Tueur de Blocks
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12 Avr 2007, 23:51
colombo a kadic
bon cette fanfic, j'y pencais pendant que je regardait les 2 minute du peuple.
Colombo à Kadic
C’était une belle journée au collège Kadic. Sissi était dans sa chambre en train de se maquiller en écoutant de la musique. Quand soudain quelqu’un frappa à la porte ;
_Entrer, dit Sissi sans tourner la tête de son miroir. C’est Ulrich qui entra avec la haine sur son visage, il cachait quelque chose derrière.
_A Ulrich, dit elle en se retournant, enfin tu veux me déclarer tes sentiments pour moi.
_En quelque sorte, dit Ulrich en fermant la porte et en se rapprochant de Sissi.
_Je le savait que tu m’aimais plus que cette japonaise anorexique, dit-elle avec un sourire.
_Non tu n’y ais pas du tout, dit-il en se rapprochant d’elle de plus en plus.
_Mais tu avais dit que…
_Oui et mes sentiments c’est que je ne peux plus te supporter et que j’en ai marre de tout les coup bas que tu me fais, répondit-il en montrant ceux qu’il avait derrière son dos.
_Mais, qu’est que tu fais avec se pistolet, se couteau, cette bouteille de poison, cette corde, cette baignoire remplit d’eau et ce sommet d’une falaise.
_Eh bien ce petit poème va répondre a ta question :
De trop tu es dans ma vie
Te tué je dois
Pour que ce soit fini
_Alors, Sissi qu’est que tu as à répondre a ça ?
_Eh bien pour rester dans le même thème :
Dans ta vie, je resterai
Pour toi, dommage, c’est
_d’accord je vois :
Garce, ma petite
Voulus, tu l’aura
_mais :
Quoi, tu fais
Avec, de mort, ces instrument
Après un échange de poème frappant.
_Et voila, il n’y a plus qu’à prendre son cadavre et l’amener dans ma chambre. Après qu’il soit arrivé dans sa chambre.
_bien maintenant je vais jeter cette vielle grande lampe de Odd dans mon armoire, je mets le corps debout et bien droit, je mets l’abat-jour de la lampe sur sa tête, je mets l’ampoule dans la bouche. Et voila elle ressemble vraiment a une lampe. C’est parfait maintenant la police pourra jamais la retrouvé…
Mais quelques jours après une voiture arriva au collège et un homme en imperméable beige les cheveux décoiffés et un cigare à moitié entamé, en sortit et alla vers le bureau du proviseur.
_Bonjour monsieur, dit-il en entrant dans le bureau.
_Bonjour, vous êtes de la police?
_Oui, monsieur, lieutenant colombo de la brigade criminel, je sais que c’est pas le bon moment pour vous dire ça, mais ma femme a été dans ce collège et elle m’a dit qu’elle en garde un bon souvenir.
_Oui, mais lieutenant, ma fille…
_Oui je sais, je sais, vous inquiétez pas je suis sur le coup. Bien il me faudrait la liste de tout les élèves proche de votre fille.
_c’est déjà fait, dit-il en lui tendant une feuille.
_bien merci, dit-il en sortant du bureau.
Il regardât la feuille et vit les différents noms alors il alla voir les chambres pour posez des questions a toute les personnes de la liste jusqu'à ce qu’il arrive dans la chambre de Ulrich, il frappa a la porte.
_Entrer, dit Ulrich.
_Bonjour jeune homme, je suis le lieutenant colombo de la brigade criminel je voudrait vous posez quelques questions sur la disparition de Elizabeth Delmas.
_Euh, d’accord, répondit Ulrich nerveusement.
_Eh dite donc, dit Colombo en se tournant elle est pas mal cette lampe.
_Euh merci euh…
_Mais c’est marrant, on dirait une personne abattue en plein jour.
_Euh non, c’est parce qu’elle a un abat jour.
_A oui, bien sûr, il se retourna ver l’armoire d’Ulrich. Puis-je voir ce qu’il y a dans cette armoire ?
_Euh non.
_Pourquoi donc ?
_Parce qu’elle est fermée et j’ai perdu la clé, inventa Ulrich.
_Oh, je vois mais c’est pas grave j’ai qu’a forcé la serrure.
_Quoi ?
_Ben oui, je perce et je casse la porte.
_Vous percez puis vous cassez la serrure ?
_Ben oui je perce puis je casse.
_Ah vous êtes perspicace ?
_Bon aller, c’est partit, dit Colombo en s’approchant de l’armoire.
_Oh et puis zut, dit Ulrich en soupirant, il y a une lampe dans cette armoire.
_Ah j’ai compris vous avez fait passez le cadavre pour la lampe et vous avez jeté la vrai lampe pour effacer la preuve.
_Euh oui, dit Ulrich en baissant la tête.
_D’accord, mais j’ai une dernière question, pourquoi l’avez-vous tuée ?
_Disons qu’elle avait le même défaut que la lampe.
