Accro à Code Lyoko
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Localisation: 7 mètre sous terre
Aimez vous la poésie ?
Parlons de nous, de l'actualité, de nos meilleurs souvenirs...
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Neutraliseur de Tarentules
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Localisation: sur une petite île au milieu de l'océan
Virtualisé
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Localisation: ...
05 Déc 2004, 00:14
tien g jmais posté ici.... bin allé c parti
moi la poésie sa dépend yen a ki sont super belle au nivo sonore mais dans le fond ya rien c du vent et sa sa m'énerve comme poésie.
mais yen a d'autre des très bien comme "le dormeur du val" de rimbaud ki ont le fond et la forme, ki va de la vie a la mort ,du chaud au froid bref dans ce poeme ya tout, voila le poeme presque parfait (bin oui rien n'est parfait).a mon avis c pas la première fois ke vous le voyez vous l'avez surement déja vu au college ou au lycée mais yen a ki connaissent p-e pas alors voila :
Le dormeur du val
C'est un trou de verdure où chante une rivière,
Accrochant follement aux herbes des haillons
D'argent ; où le soleil, de la montagne fière,
Luit : c'est un petit val qui mousse de rayons.
Un soldat jeune, bouche ouverte, tête nue,
Et la nuque baignant dans le frais cresson bleu,
Dort ; il est étendu dans l'herbe, sous la nue,
Pâle dans son lit vert où la lumière pleut.
Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Souriant comme
Sourirait un enfant malade, il fait un somme :
Nature, berce-le chaudement : il a froid.
Les parfums ne font pas frissonner sa narine ;
Il dort dans le soleil, la main sur sa poitrine,
Tranquille. Il a deux trous rouges au côté droit.
et rimbaud avait 17 ans kan il l'a ecrit (mon age...) c'est dire s'il avait l'esprit d'un poete
moi la poésie sa dépend yen a ki sont super belle au nivo sonore mais dans le fond ya rien c du vent et sa sa m'énerve comme poésie.
mais yen a d'autre des très bien comme "le dormeur du val" de rimbaud ki ont le fond et la forme, ki va de la vie a la mort ,du chaud au froid bref dans ce poeme ya tout, voila le poeme presque parfait (bin oui rien n'est parfait).a mon avis c pas la première fois ke vous le voyez vous l'avez surement déja vu au college ou au lycée mais yen a ki connaissent p-e pas alors voila :
Le dormeur du val
C'est un trou de verdure où chante une rivière,
Accrochant follement aux herbes des haillons
D'argent ; où le soleil, de la montagne fière,
Luit : c'est un petit val qui mousse de rayons.
Un soldat jeune, bouche ouverte, tête nue,
Et la nuque baignant dans le frais cresson bleu,
Dort ; il est étendu dans l'herbe, sous la nue,
Pâle dans son lit vert où la lumière pleut.
Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Souriant comme
Sourirait un enfant malade, il fait un somme :
Nature, berce-le chaudement : il a froid.
Les parfums ne font pas frissonner sa narine ;
Il dort dans le soleil, la main sur sa poitrine,
Tranquille. Il a deux trous rouges au côté droit.
et rimbaud avait 17 ans kan il l'a ecrit (mon age...) c'est dire s'il avait l'esprit d'un poete
Virtualisé
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Localisation: Pas assez loin
05 Déc 2004, 00:30
Pour moi ça reste sans hésitation l'un des plus beaux que je connaisse..
La 1ere fois que je l'ai lu la fin ça m'a fait tout drôle.
Mais je le trouve magnifique parce qu'il plante un décor superbe, tranquille et détendu, et la fin ça fait vraiment un choc...il est vraiment magnifique je trouve. :sm11:
La 1ere fois que je l'ai lu la fin ça m'a fait tout drôle.
Mais je le trouve magnifique parce qu'il plante un décor superbe, tranquille et détendu, et la fin ça fait vraiment un choc...il est vraiment magnifique je trouve. :sm11:
Les plus grands ne sont pas ceux qui ne tombent jamais, mais ceux qui se relèvent toujours.
Prisonnier des rêves
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Inscription: 18 Avr 2004, 10:37
Localisation: Dans une prison de rêve
04 Juin 2005, 19:37
La poesie est un des nombreux moyens d'exprimer son etat d'être, ses emotions , ses probleme etc... pour aimer, faut pas juste lire en tant que rimes. faut regarde le message? et la façon de le transmettre.
ps: je suis pas modo, mais je signale qu'il existe un sujet pour poster les poemes, ds "le coin de l'ecrivain". c juste pour eviter du buolot aux modo et admin
ps: je suis pas modo, mais je signale qu'il existe un sujet pour poster les poemes, ds "le coin de l'ecrivain". c juste pour eviter du buolot aux modo et admin
http://histoire-makor.over-blog.com/
Ne jamais oublier: L'imagination est un atout inépuisable, sans limite et totalement vôtre.
