Les Lyokofans 2.0 (version Auteur)

Pour goûter au plaisir d'écrire à plusieurs, c'est par là !

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Message 20 Mai 2009, 18:46

Comme promis, voici ma petite suite. Si j'ai bien compris, vu que Fleur va faire la-scène-dont-on-ne-doit-pas-prononcer-le-nom, ce passage se place avant les deux derniers posts qu'elle a fait. Je préviens tout de suite: vu que je n'ai pas fini ce que j'avais à écrire (et notamment les "Touches J.E" pour certains), il me faut encore écrire un ou deux passages Qui se dérouleront dans le Manoir!! Donc, Fleur, si tu pouvais éviter de les expulser de la résidence, ça m'arrangerait beaucoup.

Trêve de discussions: voici ma suite!




Pendant que le Comte Pixel ruminait ses pensées, Julien escortait Maeva jusqu’à la chambre des filles (elle n’a pas besoin d’escorte, mais vu qu’il fallait quelqu’un pour ramener le plan...). Darinas s’étant véhément opposé à être seul en compagnie de Maeva, Yann s’étant plongé dans l’étude d’un grimoire qu’il avait réussi à emmener avec lui, Gx et Xana étant en pleine discussion sur des tactiques militaires, le pauvre bougre avait été désigné volontaire. Heureusement (ou malheureusement, ça dépend du point de vue), aucun incident ne fut à signaler durant le trajet d’une demi-heure. Le seul moment d’action fut quand Maeva tenta d’entraîner Julien dans un placard à balais (on se demande pourquoi...), mais celui-ci répliqua à coups de flèches laser... Mais bon, je m’égare. Donc, le voyage se déroula sans inconvénients, et Maeva put enfin rejoindre ses amies.
-Bon, je te laisse. Essaie de ne pas faire de scandale cette fois...
-Hein ? Non mais tu me prends pour qui ?
-Pour qui tu es, justement...
Evitant de peu un coup d’éventail, l’homme-chat s’enfuit sans demander son reste. Il ne souhaitait pas finir en rondelles prématurément...

Deux minutes plus tard, les filles étaient toutes réunies dans leur chambre. Après avoir fini de se raconter leurs périples respectifs, elles se mirent à parler de tout et n’importe quoi : fringues, mecs, musique... Un début de baston faillit éclater entre Fleur et Maeva lorsque cette dernière commença à raconter les expériences qu’elle avait eues avec son amant, mais elle fut évitée grâce au formidable changement de sujet opéré par Maggy. En apprenant que celle-ci avait apparemment un faible pour le sieur Cullen, la geisha décida de tout faire pour les caser ensemble avant la fin de leur expédition sur Lyoko. Dans sa lancée, elle décida aussi qu’elle allait faire aller Xana et Typy plus loin dans leur relation le soir même... Mais comment faire ? That was the great question...

J.E, lui, était dans son exploration du Manoir. D’escalier en escalier, il avait finalement réussi à se retrouver dans la partie la plus intéressante du domaine : les caves. On y trouvait vraiment de tout : il y avait un laboratoire médical ; un vivier rempli de Krabes, Rampants, Tarentules et autres créatures du même genre (bien qu’à échelle très réduite : les Kankrelats tenaient dans le creux de sa paume !) ; un fosse sans fond ; des cellules carcérales désespérément vides ; un labyrinthe (dont il mit une bonne vingtaine de minutes à ressortir, la configuration de celui-ci changeant en permanence) ; une sorte d’autel sacrificiel, enfoui dans une crypte poussiéreuse ; et enfin, la pièce la plus importante : le cellier du Manoir ! Par l’odeur alléché, il poussa la porte et se retrouva devant une réserve de boissons à rendre fou le Capitaine Haddock ! La pièce se prolongeait apparemment sur plusieurs kilomètres, et ce dans toutes les directions. En fouillant un peu, il tomba sur une énorme quantité de vieux tonneaux poussiéreux. Grattant l’étiquette de l’un d’entre eux, il put distinguer : «Elixir Danois, 1784». Lentement, ses lèvres s’étirèrent en un sourire sadique...

Pendant que J.E concoctait un plan digne des plus grands savants fous, les autres mecs s’étaient réunis autour d’une partie de Uno (ils avaient en effet trouvé des jeux de sociétés dans leur placard). Il avait fallu expliquer les règles du jeu à Xana (qui, vous vous en doutez, n’avait JAMAIS joué à un jeu de Terriens), mais celui-ci assimilant les nouveaux savoirs à une vitesse stupéfiante, il n’avait pas tardé à mettre la pâtée aux autres joueurs (en même temps, quand on est capable d’établir quatorze stratégies différentes en même temps, ça aide...)

-Plus deux ! Prends ça, Yann !
-Dommage, Darinas, mais plus deux aussi ! Désolé, Xan, mais c’est la vie.
-Je ne crois pas...Plus quatre ! Je choisis le vert. Herr Général, je crois que ça te fait huit cartes...
Je suppose que vous voyez le genre...

Une demi-heure plus tard, Julien et J.E les avaient rejoints et s’étaient lancés dans un débat. Le thème : «Qui est le meilleur détective de fiction ?». Pour le moment, l’homme-chat soutenait Sherlock Holmes, alors que l’homme-poisson défendait Hercule Poirot. La discussion faillit tourner au pugilat lorsque, une fois la partie de Uno terminée (par la victoire écrasante de Xana), Yann rejoignit le débat en affirmant que c’était Joseph Rouletabille le meilleur. Heureusement, le majordome du Comte, accompagné d’Edward, vint annoncer que le repas était servi dans la salle à manger, et que le Comte lui-même serait à la table. Désireux d’enfin connaître leur hôte, ils s’y rendirent en quatrième vitesse (l’appel du ventre aidant...).
Peu avant d’arriver à destination, ils retrouvèrent les filles, et se mirent à discuter avec elles. N’osant pas aborder le thème de leur retour dans leur propre Univers devant Xana et Edward, ils se contentèrent de parler littérature et fanfics ; très rapidement, le ton monta entre Darinas et Fleur, à propos notamment des Kals et du fait que scientifiquement, leur existence était impossible. J.E parvint à les calmer en ces termes :

-Fleur, tu dis que c’est scientifiquement impossible que les Kals existent. Dans ce cas, il est tout aussi impossible que nous soyons en ce moment même dans un univers numérique appartenant à une réalité alternative. Or, nous y sommes bel et bien. Donc, tu es forcée d’admettre que la science ne peut tout expliquer. Et au fait, Darinas, vu qu’on parle des Kals... La différence de niveau ?
-Hé bien...Je pense qu’en cas de rencontre Kals/Etoiles, ça se solderait par un match nul. Etant huit, les Kals auraient un avantage numérique, mais j’ai pu constater qu’il était presque impossible de prévoir les actions d’une Etoile, vu qu’un même mouvement peut engendrer plusieurs actions différentes. Donc, les Etoiles auraient l’effet de surprise.
-Je vois...Tiens, nous sommes arrivés, me semble-t-il.

Et effectivement, une double-porte massive leur barrait la route. Sur un simple signe de main du majordome, elle s’ouvrit et révéla une immense table en chêne lustrée, garnis de mets divers et variés. A l’une de ses extrémités trônait le Comte Pixel, impassible (à sa vue, Xana esquissa un mouvement vers la poignée de son Zanbatô ; n’oublions pas que le Comte restait l’un de ses ennemis). A sa droite se trouvait Dorian Gray, et à sa gauche, Carliste Cullen ; la Comtesse Sim-One, pour sa part, était à l’autre extrémité de la table. Une fois la porte refermée, le Comte prit la parole :
-Ah, voici enfin mes chers invités ! Prenez donc la peine de vous asseoir.
Aussitôt dit, aussitôt fait : les arrivants s’installèrent autour de la table. En partant du Comte et en tournant dans le sens horaire, ça faisait : Pixel — Gray — Julien — Fleur — Xana — Maggie — Julyann — GX — Sim-One — J.E — Edward — Typy — Darinas — Maeva — Carliste. Une fois tout le monde installé, le repas commença. Pendant l’entrée, rien de notable ne se passa : chaque camp était occupé à détailler l’autre. Puis, pendant le plat principal (à savoir, une carpe du Rhin à la Chambord, comme quoi les lois de la quantique font bien les choses), Xana déclencha les hostilités :
-Au fait, mon cher Pixel, pourquoi nous avez-vous acceptés dans votre Manoir ? Je croyais que vous rêviez de m’anéantir...
-Voyons, mon cher, ces querelles sont révolues ! J’ai renoncé au contrôle de Lyoko et n’aspire qu’à une vie paisible.
-Très certainement, intervint Dorian. Le Comte propose désormais asile à tous les réfugiés des conflits actuels s’ils se présentent chez lui. Comme vos amis n’avaient nulle part où aller, nous pensions bien faire.
-Et ce n’est pas trop dur, de gérer la sécurité d’une aussi grande demeure ? interrogea Darinas
-En fait, répondit Carliste, pas tellement. Les fenêtres sont d’un double-vitrage spécial : au lieu de mettre de l’air, nous avons créé un circuit fermé qui contient une partie de la Mer Numérique. Nous n’avons donc que quelques caméras de surveillance dans l’entrée.
-Hm...Et donc, il est impossible que quelqu’un de l’extérieur puisse pénétrer par effraction dans la résidence ? questionna GX
-Absolument impossible, confirma Edward
-Mais alors dans ce cas, s’enquit Maggie, qui...
Avant qu’elle puisse finir sa phrase, un grand vacarme se fit entendre à l’extérieur de la résidence. Tous regardèrent immédiatement par la grande baie vitrée qui constituait un mur entier de la salle, et virent des retombées de données, ainsi que des remous dans le flux du Réseau.
-Tiens, la mer est agitée on dirait, ironisa Yann
Tous les regards convergèrent alors vers J.E : en l’absence du Léviathan et d’embarcation, seul lui avait pu provoquer une telle embardée de données. Leur surprise fut grande lorsqu’ils s’aperçurent qu’il n’avait pas levé le nez de son assiette !

-Quoi ? C’est pas moi, je vous jure ! Il me faut un contact visuel pour utiliser mes capacités.
-Oublions cet incident éphémère, et concentrons-nous sur notre maigre pitance.
Le conseil donné par Fleur fut appliqué à la lettre : aucune autre conversation ne vint troubler le repas. Une fois celui-ci terminé, le Comte se leva et prononça un petit discours.
-Mes chers amis, ce fut un réel plaisir que de déjeuner en votre compagnie. Malheureusement, je ne pourrai pas être des vôtres ce soir : une affaire de la plus haute importance réclame tout mon temps, et j’ai eu du mal à me libérer pour ce repas. Cependant, j’espère que vous apprécierez votre séjour dans ma modeste demeure. Je bois à notre santé et à une bonne ambiance !
Sur ce, il vida son verre ; tous l’imitèrent, parce que c’était du bon Jurançon. Aucun d’entre eux ne releva le très léger sourire qui flottait sur les lèvres de J.E...

