure, quitte a subir les foudres de la jeune fille, mais quelque chose l'en empêche , ou plutôt quelqu'un.
La personne qui a inscrit ces mots sur se papier doré. Ce carnet est semblable au siens, mais l'écriture en diffère. Elle est harmonieuse, teinté d'une délicate encre noir. Aelita reconnait une calligraphie typiquement masculine. A qui peu bien appartenir cela ?.. se demande t'elle en silence. Elle commence a lire les lignes inscrite sous ces yeux.
"Ils m'ont enfermés dans la prose. Il m'a enfermé dans son monde. Je subis son univers dénué de couleur, accepte la providence maussade à laquelle je suis confrontée. Je vis emprisonnée dans cette coquille d'acier qu'il a forgé autour de mon âme. Dure réalité qu'est cette vie à laquelle je suis prédestinée, prohibée de la moindre étincelle de folie. Mais Autant avoir mis au pilori – Pour trahison un oiseau. Maintenant je suis là. Assise dans ce parc malgré la température peu chatoyante de ce jour de Janvier. Et mon esprit peut enfin vivre, respirer. Et créer. Rêver. Parce qu'il n'y a que ça que l'on ne pourra pas m'enlever. Cette liberté indéniable de mon âme. Reste une question qui me chagrine. Suis-je condamnée à un destin qui n'est pas le mien ? .."
Elle referme le carnet précipitament. "Que es que tu est en train de faire ?" Cette question lui formule sa consience est comme une douche froide. Aelita comprend cette curiosité qui lui ronge les antailles. Un sentiment profond de culpabilité submerge son esprit. Les remords commence à intégrer la moindre parcelle de son âme, tissant une toile épaisse et dense d'abjection au sein de sa conscience. Elle éprouve une térrible envie de savoir qui est l'auteur.
Elle doit faire quelques chose, elle sait auprès de qui elle peu se renseigné. Rassemblant rapidement ces affaires, elle glisse un petit "Désolé" a Laure avant de quitté la pièce. Du fond du couloir,elle entend tout de même "Hey mais attend !" Laure n'obtient pas de réponse. Considérant que c'est la seule chose qui lui reste a faire, il branche l'instrument a son ampli, et se laisse porté par la passion. La douce quiétude du collège est bientôt remplacé par les première notes de All along the Watchower jouer a la perfection.
Voila. J'espère que sa aura plus. Je fait une suite uniquement si sa plait a un minimum de personnes.