Citations des épisodes
Je n'ai pas eu le temps après la diffusion de "Le secret". En plus, j'avais promis à Quentin de le faire, mais la saison 4 est déjà là. Et les citations sont postables. Donc je terminerai de rattrapper mon retard Samedi, et comme ça, Dimanche, je pourrai faire les citations des deux premiers épisodes de la saison 4. Et j'en ferai deux par jour jusqu'à ce que le retard soit rattrappé.
Episode #65 Dernier Round
Odd : Alors, comment tu te sens ?
William : Prêt à aller en découdre avec Xana et ses monstres. Et puis surtout, j’ai hâte de voir le look que j’aurai sur Lyoko. [Priorités…]
--------------------------
William : Ben quoi, il a raison, dans la vie, il faut toujours viser les sommets !
Ulrich : Ouais, c’est sûr, comme ça quand on tombe, la chute fait encore plus mal.
--------------------------
Odd : C’est sympa de m’accompagner, merci Ulrich !
Ulrich : Bah, il faut bien que quelqu’un soit là pour te relever après chacune de tes gamelles, les potes, c’est fait pour ça, pas vrai ?
--------------------------
Jim : Naturellement ! J’ai été champion départemental de patin à roulettes dans les années 60.
Ulrich : Mais malheureusement, vous préférez ne pas en parler.
Jim : Hé ben si, justement, j’aimerais bien. Mais je n’ai pas le temps. [Pour une fois]
--------------------------
Odd : Sam, elle est hyper cool, hyper sympa, et hyper drôle !
Ulrich : Et toi, t’es hyper amoureux.
Odd : Ben on peut apprécier quelqu’un sans être amoureux, hein.
Ulrich : Oh ouais, mais toi, t’es hyper amoureux.
--------------------------
Millie : Bon, alors le matin, toi, c’est plutôt thé ou café ?
Jérémie : Euh chocolat !
Millie : Croissant ou tartine ?
Jérémie : Céréales !
Millie : Confiture ou miel ?
Jérémie : Sirop d’érable.
--------------------------
Sam (sous le charme de Odd sur la piste de skate) : Oh là, ce Odd, il est… Il est…
Ulrich : Il est hyper désordonné. Tu verrais son armoire, un vrai désastre.
--------------------------
Jérémie : La mycologie est une science très complexe. Il s’agit d’étudier les champions sous toutes leurs formes. Il en existe plusieurs milliers d’espèces et les distinguer peut s’avérer très difficile. Plusieurs critères peuvent entrer en jeu tels que la structure générale qui va nous permettre de déterminer un genre de champignons. Par exemple Russule, Amanite, ou encore tricholomes.
Millie (à Tamya) : Alors c’est ça que tu appelles une question intéressante ?
Tamya : Ben oui, la question était très bien, c’est la réponse qui est rasoir.
--------------------------
Millie : Tu comptes filmer cette porte encore combien de temps ?
Tamya : Ben, c’est intéressant de savoir que les grosses têtes vont aussi aux toilettes, non ?
Millie : Non !
--------------------------
Aelita : Méfie-toi, ils sont du genre agressif.
William : Et ça tombe bien : moi aussi. [Classique]
--------------------------
Monsieur Stern : Moi, quand j’avais ton âge, j’avais 18 de moyenne générale, et je me préparais à passer mon bac. [A quatorze ans ? Chapeau]
--------------------------
Odd (à propos de William) : Ben, il a pas l’air ravi de nous revoir !
Ulrich : Ouais. On dirait moi quand j’ai vu arriver mon père.
--------------------------
Yumi (à William, en se dévirtualisant) : Je savais que c’était pas une bonne idée de t’intégrer dans notre bande. [Réplique culte de la saison 3]
Odd : Alors, comment tu te sens ?
William : Prêt à aller en découdre avec Xana et ses monstres. Et puis surtout, j’ai hâte de voir le look que j’aurai sur Lyoko. [Priorités…]
--------------------------
William : Ben quoi, il a raison, dans la vie, il faut toujours viser les sommets !
Ulrich : Ouais, c’est sûr, comme ça quand on tombe, la chute fait encore plus mal.
--------------------------
Odd : C’est sympa de m’accompagner, merci Ulrich !
Ulrich : Bah, il faut bien que quelqu’un soit là pour te relever après chacune de tes gamelles, les potes, c’est fait pour ça, pas vrai ?
--------------------------
Jim : Naturellement ! J’ai été champion départemental de patin à roulettes dans les années 60.
Ulrich : Mais malheureusement, vous préférez ne pas en parler.
Jim : Hé ben si, justement, j’aimerais bien. Mais je n’ai pas le temps. [Pour une fois]
--------------------------
Odd : Sam, elle est hyper cool, hyper sympa, et hyper drôle !
Ulrich : Et toi, t’es hyper amoureux.
Odd : Ben on peut apprécier quelqu’un sans être amoureux, hein.
Ulrich : Oh ouais, mais toi, t’es hyper amoureux.
--------------------------
Millie : Bon, alors le matin, toi, c’est plutôt thé ou café ?
Jérémie : Euh chocolat !
Millie : Croissant ou tartine ?
Jérémie : Céréales !
Millie : Confiture ou miel ?
Jérémie : Sirop d’érable.
--------------------------
Sam (sous le charme de Odd sur la piste de skate) : Oh là, ce Odd, il est… Il est…
Ulrich : Il est hyper désordonné. Tu verrais son armoire, un vrai désastre.
--------------------------
Jérémie : La mycologie est une science très complexe. Il s’agit d’étudier les champions sous toutes leurs formes. Il en existe plusieurs milliers d’espèces et les distinguer peut s’avérer très difficile. Plusieurs critères peuvent entrer en jeu tels que la structure générale qui va nous permettre de déterminer un genre de champignons. Par exemple Russule, Amanite, ou encore tricholomes.
Millie (à Tamya) : Alors c’est ça que tu appelles une question intéressante ?
Tamya : Ben oui, la question était très bien, c’est la réponse qui est rasoir.
--------------------------
Millie : Tu comptes filmer cette porte encore combien de temps ?
Tamya : Ben, c’est intéressant de savoir que les grosses têtes vont aussi aux toilettes, non ?
Millie : Non !
--------------------------
Aelita : Méfie-toi, ils sont du genre agressif.
William : Et ça tombe bien : moi aussi. [Classique]
--------------------------
Monsieur Stern : Moi, quand j’avais ton âge, j’avais 18 de moyenne générale, et je me préparais à passer mon bac. [A quatorze ans ? Chapeau]
--------------------------
Odd (à propos de William) : Ben, il a pas l’air ravi de nous revoir !
Ulrich : Ouais. On dirait moi quand j’ai vu arriver mon père.
--------------------------
Yumi (à William, en se dévirtualisant) : Je savais que c’était pas une bonne idée de t’intégrer dans notre bande. [Réplique culte de la saison 3]
Préquel Le réveil de Xana
#1
Jérémie : Hé, c’est quoi, ce truc ? Une espèce de jeu ? [La première réflexion que se fait Jérémie sur Aelita.]
--------------------------
Odd : Fais pas cette tête, je suis un garçon sympa, hyper cool et plus discret qu’une petite souris.
--------------------------
Sissi : Hé, bonjour, Ulrich de mon cœur. J’ai un truc à te dire, et c’est extrêmement important.
Ulrich : Important du genre « J’ai perdu mon rimmel » ou « Mon T-shirt rose a déteint » ?
Sissi : Oh, non, non, non, non, pas aussi grave que ça.
--------------------------
Ulrich : C’est Sissi, la fille du proviseur. Tous les mecs en rêvent. Mais elle, elle est dingue de moi.
Odd : Ah, ça, c’est cool !
Ulrich : Non, elle n’a rien dans le crâne et c’est un vrai pot de colle.
Odd : Oh, ça, c’est moche.
--------------------------
Odd : Et là, le mec, il lui répond : « J’ai pas de cuisses de grenouilles, c’est ma façon de marcher ». [Blague Carambar…]
--------------------------
Jérémie : Intelligence artificielle, je suis de retour. Est-ce que tu m’entends ?
Aelita : Heu… Oui, mais franchement, j’aimerais bien que tu m’appelles autrement.
Jérémie : Bon, d’accord… Voyons, qu’est-ce que tu dirais de « Maya » ? [Ma IA. Quelle délicatesse.]
--------------------------
Madame Perraudin : Bon, tout va bien. Juste un petit choc électrique et des brûlures superficielles.
Ulrich (à Jérémie) : T’as voulu du jus, ben t’en as eu. [Note : Jérémie s’est électrocuté avec le distributeur de jus de fruits.]
--------------------------
Jim (à Ulrich, qui est seul au cours d’arts martiaux) : Bonsoir, je suis ravi de voir que vous êtes venus nombreux.