Ne jamais oublier: L'imagination est un atout inépuisable, sans limite et totalement vôtre.
Exquise Marquise
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Localisation: Au bout du monde et ravie d'y être !
09 Juin 2005, 00:44
Réaffirmation
Ange.lou a écrit:la poésie me laisse un peu indifferente , mais un petit poème on ne refuse jamais surtout quand il est pour vous ......
bref en global ca n'apporte pas grand chose
Je me citte moi même! Cette reponse n'est plus la mienne, il suffit de voir les nombre de poèmes que jai pondu cette année, je fais même parti d'un recceuil appellé le printemps des poètes du lycée Pierre d'Ailly...
La poèsie permet d'exprimer des sentiments oraux par l'écrit, c'est une forme très interessante d'expression...
Non je trouve ça soulant
Peut être qu'un jour tu te retrouveras à créer ta propre poèsie, tu ne trouveras plus ca "saoulant" mais tout simplement créatif.
"Quand j'ai à me plaindre de quelqu'un, je ne persifle pas; je fais mieux, je me venge." (Choderlos de Laclos, Les Liaisons dangereuses - Lettre 159 : la marquise de Merteuil au Vicomte de Valmont)
Sergent-chef des lyokauteurs
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Inscription: 14 Juin 2004, 10:38
09 Juin 2005, 11:00
Moi, je crois que pour vraiment apprécier la poésie, il faut avoir vécu des soirée comme je faisait avec ma famille, lumière éteinte, avec des bougies, et lire chacun à tour de rôle un poème soigneusemement choisi parmi ses préférés. Ou avoir soigneusement travaillé la façon de le dire, l'avoir entendu, réalisé ce qu'il y a de musicale dans ses vers. Ceux qui m'ont entendu récité "la lorelei" d'Appolinaire, ça m'étonnerais qu'ils aient trouvé ça saoulant.
Initié
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Localisation: Là où vous ne me trouverez jamais.
04 Juil 2005, 01:51
Pour moi... J'aime la poésie à 95%... J'aime bien écrire des poèmes mais je préfère souvent ceux qui rime que les autres... À l'école, on a en lu quelques uns et jusqu'à date, mes goûts sont différents pour chaque poème. Je crois que celà dépend toujours de nos goûts, notre personalité et de ce qu'on a vécu pour aprécier la poésie ou n'importe quelle oeuvre d'art. Donc, j'aime beaucoup la poésie. C'est très beau. Mais parfois j'aprécie moins... Voilà donc mon point de vue...
Grand Maître de l'esquive au sabre
Messages: 3265
Inscription: 29 Avr 2005, 11:56
mais avec la beauté et la tendresse sous la douce plume, je comprend que la beauté n'est point inconnue. Elle est humaine et fait chavirer les coeurs (merde j'en ai commencé 1 
Grand Maître du lancer d'éventail
Messages: 2442
Inscription: 09 Oct 2005, 15:54
Localisation: devant le PC, au taf ou dans une quelconque boutique...
Exquise Marquise
Messages: 1245
Inscription: 03 Juil 2004, 14:38
Localisation: Au bout du monde et ravie d'y être !
19 Juin 2006, 19:50
Re: Réaffirmation
la poésie me laisse un peu indifferente , mais un petit poème on ne refuse jamais surtout quand il est pour vous ......
bref en global ca n'apporte pas grand chose
Je me citte moi même! Cette reponse n'est plus la mienne, il suffit de voir les nombre de poèmes que jai pondu cette année, je fais même parti d'un recceuil appellé le printemps des poètes du lycée Pierre d'Ailly...
La poèsie permet d'exprimer des sentiments oraux par l'écrit, c'est une forme très interessante d'expression...[/quote]
[
Je passe mon temps à me citer (
100% moi )
Donc, pour la poèsie, s'il s'agit d'un simple objet d'étude, type bac de français, la poèsie est plus que saoulante mais carrément enme******.
Une Lecture analytique d'Hérédia, et c'est bon, vous êtes dégouté de la poèsie.
Cependant, lisez Rimbaud c'est hallucinant, comme c'est magnifique,même les anti-poètes admirent la musicalité, l'esprit, l'invitation à l'évsaion.
Moi je reste fidèle à Apolinaire (poèmes à Lou oblige ).
