Initié
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Inscription: 23 Mar 2018, 00:09
Yumi et Aelita (Ne convient pas aux moins de 14 ans)
Des mois après l’extinction du supercalculateur, une nouvelle année scolaire débuta. Yumi fut inscrite en tant qu’interne à Kadic et s’installa dans la même chambre qu’Aelita sous la permission de Mr Delmas. La jeune fille aux cheveux roses était cependant toujours triste du décès de son père. Jérémie lui suggéra donc de passer du temps avec quelqu’un. Elle choisit Yumi pour une soirée entre filles.
Le jour de cette soirée, William demanda à parler avec Ulrich.
Ulrich : Qu’est-ce que tu veux ?
William : J’ai beaucoup réfléchi, ces derniers temps. Je me suis rendu compte que ça ne donnait rien du tout de courir après Yumi parce qu’elle t’aime.
U : Euh… On est seulement copains et puis c’est tout.
W : Désolé, mais je vois très bien que vous rougissez à chaque fois que vous vous regardez. Tu l’aimes et elle t’aime.
U : Mouais… si tu veux.
W : En plus, comme Yumi ne s’intéresse plus à moi, je me suis trouvé une autre fille à séduire.
U : Ah bon ? Qui ?
W : Euh… Sissi. Celle qui te coure toujours après.
U : Quoi ? Toi, celui qui courait après Yumi, t’es amoureux de celle qui ME coure après ? C’est un scoop pour Milly et Tamiya.
W : Pour revenir au début, je voudrais m’excuser d’avoir gâché ta vie. Avec l’histoire des codes de la route, de la piscine et de… Si elle a préféré être copain avec toi, c’est de ma faute.
U : Wow. T’es sincère ou c’est le coup de l’Oscar du meilleur acteur ?
W : Quoi ? Non ! Je te laisse Yumi.
U : Et bien, merci. Je te pardonne.
Entre-temps…
Sissi : Yumi.
Yumi : Sissi ?!? Qu’est-ce que tu veux ?
S : Je viens m’excuser pour mon attitude envers toi, ces dernières années. Ulrich n’est même pas amoureux de moi, alors autant laisser tomber et choisir quelqu’un d’autre.
Y : Hervé, je suppose ?
S : Quoi ?
Y : Ben, il t’aime.
S : Beurk, non ! Il m’a justement fait sa déclaration ce matin et je lui ai donné une baffe.
Y : Alors, qui as-tu choisi ?
S : Euh… William.
Y : Hein ?!?
Yumi et Aelita rentrèrent tard. Une chance que Jim n’a pas remarqué leurs absences. Les deux filles s’arrêtèrent devant la porte et se regardèrent.
Y : Je t’aime bien, Aelita.
A : Moi aussi, Yumi.
Mais soudainement, une sensation étrange s’empara des deux filles. Elles ne savaient pas pourquoi elles le firent, mais elles approchèrent leurs visages. Elles comprenaient parfaitement quelles seraient les conséquences à venir, mais elles n’avaient pas peur du tout. Pas ce soir, en tout cas. Yumi et Aelita s’embrassèrent donc… sur les lèvres !
Entre-temps, Ulrich et Odd étaient dans la chambre de Jérémie qui avait besoin d’aide pour désactiver le piratage des caméras créée pour anticiper les attaques de XANA. Maintenant que l’IA était détruite, Jérémie dut l’enlever. Mais…
Jérémie : Qu’est-ce que… ? C’est une farce ?!?
Odd : Quoi ? Qu’est-ce qui s’est passé ?
J : YUMI ET AELITA S’EMBRASSENT SUR LES LÈVRES !!!!
U : QUOI ?!?
J : Regardez !
Ulrich et Odd n’en crurent pas leurs yeux. Les filles s’embrassaient amoureusement. Ulrich fut fou de rage : il voulait tuer Aelita.
U : Je vais la trucider ! JE VAIS LA TRUCIDER !!!!
J : Ulrich, du calme ! Il y a sûrement une explication à ça. On ira les voir demain, d’accord ?
U : Quoi ?!? Et la laisser transformer Yumi en lesbienne ?!?
O : Elle ne transformera pas ta Yumi en gay. T’as besoin de te reposer, Ulrich.
U : Oh oui, je vais me reposer… POUR LA TUER PLUS VIOLAMMENT !
Et il sortit de la chambre à la vitesse grand V.