--------------------------
Jim : Ce sont les noms de techniques de combat qui peuvent vous sauver la vie, comme elles l’ont fait pour moi à l’époque où j’étais garde forestier au Québec.
Ulrich : Ah vraiment ? Et qu’est-ce qu’il s’est passé, m’sieur ?
Jim : Hé bien imaginez. La nuit était tombée. Auprès du feu de camp, je dégustais un steak de Caribou. Quand soudain un castor enragé m’attaque. Avec ses incisives acérées, la bête cherche à me trancher la carotide, mais heureusement, j’ai pu m’en sortir grâce à ma parfaite maîtrise de la main ardente de Li Fu Chang.
--------------------------
Ulrich (à Yumi qui vient d’exécuter un salto arrière) : Pas mal du tout, pour une débutante.
--------------------------
Jérémie : Hé ben alors, t’as le vertige ? [Dit-il tandis qu’Ulrich ne semble pas apprécier l’idée de descendre la corde dans l’Usine]
--------------------------
Ulrich : Ce truc là, c’est le pupitre de commande de l’Usine, et c’est tout.
Jérémie (désignant Aelita) : Ah oui ? Et ça, c’est quoi ? L’interface du programme de gestion des stocks ?
--------------------------
Sissi : Je suis sûr qu’il y a une autre fille derrière tout ça.
Odd : Une fille ? C’est pas une fille, c’est Kiwi, mon chien.
--------------------------
Odd : Mais qu’est-ce qui lui prend d’emmener Kiwi dans cette usine ?
Sissi : Si ça se trouve, il a besoin d’un sujet pour une monstrueuse expérience scientifique.
Odd : Toi, faut que t’arrêtes les films d’horreur.
Sissi : Ouais, tu as raison, c’est idiot ce que je dis. Une expérience scientifique ! Non, c’est sûrement un sacrifice rituel Vaudou.
--------------------------
Odd : Je suis dans un jeu ? On dirait le décor de Babylon ninja fighter III
--------------------------
Jérémie : Peut-être que l’ordinateur analyse votre imaginaire et qu’il se sert de vos rêves pour modéliser vos avatars.
Odd : Hé ho, j’ai jamais rêvé d’être un chat violet, moi !
--------------------------
Odd : Et c’est qui, cette Maya ?
Ulrich : Une fille virtuelle qui vit sur Lyoko.
Odd : Ah, parce qu’en plus, il y a des nanas, ici ? C’est super !
#2
Ulrich : Tu manges toujours comme ça ?
Odd (Se goinfrant) : Ben non, c’est juste que là, j’ai pas très faim. [Gag facile, faut reconnaître]
--------------------------
Odd (à propos de Jérémie) : Hé, c’est la réincarnation d’Einstein, ce mec.
Sissi : De qui ?
--------------------------
Sissi : J’ai hâte de voir à quoi je vais ressembler sur Lyoko.
Odd : Ah ça, moi aussi, peut-être qu’avec un peu de chance, je ne serai plus le Guignol de la bande.
--------------------------
Sissi : et un… Trois et quatre. [C’est pas un peu exagéré ? Heureusement, elle le fait correctement juste après.]
--------------------------
Odd : Bon, c’est vrai, j’avoue qu’au début, je la trouvais top canon, la Sissi, mais plus ça va et plus je m’aperçois que cette fille c’est euh… Comment dire ça avec tact ?
Jérémie : Une quiche ? [Le tact et lui…]
--------------------------
Jim : Désolé, Sissi. J’ai besoin d’une majorette, pas d’un babouin femelle qui jongle avec un boomerang.
--------------------------
Sissi : Un babouin ? Et pourquoi pas un singe à fesses rouges, tant qu’on y est ?
--------------------------
Jérémie : Excuse-moi, mais tu comptes m’appeler Einstein longtemps ?
Odd : Ben heu… Ouais.
--------------------------
Matthias : Je viens de croiser Sissi avec Jim, il la conduisait à l’infirmerie.
Christophe : Elle s’est claqué les méninges en tentant une addition à deux chiffres ?
--------------------------
Nicolas : Y avait ce monstre électrique qui sortait d’un cintre et il a…
Proviseur Delmas : D’un cintre ? Vous vous fichez de moi, Poliakoff, c’est vous qui êtes cintré.
--------------------------
Yumi (à Ulrich, devant la corde de l’Usine) : Oh, ne me dis pas que t’as peur !
--------------------------
Ulrich (à Yumi, devant le scanner) : Ne me dis pas que t’as peur !
--------------------------
Sissi : Il y a un monstre électrique en liberté dans le collège.
Proviseur Delmas : Bien sûr. Allons, détends-toi, chérie.
Jim : C’est ça, oui, et aussi un ours en peluche géant.
--------------------------
Odd (à propos des Krabes) : Ouais, chouette, des crabes, quelqu’un a de la mayo ?
--------------------------
Odd : Hé, allez, du vent, les crabes ! La mer monte !
--------------------------
Odd : J’ai un mauvais pressentiment avec cette Sissi. A mon avis, on a pas fini de l’entendre. [C’est bateau, mais ça fait préquel.]
--------------------------
Aelita : Il est encore temps de tout éteindre.
Ulrich : Cela dit, maintenant, on sait comment contrer Xana. Il suffit d’amener Aelita dans les tours activées.
Jérémie : Hum…
Odd : On peut toujours s’arranger pour neutraliser les attaques, le temps qu’Einstein trouve le moyen de la matérialiser, non ?
Yumi : C’est risqué, mais je suis d’accord. Après tout, on est des Lyokoguerriers, oui ou non ?
Ulrich et Odd : Ouais
Aelita : Alors t’as intérêt à trouver rapidement.
Jérémie : On ne m’appelle pas Einstein pour rien. Promis, quelques semaines, et c’est réglé. [C’est touchant, non ?]
#1
Jérémie : Hé, c’est quoi, ce truc ? Une espèce de jeu ? [La première réflexion que se fait Jérémie sur Aelita.]
--------------------------
Odd : Fais pas cette tête, je suis un garçon sympa, hyper cool et plus discret qu’une petite souris.
--------------------------
Sissi : Hé, bonjour, Ulrich de mon cœur. J’ai un truc à te dire, et c’est extrêmement important.
Ulrich : Important du genre « J’ai perdu mon rimmel » ou « Mon T-shirt rose a déteint » ?
Sissi : Oh, non, non, non, non, pas aussi grave que ça.
--------------------------
Ulrich : C’est Sissi, la fille du proviseur. Tous les mecs en rêvent. Mais elle, elle est dingue de moi.
Odd : Ah, ça, c’est cool !
Ulrich : Non, elle n’a rien dans le crâne et c’est un vrai pot de colle.
Odd : Oh, ça, c’est moche.
--------------------------
Odd : Et là, le mec, il lui répond : « J’ai pas de cuisses de grenouilles, c’est ma façon de marcher ». [Blague Carambar…]
--------------------------
Jérémie : Intelligence artificielle, je suis de retour. Est-ce que tu m’entends ?
Aelita : Heu… Oui, mais franchement, j’aimerais bien que tu m’appelles autrement.
Jérémie : Bon, d’accord… Voyons, qu’est-ce que tu dirais de « Maya » ? [Ma IA. Quelle délicatesse.]
--------------------------
Madame Perraudin : Bon, tout va bien. Juste un petit choc électrique et des brûlures superficielles.
Ulrich (à Jérémie) : T’as voulu du jus, ben t’en as eu. [Note : Jérémie s’est électrocuté avec le distributeur de jus de fruits.]
--------------------------
Jim (à Ulrich, qui est seul au cours d’arts martiaux) : Bonsoir, je suis ravi de voir que vous êtes venus nombreux.
--------------------------
Jim : Ce sont les noms de techniques de combat qui peuvent vous sauver la vie, comme elles l’ont fait pour moi à l’époque où j’étais garde forestier au Québec.
Ulrich : Ah vraiment ? Et qu’est-ce qu’il s’est passé, m’sieur ?
Jim : Hé bien imaginez. La nuit était tombée. Auprès du feu de camp, je dégustais un steak de Caribou. Quand soudain un castor enragé m’attaque. Avec ses incisives acérées, la bête cherche à me trancher la carotide, mais heureusement, j’ai pu m’en sortir grâce à ma parfaite maîtrise de la main ardente de Li Fu Chang.
--------------------------
Ulrich (à Yumi qui vient d’exécuter un salto arrière) : Pas mal du tout, pour une débutante.
--------------------------
Jérémie : Hé ben alors, t’as le vertige ? [Dit-il tandis qu’Ulrich ne semble pas apprécier l’idée de descendre la corde dans l’Usine]
--------------------------
Ulrich : Ce truc là, c’est le pupitre de commande de l’Usine, et c’est tout.