Et je suis contente, mes poèmes vont être publiés dans un recueil de ma région (à croire que le lyrisme à deux balles peut plaire XD)
"Quand j'ai à me plaindre de quelqu'un, je ne persifle pas; je fais mieux, je me venge." (Choderlos de Laclos, Les Liaisons dangereuses - Lettre 159 : la marquise de Merteuil au Vicomte de Valmont)
07 Sep 2006, 10:33
Les mots m'ont pris par la main
Je demeurai longtemps derrière un Vittel-menthe
L'histoire quelque part poursuivait sa tourmente
Ceux qui n'ont pas d'amour habitent les cafés
La boule de nickel est leur conte de fées
Si pauvre que l'on soit il y fait bon l'hiver
On y traîne sans fin par la vertu d'un verre
Moi j'aimais au Rocher boulevard Saint-Germain
Trouver le noir et or usagé des sous-mains
Garçon de quoi écrire Et sur la molesquine
J'oubliais l'hôpital les démarches mesquines
A raturer des vers sur papier quadrillé
Tant que le réverbère au-dehors vînt briller
Jaune et lilas de pluie au cœur du macadam
J'épongeais à mon tour sur le buvard-réclame
Mon rêve où l'encre des passants abandonna
Les secrets de leur âme entre deux quinquinas
J'aimais à Saint-Michel le Cluny pour l'équerre
Qu'il offre ombre et rayons à nos matins précaires
Sur le coin de la rue Bonaparte et du quai
J'aimais ce haut Tabac où le soleil manquait
Il y eut la saison de la Rotonde et celle
D'un quelconque bistrot du côté de Courcelles
Il y eut ce café du passage Jouffroy
L'Excelsior Porte-Maillot Ce bar étroit
Rue du Faubourg-Saint-Honoré mais bien plus tard
J'entends siffler le percolateur dans un Biard
C'est un lieu trop bruyant et nous nous en allons
Place du Théâtre-Français dans ce salon
Au fond d'un lac d'où l'on Voit passer par les glaces
Entre les poissons-chats les voitures de place
Or d'autres profondeurs étaient notre souci
Nous étions trois ou quatre au bout du jour Assis
A marier les sons pour rebâtir les choses
Sans cesse procédant à des métamorphoses
Et nous faisions surgir d'étranges animaux
Car l'un de nous avait inventé pour les mots
Le piège à loup de la vitesse
Garçon de quoi écrire Et naissaient à nos pas
L'antilope-plaisir les mouettes compas
Les tamanoirs de la tristesse
Images à l'envers comme on peint les plafonds
Hybrides du sommeil inconnus à Buffon
Êtres de déraison Chimères
Vaste alphabet d'oiseaux tracé sur l'horizon
De coraux sur le fond des mers
Hiéroglyphes aux murs cyniques des prisons
N'attendez pas de moi que je les énumère
Chasse à courre aux taillis épais Ténèbre-mère
Cargaison de rébus devant les victimaires
Louves de la rosée Élans des lunaisons
Floraisons à rebours où Mesmer mime Homère
Sur le marbre où les mots entre nos mains s'aimèrent
Voici le gibier mort voici la cargaison
Voici le bestiaire et voici le blason
Au soir on compte les têtes de venaison
Nous nous grisons d'alcools amers
O saisons Du langage ô conjugaison
Des éphémères
Nous traversons la toile et le toit des maisons
Serait-ce la fin de ce vieux monde brumaire
Les prodiges sont là qui frappent la cloison
Et déjà nos cahiers s'en firent le sommaire
Couverture illustrée où l'on voit Barbizon
La mort du Grand Ferré Jason et la Toison
Déjà le papier manque au temps mort du délire
Garçon de quoi écrire
Louis Aragon
*o* bon il se perd un peu dans les rimes à un moment donné (ou est ce fait exprès ? ^^) mais c'est chouette ^^
Je demeurai longtemps derrière un Vittel-menthe
L'histoire quelque part poursuivait sa tourmente
Ceux qui n'ont pas d'amour habitent les cafés
La boule de nickel est leur conte de fées
Si pauvre que l'on soit il y fait bon l'hiver
On y traîne sans fin par la vertu d'un verre
Moi j'aimais au Rocher boulevard Saint-Germain
Trouver le noir et or usagé des sous-mains
Garçon de quoi écrire Et sur la molesquine
J'oubliais l'hôpital les démarches mesquines
A raturer des vers sur papier quadrillé
Tant que le réverbère au-dehors vînt briller
Jaune et lilas de pluie au cœur du macadam
J'épongeais à mon tour sur le buvard-réclame
Mon rêve où l'encre des passants abandonna
Les secrets de leur âme entre deux quinquinas
J'aimais à Saint-Michel le Cluny pour l'équerre
Qu'il offre ombre et rayons à nos matins précaires
Sur le coin de la rue Bonaparte et du quai
