14 Fév 2009, 10:57 par Fleurdequinoxe
Les septs samouraïs de la plume, la confrérie virtuelle, le cercle des poètes dévirtualisés, les chroniqueurs de Lyoko, Les historiographes de Xana....
Allez; je continue:
Lorsque Edward s'arrêta de bondir d'arbre en arbre, Marine se reveilla. Elle était toujours accrochée à son cou et se demanda où elle avait bien pu atterrir. A l'évidence il faisait nuit, mais impossible de savoir si cette partie du Passage était pertpétuellement plongée dans l'obscurité où si il y avait un horaire dans le réseau. Le vampire descendit de l'arbre avec elle et ils marchèrent jusqu'à sortir de la fôrêt. Un étang d'eau calme bordait la lisière du bois et en dépit du brouillard nocturne, Marine réussit à distinguer une sorte de manoir qui semblait posé sur l'eau comme un morceau de sucre dans un soucoupe. Un instant elle se demanda comment parvenir jusqu'à la bâtisse, mais avec quelques mots d'excuses, Edward la souleva à nouveau de terre et traversa l'étendue d'eau sans le moindre effort, en un seul bond. Des marches de marbres sortaient de l'eau jusqu'aux portes vitrée du manoirs. Ces dernières s'ouvrirent pour laisser la place à une créature sculpturale aux cheveux blond et court et aux grands yeux étirés en amande. Vétue d'une robe longue et vaporeuse elle s'approcha jusqu'au brd de l'eau et Marine se demanda si telle la dame du lac elle n'allait pas le traverser à pied.
La dame du Lac: "Soyer la bienvenue en ces lieux, ma chère enfant, je suis la Comtesse Sim-one, votre hôtesse en ces lieux.
Aussitôt la comtesse Sim-One la prit par la main et la guida dans le manoir scintillant entourée de brume. Si il n'y en avait pas eu autant Marine aurait sans doute repéré derrière le voile vaporeux, la silhouhette manaçante du manoir du Comte Pixel, dont la maison du lac n'était que le manoir des invités. Heureusement (ou malheureusement, la suite de l'histoire nous le dira) pour elle, Marine ne remarqua rien, et subjugué par la beauté et la courtoisie de ses deux compagnons elle se laissa emmener jusqu'à sa chambre. Il y avait deux lits surmontés d'un dais assortis à la couleurs des draps. La literie était dans les tons pastels l'un dans les tons parmes et l'autre dans les tons pêches. Une très imposante armoire normande lourdement sculptée occupait le fond de la chambre, tout un pan du mur en fait et l'on pouvait se demander que pouvait donc renfermer ce monument de chêne.
Edward: Votre chambre vous plait-elle Marine?
Marine: C'est digne d'une princesse...
La comtesse Sim-One: Digne de vous, et si vous n'y voyez pas d'inconvénient, comme il se fait déjà très tard, je suggère que nous regagnions tous nos chambres respectives. Le petit déjeuner sera servi à huit heure précise demain matin.
Marine: Je vous remercie de votre accueil, madame la comtesse. Et je vous souhaite une bonne nuit.
La comtesse Sim-one: Je vous souhaite également le bonsoir, très chère.
Edward: A demain Marine et que la nuit vous soit douce.
Marine: Bonsoir Edward.
Une fois que ses hôtes se furent retirés dans leurs chambre respective, Marine se jeta sur le lit le plus proche d'elle (celui avec la literie pêche). Après quelques minute, elle retira sa tiare et la posa sur la table de nuit recouverte de marbre, puis se leva afin d'aller inspecter l'armoire normande. En ouvrant la première porte de l'immense armoire, elle découvrit une collection de robes à sa taille dans toutes les teintes possibles et imaginables: lie de vin, vieux rose, safran, bordeaux, amande, lilas, crème, moirée...j'en passe et des meilleures. Elle choisit une chemises de nuit longue avec des manches longues bouffantes d'un modèle un peu vielliot et ouvrit la seconde porte qui donnait sur une toute petite porte à peine assez grande pour la laisser passer même en se pliant en deux. Mais en passant la petite porte, Marine se retrouva dans une salle de bain assez vaste, avec une baignoire de dimension appréciable, un miroir et un meuble de toilette avec une vasque encastrée. Pas la moindre fenêtre ni de porte, à part bien sur celle de l'armoire. Et pour aussi absurde que cela pouvait paraître, la jeune fille aurait juré que la salle de bain était entièrement contenue dans l'armoire. Elle prit un bain et se changea avant de ressortir de l'armoire. Avant d'aller se coucher, elle essaya d'ouvrir la troisième porte mais n'y parvint pas. Elle regagna son lit en prenant bien soin de verifier que la porte et la fenêtre de la chambre soient bien closes et avisa une pendule encastrée dans une des moulure de l'armoire, il y avait des tas d'aiguilles de longueurs différentes qui tournaient autours d'une multitude de symbole mathématiques mais pas le moindre chiffre romain ou arabes susceptible de lui indiquer l'heure qu'il était. Haussant les épaules, elle s'endormit.
P.S Je continue plus tard, au fait pour le capitaine shaekspeare je me suis inspirée de Stardust et pour Simone, du film éponyme. Dans ce film, la simulation a un fils denommé Pixel.....
Arma virumque cano, Je chante les armes et les héros, (Virgile, Eneide)