Après cet excellent repas, ils eurent un petit conflit à propos de leur répartition pour l’après-midi : en effet, n’ayant que deux plans, ils ne pouvaient se séparer qu’en deux groupes, ce qui embêtait certains. Lorsque Yann fit remarquer que Maggie pouvait synthétiser des plans avec son don de création, il y eut un gros blanc... Une fois, ce problème résolu, ils se séparèrent : Darinas, GX et Xana se rendirent dans une salle d’entrainement ; Maggie, Typy et Fleur allèrent faire un tour dans le sauna/hammam/jaccuzi ; Julien, découvrant une salle informatique, s’y enferma pour écrire la prochaine BBX ; Yann trouva son bonheur dans la bibliothèque ; Maeva, elle, trouva une salle vidéo remplie de DVD réservés à un public averti ; J.E, pour sa part, s’enferma dans la chambre des garçons pour méditer. Cependant, peu avant que tous se quittent, Xana prit J.E à part :

-J’aurais un service à te demander...
-Vas-y.
-Pixel ne m’inspire pas confiance : je le connais assez pour savoir qu’il a quelque chose derrière la tête. Donc, si tu pouvais garder un œil sur lui... Au sens propre du terme, bien entendu.
-J’ai déjà mis un doigt sur le problème ; je vais y rajouter un œil et une oreille.
Aussitôt dit, aussitôt fait : J.E envoya un œil et une oreille rejoindre son doigt, avant de les recomposer par restructuration. Les deux conspirateurs se séparèrent alors, et vaquèrent à leurs occupations.








Les complots se multiplient, et les révélations s'approchent... Je vous laisse à vos théories!
Dernière édition par Jérémie Elric le 21 Mai 2009, 19:22, édité 1 fois.

Message 20 Mai 2009, 18:46

Par une nuit sombre et sans lune (allez donc trouver une lune dans un univers virtuel…), le vampire malchanceux se faufila dans les souterrains du manoir virtuel. Il emprunta celui menant à la maison du Lac, domaine personnel de la Comtesse Sim-one et qui en cas de besoin faisait aussi office de pavillon des invités (je ne reviendrais pas sur la désastreuse expérience du Comte Pixel lorsqu’il invita les Digimons, les Lyoko-guerriers et un certains nombre d’autres personnages de dessin animés à passer le week-end dans son donjon poussiéreux….si vous souhaitez obtenir plus de détails sur ce week-end mouvementé, je vous conseille de lire la fic intitulé « Le Manoir Virtuel », écrite par Darinas. )
Ainsi, le repoussant personnage au visage émacié et aux ongles sales parcouru l’interminable souterrain humide reliant les deux résidences. Une très forte odeur de moisi se dégageait des parois du tunnel où quelques chauves souris hargneuses avaient élu domicile. Ecœuré, le vampire se plaqua une main sur le nez, sans lâcher le chandelier qu’il tenait de l’autre: « J’suis pas assez payé pour ça…gémit-il, Attends, depuis quand je n’ai pas été payé moi pour commencer ? » . Et sans plus tarder il commença à compter combien de mois impayé ce radin de Comte Pixel lui devait. Il était tellement absorbé par ses comptes d’apothicaire qu’il ne remarqua pas que l’une des bougies plantée dans le chandelier menaçait à tout moment de tomber à terre. Ce qui fut vite fait. Et comme la malchance de notre vampire des années vingt est légendaire, la bougie tomba sur son pied et enflamma un bout de ses guenilles défraichies. Paniqué, le vampire en question lâcha son chandelier et se roula par terre afin d’éteindre l’incendie. Heureusement pour lui, le sol était suffisamment humide pour venir à bout des flammes. Quelques minutes plus tard, il se releva. Son chandelier s’était éteint bien sûr, et retrouver son chemin à tâtons dans ce labyrinthe tenait de l’impossible. Car dans sa paranoïa, le Comte Pixel avait creusé des tunnels souterrains parcourant son domaine dans tout les sens, et ce réseau était si vaste qu’Ariane elle-même pouvait dérouler tout ses écheveaux sans pouvoir s’y retrouver. Croisant les doigts pour ne croiser ni le Rekin (avec lui on ne sait jamais), ni Edward, le vampire malchanceux avança d’un pas prudent, les bras tendu devant lui....Et cinq minutes plus tard il courait à tout jambes en agitant désespérément les bras, poursuivit par une nuée de chauves souris très contrariées d’avoir été dérangées pendant leur sieste.
Battant tout les records de vitesse possible en ce monde, il fila en direction du manoir (du moins l’espérait il) sans demander son reste. Après une bonne heure de course à travers ce dédale nauséabond, il parvint enfin à retrouver son chemin. Presque par hasard, qui le desservait comme d’habitude, le vampire essoufflé (façon de parler) trouva une épaisse porte de bois massif au fond d’un cul de sac. Il s’agissait sans doute de la porte d’une des armoires qui se trouvait dans les chambres de la résidence. Il y en avait une par chambre et elles étaient toutes équipées de salle de bain plus ou moins grandes et de porte donnant sur le réseau de passage secrets souterrains.
-Quelle chance, s’exclama le vampire malchanceux avec enthousiasme ! Je vais enfin pouvoir sortir d’ici ! Mais au moment où il allait tourner la poignée de la porte, il avisa le petit mot qui y était suspendu ; il disait à peu près ceci. « Si jamais je te surprend à roder à proximité de cette chambre d’une manière ou d’une autre, tu le regrettera amèrement. » Cette précieuse mise en garde était signée Edward Cullen, bien entendu.
-Pourquoi, pourquoi moi ? Gémit le vampire malchanceux. Je suis coinçé à présent. Si je rentre dans la chambre de Maggaelita je suis un vampire mort. Et si je retourne sur mes pas et que je croise Edward il est capable de me faire prendre un bain de soleil. Effondré il se laissa glisser silencieusement le long de la porte sculpté sans cesser de se lamenter sur son sort. Mais très vite, il comprit que des choses fortes intéressantes se passaient derrière la porte en question : les deux filles se préparaient pour le dîner de Gala. Mû par une vieille habitude, il colla son œil injecté de sang au trou de la serrure afin de mieux se rendre compte de la situation. Assise en tailleur sur son lit, Fleur brossait les cheveux de Maggaelita à l’aide d’une magnifique brosse en argent. De son côté, la jeune fille se mirait dans un face à main en argent poli, parfaitement assortit à la brosse. Le vampire voyeur observa la scène d’un air gourmand. Elles sont absolument délicieuses ces donzelles, tout à fait exquises….pensa t’il en se léchant les lèvres. Osant à peine respirer de peur d’attirer l’attention sur lui, il se demanda si Edward lui en voudrait de goûter à la plus grande des deux. Après tout il n’était amoureux que de Marine, donc il pouvait bien gouter un peu à la coiffeuse.

Parfaitement inconsciente du danger qui les guettait derrière la porte, les deux jeunes filles en peignoir bavardaient de tout et de rien, ce qui peut se résumer à trois sujets en ce qui concerne la gent féminine : Leurs petits tracas personnels, la mode et les garçons. Et c’était de ces derniers dont il était précisément question.
« Je crois qu’Edward a un faible pour toi, Maggie. » Déclara Fleur en plantant une épingle dans les cheveux de son amie. »

« Alors ça c’est un scoop !» Ironisa le vampire malchanceux pour lui-même.
La remarque ne manqua pas de faire rougir Marine jusqu’aux oreilles : « Tu…tu crois ? » lui demanda t’elle timidement.
-Non, je ne le crois pas, répondit la jeune femme d’un air sévère avant d’éclater de rire devant la mine déconfite de Marine : « J’en suis sûre…Ah ce que l’amour peut rendre bête. » Exaspérée, Marine brandit la brosse à cheveux en argent comme une massue mais Aelita faisant une bonne tête de moins que Sissi, la partie était perdu d’avance. Prise d’un fou rire incontrôlable, Fleur s’éclipsa une seconde.
« Hum….dit Maggie avec un petit sourire, tu parle en connaissance de cause, sans doute ? »
« Moi ? Fleur secoua la tête d’un air résigné. Non ! Certainement pas. »

Elle s’avança vers l’armoire et ouvrit un des tiroirs de la garde robe. Elle en ressortit une longue boite d’acajou gravée aux armes du Comte Pixel qu’elle déposa sur un des lits. Lorsqu’elle en souleva le couvercle, Marine crut se trouver au théâtre dans une de ces pièces romanesque à souhait où l’héroïne découvre le trésor lui permettant d’épouser l’homme de son choix. Brillant avec plus où moins d’éclat, perles, diamants, rubis, saphirs, émeraudes, topazes formaient un amoncellement chatoyant. Comme dans un rêve, Maggie plongea ses mains dans les pierres précieuses et les laissa couler entre ses doigts.
Marine : « -Quelle merveille…n’est ce pas trop beau pour être vrai ? Un manoir immense, une garde-robe somptueuse et maintenant des bijoux de reine ! J’ai l’impression de rêver. »
Fleur : « J’espère juste que le rêve ne va pas se transformer en cauchemar. »
Marine : « Oh, mais pourquoi faut-il toujours que tu joue les mères rabat-joies ! Depuis qu’on a reçu cette invitation au manoir du Comte Pixel tu as une tête à faire cailler du lait frais ! »
Fleur : « Je ne fais pas la tête, ce n’est pas vrai. En revanche je l’admets, je suis inquiète. Et je n’ai absolument pas confiance en Pixel. »
Marine : « Allons détend-toi, il ne peut absolument rien nous arriver. »
Fleur : « Puisque tu le dis…. » Un craquement sourd les fit sursauter toute deux. Edward, blanc de rage, était en train de faire passer un mauvais quart d’heure au vampire malchanceux. Aussitôt Fleur se précipita en direction de la porte hermétiquement close de l’armoire normande, d’où provenait le bruit. Et tout d’un coup, il n’y eut plus un bruit, et pour cause : avec les deux mains robustes d’Edward autour de son cou, le vampire malchanceux ne pouvait pas proférer le moindre son. En désespoir de cause, la jeune fille colla son oreille à l’épais panneau de chêne dans l’espoir rapidement déçu d’en apprendre davantage sur l’origine de ces sons étrange, avant de se rappeler qu’elle n’avait pas besoin de clé pour franchir une porte ! Elle tendit la main à travers la porte, puis passa la tête. En moins de temps qu’il ne faut pour le dire, Edward disparu dans le dédale de souterrain, libérant dans la foulée le vampire malchanceux qui eut la présence d’esprit de se métamorphoser en chauve souris juste avant que Fleur ne franchisse la porte de l’armoire. Il ne fallut pas beaucoup de temps à cette dernière pour qu’elle réalise qu’elle magnifique trouvaille elle venait de faire. Et elle retourna aussitôt dans ses quartiers pour raconter à Marine sa fabuleuse découverte du réseau souterrain secret du Comte Pixel. Dix minutes plus tard, elle repartait en expédition dans le mystérieux dédale, laissant derrière elle ses soucis et sa voisine de chambre un peu inquiète, ravie de partie à l’aventure.