J'aimais ce haut Tabac où le soleil manquait
Il y eut la saison de la Rotonde et celle
D'un quelconque bistrot du côté de Courcelles
Il y eut ce café du passage Jouffroy
L'Excelsior Porte-Maillot Ce bar étroit
Rue du Faubourg-Saint-Honoré mais bien plus tard
J'entends siffler le percolateur dans un Biard
C'est un lieu trop bruyant et nous nous en allons
Place du Théâtre-Français dans ce salon
Au fond d'un lac d'où l'on Voit passer par les glaces
Entre les poissons-chats les voitures de place
Or d'autres profondeurs étaient notre souci
Nous étions trois ou quatre au bout du jour Assis
A marier les sons pour rebâtir les choses
Sans cesse procédant à des métamorphoses
Et nous faisions surgir d'étranges animaux
Car l'un de nous avait inventé pour les mots
Le piège à loup de la vitesse
Garçon de quoi écrire Et naissaient à nos pas
L'antilope-plaisir les mouettes compas
Les tamanoirs de la tristesse
Images à l'envers comme on peint les plafonds
Hybrides du sommeil inconnus à Buffon
Êtres de déraison Chimères
Vaste alphabet d'oiseaux tracé sur l'horizon
De coraux sur le fond des mers
Hiéroglyphes aux murs cyniques des prisons
N'attendez pas de moi que je les énumère
Chasse à courre aux taillis épais Ténèbre-mère
Cargaison de rébus devant les victimaires
Louves de la rosée Élans des lunaisons
Floraisons à rebours où Mesmer mime Homère
Sur le marbre où les mots entre nos mains s'aimèrent
Voici le gibier mort voici la cargaison
Voici le bestiaire et voici le blason
Au soir on compte les têtes de venaison
Nous nous grisons d'alcools amers
O saisons Du langage ô conjugaison
Des éphémères
Nous traversons la toile et le toit des maisons
Serait-ce la fin de ce vieux monde brumaire
Les prodiges sont là qui frappent la cloison
Et déjà nos cahiers s'en firent le sommaire
Couverture illustrée où l'on voit Barbizon
La mort du Grand Ferré Jason et la Toison
Déjà le papier manque au temps mort du délire
Garçon de quoi écrire
Louis Aragon
*o* bon il se perd un peu dans les rimes à un moment donné (ou est ce fait exprès ? ^^) mais c'est chouette ^^
Supernyny
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Inscription: 12 Déc 2005, 22:27
Localisation: île de France
30 Oct 2006, 13:08
Bon, alors, il me semble que je n'ai pas encore donné mon avis sur la poésie; alors j'y vais. Tout d'abord, je dois admettre que j'aime bien la poésie; c'est un genre littéraire qui me plait, et ce plus à écrire qu'à lire, curieusement. En fait, la raison à cela est que le lyrisme en général, propre à la forme poétique telle qu'on la conçoit le plus souvent, m'ennuie rapidement. Mais là encore, ça dépend des auteurs. Il y a certains poèmes (à caractère comique, le plus souvent) auxquels je ne résiste pas.^^
Mais d'une manière générale, c'est ainsi, je préfère la prose. la bonne vieille prose dont j'estime qu'elle peut, même dans le cas lyrique, rendre des sentiments plus vrais que ceux de la versification, dont généralement l'excès donne une impression de "faux". Après, en effet, il faut voir: certaines situations et certaines intentions d'auteurs gagnent plus à être versifiés qu'à être écrits de manière non poétique, il faut bien l'admettre: les fables de la Fontaine, par exemple, produisent plus d'effet en vers que si l'intrigue était exposée bêtement telle qu'elle est (je ne parle pas des sous-entendus liés au monde de la cour, bien sûr, ça, c'est une autre affaire).
Mais d'une manière générale, c'est ainsi, je préfère la prose. la bonne vieille prose dont j'estime qu'elle peut, même dans le cas lyrique, rendre des sentiments plus vrais que ceux de la versification, dont généralement l'excès donne une impression de "faux". Après, en effet, il faut voir: certaines situations et certaines intentions d'auteurs gagnent plus à être versifiés qu'à être écrits de manière non poétique, il faut bien l'admettre: les fables de la Fontaine, par exemple, produisent plus d'effet en vers que si l'intrigue était exposée bêtement telle qu'elle est (je ne parle pas des sous-entendus liés au monde de la cour, bien sûr, ça, c'est une autre affaire).
Tueur de Blocks
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