Jérémie (désignant Aelita) : Ah oui ? Et ça, c’est quoi ? L’interface du programme de gestion des stocks ?
--------------------------
Sissi : Je suis sûr qu’il y a une autre fille derrière tout ça.
Odd : Une fille ? C’est pas une fille, c’est Kiwi, mon chien.
--------------------------
Odd : Mais qu’est-ce qui lui prend d’emmener Kiwi dans cette usine ?
Sissi : Si ça se trouve, il a besoin d’un sujet pour une monstrueuse expérience scientifique.
Odd : Toi, faut que t’arrêtes les films d’horreur.
Sissi : Ouais, tu as raison, c’est idiot ce que je dis. Une expérience scientifique ! Non, c’est sûrement un sacrifice rituel Vaudou.
--------------------------
Odd : Je suis dans un jeu ? On dirait le décor de Babylon ninja fighter III
--------------------------
Jérémie : Peut-être que l’ordinateur analyse votre imaginaire et qu’il se sert de vos rêves pour modéliser vos avatars.
Odd : Hé ho, j’ai jamais rêvé d’être un chat violet, moi !
--------------------------
Odd : Et c’est qui, cette Maya ?
Ulrich : Une fille virtuelle qui vit sur Lyoko.
Odd : Ah, parce qu’en plus, il y a des nanas, ici ? C’est super !
#2
Ulrich : Tu manges toujours comme ça ?
Odd (Se goinfrant) : Ben non, c’est juste que là, j’ai pas très faim. [Gag facile, faut reconnaître]
--------------------------
Odd (à propos de Jérémie) : Hé, c’est la réincarnation d’Einstein, ce mec.
Sissi : De qui ?
--------------------------
Sissi : J’ai hâte de voir à quoi je vais ressembler sur Lyoko.
Odd : Ah ça, moi aussi, peut-être qu’avec un peu de chance, je ne serai plus le Guignol de la bande.
--------------------------
Sissi : et un… Trois et quatre. [C’est pas un peu exagéré ? Heureusement, elle le fait correctement juste après.]
--------------------------
Odd : Bon, c’est vrai, j’avoue qu’au début, je la trouvais top canon, la Sissi, mais plus ça va et plus je m’aperçois que cette fille c’est euh… Comment dire ça avec tact ?
Jérémie : Une quiche ? [Le tact et lui…]
--------------------------
Jim : Désolé, Sissi. J’ai besoin d’une majorette, pas d’un babouin femelle qui jongle avec un boomerang.
--------------------------
Sissi : Un babouin ? Et pourquoi pas un singe à fesses rouges, tant qu’on y est ?
--------------------------
Jérémie : Excuse-moi, mais tu comptes m’appeler Einstein longtemps ?
Odd : Ben heu… Ouais.
--------------------------
Matthias : Je viens de croiser Sissi avec Jim, il la conduisait à l’infirmerie.
Christophe : Elle s’est claqué les méninges en tentant une addition à deux chiffres ?
--------------------------
Nicolas : Y avait ce monstre électrique qui sortait d’un cintre et il a…
Proviseur Delmas : D’un cintre ? Vous vous fichez de moi, Poliakoff, c’est vous qui êtes cintré.
--------------------------
Yumi (à Ulrich, devant la corde de l’Usine) : Oh, ne me dis pas que t’as peur !
--------------------------
Ulrich (à Yumi, devant le scanner) : Ne me dis pas que t’as peur !
--------------------------
Sissi : Il y a un monstre électrique en liberté dans le collège.
Proviseur Delmas : Bien sûr. Allons, détends-toi, chérie.
Jim : C’est ça, oui, et aussi un ours en peluche géant.
--------------------------
Odd (à propos des Krabes) : Ouais, chouette, des crabes, quelqu’un a de la mayo ?
--------------------------
Odd : Hé, allez, du vent, les crabes ! La mer monte !
--------------------------
Odd : J’ai un mauvais pressentiment avec cette Sissi. A mon avis, on a pas fini de l’entendre. [C’est bateau, mais ça fait préquel.]
--------------------------
Aelita : Il est encore temps de tout éteindre.
Ulrich : Cela dit, maintenant, on sait comment contrer Xana. Il suffit d’amener Aelita dans les tours activées.
Jérémie : Hum…
Odd : On peut toujours s’arranger pour neutraliser les attaques, le temps qu’Einstein trouve le moyen de la matérialiser, non ?
Yumi : C’est risqué, mais je suis d’accord. Après tout, on est des Lyokoguerriers, oui ou non ?
Ulrich et Odd : Ouais
Aelita : Alors t’as intérêt à trouver rapidement.
Jérémie : On ne m’appelle pas Einstein pour rien. Promis, quelques semaines, et c’est réglé. [C’est touchant, non ?]
Episode #66 Renaissance
Jérémie (avec la voix de Monsieur Dunbar) : N’y voyez aucun mal, mais peut-être que votre fille, Sissi, aurait pu en faire autant.
Proviseur Delmas : C’est fort probable, oui. Mais… Mais j’ignorais que vous connaissiez ma fille, et par son surnom qui plus est.
Jérémie : Heu… C'est-à-dire que… Heu… En fait je ne la connais pas vraiment, évidemment, mais voyez-vous, William nous en parle si souvent, c’est sans cesse Sissi par ci, Sissi par là, qu’à force nous avons presque l’impression de la connaître. Héhé.
Proviseur Delmas : Ah vraiment. J’ignorais que William était aussi proche d’Elisabeth.
Jérémie : Oh, mais votre Sissi est comme un modèle pour lui. Un véritable exemple, d’ailleurs, avec un père tel que vous, elle ne peut être qu’exemplaire.
Proviseur Delmas : Hé bien écoutez monsieur Dunbar, je suis enchanté que nous ayons pu avoir cette discussion.
--------------------------
Aelita : Non, ce soir on se lance.
Jérémie : Faut dire qu’on y passe toutes nos nuits. Et depuis une semaine.
Odd : Ah, c’était pour ça, le look Zombie, les cheveux en pétard et les valises sous les yeux. Moi, je pensais que vous faisiez la fête tous les soirs, j’en étais jaloux !
--------------------------
Hervé (par-dessus la voix de Odd parlant de Paco le roi du Disco) : Mais d’un autre côté, le printemps est une période vachement sympa, avoue.
Nicolas : Ouais, mais moi je préfère l’Eté. Il fait plus chaud.
Sissi : Hé, baissez d’un ton, je n’entends rien.
Hervé : Si tu veux entendre, vaudrait mieux qu’on monte d’un ton, non ?
--------------------------
Millie (désignant Tamya) : Pourquoi elle est là ?
Tamya (désignant Millie) : C’est vrai, ça, pourquoi elle est là ?
Millie (à Sissi) : Je croyais que tu voulais me voir moi.
Tamya : Et moi pareil.
Sissi : Hé, vous entendez, les filles ? Vous êtes déjà d’accord sur quelque chose.
--------------------------
Odd : Aelita, Jérémie, vous êtes des dieux !
Jérémie : Des demi-dieux. Et encore. Pour l’instant, nous n’avons réussi qu’à recréer le cinquième territoire.
--------------------------
Yumi : Hé ben, c’est super, au moins, tu rateras pas le contrôle de maths.
William : Oh, génial, en plus, je n’ai même pas révisé.
Yumi : Ah bon ? Pourquoi, d’habitude, tu révises, toi ? [Facile, je sais]
--------------------------
Aelita : Merci William, sans toi, j’étais perdue. Tomber entre les griffes de Sissi, c’est pire que.
William (révélant son état) : Que de tomber entre les griffes de Xana, hein ? C’est ça ?
--------------------------
Yumi (devant Paco le roi du Disco) : Odd a raison, il est mortel, ce film (le téléphone sonne). Je rêve, on peut jamais être tranquille.
--------------------------
Odd : J’arrive pas trop tard, j’espère.
Jérémie : Ah, te voilà, toi ! Qu’est-ce que tu fichais ?
Odd : Je prenais des cours de disco, ça peut servir.
Jérémie : Allez, file en salle des scanners. Tu plonges immédiatement.
Odd : Waouh funky !
--------------------------
Odd : Tu m’excuses, William, mais Aelita a un faible pour les vrais gentlemen.
--------------------------
Ulrich : Tu crois qu’il a disparu pour de bon ?
Jérémie : Non. Je crois qu’il a été rejoindre son nouveau maître. Xana. [On connaît l’amour de Jérémie pour les clichés depuis Faux Départ]
--------------------------
Tous les élèves : PACO ! PACO ! PACO !