Marine soupira et se remit à se brosser les cheveux. Elle les attacha à l’aide d’une barrette incrustée de perles et passa dans la salle de bain pour constater le résultat. Ensuite elle enfila sa robe, une robe rose, du même rose que ses cheveux, également brodée de perles. Quand elle ressortit de l’armoire, Edward était là, assis sur le lit. Il venait de se débarrasser du vampire malchanceux et avait profité de l’absence de Fleur pour rendre visite à son amie.
Edward : « -Tu es très jolie ainsi, Marine. »
Marine : « Vraiment ? Merci Edward, tu es très élégant toi aussi. »
Edward : « Il manque quelque chose, néanmoins, un joyaux magnifique assortit à tes yeux ; comme…celui-ci par exemple, dit il en lui présentant la Tiare qu’il avait jusque là dissimulée derrière son dos.»
Marine : « Je l’ai cherchée partout ! Oh merci Edward. Je ne sais pas quoi dire d’autre, merci. »
Edward : « Tu dois être prudente Marine, très prudente….Si tu savais.»
Marine : « Qu’est ce que je dois savoir au juste ? »
Edward soupira et regarda longuement Marine en silence, il lui fallut un bon quart d’heure pour se décider à tout lui dire.

La suite, bientôt

Message 20 Mai 2009, 19:08

D’une main sûre, la comtesse Sim-one versa quelques gouttes du liquide doré dans la fiole de cristal posée sur la table. Les perles dorées se mêlèrent à la liqueur verte étincelante mieux connue sous le nom d’Elixir Danois. La ravissante et vénéneuse créature scella la fiole à l’aide d’un peu de cire et s’apprêta à retourner dans son domaine personnel, non sans saluer une dernière fois le vieux docteur Faust, dernière relique de l’âge d’or des alchimistes.
Penché sur ses fourneaux, le pèse-liqueur à la main, cet ultime disciple de Paracelse scrutait la vapeur pourpre qui montait en nuage d’une marmite de cuivre que frôlait sa barbe de nécromant. Tout autour de lui, des alambics gigantesques et des serpentines de cristal tintaient sous la danse de liquides merveilleux : eau de jouvence, larmes de phénix et sang de dragon. De cette cuisine fort peu orthodoxe, la comtesse avait su y trouver son compte, et les milles potions concoctées par le magicien n’étaient pas étrangères à l’inaltérable beauté de la comtesse.
Mais ce soir….ce soir, les invités du Comte Pixel allaient être surpris.
La comtesse gravit lentement les marches de l’escalier en colimaçon qui montait du laboratoire souterrain vers la surface et le manoir terrifiant du Comte Pixel. L’escalier dérobé prit fin derrière une tapisserie moyenâgeuse quelque peu poussiéreuse. En l’écartant, la jeune femme accéda au hall principal de la sombre demeure. Son regard courut sur les sculptures envahies d’ombres, sur les fenêtres profondément enfoncées. Ici, tout n’était que pierre dure, grise et froide comme les yeux de la comtesse qui reflétaient si bien son âme. Tel une de ces dames blanches chantées par les romances anciennes, elle avançait sous les arches gravées et les lourdes draperies de velours lorsqu’une voix familière l’interpella d’un ton faussement enjoué.
Le Comte Pixel : «-Eh bien mère, vous voici enfin, je craignais que vous ne vous soyez perdue dans ces souterrains hideux ».
La Comtesse Sim-One : «-Il se trouve que je suis venue en bateau, par le lac, Pixel. Je suis arrivée à la retraite du docteur Faust par les douves. » Tout en disant cela, la comtesse frissonna, ce qui vexa quelque peu son fils qui y voyait là une critique à son système de chauffage (fort démodé, il faut bien l’avouer).
Le Comte Pixel : « -Vous n’aimez pas ce manoir, n’est-ce pas, Mère ? Vous préférez de loin votre maison de poupée posée au milieu du Lac, si lumineuse, si blanche, si chaleureuse, où vous pouvez recevoir qui vous voulez en toute intimité…. »
La Comtesse Sim-One leva les yeux au ciel. Qu’elle était lasse des plaintes incessantes et injustifiées de son fils ! Il avait toujours été un petit être capricieux et égocentrique et parfois, elle regrettait de ne pas l’avoir éduqué différemment.
«- C’est une froide demeure, répondit-elle simplement. Il faudra veiller à ce qu’elle soit suffisamment accueillante pour que nos invités se détendent ce soir. Sans quoi, tous nos plans tomberont à l’eau. »
Involontairement, le regard de la noble créature erra sur les teintures et les portraits qui décoraient le hall. Ses yeux s’arrêtèrent sur le portrait de son défunt mari, le Comte Octet. Brusquement, elle se demanda pourquoi Pixel lui ressemblait si peu. C’était un bel homme qui n’avait rien légué de sa grâce à son rejeton au physique ingrat. Comme elle contemplait le visage de celui qui autrefois avait été son époux, elle retrouvait sa grandeur, cette peau sombre aux reflets d’or et ces yeux d’un gris d’acier si semblables aux siens. L’expression figée par l’artiste peintre était avenante, mais le visage d’Octet était celui d’un prédateur : aigu, tout en angle net, en facette. Soudain, en le regardant, Sim-one eut peur de lui et sa poitrine se serra. Le temps d’un battement de cœur, la jeune femme fut presque soulagée que son fils ne lui ressemblât pas. Et pourtant, un désir muet continuait de la ronger celui d’avoir d’autre enfants, une progéniture docile qu’elle puisse modeler à son image et à celui du défunt Comte, des êtres forts, nés pour régner et conquérir…
A ce même moment, quelque chose se produisit. Une chose que ni la Comtesse, ni Dorian Gray, ni qui que ce soit d’autre n’aurait pu prévoir. Le Temps accéléra sa course jusqu’alors régulière. Toutes les horloges, du Manoir au Pavillon du Lac, s’affolèrent. Dans les différentes chambres des invités dans chacune des armoires sculptées qui meublaient les chambres, les pendules encastrées dans le bois patinées se lancèrent dans une course effrénée afin de rattraper le temps fugitif.
Hélas, personne ne remarqua ce curieux phénomène. Les lyokofans étaient tous bien trop accaparés par leur toilette pour se soucier d’une ou deux montres folles. Dans leurs chambres respectives, ils interrogeaient leurs miroirs et écumaient les cosmétiques des salles de bains dissimulées dans l’inévitable armoire magique. Et Maeva ne faisait pas exception à la règle. Perdue dans la contemplation admirative de sa propre personne, elle ne cessait de s’observer sous tous les angles dans le grand miroir qui décorait la porte intérieure de la penderie.
Maeva : «-Miroir, mon beau miroir, qui est la plus belle de tout le pays ?» demanda-t-elle à son reflet dénudé.
Typy : « -Maeva, si tu continue à parler à cette glace, elle va finir par te répondre, tu sais ? »
Maeva : « -Et bien qu’elle le fasse, il me tarde de savoir quelle destinée sera la mienne. Miroir, miroir magique au mur qui est la beauté parfaite et pure ? » Sans bruit, Fleur passa à travers la porte de l’armoire qui donnait sur le réseau souterrain avant de passer la tête à travers le miroir où se mirait son amie.
Fleur: « C’est toi ! »
Maeva : « Au secours ! » hurla la jeune fille avant de se réfugier dans son lit à baldaquin dont elle clôt les rideaux en un tournemain.
Typy : « Tu voulais qu’il te réponde, c’est fait ! répliqua Typy en riant. Mais d’où tu sors toi ? demanda-t-elle à Fleur dont les cheveux étaient emmêlés de filament de toile d’araignées.
Fleur : «-Des souterrains qui parcourent le domaine dans tout les sens. Ils y en a qui passent sous le lac, en direction du manoir du Comte Pixel situé sur la berge en face, et tout un réseau qui mène dans chacune des chambres de la maison du Lac. » Maeva, un peu rassurée sortit la tête de sous ses couvertures
Maeva : « Ah oui ? Et comment y accède-t-on ? »
Fleur : « Apparemment, chaque chambre possède sa propre armoire Normande avec salle de Bain intégrée, penderie et porte donnant accès au passages secrets. »
Typy : « Intéressant, et digne de Pixel. J’étais sûre qu’il nous surveillait d’une manière où d’une autre. »
Maeva : «-Ce qui veut dire qu’on peut aller dans la chambre des garçons ? »
Fleur : «-Ne compte pas sur moi pour t’y emmener. » Un peu irritée par la suggestion de Maeva, elle s’apprêta par retourner dans sa chambre en empruntant le passage secret quand Typy l’interpella.
Typy : « Quand tu seras dans ta chambre tu pourras regarder si tu n’as pas un ruban bleu de la même couleur que ma robe, je ne sais vraiment pas comment me coiffer. »
Fleur : « Vous n’avez pas de boite à bijoux dans votre chambre, les filles ? Je suis sûre qu’un bracelet de saphirs fera parfaitement l’affaire. » Maeva releva la tête comme un cheval qui sent l’avoine.
Maeva : « Des bijoux ? Où ça ? Où des bijoux ?»
Typy : « Il n’y a pas de bijoux ici. Depuis quand vous en avez ? »
Fleur : « Je ne sais pas, j’ai trouvé la boîte ce matin en me levant avec les cartons d’invitation pour ce soir. »
Maeva : « Ce n’est pas juste, nous on a rien eu ! »
Fleur : « Ne t’en fais pas il y en a pour tout le monde, tu devrais aller jeter un coup d’œil dans notre chambre, et regarde dans les tiroirs pour le ruban Typy, faites comme chez vous les filles. » Maeva ne se le fit pas dire deux fois, elle s’empara d’un peignoir, ouvrit la porte en coup de vent et disparu dans le couloir. Typy continua de détailler le jean sale, les cheveux emmêlés et le visage zébré de traces noires de son amie.
Typy : « Tu devrais prendre un bain, Fleur et t’habiller en vitesse. Le dîner est à huit heures n’oublies pas. »
Fleur : « Je n’ai pas envie d’aller à ce dîner, ça sent le traquenard à plein nez ce rendez-vous. »
Typy : « Tu ne vas poser un lapin à Pixel j’espère ? »
Fleur : « Et pourquoi pas ? Si quelqu’un me cherche, je me suis noyée dans mon bain.» Là-dessus elle s’élança en direction de la porte par laquelle elle était arrivée, passa à travers et disparut dans les ténèbres insondables du labyrinthe.
Typy : « Fleur ! »

La suite, bientôt.
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Message 20 Mai 2009, 20:15

Au vu de la prose de ce texte, je suppose que c'est Fleur qui l'a écrit...

JE VAIS PÉTER UN CÂBLE!!!!!!!!!!!! J'avais fait savoir que ma suite allait se faire attendre quelques jours pour cause révisions Bac, et que vois-je?!! On en poste une qui ne me fout pas du tout dans la merde noire, parce que je venais de finir d'écrire la mienne et pensais la poster d'ici Dimanche!!!!

Je mets donc les choses au point: après la suite que je vais poster cette semaine, il y aura encore un (voire deux) morceaux. La suite qui vient d'être postée pouvant coller avec ce que je vais poster, on peut la garder, mais il faudra que Typy déplace mon prochain post AVANT la suite de Fleur.
Par contre, si on me refait un coup pareil, je quitte purement et simplement le forum. Moi aussi je suis sous pression en ce moment, donc faut pas trop pousser!!!