J : Il commence à m’inquiéter !
O : T’en fais pas. Ça lui passera.
Retour à la chambre des filles…
Sous la couverte de Yumi, cette dernière caressait le nombril de la jeune fille aux cheveux roses avec son pouce. Les deux princesses étaient en sous-vêtements.
A : Yumi, je t’aime.
Y : Moi aussi, Aelita.
Elles s’embrassèrent à nouveau, sans se douter du scénario du lendemain.
Ulrich n’arrivait pas à s’endormir. Il avait beaucoup trop de mal à digérer le fait qu’Aelita et Yumi se soient embrassées sur les lèvres.
U dans sa tête : Profite bien de cette nuit, Aelita. Parce que, demain, je vais te tuer !
Le lendemain matin, Yumi et Aelita étaient blotties l’une contre l’autre. Un cognage de porte les réveilla.
A : Euh… Oui ? Qui est-ce ?
J : C’est moi. Il faut qu’on se parle, Aelita.
A : Jérémie ? Euh… Attends ! Je me change.
Les filles, contrairement à la vieille, avaient maintenant peur des conséquences.
U très énervé, à l’oreille de Jérémie : Dis-lui maintenant sans exception !
J : Euh… Fais vite, Aelita. C’est assez pressant à dire.
A chuchotant : Cache-toi Yumi ! –Changeant de ton- Je voudrais bien, mais je ne trouve pas mes chaussettes. -- Pourquoi je dis mes chaussettes ? –- Je mets mon pantalon et mon t-shirt, ensuite je t’ouvre !
O : On dirait qu’elle essaye de gagner du temps.
U : J’en peux plus d’attendre !!!
Le samouraï furieux défonça la porte avec son pied et vit Aelita en pantalon et soutien-gorge.
A se dépêchant d’enfiler son t-shirt : AAAAH ! ULRICH ! Tu pouvais pas attendre ????
U : Non ! –Lui retire son t-shirt des mains- Et j’crois pas que t’ailles besoin d’un chandail, vu ce que t’as osé faire.
Il jette le t-shirt par en arrière qui recouvre le visage d’Odd.
O : Hé !
U : La ferme, Odd ! –Se tournant vers Aelita- Toi, explique-toi.
A s’arrêtant sur le mur : Je ne vois pas du tout de quoi tu veux parler.
Ulrich gifla Aelita, ce qui choqua ses amis. Aelita gémit en massant sa joue douloureuse.
U : Me prends pas pour un con ! Je sais que t’as embrassée Yumi sur les lèvres ! Pourquoi t’as fait ça ??
A : Euh… C’est compliqué, Ulrich.
U la giflant à nouveau : RÉPONDS, SALOPE DE BOUFFIASE !
Aelita se met alors à sangloter de douleur.
J s’interposant : Ulrich, arrête de la frapper !!! Excuse-la, enfin !
U : Non ! C’est moi qui suis désolé de t’avoir amené à l’infirmerie lorsque tu t’es fait électrocuter par la distributrice. Je n’aurais pas découvert Lyoko et encore moins Aelita, ainsi !
Y : Ulrich ! C’est grâce à Lyoko si on en est là aujourd’hui, un groupe d’amis. Et si on a pu se rencontrer tous les deux.
U : Pas du tout ! Je t’aurais convoqué à un autre duel quand même. On a fait match nul. Après un troisième, on aurait continué à se revoir. Et on aurait été ensemble depuis longtemps déjà, avant l’arrivée de William. Et mes parents recevraient aussi un meilleur bulletin de moi !
J : Je te signale que XANA aurait quand même existé !
U : T’avais qu’à éteindre le supercalculateur ! On aurait pas eu de XANA, ni d’Aelita ! Maintenant, je prends l’air !
Y : ULRICH !
Il ferme tout de même la porte.
O : Je vais aller lui parler.
Aelita pleurait à chaudes larmes, à cause des paroles d’Ulrich et de sa situation physique.
J lui rendant son t-shirt : Tiens, Aelita. Surtout, ne l’écoute pas. Il est juste bouleversé par la nuit dernière.
A : Mais comment avez-vous su ?
J : Les caméras.
Aelita se blottit contre lui et continua de pleurer. Jérémie tenta de la consoler avec des mots doux.
J : On devrait aller voir l’infirmière. Elle nous dira quelle est ta véritable orientation.