Odd : C’est du délire, Jim superstar, j’y crois pas. [Et je suis sûr qu’après, il préfèrera ne pas en parler]
Jérémie (avec la voix de Monsieur Dunbar) : N’y voyez aucun mal, mais peut-être que votre fille, Sissi, aurait pu en faire autant.
Proviseur Delmas : C’est fort probable, oui. Mais… Mais j’ignorais que vous connaissiez ma fille, et par son surnom qui plus est.
Jérémie : Heu… C'est-à-dire que… Heu… En fait je ne la connais pas vraiment, évidemment, mais voyez-vous, William nous en parle si souvent, c’est sans cesse Sissi par ci, Sissi par là, qu’à force nous avons presque l’impression de la connaître. Héhé.
Proviseur Delmas : Ah vraiment. J’ignorais que William était aussi proche d’Elisabeth.
Jérémie : Oh, mais votre Sissi est comme un modèle pour lui. Un véritable exemple, d’ailleurs, avec un père tel que vous, elle ne peut être qu’exemplaire.
Proviseur Delmas : Hé bien écoutez monsieur Dunbar, je suis enchanté que nous ayons pu avoir cette discussion.
--------------------------
Aelita : Non, ce soir on se lance.
Jérémie : Faut dire qu’on y passe toutes nos nuits. Et depuis une semaine.
Odd : Ah, c’était pour ça, le look Zombie, les cheveux en pétard et les valises sous les yeux. Moi, je pensais que vous faisiez la fête tous les soirs, j’en étais jaloux !
--------------------------
Hervé (par-dessus la voix de Odd parlant de Paco le roi du Disco) : Mais d’un autre côté, le printemps est une période vachement sympa, avoue.
Nicolas : Ouais, mais moi je préfère l’Eté. Il fait plus chaud.
Sissi : Hé, baissez d’un ton, je n’entends rien.
Hervé : Si tu veux entendre, vaudrait mieux qu’on monte d’un ton, non ?
--------------------------
Millie (désignant Tamya) : Pourquoi elle est là ?
Tamya (désignant Millie) : C’est vrai, ça, pourquoi elle est là ?
Millie (à Sissi) : Je croyais que tu voulais me voir moi.
Tamya : Et moi pareil.
Sissi : Hé, vous entendez, les filles ? Vous êtes déjà d’accord sur quelque chose.
--------------------------
Odd : Aelita, Jérémie, vous êtes des dieux !
Jérémie : Des demi-dieux. Et encore. Pour l’instant, nous n’avons réussi qu’à recréer le cinquième territoire.
--------------------------
Yumi : Hé ben, c’est super, au moins, tu rateras pas le contrôle de maths.
William : Oh, génial, en plus, je n’ai même pas révisé.
Yumi : Ah bon ? Pourquoi, d’habitude, tu révises, toi ? [Facile, je sais]
--------------------------
Aelita : Merci William, sans toi, j’étais perdue. Tomber entre les griffes de Sissi, c’est pire que.
William (révélant son état) : Que de tomber entre les griffes de Xana, hein ? C’est ça ?
--------------------------
Yumi (devant Paco le roi du Disco) : Odd a raison, il est mortel, ce film (le téléphone sonne). Je rêve, on peut jamais être tranquille.
--------------------------
Odd : J’arrive pas trop tard, j’espère.
Jérémie : Ah, te voilà, toi ! Qu’est-ce que tu fichais ?
Odd : Je prenais des cours de disco, ça peut servir.
Jérémie : Allez, file en salle des scanners. Tu plonges immédiatement.
Odd : Waouh funky !
--------------------------
Odd : Tu m’excuses, William, mais Aelita a un faible pour les vrais gentlemen.
--------------------------
Ulrich : Tu crois qu’il a disparu pour de bon ?
Jérémie : Non. Je crois qu’il a été rejoindre son nouveau maître. Xana. [On connaît l’amour de Jérémie pour les clichés depuis Faux Départ]
--------------------------
Tous les élèves : PACO ! PACO ! PACO !
Odd : C’est du délire, Jim superstar, j’y crois pas. [Et je suis sûr qu’après, il préfèrera ne pas en parler]
Episode #67 Mauvaise réplique
Odd : Et à ce moment-là, le type se met à hurler : tiens, voilà ce que j’en fais de ton canoë ! Hahahahaha. Ben quoi, c’est mortel, non ? Le type, il prend la fourchette, et… Ouah, vous avez vraiment aucun sens de l’humour.
Ulrich : Ben si, justement.
--------------------------
Odd : D’ailleurs si j’étais pas moi, je serais fan de mon humour.
Aelita : Héhé. Ben au moins, celle là, elle est drôle.
--------------------------
Proviseur Delmas (saisissant le téléphone) : Collège Delmas, Jean-Pierre Kadic. Euh… Collège Kadic, Jean-Pierre Delmas, j’écoute.
--------------------------
Jérémie (avec la voix de monsieur Dunbar) : Il est cloué au lit avec une fièvre de cheval.
Proviseur Delmas : Oh zut, j’espère que le cheval va bien…
--------------------------
Odd : Bon, maintenant que c’est réglé, si on songeait à l’essentiel ?
Jérémie : C’est-à-dire ?
Odd : Couscous-Boulettes !
--------------------------
Monsieur Dunbar : Depuis plusieurs jours, je n’ai plus aucune nouvelle de mon fils. Et lorsque j’essaie de le joindre sur son portable, hé bien, il ne décroche pas.
Proviseur Delmas (d’un ton des plus sérieux) : J’avoue que c’est vraiment regrettable. Comptez sur moi pour retrouver votre fils. J’appelle la défense, le premier ministre, et même le président s’il le faut. [Pince sans rire, le proviseur.]
--------------------------
Aelita : Ben, tu manges pas ta banane, Odd ?
Odd : C’est pour Einstein. Même un cerveau, il faut que ça mange. [Qu’avez-vous fait d’Odd Della Robbia ? 0_0]
--------------------------
Jim : Je sais que William n’est pas plus malade que toi ou moi… Aaaatchoum !
--------------------------
Jim : Tu veux que je te dise ? William est quelque part. Et quelque chose me dit que tu sais sûrement quelque chose sur le quelque part.
--------------------------
Clone de Jérémie (à Yumi) : Hé, salut toi. Dis voir, c’est pour moi que tu t’es faite aussi mignonne aujourd’hui ? C’est dingue ce que tu dégages comme énergie troublante.
Yumi : Qu’est-ce qui te prend ? T’es plus toi-même.
Clone de Jérémie : Ben c’est que… En te voyant, je me sens être un autre homme. [Référence à problème d’Image ?]
--------------------------
Jim : Pincez-moi, je rêve ! Jérémie Belpois en personne a enfin daigné nous faire l’honneur de sa présence en chair et surtout en os.
--------------------------
Jim (D’un air amusé) : Bon sang de poids, Belpois. (Air surpris) Heu, je veux dire… Bon sang de bois, Belpois ! Quel lancer de poids !
--------------------------
Madame Hertz : Jim, tu es pire que les obscurantistes qui ont fait brûler la grande bibliothèque d’Alexandrie !
Jim : Merci, Suzanne !
--------------------------
Jim : Bon sang de bois, toutes les endives de Diderot vont en prendre plein les dents ! [Référence à Gravité zéro]
--------------------------
Jim : Yahouhou ! Je vais m’occuper de toi, mon petit Belpois ! Et on va voir ce qu’on va voir. Toi et moi, nous allons enfin croquer à pleines dents les lauriers de la victoire. On va enchaîner les championnats, les nationaux, les planétaires, les interplanétaires, et ça, les doigts dans le nez.
--------------------------
Jim : Deux précautions valent mieux qu’un homme averti.
--------------------------
Yumi (sur lyoko) : Sympa, la petite jupette.
Aelita : Euh… Merci, tes épaulettes ne sont pas mal non plus. [Evidemment, elles discutent chiffons]
--------------------------
Aelita (constatant qu’elle a des ailes dans le dos) : Jérémie, t’es vraiment un garçon qui me donne des ailes !
--------------------------
Yumi (sauvée par Aelita de la mer numérique) : Aelita, t’es un ange.
--------------------------
Jérémie (à son clone) : D’accord. Je vois qu’on a de la ressource. Hé bien moi-aussi ! [Référence à Surmenage ?]
--------------------------
Odd : Alors, comment tu trouves mon nouveau futal ?
Yumi : Ben... Euh…
Odd : Mouais. C’est ce que je pense aussi.
--------------------------
Proviseur Delmas : Alors, mon petit Dunbar. Je suis ravi de voir que votre fièvre est tombée.
Clone de William : Ah. Elle s’est pas fait mal, au moins ?