Bien cordialement,

Une Etoile en colère (ce qui est extrêmement dangereux...).



Post-Scriptum: bon retour parmi nous quand même, Fleur!
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Massacreur de Rampants

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Message 20 Mai 2009, 20:43

Jérémie Elric, je te demande gentiment de te calmer. Fleur a écrit cette suite avec l'accord de JD, pour régler tu-sais-quelle histoire qu'elle a enfin consentit à ce qu'on la mette, à condition de l'écrire elle-même. S'il te plait, ne la dégoûte pas alors qu'elle vient de revenir... Si tu veux un arrangement, ça se fait par msn.
L'honneur n'a pas à être gagné, mais il ne doit jamais être perdu.

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Message 20 Mai 2009, 21:16

et puisque deux avis valent mieux qu'un j'emboite le pas a darinas en disant que fleur a accepter la scene du... vous savez quoi avec vous savez qui pour faire ce que vous savez et pour résultat ce qui va arriver....

donc sa cadre par contre je suis d'accord avant de poster veilliez vous consulter sur msn ....
- C'est agréable de rêver...
- Les blessures du corp ne durent qu'une vie ,celle de l'âme sont éternelles.
- La vengeance est un plat qui se mange froid et quand on est dévoré par la haine le temps ne compte plus.
- Quand l'amour tourne à l'obsession celui-ci devient destruction.
- Née pour aimer ou programmer pour haïr ? ( code tanit chapitre 47)



en se monent ma fic : mais qui a tuer Xana
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Message 20 Mai 2009, 21:42

Mais euh ! Je veut revenir dans ma chambre ! Enfin, je veut dire je veut savoir ce qu'à dit edward à moi ! (ça fait bizarre non ?) Et puis quelle va être la conséquence de ce déréglement du temps ? Et comment c'est possible d'ailleurs ??? :hein:
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Massacreur de Rampants

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Message 21 Mai 2009, 12:01

Fleur m'a donné l'explication à ce dérèglement du temps. Ce sera expliqué par la suite.
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Message 21 Mai 2009, 17:43

Préviens moi quand tu aura fini que je puisse poster la suite.
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Massacreur de Rampants

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Message 21 Mai 2009, 19:09

Ahem... Je croit qu'il faut mettre les choses au clair : JE, au cas où tu l'ignorait, on n'emploie pas les vrais noms dans cette fic! D'abord parce que je n'aime pas qu'on m'appelle par mon vrai prénom sur le forum; ensuite parce que si on est tour à tour référé par nos noms réels et nos pseudos, les lecteurs qui ne nous connaissent pas assez personnellement vont perdre le fil. Donc, s'il te plait, évite...

Je ne voyait pas vraiment une opposition Kal/Etoile de cette manière, dans le sens où les forces et faiblesses des deux diffèrent trop pour qu'on puisse résumer ça au nombre et à l'effet de surprise. Mais bon, le résultat reste le même : match nul...

Bon, à part ça, bonne suite...
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Message 21 Mai 2009, 19:19

Ah, on ne peut pas utiliser les vrais noms? Je corrige tout de suite, alors...

Message 21 Mai 2009, 19:48

Pour Marine, une suite inoffensive.

Assise sur le lit, Marine regardait sa tiare scintiller au dessus de la boite à bijoux renversée sur l’édredon. Edward lui tenait la main tout en brisant ses rassurantes illusions de sa voix grave et douce à la fois perdue dans un murmure discret. Elle savait à présent que les murs avaient des oreilles, ou plutôt des miroirs et qu’elle ne serait en sécurité nulle part dans ce monde virtuel.
Edward : «-La Comtesse n’aime qu’elle-même Marine, c’est la première chose que tu dois savoir à son sujet. Il existe deux sorte de dictateurs en ce monde, Toute Belle, ceux qui s’assoient sur les trônes et ceux qui se tiennent derrière, dans l’ombre. Et ce ne sont pas les premiers qu’il faut redouter le plus car c’est une loi immuable dans l’Univers que le règne d’un despote est compté à partir du moment où il le proclame.
Marine : «-Mais pourquoi moi ? Pourquoi moi Edward ?
Edward : «-La Comtesse s’est tenue derrière le trône de son époux, le comte Octet, elle s’est tenue derrière celui de son fils, le comte Pixel et elle se tiendra derrière celui de ses petits enfants si elle en a un jour, ce dont je doute personnellement mais on ne sait jamais, car elle considère tout ceux qui vivent à ses côtés comme ses pantins, ses jouets. Sim-one considère chaque être vivant dans son manoir nés pour la servir jusqu’à la dernière goutte de son san. C’est une sorte de vampire à sa manière, mais ce n’est pas de ton sang ni tes points de vies qu’elle te vide, Marine, c’est de ton âme. Et le pire c’est que quand tu t’en rends compte, il est déjà trop tard.
Marine : « Il n’est jamais trop tard Edward. »
Edward : « Je l’espère, j’espère sincèrement qu’il n’est pas trop tard pour te sauver, ma chérie. Pour Carlisle c’est une autre affaire, et pour moi…»
Marine : « Non ! Nous quitterons le manoir, nous retournerons sur Terre au besoin, je t’en prie ne me laisse pas. »
Edward : « Je n’ai aucune envie de t’abandonner ici, princesse, surtout pas avec la comtesse dans le coin. Quand tu es arrivée à la maison du Lac, tu étais seule, fatiguée et vulnérable. La comtesse te trouvait suffisamment jeune et malléable pour la seconder dans ses plans machiavéliques. Mais tes amis sont arrivés en masse par la suite et elle a compris que les choses ne seraient pas aussi faciles qu’elle l’espérait.»
Marine : « Mais qu’est ce qu’elle attendait de moi au juste ? »
Edward : « En dépit de ta grande jeunesse tu as été dotée de capacité extraordinaires. Cette tiare que tu tiens entre tes mains te confère des pouvoirs mentaux encore jamais vu en ce monde. »
Marine : « Mais elle me l’avait volée….»
Edward : « Et Sim-one fut incapable d’utiliser la Tiare, il semblerait qu’elle ne fonctionne que sur ta jolie petite tête, alors elle a besoin de toi. Tu ne sais pas de quoi la comtesse est capable pour s’assurer ton allégeance envers elle….chut ! Quelqu’un vient par ici ! » Il huma longuement l’air ambiant. Je dirais que c’est Maeva. Je dois m’en aller, Marine, je t’en supplie promet moi d’être prudente. »
Marine : « Je te le promets.»
Edward grimpa sur le rebord de la fenêtre et sauta. Marine essaya de distinguer sa silhouette mince dans l’obscurité sans succès. Elle soupira et refermait sa fenêtre au moment précis où Maeva fit irruption dans la pièce comme une folle : elle était en peignoir et ses cheveux encore humides avaient besoin d’un bon coup de brosse.

Maeva : « -Marine ! Fleur m’a dit que….La phrase resta suspendu à ses lèvres lorsqu’elle remarqua les bijoux. Dévorée par la curiosité et l’envie, Maeva vida soigneusement la boite à bijoux sur l’édredon. A l’intérieur de la boite, une petite phrase était gravée : « O Lente, lente, Currite noctis equi. » La jeune fille contempla l’inscription d’un air perplexe.

Marine : « -C’est du latin, expliqua Marine. Une citation d’Ovide plus précisément, on peut la traduire par « Ô ralentissez, ralentissez, coursiers de la Nuit. » Elle le savait parce qu’Edward le lui avait dit. Lui aussi s’était interrogée sur la provenance de ce coffret, ce qui soit dit en passant l’avait quelque peu déçu. Elle aurait tellement aimé pouvoir se convaincre que ces joyaux étaient un présent du bel Edward !

-Ovide, Ovide…Ca me dit quelque chose, murmura Maeva pour elle-même tout en essayant différents bracelet. Son attention était revenue entièrement au coffret. Il ne lui importait plus vraiment de savoir qui avait bien pu apporter le coffret au beau milieu de la nuit , du moment qu’elle pouvait en exhiber le contenu à sa guise. Pendant qu’elle essayait des bagues, les mots d’Edward résonnaient encore dans la tête de Marine : « -Ovide était le poète érotique romain par excellence. Mais si tu veux mon avis ce n’est pas à lui qu’elle fait référence en l’occurrence. Cette citation est reprise par Marlowe dans « Faust »…. »Mais il était inutile de parler des conjectures d’Edward à Maeva qui n’écoutait déjà plus, elle essayait différents bijoux qu’elle tentait d’assortir aux robes de la penderie. De son côté Marine étendue sur son lit examinait la boite à bijoux sous toutes les coutures en espérant découvrir quelque chose de neuf.

Marine : « -Et ce coffret….j’ai eu l’impression d’être une nouvelle Marguerite quand je l’ai ouvert, il ne manquait plus que la musique : « Ah, je ris de me voir si belle en ce miroir… ».

Maeva : « -Pas mal ! Applaudit-elle. Tu peux rivaliser avec la Castafiore avec un timbre pareil.

Marine : « -La Castafiore ? Tu es sûre que c’est un compliment ça ? »

Maeva : « -Je te charrie et tu le sais. Rétorqua Marine, mais regarde moi, je suis Marilyn Monroe ! Comment c’était déjà ? Ah oui! : « The French are glad to die for love
They delight in fighting duals
But I prefer a man who lives and gives
Expensive jewels….*”
(Diamond's Are A Girl's best friend)


« -Que se passe t il ici ? » Demanda Typy en entrant dans la pièce avec une dizaine de robes de toutes les couleurs sur les bras. Les deux filles sursautèrent comme des gamines prises en fautes. Mais en voyant les pierreries étalées sur le couvre-lit, Typy oublia tout le reste et s’approcha comme hypnotisées par les joyaux. Elle les saisis et les fit glisser entre ses doigts un par un, les yeux perdus dans leur lumière.

Typy : « -C’est magnifique, chuchota-t-elle come si elle avait per de se réveiller en parlant trop fort. D’où ça peut bien venir ? Je suppose que c’est la comtesse qui vous les a prêtés. »

Marine : «-La Comtesse n’a pas ces générosités. » Observa la jeune fille d’un ton froid.

Maeva : «-Mais alors qui ? Edward ? Demanda-t-elle en levant les yeux vers Marine.

Marine : «-Non plus. »

Typy : «-Comment peux-tu en être aussi sûre ?»

Marine : «-Parce que c’est lui qui me l’a dit…. » A cet instant, Marine su qu’elle avait commis une bourde. Mais par chance, Maeva et Typy étaient beaucoup trop accaparées par les diamants pour s’intéresser vraiment à ce qu’elle disait.


Maeva : «-Mais c’est tout à fait pour moi ça ! S’exclama Maeva à tout moment en poussant des petits cris de ravissement. Elle essayait tous les bijoux les uns après les autres, tout en fouinant dans la pile de robes que Typy avait apportées en entrant dans la pièce. C’est alors que cette dernière intervint.