A : D’accord.
Y : Je viens aussi.
O : Ulrich, écoute.
U : Ta gueule, Dod !
O : Hein ?!? Comment m’as-tu appelé ??
U : DOD !
O : Ça, c’est vraiment insultant ! Même si ça se ressemble !
À suivre...
Le jour de cette soirée, William demanda à parler avec Ulrich.
Ulrich : Qu’est-ce que tu veux ?
William : J’ai beaucoup réfléchi, ces derniers temps. Je me suis rendu compte que ça ne donnait rien du tout de courir après Yumi parce qu’elle t’aime.
U : Euh… On est seulement copains et puis c’est tout.
W : Désolé, mais je vois très bien que vous rougissez à chaque fois que vous vous regardez. Tu l’aimes et elle t’aime.
U : Mouais… si tu veux.
W : En plus, comme Yumi ne s’intéresse plus à moi, je me suis trouvé une autre fille à séduire.
U : Ah bon ? Qui ?
W : Euh… Sissi. Celle qui te coure toujours après.
U : Quoi ? Toi, celui qui courait après Yumi, t’es amoureux de celle qui ME coure après ? C’est un scoop pour Milly et Tamiya.
W : Pour revenir au début, je voudrais m’excuser d’avoir gâché ta vie. Avec l’histoire des codes de la route, de la piscine et de… Si elle a préféré être copain avec toi, c’est de ma faute.
U : Wow. T’es sincère ou c’est le coup de l’Oscar du meilleur acteur ?
W : Quoi ? Non ! Je te laisse Yumi.
U : Et bien, merci. Je te pardonne.
Entre-temps…
Sissi : Yumi.
Yumi : Sissi ?!? Qu’est-ce que tu veux ?
S : Je viens m’excuser pour mon attitude envers toi, ces dernières années. Ulrich n’est même pas amoureux de moi, alors autant laisser tomber et choisir quelqu’un d’autre.
Y : Hervé, je suppose ?
S : Quoi ?
Y : Ben, il t’aime.
S : Beurk, non ! Il m’a justement fait sa déclaration ce matin et je lui ai donné une baffe.
Y : Alors, qui as-tu choisi ?
S : Euh… William.
Y : Hein ?!?
Yumi et Aelita rentrèrent tard. Une chance que Jim n’a pas remarqué leurs absences. Les deux filles s’arrêtèrent devant la porte et se regardèrent.
Y : Je t’aime bien, Aelita.
A : Moi aussi, Yumi.
Mais soudainement, une sensation étrange s’empara des deux filles. Elles ne savaient pas pourquoi elles le firent, mais elles approchèrent leurs visages. Elles comprenaient parfaitement quelles seraient les conséquences à venir, mais elles n’avaient pas peur du tout. Pas ce soir, en tout cas. Yumi et Aelita s’embrassèrent donc… sur les lèvres !
Entre-temps, Ulrich et Odd étaient dans la chambre de Jérémie qui avait besoin d’aide pour désactiver le piratage des caméras créée pour anticiper les attaques de XANA. Maintenant que l’IA était détruite, Jérémie dut l’enlever. Mais…
Jérémie : Qu’est-ce que… ? C’est une farce ?!?
Odd : Quoi ? Qu’est-ce qui s’est passé ?
J : YUMI ET AELITA S’EMBRASSENT SUR LES LÈVRES !!!!
U : QUOI ?!?
J : Regardez !
Ulrich et Odd n’en crurent pas leurs yeux. Les filles s’embrassaient amoureusement. Ulrich fut fou de rage : il voulait tuer Aelita.
U : Je vais la trucider ! JE VAIS LA TRUCIDER !!!!
J : Ulrich, du calme ! Il y a sûrement une explication à ça. On ira les voir demain, d’accord ?
U : Quoi ?!? Et la laisser transformer Yumi en lesbienne ?!?
O : Elle ne transformera pas ta Yumi en gay. T’as besoin de te reposer, Ulrich.
U : Oh oui, je vais me reposer… POUR LA TUER PLUS VIOLAMMENT !
Et il sortit de la chambre à la vitesse grand V.
J : Il commence à m’inquiéter !
O : T’en fais pas. Ça lui passera.
Retour à la chambre des filles…
Sous la couverte de Yumi, cette dernière caressait le nombril de la jeune fille aux cheveux roses avec son pouce. Les deux princesses étaient en sous-vêtements.