Odd : Et à ce moment-là, le type se met à hurler : tiens, voilà ce que j’en fais de ton canoë ! Hahahahaha. Ben quoi, c’est mortel, non ? Le type, il prend la fourchette, et… Ouah, vous avez vraiment aucun sens de l’humour.
Ulrich : Ben si, justement.
--------------------------
Odd : D’ailleurs si j’étais pas moi, je serais fan de mon humour.
Aelita : Héhé. Ben au moins, celle là, elle est drôle.
--------------------------
Proviseur Delmas (saisissant le téléphone) : Collège Delmas, Jean-Pierre Kadic. Euh… Collège Kadic, Jean-Pierre Delmas, j’écoute.
--------------------------
Jérémie (avec la voix de monsieur Dunbar) : Il est cloué au lit avec une fièvre de cheval.
Proviseur Delmas : Oh zut, j’espère que le cheval va bien…
--------------------------
Odd : Bon, maintenant que c’est réglé, si on songeait à l’essentiel ?
Jérémie : C’est-à-dire ?
Odd : Couscous-Boulettes !
--------------------------
Monsieur Dunbar : Depuis plusieurs jours, je n’ai plus aucune nouvelle de mon fils. Et lorsque j’essaie de le joindre sur son portable, hé bien, il ne décroche pas.
Proviseur Delmas (d’un ton des plus sérieux) : J’avoue que c’est vraiment regrettable. Comptez sur moi pour retrouver votre fils. J’appelle la défense, le premier ministre, et même le président s’il le faut. [Pince sans rire, le proviseur.]
--------------------------
Aelita : Ben, tu manges pas ta banane, Odd ?
Odd : C’est pour Einstein. Même un cerveau, il faut que ça mange. [Qu’avez-vous fait d’Odd Della Robbia ? 0_0]
--------------------------
Jim : Je sais que William n’est pas plus malade que toi ou moi… Aaaatchoum !
--------------------------
Jim : Tu veux que je te dise ? William est quelque part. Et quelque chose me dit que tu sais sûrement quelque chose sur le quelque part.
--------------------------
Clone de Jérémie (à Yumi) : Hé, salut toi. Dis voir, c’est pour moi que tu t’es faite aussi mignonne aujourd’hui ? C’est dingue ce que tu dégages comme énergie troublante.
Yumi : Qu’est-ce qui te prend ? T’es plus toi-même.
Clone de Jérémie : Ben c’est que… En te voyant, je me sens être un autre homme. [Référence à problème d’Image ?]
--------------------------
Jim : Pincez-moi, je rêve ! Jérémie Belpois en personne a enfin daigné nous faire l’honneur de sa présence en chair et surtout en os.
--------------------------
Jim (D’un air amusé) : Bon sang de poids, Belpois. (Air surpris) Heu, je veux dire… Bon sang de bois, Belpois ! Quel lancer de poids !
--------------------------
Madame Hertz : Jim, tu es pire que les obscurantistes qui ont fait brûler la grande bibliothèque d’Alexandrie !
Jim : Merci, Suzanne !
--------------------------
Jim : Bon sang de bois, toutes les endives de Diderot vont en prendre plein les dents ! [Référence à Gravité zéro]
--------------------------
Jim : Yahouhou ! Je vais m’occuper de toi, mon petit Belpois ! Et on va voir ce qu’on va voir. Toi et moi, nous allons enfin croquer à pleines dents les lauriers de la victoire. On va enchaîner les championnats, les nationaux, les planétaires, les interplanétaires, et ça, les doigts dans le nez.
--------------------------
Jim : Deux précautions valent mieux qu’un homme averti.
--------------------------
Yumi (sur lyoko) : Sympa, la petite jupette.
Aelita : Euh… Merci, tes épaulettes ne sont pas mal non plus. [Evidemment, elles discutent chiffons]
--------------------------
Aelita (constatant qu’elle a des ailes dans le dos) : Jérémie, t’es vraiment un garçon qui me donne des ailes !
--------------------------
Yumi (sauvée par Aelita de la mer numérique) : Aelita, t’es un ange.
--------------------------
Jérémie (à son clone) : D’accord. Je vois qu’on a de la ressource. Hé bien moi-aussi ! [Référence à Surmenage ?]
--------------------------
Odd : Alors, comment tu trouves mon nouveau futal ?
Yumi : Ben... Euh…
Odd : Mouais. C’est ce que je pense aussi.
--------------------------
Proviseur Delmas : Alors, mon petit Dunbar. Je suis ravi de voir que votre fièvre est tombée.
Clone de William : Ah. Elle s’est pas fait mal, au moins ?
Episode #69 Double Foyer
Odd : J’ai rêvé qu’on avait découvert la maladie de la patate folle. Du coup, j’angoisse de manger les frites et la purée de la cantine.
--------------------------
Ulrich : Hé, Jérémie, ton plumard et toi, vous faites lit à part ?
--------------------------
Ulrich : Cours de maths moins dix. Mets le turbo ou tu vas manquer un cours sublime sur le théorème de Thalès. Un chef d’œuvre d’après la critique.
--------------------------
Aelita : Et à part ça, Odd, t’es pas un ventre à pattes.
Odd : Pas du tout ! Chez moi c’est de l’instinct de survie !
--------------------------
Jim : On va choisir ça démaratraqui… démacrabatiaca… Oh, on va voter, quoi.
--------------------------
Millie : Est-ce que pour toi c’est ça la victoire de la démocratie ?
Clone de William : Heu... La démocratie ? C’est qui, celle-là, encore ? Je croyais que c’était moi le vainqueur.
--------------------------
Madame Meyer : Tu as quelque chose à ajouter sur Thalès ?
Odd : Heu… Sur ma laisse ? Mais j’ai pas de laisse, moi !
--------------------------
Aelita (dans un élan d’euphorie) : Ah, je suis heureuse ! On va libérer William ! [On s’en souviendra, de celle-là, on peut pas dire]
--------------------------
Yumi : Un responsable se doit de prendre du recul.
Clone de William : Du recul, ben, désolé, je ne peux pas, il y a le mur !
--------------------------
Jim : J’ai été champion interclubs dans ma jeunesse. Faut que je te raconte, on m’appelait « La raquette tueuse ».
Odd : Ouais, vous me raconterez ça un autre jour.
Jim (D’un air exaspéré) : Pour une fois que je veux bien en parler !
--------------------------
Clone de William : La raquette tueuse, hein ? Dites voir, c’était pas plutôt « La raquette foireuse », qu’on vous appelait, monsieur ?
--------------------------
Jérémie : C’est trop risqué. Je te ramène.
Aelita : Non, Jérémie. Ca m’empêcherait de revenir sur Lyoko tout de suite en cas d’attaque de Xana. [En trois saisons, ils n’ont jamais osé le dire clairement !]
--------------------------
Jérémie : Et Ulrich, il est où ?
Odd : Il fait le clown avec un clone. [Facile]
--------------------------
Odd (sur son Overboard) : Allez, en voiture, Princesse. Attention à la fermeture automatique des portières ! [Ben quoi ? Ce n’est pas plus inadapté que « Attachez vos ceintures » sortie à toutes les sauces.]
--------------------------
Ulrich : C’est bon, m’sieur, on a fini, on a choisi Sissi comme responsable du foyer.
Jim : Ah bon ? Ben moi, je voyais plutôt quelqu’un comme…Comme Dunbar, par exemple.
Clone de William : Ben heureusement que vous me voyez. Je suis devant vous.
--------------------------
Jérémie : Mais je ramènerai William un jour. Je le promets ! [Y a vraiment que Jérémie pour en faire d’aussi clichées]
Odd : J’ai rêvé qu’on avait découvert la maladie de la patate folle. Du coup, j’angoisse de manger les frites et la purée de la cantine.
--------------------------
Ulrich : Hé, Jérémie, ton plumard et toi, vous faites lit à part ?
--------------------------
Ulrich : Cours de maths moins dix. Mets le turbo ou tu vas manquer un cours sublime sur le théorème de Thalès. Un chef d’œuvre d’après la critique.
--------------------------
Aelita : Et à part ça, Odd, t’es pas un ventre à pattes.
Odd : Pas du tout ! Chez moi c’est de l’instinct de survie !
--------------------------
Jim : On va choisir ça démaratraqui… démacrabatiaca… Oh, on va voter, quoi.
--------------------------
Millie : Est-ce que pour toi c’est ça la victoire de la démocratie ?
Clone de William : Heu... La démocratie ? C’est qui, celle-là, encore ? Je croyais que c’était moi le vainqueur.
--------------------------
Madame Meyer : Tu as quelque chose à ajouter sur Thalès ?
Odd : Heu… Sur ma laisse ? Mais j’ai pas de laisse, moi !