_A bon et lequel ?
_Ben elle ne m’allumait pas…
Fin
Colombo à Kadic
C’était une belle journée au collège Kadic. Sissi était dans sa chambre en train de se maquiller en écoutant de la musique. Quand soudain quelqu’un frappa à la porte ;
_Entrer, dit Sissi sans tourner la tête de son miroir. C’est Ulrich qui entra avec la haine sur son visage, il cachait quelque chose derrière.
_A Ulrich, dit elle en se retournant, enfin tu veux me déclarer tes sentiments pour moi.
_En quelque sorte, dit Ulrich en fermant la porte et en se rapprochant de Sissi.
_Je le savait que tu m’aimais plus que cette japonaise anorexique, dit-elle avec un sourire.
_Non tu n’y ais pas du tout, dit-il en se rapprochant d’elle de plus en plus.
_Mais tu avais dit que…
_Oui et mes sentiments c’est que je ne peux plus te supporter et que j’en ai marre de tout les coup bas que tu me fais, répondit-il en montrant ceux qu’il avait derrière son dos.
_Mais, qu’est que tu fais avec se pistolet, se couteau, cette bouteille de poison, cette corde, cette baignoire remplit d’eau et ce sommet d’une falaise.
_Eh bien ce petit poème va répondre a ta question :
De trop tu es dans ma vie
Te tué je dois
Pour que ce soit fini
_Alors, Sissi qu’est que tu as à répondre a ça ?
_Eh bien pour rester dans le même thème :
Dans ta vie, je resterai
Pour toi, dommage, c’est
_d’accord je vois :
Garce, ma petite
Voulus, tu l’aura
_mais :
Quoi, tu fais
Avec, de mort, ces instrument
Après un échange de poème frappant.
_Et voila, il n’y a plus qu’à prendre son cadavre et l’amener dans ma chambre. Après qu’il soit arrivé dans sa chambre.
_bien maintenant je vais jeter cette vielle grande lampe de Odd dans mon armoire, je mets le corps debout et bien droit, je mets l’abat-jour de la lampe sur sa tête, je mets l’ampoule dans la bouche. Et voila elle ressemble vraiment a une lampe. C’est parfait maintenant la police pourra jamais la retrouvé…
Mais quelques jours après une voiture arriva au collège et un homme en imperméable beige les cheveux décoiffés et un cigare à moitié entamé, en sortit et alla vers le bureau du proviseur.
_Bonjour monsieur, dit-il en entrant dans le bureau.
_Bonjour, vous êtes de la police?
_Oui, monsieur, lieutenant colombo de la brigade criminel, je sais que c’est pas le bon moment pour vous dire ça, mais ma femme a été dans ce collège et elle m’a dit qu’elle en garde un bon souvenir.
_Oui, mais lieutenant, ma fille…
_Oui je sais, je sais, vous inquiétez pas je suis sur le coup. Bien il me faudrait la liste de tout les élèves proche de votre fille.
_c’est déjà fait, dit-il en lui tendant une feuille.
_bien merci, dit-il en sortant du bureau.
Il regardât la feuille et vit les différents noms alors il alla voir les chambres pour posez des questions a toute les personnes de la liste jusqu'à ce qu’il arrive dans la chambre de Ulrich, il frappa a la porte.
_Entrer, dit Ulrich.
_Bonjour jeune homme, je suis le lieutenant colombo de la brigade criminel je voudrait vous posez quelques questions sur la disparition de Elizabeth Delmas.
_Euh, d’accord, répondit Ulrich nerveusement.
_Eh dite donc, dit Colombo en se tournant elle est pas mal cette lampe.
_Euh merci euh…
_Mais c’est marrant, on dirait une personne abattue en plein jour.
_Euh non, c’est parce qu’elle a un abat jour.
_A oui, bien sûr, il se retourna ver l’armoire d’Ulrich. Puis-je voir ce qu’il y a dans cette armoire ?
_Euh non.
_Pourquoi donc ?
_Parce qu’elle est fermée et j’ai perdu la clé, inventa Ulrich.
_Oh, je vois mais c’est pas grave j’ai qu’a forcé la serrure.
_Quoi ?
_Ben oui, je perce et je casse la porte.
_Vous percez puis vous cassez la serrure ?
_Ben oui je perce puis je casse.
_Ah vous êtes perspicace ?
_Bon aller, c’est partit, dit Colombo en s’approchant de l’armoire.
_Oh et puis zut, dit Ulrich en soupirant, il y a une lampe dans cette armoire.
_Ah j’ai compris vous avez fait passez le cadavre pour la lampe et vous avez jeté la vrai lampe pour effacer la preuve.
_Euh oui, dit Ulrich en baissant la tête.
_D’accord, mais j’ai une dernière question, pourquoi l’avez-vous tuée ?
_Disons qu’elle avait le même défaut que la lampe.
_A bon et lequel ?
_Ben elle ne m’allumait pas…
Fin
