New histoire collective : Le temps d'après.
Posté: 26 Jan 2008, 17:24
La nuit était déjà tombée depuis longtemps. Sur le pont d'une vieille usine désafectée marchait lentement, la tête baissée, comme perdu dans ses pensées, un garçon brun en blouson gris, d'une quinzaine d'années.
Il imaginait la tête de ses parents s'ils savaient où il était, et à une pareille heure ! Ils tenaient tellement à leur fils chéri.
Bastien ne ressemblait pas du tout à ses parents. Son père, doux, blond, à lunette, et tellement attentionné avec sa femme, enceinte de huit mois de sa future petite soeur. Aussi loin que Bastien se souvienne, elle avait toujours eu une coloration chatain clair recouvrant ses longs cheveux. Il ignorait sa couleur naturelle, n'en avait pas de souvenir...
Depuis des années et des années, il sentait que ses parents lui cachaient quelque chose, et encore plus depuis que sa mère était enceinte. Il surprenait des conversations téléphoniques avec des "amis d'enfance" où de " vieilles connaissances" qu'il ne connaissait pas, et toujours écourtées quand ses parents le remarquait dans la pièce. Reguliérement, Bastien entendait, derrière la porte de la chambre de ses parents, des histoires d'ordianteurs, avec un flot de termes scientifiques qui lui passent au dessus de la tête. Une "usine" aussi. Ca, il sait ce que c'est. Il n'y en a qu'une, et comme par hasard dans leur nouveau coin de paradis.
Pourquoi ne pas y jeter un coup d'oeil ? Il a bien le droit de se promener dans son nouveau quartier après tout.
Deux mois maintenant qu'ils avaient déménagé, prétextant que leur appartement du sixième arrondissement était trop petit pour quatre personnes. Mais pourquoi vivre ici, dans ce trou perdu, sans aucune raison ?!
Il détestait son son nouveau collège; avec son nom ridicule, et surtout à cause de son prof principal, un homme dodu et racontard, enseignant l'éducation physique et sportive entre deux souvenirs incroyables sur son passé de dresseur de lama ou de danseur étoile. Dés le premier jour, il était venu le voir pour lui dire qu'il se souvenait très bien de ses parents, sourtout de sa mère, qui ne passait pas inaperçus avec ses cheveux roses fluos.
Des cheveux roses... n'importe quoi ! encore un fou échappé de Sainte Anne. Et pourquoi pas son père chanteur néo-punk pendant qu'il y était ? Il savait très bien que ses parens n'avaient jamais mis les pieds dans ce bled.
Il s'arrêta devant l'usine, et jetta un coup d'oeil à l'étage inférieur. Il y avait une corde... par terre.
- C'est malin, grogna-t'il.
Bastien partit à la recherche d'un escalier, pour explorer cette mystérieuse usine...
Voili, vous savez ce qui vous reste à faire : quelqu'un écrit, puis quelqu'un écrit la suite ...
( Mais dites moi quand même ce que vous pensez de ce que j'ai écris ( que ce soient des fleurs où des tomates en plaine tronche, je me veux savoir ^^))
Il imaginait la tête de ses parents s'ils savaient où il était, et à une pareille heure ! Ils tenaient tellement à leur fils chéri.
Bastien ne ressemblait pas du tout à ses parents. Son père, doux, blond, à lunette, et tellement attentionné avec sa femme, enceinte de huit mois de sa future petite soeur. Aussi loin que Bastien se souvienne, elle avait toujours eu une coloration chatain clair recouvrant ses longs cheveux. Il ignorait sa couleur naturelle, n'en avait pas de souvenir...
Depuis des années et des années, il sentait que ses parents lui cachaient quelque chose, et encore plus depuis que sa mère était enceinte. Il surprenait des conversations téléphoniques avec des "amis d'enfance" où de " vieilles connaissances" qu'il ne connaissait pas, et toujours écourtées quand ses parents le remarquait dans la pièce. Reguliérement, Bastien entendait, derrière la porte de la chambre de ses parents, des histoires d'ordianteurs, avec un flot de termes scientifiques qui lui passent au dessus de la tête. Une "usine" aussi. Ca, il sait ce que c'est. Il n'y en a qu'une, et comme par hasard dans leur nouveau coin de paradis.
Pourquoi ne pas y jeter un coup d'oeil ? Il a bien le droit de se promener dans son nouveau quartier après tout.
Deux mois maintenant qu'ils avaient déménagé, prétextant que leur appartement du sixième arrondissement était trop petit pour quatre personnes. Mais pourquoi vivre ici, dans ce trou perdu, sans aucune raison ?!
Il détestait son son nouveau collège; avec son nom ridicule, et surtout à cause de son prof principal, un homme dodu et racontard, enseignant l'éducation physique et sportive entre deux souvenirs incroyables sur son passé de dresseur de lama ou de danseur étoile. Dés le premier jour, il était venu le voir pour lui dire qu'il se souvenait très bien de ses parents, sourtout de sa mère, qui ne passait pas inaperçus avec ses cheveux roses fluos.
Des cheveux roses... n'importe quoi ! encore un fou échappé de Sainte Anne. Et pourquoi pas son père chanteur néo-punk pendant qu'il y était ? Il savait très bien que ses parens n'avaient jamais mis les pieds dans ce bled.
Il s'arrêta devant l'usine, et jetta un coup d'oeil à l'étage inférieur. Il y avait une corde... par terre.
- C'est malin, grogna-t'il.
Bastien partit à la recherche d'un escalier, pour explorer cette mystérieuse usine...
Voili, vous savez ce qui vous reste à faire : quelqu'un écrit, puis quelqu'un écrit la suite ...
( Mais dites moi quand même ce que vous pensez de ce que j'ai écris ( que ce soient des fleurs où des tomates en plaine tronche, je me veux savoir ^^))