Mais si on va la revoir Salammbô, c'est moi la métaphysicienne de Lyoko (auto-proclamée en toute modestie), il suffit que la clé du temps soit retrouvée et qu'ensuite une nouvelle complication surgisse des dissention dans la coalition des méchants de nouvelles alliances etc. Après que la clé du Temps soit retrouvée les méchants vont se la disputer ils vont essayez de s'envahirs via les Couloirs (que je vais évoquer bientôt, dès que j'en aurais le temps) ensuite ils vont s'entre-tuer....et Chronos va mourir etc...
Xanadu, Salammbô et Shalimar je m'en occupe. Comme ça si vos délires prennent un tour trop..
![Cool 8)](./images/smilies/icon_cool.gif)
..(quoi au juste?)....pour moi je pourais toujours me rabattre là-dessus.
L'idée de départ était que Chronos soit le super méchant (à son niveau bien entendu, par conviction personnelle je préfère ne pas parler de choses que je ne comprends pas; cf le livre de Job). Chronos s'est allié Xanadu en lui livrant Salammbô et Ervig en lui envoyant Maab: on obtient ainsi une ligue de super-méchant qui agissent ensemble (histoire de donner un semblant de cohérence à la fic) .
J'ai me réserve aussi l'Ervig de la dimension de Xanadu, j'en ai besoin pour tuer Chronos, et j'ai aussi besoin d'écrire cette scène (en fait elle est déjà écrite).
J'ajoute mon grain de sel maintenant:
Faust, sous son déguisement de Kiwi, était arrivé au collège Kadic. C'était le matin et il espérait prendre la place du Kiwi original avant le retour du garçon dénommé Odd. Il arriva sans encombre devant la porte de sa chambre: les couloirs étaient déserts à cette heure-ci, quand il entendit un bruit de pas. Une adolescente aux cheveux noirs s'immobilisa devant la chambre de Odd della Robbia et de Ulrich Stern. Elle hésitait à glisser une enveloppe rose sous la porte. L'alchimiste tapit dans l'ombre observa la scène avec attention: prête à essuyer un nouvel orage de la part de celui qu'elle considérait comme le plus beau brun de Kadik, Sissi frappa à la porte et attendit une réponse. La réponse ne vint jamais ce qui était étonnant vu que c'était un dimanche et qu'il était neuf heures du matin. La petite curieuse entrouvrit la porte et jeta un coup d'oeil à l'intérieur: les lits n'étaient même pas défaits, la chipie n'en revenait pas:
Décidément il se passe des choses bizarres par icise dit-elle. Mais alors qu'elle se préparait à avertir son père de l'absence de son cher Ulrich, (celle de Odd lui passa complètement au dessus de la tête) Kiwi (le vrai) s'extirpa péniblement de son tiroir pour venir lui faire la fête, trop heureux d'avoir enfin de la compagnie. Dans son enthousiasme, le petit chien sauta sur l'intruse qui glissa sur une petite flaque nauséabonde (je vous laisse deviner de quoi il s'agissait) et s' étala les quatres fers en l'air sur le plancher de la chambre le contenu de son sac éparpillé autour d'elle. Alerté par le bruit de la chute, Kiwi-Faust s'approcha prudemment de Sissi. Sa tête avait heurté violemment un des lits lors de sa chute. Elle était tellement sonnée qu'elle ne s'étonna pas du tout de voir le petit chien en deux exemplaire mais ce n'était pas du tout le cas du Kiwi original qui mordit violemment son sosie avant de le chasser de la chambre de son maître bien-aimé à grand renforts de grognements hargneux. En l'absence de la collégienne, l'Alchimiste de la reine Maab aurait sans aucun doute fait usage de sa science et la saucisse à pattes aurait passé un très mauvais quart d'heure. Mais dans les circonstances actuelles, le magicien considéra comme plus judicieux de se débarasser de la fille avant de se débarasser du chien. Oh et puis après tout, autant faire d'une pierre deux coup, il allait se débarasser en même temps de ces deux gêneurs....Chronos avait ouvert un passage entre lyoko et un monde parallèle futuriste très spécial, un des rares où les lyokoguerriers avaient perdus leurs âmes dans un sentier pavé de bonnes intentions,
Autant envoyer ces deux là leurs tenir compagnie pensa-t'il. Le plan du Titan était très simple: les jeunes gens bloqués dans ce monde parallèle fusionneraient avec leurs doubles maléfiques en 72 heures. Simple, rapide, efficace le plan était digne de l'esprit tordu du maître du temps.
Si Faust avait pu voir le désastre que son initiative allait provoquer, il se serait abstenu d'envoyer Kiwi et Sissi rejoindre les autres. Mais c'était là la grande tragédie de Faust, il ne savait jamais quand s'arrêter: c'était ainsi qu'il avait perdu son âme à l'époque et cette fatalité de l'échec et du ridicule le poursuivait depuis. Faust n'avais jamais eu beaucoup de jugeotte: question choix il faisait systématiquement les mauvais. De plus il était un modèle de lâcheté et se laissait aisémment duper en toute occasion. Pire encore, sa stupidité et sa couardise n'avaient d'égales que sa méchanceté et il aurait été prêt à tout es les bassesses et à toutes les cruautés pour satisfaire ses maîtres, Chronos et Maab qui eux-même étaient bien ennuyés parfois par le manque de jugement de leurs subalternes. D'un certain point de vue, Euphorion, le fils deFaust et d'une succube ayant pris l'apparence d'Hélène de Trois sur ordre de Méphistophélès était une bien meilleure recrue que son père. Il savait séduire les mortelles avec une déconcertante facilité et pouvait se montrer bien plus cruel que lui quand les circonstances l'exigeaient.
Faust ferma la porte de la chambre et reprit forme humaine. Il traça un cercle sur le sol autour de Sissi encore à moitiée inconsciente; c'est qu'il n'était que magicien et en tant que tel, il devait recourirs à des symbôles et à des formules magiques pour obtenir ce que Chronos pouvait réaliser sans bouger un cil. Ses incantations terminées, une sorte de portail s'ouvrit et aspira les deux victimes du sorcier. Très content de lui, Faust reprit son déguisement et s'installa confortablement sur un des lits, celui d'Ulrich en l'occurence.
Sissi se réveilla dans un champs de ruine. Les bâtiments avaient été éventrés par des tirs d'obus après avoir été noircis par les incendies qui avaient ravagés Paris lorsques les agresseurs venus du monde virtuel de Lyoko avaient détruits le système informatique de la métropole.
Les forces de police, l'armée ainsi que les sapeurs pompiers avaient été paralysés en quelques heures. Et lorsque Ulrich fit sauter les relais EDF, privant la ville entière de la moindre parcelle d'éléctricité, l'incendie s'était propagé de bâtiment en bâtiment, de manière incontrôlable. Sissi térrorisée, serrait Kiwi contre elle. Ce simple contact lui offrait un peu de réconfort. Elle avait beau se pincer; l'horrible vision de ce monde mort ne voulait pas disparaître et elle avançait lentement parmis les débris qui parsemait le champs de bataille désert, soucieuse de ne pas troubler l'épais silence qui l'envellopait tout entière. En y réfléchissant bien, elle préférait encore l'assourdissant silence de la mort plutôt que vacarme des obus et des tirs de mitraillettes, quitte à devoir enjamber des cadavres. Mais en fait de cadavres, il n'y en avait pas. Il n'y avait pas plus de morts que de vivants dans cette métropole en ruine.
Je continue dès que je le peux, par petites touches jusqu'à dimanche prochain.