--------------------------
Aelita (dans un élan d’euphorie) : Ah, je suis heureuse ! On va libérer William ! [On s’en souviendra, de celle-là, on peut pas dire]
--------------------------
Yumi : Un responsable se doit de prendre du recul.
Clone de William : Du recul, ben, désolé, je ne peux pas, il y a le mur !
--------------------------
Jim : J’ai été champion interclubs dans ma jeunesse. Faut que je te raconte, on m’appelait « La raquette tueuse ».
Odd : Ouais, vous me raconterez ça un autre jour.
Jim (D’un air exaspéré) : Pour une fois que je veux bien en parler !
--------------------------
Clone de William : La raquette tueuse, hein ? Dites voir, c’était pas plutôt « La raquette foireuse », qu’on vous appelait, monsieur ?
--------------------------
Jérémie : C’est trop risqué. Je te ramène.
Aelita : Non, Jérémie. Ca m’empêcherait de revenir sur Lyoko tout de suite en cas d’attaque de Xana. [En trois saisons, ils n’ont jamais osé le dire clairement !]
--------------------------
Jérémie : Et Ulrich, il est où ?
Odd : Il fait le clown avec un clone. [Facile]
--------------------------
Odd (sur son Overboard) : Allez, en voiture, Princesse. Attention à la fermeture automatique des portières ! [Ben quoi ? Ce n’est pas plus inadapté que « Attachez vos ceintures » sortie à toutes les sauces.]
--------------------------
Ulrich : C’est bon, m’sieur, on a fini, on a choisi Sissi comme responsable du foyer.
Jim : Ah bon ? Ben moi, je voyais plutôt quelqu’un comme…Comme Dunbar, par exemple.
Clone de William : Ben heureusement que vous me voyez. Je suis devant vous.
--------------------------
Jérémie : Mais je ramènerai William un jour. Je le promets ! [Y a vraiment que Jérémie pour en faire d’aussi clichées]
Episode #70 Skidbladnir
Jérémie : Odd, on ne baptise jamais un navire tant que sa construction n’est pas achevée. Mais en attendant, on peut lui trouver un nom de code.
Odd : T’as raison… Hum… Qu’est-ce que vous pensez de « Mélanie » ?
Aelita : Mélanie… C’est pas la petite rousse de seconde qui te fait craquer ?
Ulrich : waoh, tu flashes sur une nana qui te fait penser à un sous-marin ?
--------------------------
Jim : Belpois ! Je peux savoir ce que tu fais ici ?
Jérémie : Ben… C’est ma chambre…
--------------------------
Jim : Je croyais pourtant vous avoir dit que les filles du dessus n’avaient rien à faire chez les garçons du dessous. Je pensais avoir été clair, non ? [Non. Référence à Esprit frappeur ?] Donc demain, vous irez expliquer au proviseur les dessous de cette affaire. Vous pouvez compter là-dessus !
--------------------------
Odd (à ses amis) : J’ai une idée.
Professeur d'Anglais : Oui, Odd, on vous écoute. Dites-nous ce qui vous intéresse plus que les œuvres du grand Shakespeare.
Odd : Euh… Mélanie.
--------------------------
Odd : On dira que vous avez été victimes d’un empoisonnement alimentaire et que vous êtes à l’hosto.
Jérémie : Tu crois que ça peut marcher ?
Aelita : Y a quoi au menu aujourd’hui ?
Ulrich : Raviolis.
Jérémie : Hé ben… Dans ce cas, ça peut marcher. [Référence à Sabotage ?]
--------------------------
Jim : […] C’est quand j’ai du m’éjecter de nuit en pleine tempête au milieu des pires zones de l’Atlantique nord, que je me suis rendu compte que, manque de bol, je serais en retard pour le dîner. [Faut voir la tête de Jérémie et Aelita]
--------------------------
Jim : Comme on dit, il faut diviser pour mieux… Pour mieux… Pour mieux séparer.
--------------------------
Jim (d’un ton sarcastique qu’on trouve rarement chez Jim) : Si quelqu’un doit récupérer quelque chose, Della Robbia, c’est un clown habillé en mauve et affublé d’une coiffure ridicule, et qui va passer un mauvais quart d’heure s’il ne récupère pas ce jouet en plastoc.
Odd : Ridicule, ma coiffure ? C’est la plus branchée du collège ! [C'est la première fois qu'une remarque est faite dessus.]
--------------------------
Jim : Quand on est en colle, on est en colle. Ca veut dire qu’on ne passe pas son temps scotché à son portable.
--------------------------
Jim : Ecoutez, je ne suis pas un vieux singe tombé de la dernière pluie. Alors si vous voulez jouer au plus crétin avec moi, vous ne risquez pas de gagner.
--------------------------
Odd : Qu’est-ce qui se passe, le message est pas clair ?
Ulrich (aveuglé par la montre de Jérémie) : Si, un peu trop, justement.
Yumi : Alors, ça marche, vos idées de génie ?
Ulrich : Non, mais en parlant de génie, Einstein cherche à nous éblouir avec le sien.
Yumi : Hein ? Mais c’est du morse, banane.
Odd : Du morse banane ? Ca a l’air bon, c’est japonais ?
--------------------------
Ulrich : T’as appris le morse, toi aussi ?
Yumi : Oui, avec Hiroki, pour discuter à l’insu de nos parents. [Une petite complicité, quand même, on dirait]
--------------------------
Aelita : Monsieur Moralès, il paraît que vous avez été prof de maths sous les tropiques.
Jim : Affirmatif.
Aelita : Je n’arrive pas à comprendre l’histoire du carré de l’hypoténuse. Vous pourriez m’aider ?
Jim : Oui, mais… Ca risque d’être un peu difficile parce que vois tu, sous les tropiques, la valeur de l’hippopoténuse est… Comment dire ? Variable.
Aelita : Oui, bien sûr, normal, avec la chaleur.
--------------------------
Yumi (lisant le message de Jérémie) : « Yumi, tu prends les commandes, Odd et Ulrich, vous plongez sur Lyoko ».
Ulrich : Allez, à toi de jouer, Yumi. Tu l’as déjà fait. [Référence à Frontière]
--------------------------
Ulrich (à Yumi) : Tu vas assurer. Moi, je te fais confiance. [Ultra cliché, mais on aime bien ça.]
--------------------------
Jim : Je dirais même que l’hypothalamus descend lui-même de l’hypertens… Heu, de l’hyperténuse.
--------------------------
Odd : Deux bras, deux jambes, une tête, une queue, d’accord. Le compte est bon. [Référence à Tarentule au plafond ?]
--------------------------
Jim : Tant que votre colle ne sera pas terminée, cette porte restera… Dans mon dos ! [Ca n’exclut pas qu’ils sortent.]
--------------------------
Odd (à propos des Mantas) : Manquait plus que les Xana airforce.
--------------------------
Odd : Et pourquoi on garderait pas Mélanie ? C’est un chouette nom.
Yumi : Pour une nana peut-être, mais pas pour un sous-marin…
--------------------------
Jim : Allez toutou, allez mon chien-chien. Je sais que tu es par là. Viens voir Oncle Jim. Il a un tas de nonosses pour toi ! Allez, quoi, montre-toi ! Tu ne m’échapperas pas, sale cabot !
[Référence à Vacances dans la Brume]
Edit: correction d'une épouvantable erreur.
Jérémie : Odd, on ne baptise jamais un navire tant que sa construction n’est pas achevée. Mais en attendant, on peut lui trouver un nom de code.
Odd : T’as raison… Hum… Qu’est-ce que vous pensez de « Mélanie » ?
Aelita : Mélanie… C’est pas la petite rousse de seconde qui te fait craquer ?
Ulrich : waoh, tu flashes sur une nana qui te fait penser à un sous-marin ?
--------------------------
Jim : Belpois ! Je peux savoir ce que tu fais ici ?
Jérémie : Ben… C’est ma chambre…
--------------------------
Jim : Je croyais pourtant vous avoir dit que les filles du dessus n’avaient rien à faire chez les garçons du dessous. Je pensais avoir été clair, non ? [Non. Référence à Esprit frappeur ?] Donc demain, vous irez expliquer au proviseur les dessous de cette affaire. Vous pouvez compter là-dessus !
--------------------------
Odd (à ses amis) : J’ai une idée.
Professeur d'Anglais : Oui, Odd, on vous écoute. Dites-nous ce qui vous intéresse plus que les œuvres du grand Shakespeare.
Odd : Euh… Mélanie.
--------------------------
Odd : On dira que vous avez été victimes d’un empoisonnement alimentaire et que vous êtes à l’hosto.
Jérémie : Tu crois que ça peut marcher ?
Aelita : Y a quoi au menu aujourd’hui ?
Ulrich : Raviolis.