Typy : «-Une seconde, si on descend dans le salon, couvertes de pierreries comme la Reine de Saba, les autres vont forcément nous poser des questions. Qu’est ce qu’on va leur dire ? » Marine sursauta et se figea sur-le-champ. A l’évidence elle n’avait pas encore envisagé les choses sous cet angle.

Maeva : «-Dire quoi ? S’enquit Maeva d’un air absent tout en se mirant dans le grand miroir de la penderie magique. » De son côté Marine, qui avait défigé, haussa les épaules.

Marine : «-Ben on leur dira la vérité pardi ! dit-elle en essayant des boucles d’oreilles en améthyste.»

Typy : «-T’es folle ? demanda Typy, Ils vont nous prendre pour des braqueuses de bijouteries oui ! »

Maeva : «-Reste à prouver qu’il y en ait des bijouteries par ici, fit remarquer Maeva avec bon sens. »

Marine : «-Eh quoi, on peut trouver des espions spécialisé dans le courrier du cœur, des vampires et des pirates mais pas de bijouteries ? rétorqua-elle en haussant un sourcil interrogateur. »

Maeva : «-D’accord, après tout ils t’étaient destinés ces joyaux, alors décide toi- même de ce que tu veux en faire ! » S’impatienta Maeva. Elle regretta immédiatement ce qu’elle venait de dire.

Marine : «-Tu veux vraiment savoir ce que je voudrais en faire ? reprit la jeune fille avec un sourire malicieux, Je voudrais renvoyer toute ces merveilles à leur expéditeur avec un mot du genre « Timeo Danaos et Dona Ferente », ou encore, « Redde Caesari quae sunt Caesaris et me débarasser à la fois du cadeau et du prétendant. » C’est ce qu’Edward lui avait suggéré, et après tout ce qu’il lui avait dit sur les habitants de la baie, elle commençait à penser qu’il avait raison.

Maeva : «-Oh mais pourquoi tu voudrais faire une chose pareille ? »

Marine : «-C’est très simple, je ne sais pas ce que ce type s’imagine mais je ne suis pas à vendre. »

Maeva : «-Tu ne sais même pas qui c’est pour commencer….il pourrait être jeune et beau. »

Typy : «-Maeva, tu es sûre que tu ne lis pas des contes de fées en cachette ?

Maeva : «-Moi non, mais Marine, c’est certain, sinon comment aurait-elle fait pour décrocher ton doctorat d’Elficologie ? Et puis une fille qui peut réciter les tirades de Juliette en se brossant les cheveux doit forcément être une romantique…je sais de quoi je parle !

Marine : «-Sans doute, mais moi je préfère les Roméo qui restent bien sagement dans les bouquins pas les Méphistophélès qui me glissent des boites à bijoux dans ma chambre à coucher sans que je m’en rende compte.»

Typy : «-Ah oui ? Et Edward alors ? Il est jeune, beau….et que je sache il rode en permanence sous ta fenêtre, alors pas de fausse modestie Juliette, Maeva donne moi le miroir….s’il te plait, voilà. Interrogeons le miroir ensemble : Miroir, mon beau miroir dit moi qui est la plus belle de tout le pays….Oh !
Sans crier gare, le miroir s’illumina et leur montra la dernière chose qu’elles s’attendaient à voir en se mirant dans une glace : une autre chambre. Elle était grande, plus grande et plus riche que celle où elles se trouvaient en ce moment même. Un lit rond, surmonté d’un dais de soie ara achéen et multicolore trônait au milieu de la pièce sur un épais tapis brodé de fils d’or. Pendant un instant, les quatre jeunes filles pensèrent que la pièce était vide mais des éclats de voix les détrompèrent rapidement. Sim-one fit soudain irruption dans la pièce, visiblement très agitée.
-C’est la chambre de la Comtesse chuchota Typy, impressionné. Mais comment est-ce possible ?
-Je ne suis pas experte en cristalomancie chuchota Marine à son tour, mais je mettrais ma main au feu qu’il y a un miroir dans cette pièce. Probablement le miroir de la coiffeuse de la Comtesse, regardez. Et du bout de l’index, elle désigna le bouchon d’un flacon de cristal visible dans un coin du face à main.

Mais très vite, elle se tut afin de mieux comprendre les propos que la Comtesse échangeait avec son mystérieux interlocuteur.

-C’est une honte, un scandale ! Vous m’entendez ? Depuis quand est-ce que cet énergumène se promène dans le manoir sans éveiller l’alarme ? Je peux savoir où était Edward ? Bien sûr vous ne le savez pas…Il a passé la nuit à roder autour des chambres des filles cette nuit. Il a même épinglé le garçon aux cheveux noir qui essayait de se glisser à l’intérieur. Mais ce loustic, lui, va où bon lui semble en ce moment. Même dans le pavillon du Lac et personne ne l’arrête ! Faut-il qu’il assassine quelqu’un dans la nuit pour que votre fils commence enfin à faire son travail ?

-Votre fils ! Mais alors c’est…s’exclama Marine à voix haute. Elle ne termina jamais sa phrase. Alertée par ce bruit incongru, la Comtesse fit volte face et se tourna vers sa coiffeuse tandis que Typy ne sachant comment briser le lien entre les deux miroirs opta pour une solution d’urgence en fourrant l’objet indiscret sous son édredon.
Derrière la porte, le vampire qui était revenu en douce écouter aux portes après avoir survécu une fois de plus au Rekin, ricana comme à son habitude : C’est très impoli d’écouter aux portes mesdemoiselles. Quand la comtesse le saura je ne réponds pas de sa….

Edward : «-De quoi au juste s’il te plait ?» Le vampire déglutit péniblement

Le vampire malchanceux : «-Aïe…. »

La comtesse scruta le miroir quelques minutes avant de lui ordonner d’une voix tremblante: Miroir révèle moi qui est l’impudent qui a ce pouvoir sur toi !

Au même instant, le face à main dissimulé sous l’oreiller de Marine se mit à vibrer et à briller.

-C’est quoi ce bruit ? demanda Maeva, un téléphone ?

-Pire, c’est le miroir dit Typy morte d’angoisse. Qu’est ce qu’on va faire ?

Sans attendre de réponse, Marine saisi le miroir et courut à la fenêtre aussitôt suivie par ses compagnes. D’un geste brusque, elle ouvrit la fenêtre et jeta le miroir magique dans le lac où il se désintégra aussitôt. Soulagées, les quatre filles refermèrent la fenêtre en silence et s’affalèrent sur le lit le plus proche.

Maeva : «-J’en ai marre, gémit Maeva. Quand est-ce qu’on rentre chez nous ? »

Typy : « -Il faudrait déjà qu’on sache comment on va s’y prendre… »

Maeva : «-Facile, on retourne sur Lyoko et on trouve une tour ! »

Typy : «-Faudrait déjà sortir d’ici. Et pour parler franchement, je ne suis pas sûre que cela soit possible. Nous sommes en plein cœur des terres de Pixel. Cette baraque est bourrée de vampire et ce n’est même pas sûr que l’on ait suffisamment d’armes pour se défendre en cas de besoin. » Marine fit grise mine lorsque Typy mentionna les vampires mais personne n’y prêta attention.

Marine : «-Si ils nous voulaient du mal, ça fait longtemps que ce serait fait tu ne pense pas ? » Il était hors de question qu’elle laisse qui que ce soit discréditer Edward. Même pas une des ses meilleures amies.
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Destructeur de Gardiens

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Message 21 Mai 2009, 20:50

bon c'est parfait on progresse, l'histoire tiens la route et personne ne se contredit, c'est top bravo a vous deux.....
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Message 21 Mai 2009, 21:00

On dirait qu'on parle de moi... Ben quoi, un loustic qui se promène tranquillement dans le Manoir, vous en connaissez beaucoup?

Sinon, je vois que les événements se précipitent... Va falloir que je modifie un peu la soirée Monopoly!

Message 21 Mai 2009, 21:05

Non ce n'est pas toi.
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Destructeur de Gardiens

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Message 21 Mai 2009, 21:50

si c'est bien de vous deux donc je parle.... bon je vous adresse donc mes compliments... mais part pitié ne vous tirez pas dans les pattes et travailler de concert.... sinon je lache Darinas sur vous qui lui lachera tenebra...
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Message 21 Mai 2009, 22:04

Travailler de concert? Par quel miracle? Ah si je sais, Julien Dupont passera mon mail à J.E afin qu'on puisse se concerter....la boite hotmail hein? L'autre je n'y vais plus très souvent. Jamais en fait.
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Chevaucheur de Mantas

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Message 23 Mai 2009, 20:06

Deux super suite ! Sauf quelles laissent tout un tas de questions ! pffff...
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Message 25 Mai 2009, 18:42

Pendant ce temps Fleur parcourait les souterrains grotesques qui parcouraient le dominion du Comte Pixel. Les tunnels étaient obscurs et escarpés, mais la jeune fille portait dans sa main comme une lampe, son couteau incrusté de pierreries brillant comme une étoile de la mort. Lorsqu’elle passait à proximité d’un repaire de chauves souris, celles-ci se terraient au fond de leur nid effrayées par cette lueur bleue peu commune. Elle erra ainsi au hasard, pendant un temps incalculable, avec la sensation d’échapper au piège du manoir virtuel qui se refermait toujours davantage autour des lyokofans. Pixel et son dîner pouvaient aller se faire pendre, elle ne serait pas de la fête. Elle continuait de s’enfoncer toujours plus profondément dans le dédale virtuel quand elle entendit la voix d’Edward au détour d’un tunnel. A l’évidence le vampire malchanceux était en train de passer un très mauvais quart d’heure en compagnie du Rekin, mais elle n’allait pas le plaindre. Pour l’instant sa seule préoccupation était de ne pas être découverte. Malheureusement pour elle, les vampires ont le nez fin, et bien qu’elle soit actuellement couverte de la boue infâme qui tapissait les parois du souterrain elle n’en restait pas moins une humaine à l’odeur aisément repérable par un monstre sanguinaire du genre vampire. Aussitôt, l’exploratrice fit volte-face et se mit à courir en direction de ce qu’elle pensait être sa chambre, cependant l’orientation n’étant pas son fort, elle aurait tout aussi bien pu être n’importe où ailleurs. Son seul espoir résidait en de minuscules traces qu’elle avait laissées derrière elle afin de pouvoir retrouver son chemin plus aisément dans le labyrinthe. Hélas, ces marques étaient loin d’êtres précises surtout repérée à la va-vite dans un pareil moment de panique. Elle sentait plus qu’elle n’entendait Edward se rapprocher d’elle. Il courrait tellement vite que même en traversant les murs, la jeune fille doutait de pouvoir le semer encore bien longtemps. Lancés dans une folle course-poursuite Edward et Fleur-Elisabeth ne savaient plus du tout où ils se trouvaient, les portes se succédaient tout identiques, pour laisser places à des couloirs tous semblables. Les couloirs étaient interminables et obscurs, en dépit du halo bleuté que diffusait le poignard dans son étui au fon de la poche de jean d’Elisabeth. Même qui pourtant connaissaient les souterrains comme sa poches ne savait plus très bien où il se trouvait. Pour la énième fois Elisabeth repassa devant une rangée de porte, cette fois-ci, elle traversa la première qu’elle put atteindre, le cœur à deux doigts d’exploser, sans se soucier de savoir où elle pourrait bien se retrouver. « Dans la chambre de la Comtesse où dans celle d’un vampire cela m’est égal pensa-t-elle, n’importe quoi plutôt que de finir en pâtée pour Rekin dans ce souterrain nauséabond…. ». Elle traversa la porte boisée et ferma les yeux, des voix confuses se faisaient entendre à travers le panneau de bois : « Oh non, en plus il y a du monde à l’intérieur ! Que n’ai-je choisi une chambre vide ou du moins silencieuse ! ». En se dématérialisant elle trébucha et tomba à la renverse, les yeux toujours fermés, elle ne voulait pas savoir dans quels sales draps elle s’était encore fourrée.