A : Yumi, je t’aime.
Y : Moi aussi, Aelita.
Elles s’embrassèrent à nouveau, sans se douter du scénario du lendemain.
Ulrich n’arrivait pas à s’endormir. Il avait beaucoup trop de mal à digérer le fait qu’Aelita et Yumi se soient embrassées sur les lèvres.
U dans sa tête : Profite bien de cette nuit, Aelita. Parce que, demain, je vais te tuer !
Le lendemain matin, Yumi et Aelita étaient blotties l’une contre l’autre. Un cognage de porte les réveilla.
A : Euh… Oui ? Qui est-ce ?
J : C’est moi. Il faut qu’on se parle, Aelita.
A : Jérémie ? Euh… Attends ! Je me change.
Les filles, contrairement à la vieille, avaient maintenant peur des conséquences.
U très énervé, à l’oreille de Jérémie : Dis-lui maintenant sans exception !
J : Euh… Fais vite, Aelita. C’est assez pressant à dire.
A chuchotant : Cache-toi Yumi ! –Changeant de ton- Je voudrais bien, mais je ne trouve pas mes chaussettes. -- Pourquoi je dis mes chaussettes ? –- Je mets mon pantalon et mon t-shirt, ensuite je t’ouvre !
O : On dirait qu’elle essaye de gagner du temps.
U : J’en peux plus d’attendre !!!
Le samouraï furieux défonça la porte avec son pied et vit Aelita en pantalon et soutien-gorge.
A se dépêchant d’enfiler son t-shirt : AAAAH ! ULRICH ! Tu pouvais pas attendre ????
U : Non ! –Lui retire son t-shirt des mains- Et j’crois pas que t’ailles besoin d’un chandail, vu ce que t’as osé faire.
Il jette le t-shirt par en arrière qui recouvre le visage d’Odd.
O : Hé !
U : La ferme, Odd ! –Se tournant vers Aelita- Toi, explique-toi.
A s’arrêtant sur le mur : Je ne vois pas du tout de quoi tu veux parler.
Ulrich gifla Aelita, ce qui choqua ses amis. Aelita gémit en massant sa joue douloureuse.
U : Me prends pas pour un con ! Je sais que t’as embrassée Yumi sur les lèvres ! Pourquoi t’as fait ça ??
A : Euh… C’est compliqué, Ulrich.
U la giflant à nouveau : RÉPONDS, SALOPE DE BOUFFIASE !
Aelita se met alors à sangloter de douleur.
J s’interposant : Ulrich, arrête de la frapper !!! Excuse-la, enfin !
U : Non ! C’est moi qui suis désolé de t’avoir amené à l’infirmerie lorsque tu t’es fait électrocuter par la distributrice. Je n’aurais pas découvert Lyoko et encore moins Aelita, ainsi !
Y : Ulrich ! C’est grâce à Lyoko si on en est là aujourd’hui, un groupe d’amis. Et si on a pu se rencontrer tous les deux.
U : Pas du tout ! Je t’aurais convoqué à un autre duel quand même. On a fait match nul. Après un troisième, on aurait continué à se revoir. Et on aurait été ensemble depuis longtemps déjà, avant l’arrivée de William. Et mes parents recevraient aussi un meilleur bulletin de moi !
J : Je te signale que XANA aurait quand même existé !
U : T’avais qu’à éteindre le supercalculateur ! On aurait pas eu de XANA, ni d’Aelita ! Maintenant, je prends l’air !
Y : ULRICH !
Il ferme tout de même la porte.
O : Je vais aller lui parler.
Aelita pleurait à chaudes larmes, à cause des paroles d’Ulrich et de sa situation physique.
J lui rendant son t-shirt : Tiens, Aelita. Surtout, ne l’écoute pas. Il est juste bouleversé par la nuit dernière.
A : Mais comment avez-vous su ?
J : Les caméras.
Aelita se blottit contre lui et continua de pleurer. Jérémie tenta de la consoler avec des mots doux.
J : On devrait aller voir l’infirmière. Elle nous dira quelle est ta véritable orientation.
A : D’accord.
Y : Je viens aussi.
O : Ulrich, écoute.
U : Ta gueule, Dod !
O : Hein ?!? Comment m’as-tu appelé ??
U : DOD !
O : Ça, c’est vraiment insultant ! Même si ça se ressemble !
À suivre...