Jérémie : Hé ben… Dans ce cas, ça peut marcher. [Référence à Sabotage ?]
--------------------------
Jim : […] C’est quand j’ai du m’éjecter de nuit en pleine tempête au milieu des pires zones de l’Atlantique nord, que je me suis rendu compte que, manque de bol, je serais en retard pour le dîner. [Faut voir la tête de Jérémie et Aelita]
--------------------------
Jim : Comme on dit, il faut diviser pour mieux… Pour mieux… Pour mieux séparer.
--------------------------
Jim (d’un ton sarcastique qu’on trouve rarement chez Jim) : Si quelqu’un doit récupérer quelque chose, Della Robbia, c’est un clown habillé en mauve et affublé d’une coiffure ridicule, et qui va passer un mauvais quart d’heure s’il ne récupère pas ce jouet en plastoc.
Odd : Ridicule, ma coiffure ? C’est la plus branchée du collège ! [C'est la première fois qu'une remarque est faite dessus.]
--------------------------
Jim : Quand on est en colle, on est en colle. Ca veut dire qu’on ne passe pas son temps scotché à son portable.
--------------------------
Jim : Ecoutez, je ne suis pas un vieux singe tombé de la dernière pluie. Alors si vous voulez jouer au plus crétin avec moi, vous ne risquez pas de gagner.
--------------------------
Odd : Qu’est-ce qui se passe, le message est pas clair ?
Ulrich (aveuglé par la montre de Jérémie) : Si, un peu trop, justement.
Yumi : Alors, ça marche, vos idées de génie ?
Ulrich : Non, mais en parlant de génie, Einstein cherche à nous éblouir avec le sien.
Yumi : Hein ? Mais c’est du morse, banane.
Odd : Du morse banane ? Ca a l’air bon, c’est japonais ?
--------------------------
Ulrich : T’as appris le morse, toi aussi ?
Yumi : Oui, avec Hiroki, pour discuter à l’insu de nos parents. [Une petite complicité, quand même, on dirait]
--------------------------
Aelita : Monsieur Moralès, il paraît que vous avez été prof de maths sous les tropiques.
Jim : Affirmatif.
Aelita : Je n’arrive pas à comprendre l’histoire du carré de l’hypoténuse. Vous pourriez m’aider ?
Jim : Oui, mais… Ca risque d’être un peu difficile parce que vois tu, sous les tropiques, la valeur de l’hippopoténuse est… Comment dire ? Variable.
Aelita : Oui, bien sûr, normal, avec la chaleur.
--------------------------
Yumi (lisant le message de Jérémie) : « Yumi, tu prends les commandes, Odd et Ulrich, vous plongez sur Lyoko ».
Ulrich : Allez, à toi de jouer, Yumi. Tu l’as déjà fait. [Référence à Frontière]
--------------------------
Ulrich (à Yumi) : Tu vas assurer. Moi, je te fais confiance. [Ultra cliché, mais on aime bien ça.]
--------------------------
Jim : Je dirais même que l’hypothalamus descend lui-même de l’hypertens… Heu, de l’hyperténuse.
--------------------------
Odd : Deux bras, deux jambes, une tête, une queue, d’accord. Le compte est bon. [Référence à Tarentule au plafond ?]
--------------------------
Jim : Tant que votre colle ne sera pas terminée, cette porte restera… Dans mon dos ! [Ca n’exclut pas qu’ils sortent.]
--------------------------
Odd (à propos des Mantas) : Manquait plus que les Xana airforce.
--------------------------
Odd : Et pourquoi on garderait pas Mélanie ? C’est un chouette nom.
Yumi : Pour une nana peut-être, mais pas pour un sous-marin…
--------------------------
Jim : Allez toutou, allez mon chien-chien. Je sais que tu es par là. Viens voir Oncle Jim. Il a un tas de nonosses pour toi ! Allez, quoi, montre-toi ! Tu ne m’échapperas pas, sale cabot !
[Référence à Vacances dans la Brume]
Edit: correction d'une épouvantable erreur.
Dernière édition par L'anonyme le 20 Aoû 2007, 17:18, édité 1 fois.
Episode #71 Premier Voyage
Jim (à propos d’un alpiniste) : Enfin bref. Il a prouvé qu’en se surpassant on pouvait déplacer des montagnes. Et accessoirement, grimper jusqu’au sommet.
--------------------------
Jim : Allez Belpois. A toi de jouer. Montre-nous que tu es à la hauteur. Ce sera le point culminant du cours d’aujourd’hui.
--------------------------
Sissi : Alors, super tronche, t’as eu du mal à soulever ton gros cerveau avec tes petits bras ?
Jérémie : Hum. A toi de jouer, Odd.
Odd : Dis, Aelita, tu veux bien répondre à ma place, s’il te plait, j’ai déjà la bouche pleine.
Aelita : C’est sûr que toi, avec ton crâne gonflé à l’hélium, tu grimpes toute seule. (Rires de tout le monde)
Hervé : Franchement, Sissi, y a des fois où je me demande si tu le cherches pas un peu. [Excellente, celle-là]
--------------------------
Jérémie : Enfin, c’est pas possible, je suis quand même pas si nul que ça en sport !
Aelita : Mais non, voyons, tu… Ben si, en fait, si, t’es nul en sport. Mais c’est pas grave, enfin, je veux dire, moi, je t’aime comme ça.
--------------------------
Odd : Einstein, ça y est, on est dans le garage Skid, on fait quoi ? [Première référence à Garage Kids de toute la série]
--------------------------
Odd : C’est mortel, on se croirait dans un vaisseau spatial !
Ulrich : Ouais ben, fais gaffe, Odd ! On est pas dans galactic Battle
Odd : Jaloux, va, tu dis ça parce que j’ai éclaté ton High score trois fois d’affilée hier soir.
Ulrich : Normal, t’as triché.
--------------------------
Aelita (tandis que le Skidbladnir décolle) : Pour toi, Papa. [Bien partie pour être culte, celle-là]
--------------------------
Jim : Et comme on dit, un homme averti vaut mieux que deux « Tu l’auras ».
--------------------------
Jim (aux pompiers) : Vous savez, quand j’étais pompier, il m’était arrivé….
--------------------------
Jérémie (en grimpant le toit du collège) : L’escalade peut mener très haut, qu’il disait, l’autre !
--------------------------
Jérémie (à un pompier) : Désolé, m’sieur, y a le feu !
--------------------------
Odd : Bon sang, Aelita, fais attention ! Tu vas nous tuer ! Qui t’a appris à piloter ?
Aelita : C’est toi, Odd.
--------------------------
Ulrich (à un Kongre) : Hé, le poisson pas frais ! Tu veux un autre hameçon ?
Jim (à propos d’un alpiniste) : Enfin bref. Il a prouvé qu’en se surpassant on pouvait déplacer des montagnes. Et accessoirement, grimper jusqu’au sommet.
--------------------------
Jim : Allez Belpois. A toi de jouer. Montre-nous que tu es à la hauteur. Ce sera le point culminant du cours d’aujourd’hui.
--------------------------
Sissi : Alors, super tronche, t’as eu du mal à soulever ton gros cerveau avec tes petits bras ?
Jérémie : Hum. A toi de jouer, Odd.
Odd : Dis, Aelita, tu veux bien répondre à ma place, s’il te plait, j’ai déjà la bouche pleine.
Aelita : C’est sûr que toi, avec ton crâne gonflé à l’hélium, tu grimpes toute seule. (Rires de tout le monde)
Hervé : Franchement, Sissi, y a des fois où je me demande si tu le cherches pas un peu. [Excellente, celle-là]
--------------------------
Jérémie : Enfin, c’est pas possible, je suis quand même pas si nul que ça en sport !
Aelita : Mais non, voyons, tu… Ben si, en fait, si, t’es nul en sport. Mais c’est pas grave, enfin, je veux dire, moi, je t’aime comme ça.
--------------------------
Odd : Einstein, ça y est, on est dans le garage Skid, on fait quoi ? [Première référence à Garage Kids de toute la série]
--------------------------
Odd : C’est mortel, on se croirait dans un vaisseau spatial !
Ulrich : Ouais ben, fais gaffe, Odd ! On est pas dans galactic Battle
Odd : Jaloux, va, tu dis ça parce que j’ai éclaté ton High score trois fois d’affilée hier soir.
Ulrich : Normal, t’as triché.
--------------------------
Aelita (tandis que le Skidbladnir décolle) : Pour toi, Papa. [Bien partie pour être culte, celle-là]
--------------------------
Jim : Et comme on dit, un homme averti vaut mieux que deux « Tu l’auras ».
--------------------------
Jim (aux pompiers) : Vous savez, quand j’étais pompier, il m’était arrivé….