« Fleur ? Fleur ! Mais qu’est ce que tu fais là ? ». La Fleur en question ouvrit un œil, Darinas et Général Xana étaient debout à côté d’elle, toujours étendue par terre. Elle ne se demanda pas qui avait parlé. Elle était vivante et Edward ne l’avait pas trouvée, c’était tout ce qui comptait. Péniblement elle se releva et essaya de reconsidérer les choses avec calme ce qui dans les circonstances actuelles était loin d’être évident. Darinas et Général Xana l’accablaient de questions diverses et variées sur son intrusion auxquelles elle se sentait incapable de répondre. Dans tout les coins de la pièce des vois montaient, confuses, dans un brouhaha général. Sans y prêter davantage attention, la jeune fille observa la pièce ou elle se trouvait. C’était vraiment curieux, les chambre du pavillon du lac étaient absolument identique, mis à part peut-être la literie qui changeaient régulièrement de couleur dans les différentes chambres au fils des jours : deux lits, une armoire démesurée avec penderie et salle de bain, une fenêtre avec vue sur le lac et une horloge encastrée dont les aiguilles tournaient à toute allure. Tiens mais pourquoi, les aiguilles de l’horloge tournaient-elle aussi vite ? Est-ce-que les garçons avaient déjà trouvé le moyen de bousiller l’horlogerie virtuelle ? Un bruit effrayant mit un terme aux réflexions bizarres produites par un cerveau sonné : des coups frappés à la porte. Et si Edward avait fait le tour par la maison pour venir la chercher dans la pièce où elle avait trouvé refuge ? Prise à nouveau de panique les yeux d’Elisabeth balayèrent rapidement la pièce à la recherche d’une cachette possible. Retourner dans le passage secret ? Impossible le vampire malchanceux où un autre occupant de la résidence pouvait l’y attendre. La salle de bain ? Il la fouillerait et puis elle était peut-être occupée si il ne s’agissait que d’une fausse alerte ce serait affreusement embarrassant. Sous un des lits ? Cachette précaire mais acceptable, au pire elle pourrait toujours traverser le plancher et se retrouver à l’étage inférieur. Dieu sait où d’ailleurs mais c’était mieux que rien. Toutes ces réflexions ne prirent qu’une demi-seconde. Avant que Général Xana puisse inviter le mystérieux visiteur à entrer, Fleur-Elisabeth s’était déjà réfugiée sous un des lits à la grande surprise des garçons. En fait le visiteur n’était autre que Jérémie-Elric qui désirait un avis supplémentaire en matière de nœud de cravate. Il portait un smoking bleu marine qui mettait son teint en valeur et tranchait originalement avec les smokings noirs uniformes de Darinas et de Général Xana. Néanmoins il ne savait pas si il devait choisir un nœud papillon argenté ou bleu marine afin de compléter sa tenue ; il avait bien demandé son avis à Xana mais il ne se fiait absolument pas à l’I.A en matière de tenue vestimentaire.

Jérémie Elric : «-J’ai demandé à Xana si le nœud papillon blanc m’allait mieux que le nœud papillon argenté et tu sais ce qu’il m’as dit ? «
Darinas : «-Comment le saurais-je ?»

Jérémie Elric : «-Evidemment, et bien il m’as dit que je ressemblait à un paquet-cadeau avec mon nœud autour du cou. Il est au courant celui-là ! A part ça il en a mit un de ruban, il faut croire que ça ne le dérange pas de ressembler à un cadeau de Noël. »

Général Xana : «-Tu crois qu’ils fêtent Noël dans le monde virtuel ?»

Darinas : «-Et puis quoi encore ! Une cathédrale avec une crèche vivante et la Messe de minuit tant qu’on y est…. »

Général Xana «-Quel rapport entre la Messe et le père Noël ? » demanda Richard d’un air perplexe. Darinas lui jeta un regard à la fois noir et dubitatif.

Darinas : «-Tu te moque de moi ?»

Général Xana : «-Non, je ne vois vraiment pas le rapport. » La tête sale et poussièreuse de Fleur émergea de sous un des lit au moment où la dispute allait exploser entre les deux compères.

Jérémie Elric : «-Mais qui est-ce…Qu’est-ce que tu fais là Sissi ? »

Sissi : «-J’écris mes mémoires. » dit-elle d’un ton léger tout en contemplant le désastre capillaire dont elle était victime dans le miroir intérieur de la porte de la penderie.

Jérémie Elric : «- Sous le lit de Général Xana ?» s’exclama-t-il incrédule.

Darinas : «-Non, en fait il s’agit du mien.» fit remarquer ce dernier (par pur soucis d’exactitude, prenez en bonne note).

Jérémie Elric : « -De mieux en mieux, je suppose que Maeva rédige son journal intime sous celui de Richard alors ?» demanda-t-il d’un ton à la fois narquois et réprobateur.

Sissi : «-Je peux savoir ce que tu insinue par là ?» demanda-elle lentement en se détournant de la glace rouge de colère, à deux doigts d’exploser.

Jérémie Elric : « Moi. Euh….non rien du tout…je voulais juste… » bafouilla le jeune géant d’une voix inintelligible en battant en retraite du côté de la porte.

Darinas : «-Du calme, du calme, tout le monde se calme. Fleur a débarqué ici à l’improviste et…comment tu es arrivée là au juste ? »

Sissi : «-Par la porte à gauche de la penderie. » grogna-t-elle de mauvaise grâce.

Général Xana : «-Certes mais tu venais d’où ? »

Sissi ; «-Du passage secret»

Jérémie Elric : «-Quel passage secret ? Il vient d’où ton passage secret ? Il va où ton passage secret ? »

Sissi : «-Alors ça je n’en ai aucune idée. » Répondit-elle d’un ton détaché tout en se retournant à nouveau vers la glace afin de dépoussiérer ses vêtements.

Darinas : «- Tu te moques de nous on dirait…attends un peu petite peste. » Ce disant, il l’attrapa par les épaules et se mit à la secouer comme un prunier pendant quelle éclatait de rire. Sans prévenir, elle se dématérialisa et passa à travers lui avec la même facilité qu’elle passait à travers les murs du manoir. Elle passa la tête à travers la porte du passage secret afin de vérifier que la voie était bien dégagée puis se retourna à nouveau vers les garçons.

Sissi : « Il y a des couloirs qui passent entre les murs de cette maison et sillonnent ce territoire dans tout les sens probablement sur des kilomètres. Je mettrais ma main au feu que c’est de cette manière que Pixel rallie la maison de lac depuis le manoir virtuel sans se faire remarquer. Edward et le vampire malchanceux rodent en permanence là-dedans. C’est sale et dangereux mais je suis sûre que je peux apprendre des tas de choses intéressantes en très peu de temps si j’y retourne. «

Darinas : «-Je n’en doute pas mais…qu’est ce que tu fais de Pixel et de son dîner ? «

Sissi : «-J’ai décidé…que je n’irai pas. Je ne suis pas là pour faire des mondanités. Je ne sais même pas ce que je fais là en fait. La seule chose dont je suis absolument sûre c’est que si je veux sortir de cette prison dorée un jour, je dois retourner là-dedans. » Dit-elle en désignant la porte du passage secret à l’aide de son pouce.

Général Xana : «-Sans dîner ? On pourrait pas y aller demain matin plutôt ?»

Jérémie Elric : « Demain matin, il sera probablement trop tard. » fit il remarquer la créature marine d’un ton sinistre à faire froid dans le dos. Sur ces paroles lourdes de menaces, un éclair blanc déchira le ciel accompagné d’un coup de tonnerre monumental, Général Xana sursauta comme si il l’avait reçu sur la tête.

Général Xana : «-Pourquoi tu dis ça ? «

Jérémie Elric : «-Moi, euh…pour rien. En tout cas ça faisait un effet super avec le coup de tonnerre derrière, vous ne trouvez pas ? »

Darinas : «-Trêves de plaisanteries, Elisabeth, il est hors de question que tu retourne dans ces passages secrets toute seule c’est beaucoup trop dangereux. »

Sissi : « Et tu compte m’en empêcher, avec tes petits bras ? Là-dessus, elle retraversa une dernière fois la porte verrouillée, mais avant de partir elle tendit une main à Darinas. Mais rien ne t’empêche de venir avec moi si ça t’amuse. » Darinas hésita quelques instant. Il n’était pas vraiment habillé pour partir en exploration dans des souterrains recouvert d’une bonne couche de crasse médiévale ; ses chaussures vernies risquaient fort de ne pas tenir la distance. Cela dit, Fleur ne semblait pas encline à patienter, aussi se risqua-t-il dans l’aventure un peu à contrecœur, la main serrée sur ses dagues qu’il avait eu le bon sens de ne pas laisser derrière lui. Plantés au milieu de la chambre, muets de stupéfaction, Jérémie Elric et Général Xana ne revenaient pas de ce départ en coup de vent, sur un coup de tête. Cela leur ressemblait si peu à tout les deux ! Fleur et Darinas d’ordinaire si prudent, si organisés. Ils n’étaient pas du genre à partir à l’aventure de cette manière….

