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Invaincu

MessagePosté: 01 Déc 2007, 19:05
par ingrid642
J'ai longtemps hésité avant de me décider à poster cette fic, ou tout du moins le début. Pour ceux qui auraient lu "La Nouvelle", partie romance, c'est très différent, pas du tout le même style. Prévenez-moi si ce n'est pas vraiment le bon sujet...

Je vous rpésente donc ma deuxième fic, très différente de la première, axée sur un des personnage de la série, dont je ne dirais pas le nom avant longtemps, mais il ne ser pas vraiment dûr de comrpendre de qui il s'agit, enfin, ça dépend... Sur ce, j'espère que vous aimerez, bonne lecture!

Invaincu

Le soleil déclinait peu à peu, un mince faisceau de lumière passait à travers la minuscule fenêtre de son bureau, mais elle ne suffisait plus à illuminer la pièce. Sans même regarder, il appuya sur l’interrupteur situé à moins de 50 centimètres de lui. La petite lampe situé sur la table s’éteignit, plongeant la pièce dans une obscurité désagréable. Agacé, il leva pour la première fois les yeux de son écran depuis plusieurs longues heures et enclencha un autre interrupteur, qui mit en marche la lampe centrale. Il reposa son regard sur l’ordinateur et se remit au travail. Le tic-tac régulier de sa montre et le bruit des touches qu’il enfonçait à une vitesse phénoménale pour seule ambiance sonore, l’homme resta ainsi, concentré sur ce qu’il tapait, le téléphone sonnait mais il ne l’entendait pas.

Il était assit devant un ordinateur très perfectionné pour son époque, relié à des nombreux câbles. En réalité, il ne s’agissait pas vraiment d’UN ordinateur, mais plutôt de trois. Une tour grise, trois écrans, un clavier, deux souris et un haut-parleur ; voilà de quoi était composé son matériel. Mail un seul des écran était allumé, une souris débranchée et le son sûrement désactivé. Il avait arrangé tout ce matériel sur une table toute simple, en hêtre et assez grande. Elle occupait la moitié d’un des pan de mur de la pièce où i les trouvait. Les murs, tout comme le sol, auraient sans doute eut besoin d’un petit coup de jeune, mais il ne s’en préoccupait pas et n’en avait encore moins le temps. Ils avait été peints à la va-vite, en blanc. La peinture s’écaillait en de nombreux endroits, virant presque au gris. Le sol, quant à lui, était recouvert de parquet usé et noircit par le temps. De gros moutons de poussières s’accumulaient dans les coins de la pièce, il ne prenait pas vraiment la peine de la nettoyer souvent.

Il leva enfin la tête de son écran, la première fois depuis 5 heures. Son regard se posa, comme par réflexe, sur le réveil posé à ses côtés. Il indiquait 6 heure 38. L’homme soupira, les yeux à nouveau rivés sur son écran où un nombre incalculable de chiffres défilaient, sans ordre logique. Il remit ses lunettes en place et pianota à une vitesse fulgurante sur les touches usées de son clavier. Certains caractères tendaient à disparaître, tant il avait passé de temps à saisir des données. Une fenêtre s’ouvrit sur son écran, un point d’exclamation rouge y clignotant. D’un geste rageur, il abattit son poignet avec une force surprenante sur la table en bois qui lui servait de bureau. Ce même signe de ponctuation qu’il voyait depuis des mois, peut-être même des années… Mais il n’abandonnerait pas. Non, il continuera jusqu’à sa mort, s’il le fallait. Il devait réussir, il devait y arriver. Oui, il était décidé à ne pas céder à la fatigue, aux longues nuits passées devant le petit écran de 15 pouces, encore moins à la faim qui rongeait son estomac ou à la soif qui rendait sa gorge sèche. L’homme reprit ses calculs…

Ses journée allaient et venaient, se ressemblant toutes : 20 heures sur son ordinateur, 18 les mauvais jours , 20 minutes pour manger un peu, 15 pour se laver et le reste du temps pour dormir. Ce rythme de vie qui aurait très vite abattu n’importe qu’elle personne ne le dérangeait pas le moins du monde. Evidemment, sa santé n’était pas au plus fort, mais ce n’était d’aucune importance. Et de toute manière personne n’aurait pu lui faire de remarques à ce sujet, il ne voyait personne, il ne connaissait plus personne, il n’avait plus de famille ni d’amis. Personne pour se soucier de lui. Au du moins pour le moment.

MessagePosté: 01 Déc 2007, 19:53
par neige
C'est pas mal pour un début!
Je n'ai pas vu de fautes d'orthographe, les déscription sont bien formées tellement bien que je pense savoir de qui il s'agit et où il se trouve mais je ne le dirai pas.
Bref, continue. :thumbleft:

MessagePosté: 03 Déc 2007, 12:20
par justin079
interessant et très bien décrit et écrit : ca promet : j'attend la suite

MessagePosté: 03 Déc 2007, 13:17
par Typy
c'est pas mal pour l'instant ^^ si c'est bien la personne que je croix,peut être que ton sujet serait plus à sa place dans "le pourquoi du comment" mais de toute façon,il est bien placé dans psycologie aussi ^^
ça ne dit pas encore grand chose,car c'est un peu court,mais j'attend la suite (:

MessagePosté: 05 Déc 2007, 17:09
par ingrid642
Merci pour vos comms, je suis en train de refaire la suite, je sais pas trop quand elle arrivera: tous mes fichiers ont disparus de mon ordi donc...

MessagePosté: 05 Déc 2007, 17:43
par Artémis
Oh tiens! Je naviguais et je remarque ce sujet. Vraiment, c'est intéressant en effet. Le récit semble monotone, mais...on attend quelque chose. Quelque chose qui va sans doute arriver très bientôt :p
Ton style est toujours aussi beau, et certes cette fic se détache assez de "La Nouvelle". Mais on te reconnait tout de même ^^
Attention aux petites fautes de conjugaison... :p (rassure toi, j'en ai vu que 2 ou 3^^).
Moi aussi, j'ai ma petite idée pour l'identité de cet homme 8)
C'est vrai que c'est assez psychologique...en même temps, comme dit typy, ta fic irait bien dans le pourquoi du comment, mais c'est juste parce que c'est très descriptif et explicatif. J'attends ta suite, j'espère que tu vas t'y retrouver^^
A plus, la miss!! :p

MessagePosté: 29 Fév 2008, 11:54
par lamaud
alors là! Pour un début, c'est vraiment génial! Le suspens est total!
J'ai ma petite idée sur la personne en question.
Manque uneseule chose: la suite quoi!