Et pourtant c’est bien ce qu’ils étaient en train de faire. Et très vite, grâces aux connaissances sommaires que possédaient Fleur du terrain, ils s’enfoncèrent dans les profondeurs du labyrinthe, toujours plus profondément. Au bout d’un certain temps, les deux compagnons de route perçurent une sensation bizarre, l’avertissement supra-sensoriel qu’un danger se rapprochait. Au bout du tunnel où ils marchaient, les pieds enfoncés dans une mare de boue visqueuse et odorante, un clapotis se faisant entendre. Le doux murmure de l’eau qui s’écoule dans un réservoir. Un lac souterrain, ici ? se demanda Darinas un peu étonnée. Après tout c’était bien possible, il y avait tellement de choses bizarre dans ce manoir…Pressant le pas, ils se rapprochèrent au pas de course du murmure persistant qui au fur et à mesure s’enflait pour devenir le grondement véritable d’une cascade d’eau souterraine toute proche. Comme enveloppée du halo bleu du poignard, Fleur avança vers l’entrée de la grotte à demi inondée où sa lumière azure se reflétait sur les parois humides et mordorée qui montaient en arcades au dessus du lac souterrain, tandis que Darinas, ses eux dagues levées au dessus de sa tête scrutait l’obscurité l’oreille aux aguets à la recherche d’une menace éventuelle. Fleur était entrée dans la vaste caverne où se déversait la cascade. En voyant le miroitement de l’eau vive et limpide, elle n’eut qu’une envie, plonge dans cette source musicale afin de se débarrasser de toute cette poussière qui la recouvrait comme un manteau d’ordure. Hélas c’était bien entendu, impossible. Elle connaissait très bien les effets de la mer numérique sur les êtres virtuels. Et pourtant, la jeune fille restait persuadée que cette eau ne lui ferait aucun mal, et pour mieux se convaincre du contraire elle jeta son bracelet, un bracelet d’ambre provenant du coffret mystérieux, dans l’eau de la fontaine. Le bracelet ne disparut pas bien au contraire, les pierres d’ambres flottèrent à la surface, selon les propriétés physique qui leur sont propres. Intriguée, Fleur s’avança jusqu’au bord de la source et tendit la main pour attraper le bijou, du bout des doigts. Elle le ramena jusqu’à elle et le sera longuement dans sa main mouillée, avant plonger la main dans l’onde claire et de boire, boire et boire encore cette eau si étrange. Ce qu’elle ne savait pas, alors qu’elle se désaltérait à l’aide de cette eau providentielle, c’est que la source était Danoise et que comme chacun sait : il y a quelque chose de pourri au Royaume du Danemark. Après avoir bu, Fleur retira ses vêtements, sans exception et plongea dans l’onde claire. C’est ce moment là que Darinas choisi pour faire irruption dans la grotte, passablement irrité, ses dagues toujours étroitement serrées dans chacune de ses mains.

Darinas : «-Fleur, ça fait des heures que je t’appelle, tu es devenue sourde maintenant ?» Il ne tiqua pas en la voyant plongée jusqu’au cou dans la source étrange. Il lui fallu plusieurs minute pour réaliser que l’eau ne l’avait pas dématérialisée et bien plus encore pour réalisée qu’elle y était nue, et d’une mais surtout qu’elle n’était pas dans son état normal (et de deux).

Fleur : «-Je n’ai pas de montre, mais je suis certaine que ça ne fais pas des heures que tu m’appelles.»

Darinas : «Bien sûr que non, c’est une façon de parler et tu le sais très bien d’ailleurs, ajouta-t-il d’un ton sévère. Qu’est-ce que tu fais au juste ? Demanda-t-il un peu troublé par la situation. »

Fleur : «-Je prends un bain, ça ne se voit pas ? Ces souterrains sont tellement sales….je comprends que Pixel ne les emprunte qu’en cas d’extrême urgence. » Une conversation de salon, dans un endroit…dans une tenue pareille. Darinas n’en revenait pas.

Darinas : «-Tu aurais mieux fait de rester dans ta chambre et d’y prendre ton bain. Dans une vrai baignoire, avec du vrai savon et de l’eau chaude. Je sais que tu détestes l’eau froide. » Voilà un discours prompt à rétablir l’ordre, mais il en fallait plus que ça pour raisonner Fleur.

Fleur : «-Tu me connais trop bien Darinas, mais cette eau-ci n’est pas froide. Elle est fraîche quand on la boit et chaude quand on y plonge. Elle a le goût des fruits de la passion et le parfum de la menthe, viens m’y rejoindre. S’il te plaît. » Le ton était suppliant et tellement tendre que Darinas dû faire appel à toute sa volonté pour ne pas céder à la voix envoutante de la sirène.

Darinas : «-Je n’irai nulle part, c’est toi qui va sortir de la source, et tout de suite ! »
Fleur : «-Monseigneur d’Arinas, vous me commandez ? Je trouve ça très courageux de votre part… » répliqua la jeune fille en se retenant pour ne pas éclater de rire une fois de plus.

Darinas : «-Fleur je t’en conjure sors de là immédiatement, si Edward se pointe on sera fait comme des rats, je suis sérieux. C’est dan-ge-reux. Souviens toi comme il t’a coursée dans le labyrinthe, tu ne voudrais tout de même pas que ça recommence, si ? » Pour un peu il l’aurait giflée, mais qu’est ce qui lui prenait tout à coup ? A sa grande surprise, elle céda, un peu trop vite d’ailleurs mais il était trop soulagé pour y prêter vraiment attention.

Fleur : «-Très bien, comme tu voudras, aide moi à sortir de là » dit elle en lui tendant sa main. Darinas la saisi par le poignet et la hissa, son buste émergea révélant les parties les plus intimes de son anatomie, ce qui eût pour effet de troubler davantage le pauvre Darinas qui n’avait déjà pas besoin de cela pour se sentir mal à l’aise. Profitant de sa distraction Fleur attrapa la main que Darinas lui tendait avec sa deuxième main et le tira vers elle de toute ses forces ; son stratagème réussi, Darinas se retrouva à l’eau avec elle en moins de temps qu’il ne faut pour l’écrire. Or après qu’il eût bu à son tour une bonne rasade d’eau de source Danoise, il n’avait plus besoin de l’aide de sa compagne pour devenir entreprenant.

Mais laissons-les seuls, bandes de voyeurs et retournons dans la chambre de Général Xana où se dernier tient un véritable conseil de guerre à ses compagnons d’infortunes, j’ai nommé Julyan, Xana, Jérémie Elric et Julien Dupont. Les filles avaient été exclues d’office de la réunion (en fait elles n’avaient même pas été invitées) ce qui au vu de la personnalité du général ne devrait surprendre personne. C’est ainsi que commença une petite réunion sur les dangers que les Lyokofans encouraient à rester dans le manoir.
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Chevaucheur de Mantas

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Message 25 Mai 2009, 20:26

*en train de pouffer comme une gamine* ah bravo fleur, tu nous en a fait une belle ! *re-pouffe*, bon je crois que je ferais mieux de me taire, avant de me mettre à raconter n'importe quoi !
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Message 25 Mai 2009, 21:20

en train de pouffer comme une gamine* ah bravo fleur, tu nous en a fait une belle ! *re-pouffe*, bon je crois que je ferais mieux de me taire, avant de me mettre à raconter n'importe quoi !


Maggy qui raconterai nimporte quoi !!!!... c'est pas serieux c'est comme jD qui raconterai des blagues ... sa tiens pas la route cette histoire.

Alors la fleur je te dis bravo, c'est magnifique j'aurais pas fais mieux moi meme,le coup de de la sources danoise fallait y penser et la mise en situation est vraiment cocasse.
Onr laisse deviner a tous les voyeur ce qui va se passer par la suite bien qu'on devine :oops: :oops: :oops:

je conclurais par cette chanson

C'est un fameux trois mats fin comme un oiseau
Hisse et oh Santiano
Dix huit noeuds quatre cent tonneaux
Je suis fier d'y être matelot

Tiens bon la barre et tiens bon le vent
Hisse et oh Santiano
Si dieu veut toujours droit devant
Nous irons jusqu'à San Francisco
- C'est agréable de rêver...
- Les blessures du corp ne durent qu'une vie ,celle de l'âme sont éternelles.
- La vengeance est un plat qui se mange froid et quand on est dévoré par la haine le temps ne compte plus.
- Quand l'amour tourne à l'obsession celui-ci devient destruction.
- Née pour aimer ou programmer pour haïr ? ( code tanit chapitre 47)



en se monent ma fic : mais qui a tuer Xana
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Message 25 Mai 2009, 21:45

Mettre un smoking malgré mes ailes? On va donc dire que je peux les escamoter...

Sinon, suite vraiment excellente. Par contre, j'espère que la création d'Ambre ne sera pas instantanée, sinon la soirée sera encore plus perturbée...

Au fait, julien, pourrais-tu me passer l'adresse mail de Fleur comme convenu, afin que nous puissions "travailler de concert"?

Message 26 Mai 2009, 16:09

Les mains croisées sur ce qui tenait lieu de « table de débriefing », en l’occurrence la petite table de jeu d’échec du salon bleu du troisième étage, Général Xana se lança dans un récapitulatif des évènements récents.

Général Xana : «-Donc, reprenons. Maggie est emmenée par Edward au manoir de Pixel…. » Commença Richard d’une voix grave avant d’être interrompu de manière intempestive par l’impertinent Julyan, en smoking noir lui aussi.

Julyan : «-D’après ce qu’elle m’a dit, elle n’était pas au courant du fait qu’il s’agissait de la demeure de Pixel, Edward ayant eu le bon sens… » Lui non plus ne parvint pas à finir sa phrase, car Julien Dupont, en smoking blanc bondit de dessus de sa chaise (ramenée de la salle de billard, à l’étage en dessous) comme si elle avait été garnie d’épingles.

Julien Dupont : «-L’hypocrisie plutôt ! Je n’ai aucune confiance en ce bellâtre, Moi. » Railla-t-il d’un ton qui en disait long sur la piètre estime en laquelle il tenait Edward Cullen.

Julyan : «-Soit, admettons. reprit Julyan d’un ton apaisant, Edward ayant eu la mauvaise foi de ne pas lui en parler. » A sa décharge, il faut dire que Julyan avait complètement oublié Richard à stade du débriefing, ce qui n’échappa pas au susdit Richard.

Général Xana : « Vous permettez ? C’est moi qui fait le débriefing je vous signale. Je disais….Qu’est ce que je disais déjà ? Ah oui. Donc, Maggie, induite en erreur, est amenée au pavillon des invités du Comte Pixel, où elle est reçue par la mère du Comte : j’ai nommé la comtesse Sim-one. » Il marqua une légère pause afin de donner plus de poids à sa déclaration. Grand mal lui en prit, car J.E en profita aussitôt pour exposer son propre point de vue sur l’affaire.

Jérémie Elric : «-Je prends bonne note du fait qu’Edward n’a pas vraiment menti au sujet de l’identité du propriétaire des lieux. D’après ce que j’ai entendu des récentes conversations entre le Comte Pixel et sa mère, le pavillon du Lac est bien la propriété de la Comtesse Sim-one. » Julyan, ravie d’avoir un interlocuteur aussi pointilleux et aussi critique, se hata de rebondir.

Julyan : « -Effectivement, s’il y a eu un mensonge de sa part, ce serait plutôt un mensonge par omission qu’autre chose. Et puis emmener Maggie ici était sans doute un moindre mal, Pixel, dans l’absolu, reste une menace beaucoup plus importante que la comtesse…. » Mais entendre une personne de plus chanter les louanges de ce beau gosse d’Edward, c’en était trop pour Julien Dupont, qui reprit avec hargne.

Julien Dupont : «-….Qui n’est pas vraiment une sainte non plus, Edward ne nous a pas attiré dans ce traquenard par bonté d’âme ! » L’acidité du blondin n’échappa pas à Julyan, ni à qui que ce soit d’autre d’ailleurs qui cru bon et à propos de s’enquérir de l’origine de cette animosité.

Julyan : «-Mais qu’est ce que tu as contre Edward au juste ? » A dire vrai, il connaissait déjà la réponse, ce qui ne faisait qu’énerver davantage Richard, qui ne savait plus vraiment à quel saint se vouer pour garder son calme. Il avait déjà cité tout ceux de son village natal et promettait des Ex-voto à tout ceux des villages voisins.

Julien Dupont : « -Moi….euh mais rien, je m’efforce de rester le plus objectif possible, voilà tout. »

Julyan : « Alors ça s’est bizarre, rétorqua Julyan avec une ironie palpable, j’aurais juré que tu faisais tout ce cirque par pure jalousie. » Julien Dupont devint cramoisi.

Julien Dupont : «-Jaloux ? Moi ? Et de qui pour commencer ?»

Xana : «-D’Edward. » Oh, ça alors, même l’I.A s’en était aperçu!

Jérémie Elric : « -Toi aussi, tu l’avais remarqué ? »

Xana : «-Difficile de passer à coté, ça fait une demi-heure qu’il nous saoule avec Edward. A croire que même le réchauffement climatique est de la faute de ce pauvre vampire.»

Jérémie Elric: «- Pauvre vampire n’exagérons rien, mais je suis d’accord avec toi, Julien Dupont et ses crises de jalousies commencent à devenir pénibles »


Julien Dupont : « -Moi jaloux de ce bellâtre à la face de craie ! »

Général Xana : « -Dites ça vous intéresse beaucoup ce que je vous raconte parce que sinon moi je m’en vais ! »

Xana : « -Oh dit ! Tu vas pas t’y mettre toi aussi ! Un enquiquineur sur les bras c’est suffisant, pas besoin d’en mettre deux. »

Julyan : «-Aïe, ça c’était peut-être pas la meilleure chose à dire…. »

Général Xana : «-C’est pas juste, je vais bouder. »

Jérémie Elric : « -Mais non, mais non ! le rassura J.E d’un ton apaisant. On parlera des problèmes sentimentaux de Julien Dupont après ton débriefing.» dit il en balayant l’assistance de son regard noir.

Julien Dupont : « -Je n’ai aucun problème sentimental ! Certifia Julien d’un ton très digne. Vous délirez ma parole ! Bientôt vous allez me dire que je suis amoureux de Maggie »

Xana : «-Ben justement…. »

Julien Dupont : «-Je ne t’ai pas sonné, cria Julien écumant de rage, le jour où je demanderais à une A.I de me psychanalyser Richard sera nommé commandant en chef de l’armée Stanislasienne. »

Général Xana : «-Dans ce cas je te conseil de prendre rendez-vous tout de suite…. »

Julien Dupont : «-Toi je…. »

Jerémie Elric : «-La Ferme ! cria l’Etoile, et sa voix fit résonner les murs.

Général Xana : « ….Célébrité» E ncroisant le regard assassin de J.E, GX regretta immédiatement sa plaisanterie mal à propos et se ratatina derrière sa table de débriefing d’occasion. C’est alors que Julyan remarqua quelque chose d’important.

Julyan : «-Mais où est passé Darinas ? »

Xana : «-J’en sais rien mais c’est une excellente question...Est-ce que quelqu’un sait où est passé Darinas ? » demanda l’I.A en scrutant les visages de ses compagnons de briefing de l’air d’un agent du KGB qui va « interroger » un agent de la CIA. Contre toute attente loin de se laisser impressionner par le regard aussi pénétrant qu’assassin de Xana, Richard se mit à rire derrière sa table d’échec.

Général Xana : «-Parti faire une balade en amoureux avec Fleur dans les égouts. » Dit-il à la limite du fou rire. Julien Dupont souris de l’air émerveillé d’un enfant à qui on annonce que Noël a été avancé.

Julien Dupont : «-Sans blagues ! T’es sérieux ? » J.E, qui savait ce qu’il en était réellement cru bon de remettre les pendules à l’heure.

Jérémie Elric : « -Non, bien sûr que non il ne l’est pas. Fleur et Darinas…c’est ridicule comme idée. » Julyan croisa les mains derrière sa nuque et scruta le plafond d’un air rêveur.

Julyan : «-Je dirais surtout que c’est bizarre, Sissi et Ulrich…. »

Xana : «-Tout ça ne nous dit pas où il est passé. » Intervint Xana qui commençait vraiment à être las des gamineries de ces humains irresponsables. J.E fut le premier à reprendre son sérieux.

Jérémie Elric : «-Fleur était en train d’explorer une sorte de passage secret en réseau autour du manoir du Comte Pixel et de la maison du Lac et Darinas l’a accompagné mais ça n’avait rien d’une balade idyllique au clair de lune, je t’assure. » précisa-t-il en regardant Julien Dupont. Ce dernier resta très dubitatif.

Julien Dupont : « -Pauvre naïf. Ces deux là cachent bien leur jeu mais je me méfie. Fleur et Darinas seuls dans le noir, sans témoins… »

Jérémie Elric : « -A ce que j’ai compris ils n’étaient pas si seuls que ça, Edward et le vampire traînent souvent dans le coin à ce qu’il paraît. Edward a même faillit coincer Fleur dans les couloirs. Julien Dupont secoua la tête d’un air peu convaincu. Si, si ! Insista J.E. C’est même pour ça que Darinas l’a accompagnée.

Julyan : «-Et c’est maintenant que tu nous le dit ! S’exclama Julyan d’un air subitement paniqué. Et si Edward les trucide dans un coin ! C’est un vampire, quoi ! Julien Dupont se fendit d’un sourire jusqu’aux oreilles

Julien Dupont : « -Ah oui ? Je croyais que c’était le gentil dans l’histoire. Depuis quand c’est devenu un dangereux sadique ? »

Julyan : «-Il ne ferait pas de mal à Maggie vu qu’il en pince pour elle, mais je ne pense pas qu’il ait la moindre sympathie pour nos deux tête de mules. » Xana, face à cette menace imminente qui pesait sur deux de ses lieutenants jugea le moment venu de prendre des décisions énergiques.

Xana : « -Bon il ne nous reste plus qu’à désigner des volontaires pour une mission de sauvetage express ! Deux volontaires pour une mission spéciale un pas en avant ! » Aucune réaction, les lyokofans se contentèrent de le regarder d’un air abruti, les bras ballants. Xana monta le son et prit sa voix la plus sévère, celle avec laquelle il faisait la tounée d’inspections de ses escadrons de Frolions.

Xana : « -Bon très bien, Julyan et Jérémie Elric vous êtes désignés volontaires. » dit-il d’un ton sec. Julyan et J.E s’entre-regardèrent d’un air encore plus stupide. Xana s’efforça de conserver son calme aussi longtemps que possible.

Julyan : « -Je ne me souviens pas t’avoir nommé chef des Lyokofans. » Quelle humiliation ! C’était la première fois que quelqu’un contestait l’autorité de Xana, mais la vieille I.A en avait vu d’autre. Après tout, même la NSA n’avait pas réussi à avoir sa peau.

Général Xana : « -C’est vrai ça, après tout c’est moi qui étais censé faire ce débriefing…. » Renchérit G.X en volant au secours de Julyan. Cette piètre tentative de reprise de contrôle n’eût aucun effet sur Xana qui se contenta de sourire de plus belle.

Xana : «-Mon petit Julyan ouvre bien grand tes oreilles car ce que je vais te dire vaut de l’or : Le pouvoir ne se lègue pas, il se prend. Et maintenant, tu as dix minutes pour déguerpir avec ton co-équipier et une heure pour ramener Fleur et Darinas en bon état avant le dîner de ce soir. Hors de ma vue ! Jérémie Elric, aboya-t-il en s’adressant au nouveau co-équipier de l’infortuné Julyan, tu prends le commandement de cette expédition. »

Julyan : «-Ce n’est pas juste ! Gémit Julyan. C’est moi le plus âgé ! » Il se tourna désespérément vers Richard et Julien à la recherche d’un secours qui ne vînt jamais. Il fallait obéir.

Xana : « -Je m’en fiche, tu m’as contredit et osé contesté mon autorité. Qu’est ce que vous attendez encore ? » Cria-t-il à l’adresse de Julyan et de J.E qui se tenait en face de la porte close à gauche de la penderie.

Jérémie Elric : « -C’est que je ne suis pas un passe-muraille, moi ! Protesta J.E en se tournant vers l’I.A. Je ne peux pas passer à travers les portes comme Sissi ! »

Général Xana : «-Fait un trou d’dans.»

Julien Dupont : « -Bravo ! Pour la discrétion, on repasse. »

Xana : «-Attendez, je vais arranger cela. Xana attrapa son Zanbato et découpa la porte. Soldats ! Aboya-t-il à l’adresse des deux compères. Je veux un rapport dans les plus brefs délais est ce que c’est bien clair ? »

Julyan& J.E : « -A vos ordres mon général. » Grommelèrent les deux garçons sans grand enthousiasme. Une fois ces deux-là partis, G.X s’effondra sur sa table à carreaux en sanglotant.

Général Xana : «-Sniff, c’était moi leur général avant….sniff, sniff avant que cet enflure vienne tout gâcher ! Bou hou hou, je suis malheureux !»

Julien Dupont : «-Je compatis, mon vieux moi aussi j’avais une place dans le cœur d’Aelita avant que ce Bellâtre vienne tout fiche en l’air avec son corps d’athlète et son joli minois. »

Général Xana : « -Mon pauvre Julien, nous somme la risée de l’humanité. Je suis un général sans armée ni solde et toi un Don Juan sans petite amie. »

Julien Dupont : «-Eh ! Tu oublie Maeva. Je ne suis pas encore tombé aussi bas que toi j’te signale. »

Général Xana : « -Tu crois ? J’suis bon pour aller noyer mon chagrin dans le whiskey tout seul alors. »

Xana : « -Vu la pelle que j’ai vu Maeva rouler à Dorian Gray tout à l’heure, je n’en suis pas aussi sûr…Intervint Xana, absolument indifférent à leurs histoires d’amour-propre blessé.

Julien Dupont : «-Tu crois qu’il y a une bouteille de vodka dans le bar ? »
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Destructeur de Gardiens

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Message 26 Mai 2009, 17:00

magnifique on a deux alcoolique pour le prix d'un,j'imagine bien ce qui va suivre,ce qui est dommage c'est que cette scene je la voyais pas dans cette fanfics tant pis on la reutilisera plus tard :D
- C'est agréable de rêver...
- Les blessures du corp ne durent qu'une vie ,celle de l'âme sont éternelles.
- La vengeance est un plat qui se mange froid et quand on est dévoré par la haine le temps ne compte plus.
- Quand l'amour tourne à l'obsession celui-ci devient destruction.
- Née pour aimer ou programmer pour haïr ? ( code tanit chapitre 47)



en se monent ma fic : mais qui a tuer Xana
prochainement ma fic : ???
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Massacreur de Rampants

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Message 26 Mai 2009, 17:56

Sans commentaire : Xana qui commande tout le monde....

Julien Dupont se fait de belles illusions s'il croit avoir eu un jour une place dans le coeur de Maggaelita ou d'Aelita...

Sinon, j'ai plutôt peur à l'idée de ce que Jérémie Elric et Julyan risquent de trouver...
L'honneur n'a pas à être gagné, mais il ne doit jamais être perdu.

Le vrai pouvoir n'est pas de détruire, mais de créer.

Chrétien et fier de l'être.

Si vous êtes intéressés pour m'aider à publier un livre, suivez le lien ci-joint: https://fr.ulule.com/kals-tome1/
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