--------------------------
Jérémie (en grimpant le toit du collège) : L’escalade peut mener très haut, qu’il disait, l’autre !
--------------------------
Jérémie (à un pompier) : Désolé, m’sieur, y a le feu !
--------------------------
Odd : Bon sang, Aelita, fais attention ! Tu vas nous tuer ! Qui t’a appris à piloter ?
Aelita : C’est toi, Odd.
--------------------------
Ulrich (à un Kongre) : Hé, le poisson pas frais ! Tu veux un autre hameçon ?
Dernière édition par L'anonyme le 25 Aoû 2007, 18:50, édité 1 fois.
Episode #72 Leçon de choses
Aelita : Je savais pas que t’avais rompu avec Mélanie.
Odd : Qui ça ? Ah, Mélanie. Ouais, heu, non. Elle était pas assez… Elle est un peu trop… Alors que moi, chuis beaucoup plus… Fin, tu vois, quoi.
Aelita : Non.
--------------------------
Odd : Peut-être, mais Camille, elle a quelque chose en plus…. Elle aime les chiens.
--------------------------
Jérémie : Vous vous souvenez de ses dernières attaques !
Odd : Laquelle ? Celle avec les arbres ou celle de la piscine ?
Ulrich : Odd ! On avait dit qu’on ne parlerait plus de l’attaque de la piscine.
Aelita : Pourquoi, qu’est-ce qu’il s’est passé pendant l’attaque de la piscine ?
Ulrich (rougissant) : Rien.
Yumi (rougissant aussi) : Oh, rien du tout !
--------------------------
Jérémie : Vous avez des questions ?
Ulrich : Moi, j’en ai une. Comment retenir tout ça ? C’est n’importe quoi, tes explications !
--------------------------
Jérémie : Je suppose qu’on peut passer à la pratique.
Odd (se réveillant) : Oh ? C’est déjà terminé ?
--------------------------
Odd : Ca y est, Ulrich, je suis prêt. Te goure pas de bouton, j’ai pas envie de me retrouver avec quatre bras et trois jambes.
--------------------------
Odd : A propos, vous avez des nouvelles de spectrounet ?
--------------------------
Odd (face aux blocs) : Bon, comme d’hab, va falloir que je débloque la situation.
--------------------------
Yumi (à propos du nom de code de la virtualisation différée) : Gros caramel mou ?
Aelita (gênée) : Oh, c’est… C’est une blague entre Jérémie et moi…
--------------------------
Aelita : Quoi de neuf, docteur ?
--------------------------
Ulrich : On a un plateau de fruits de mer, et William comme assaisonnement.
--------------------------
Odd : Et puis tu te souviens ? On a fait pareil lors de l’attaque de la piscine.
Ulrich (dévirtualisant Odd) : Ne me parle jamais de l’attaque de la piscine ! [Odd l’a fait exprès, c’est évident : il voulait être dévirtualisé à la place d’Ulrich]
--------------------------
Yumi : Je savais pas que t’étais revenu.
Odd : Lui non plus, mais je l’ai mis au courant. [Tu m’étonnes, il l’a électrocuté]
--------------------------
Yumi : Alors William, on s’intéresse à une autre fille ?
--------------------------
Yumi : Bien joué, Odd, juste à temps !
Odd : Merci, merci, et encore, ce n’est qu’une facette de mon talent.
--------------------------
William : Tu es perdue, Yumi !
Yumi : Ca, c’est à voir ! [Cliché de cliché, mais on aime parce que c’est Yumi et William!]
--------------------------
Aelita : Mais vous allez me dire ce qu’il s’est passé lors de cette fameuse attaque de la piscine, à la fin ?
Ulrich : Ben…
Odd : Ben, c’est simple. Voilà, comment dire… Heu, tu te souviens de l’attaque du Gymnase ?
Jérémie : Odd, on t’avait pourtant dit de ne plus parler de l’attaque du gymnase !
Ulrich : Pourquoi, qu’est-ce qu’il s’est passé ?
Jérémie (rougissant) : Heu, rien du tout.
Aelita (rougissant) : Oh, rien du tout !
Aelita : Je savais pas que t’avais rompu avec Mélanie.
Odd : Qui ça ? Ah, Mélanie. Ouais, heu, non. Elle était pas assez… Elle est un peu trop… Alors que moi, chuis beaucoup plus… Fin, tu vois, quoi.
Aelita : Non.
--------------------------
Odd : Peut-être, mais Camille, elle a quelque chose en plus…. Elle aime les chiens.
--------------------------
Jérémie : Vous vous souvenez de ses dernières attaques !
Odd : Laquelle ? Celle avec les arbres ou celle de la piscine ?
Ulrich : Odd ! On avait dit qu’on ne parlerait plus de l’attaque de la piscine.
Aelita : Pourquoi, qu’est-ce qu’il s’est passé pendant l’attaque de la piscine ?
Ulrich (rougissant) : Rien.
Yumi (rougissant aussi) : Oh, rien du tout !
--------------------------
Jérémie : Vous avez des questions ?
Ulrich : Moi, j’en ai une. Comment retenir tout ça ? C’est n’importe quoi, tes explications !
--------------------------
Jérémie : Je suppose qu’on peut passer à la pratique.
Odd (se réveillant) : Oh ? C’est déjà terminé ?
--------------------------
Odd : Ca y est, Ulrich, je suis prêt. Te goure pas de bouton, j’ai pas envie de me retrouver avec quatre bras et trois jambes.
--------------------------
Odd : A propos, vous avez des nouvelles de spectrounet ?
--------------------------
Odd (face aux blocs) : Bon, comme d’hab, va falloir que je débloque la situation.
--------------------------
Yumi (à propos du nom de code de la virtualisation différée) : Gros caramel mou ?
Aelita (gênée) : Oh, c’est… C’est une blague entre Jérémie et moi…
--------------------------
Aelita : Quoi de neuf, docteur ?
--------------------------
Ulrich : On a un plateau de fruits de mer, et William comme assaisonnement.
--------------------------
Odd : Et puis tu te souviens ? On a fait pareil lors de l’attaque de la piscine.
Ulrich (dévirtualisant Odd) : Ne me parle jamais de l’attaque de la piscine ! [Odd l’a fait exprès, c’est évident : il voulait être dévirtualisé à la place d’Ulrich]
--------------------------
Yumi : Je savais pas que t’étais revenu.
Odd : Lui non plus, mais je l’ai mis au courant. [Tu m’étonnes, il l’a électrocuté]
--------------------------
Yumi : Alors William, on s’intéresse à une autre fille ?
--------------------------
Yumi : Bien joué, Odd, juste à temps !
Odd : Merci, merci, et encore, ce n’est qu’une facette de mon talent.
--------------------------
William : Tu es perdue, Yumi !
Yumi : Ca, c’est à voir ! [Cliché de cliché, mais on aime parce que c’est Yumi et William!]
--------------------------
Aelita : Mais vous allez me dire ce qu’il s’est passé lors de cette fameuse attaque de la piscine, à la fin ?
Ulrich : Ben…
Odd : Ben, c’est simple. Voilà, comment dire… Heu, tu te souviens de l’attaque du Gymnase ?
Jérémie : Odd, on t’avait pourtant dit de ne plus parler de l’attaque du gymnase !
Ulrich : Pourquoi, qu’est-ce qu’il s’est passé ?
Jérémie (rougissant) : Heu, rien du tout.
Aelita (rougissant) : Oh, rien du tout !
Episode #73 Réplika
Odd (jouant à Galactic Battle) : Rah, méchantes bouboules ! Ah, saleté de vortex ! Z’allez voir ! Vous ferez moins les malins quand je vous aurai magrabolisé le trou noir.
--------------------------
Jim : C’est bien. Quand on n’est pas dans son assiette, faut pas hésiter à se rendre à la raison et à l’infirmerie.
--------------------------
Jim : Ducrocq ?
Matthieu : Ouais !
Jim : On dit présent, Ducrocq, on dit pas « ouais », ok ?
Matthieu : Ouais !
--------------------------
Nicolas : Salut Noémie, hé dis donc, ça te dirait ce soir de vivre une expérience troublante et merveilleuse au clair de lune?[Premier essai]
--------------------------
Jim : Pour une fois, je vous épargnerai le discours comme quoi le saut en hauteur est largement à la hauteur de la longueur.
--------------------------
Yolande Perraudin : Je vous l’avais dit, Jim. A force de faire le vieux singe, vous finirez par faire la grimace !
--------------------------
Odd (croyant parler à ses amis) : Alors c’était quoi le discours ridicule de GI Jim, aujourd’hui ? Ca, ça m’embête de l’avoir raté, à chaque fois, ça me fait mourir de rire.
Proviseur Delmas : Hé bien venez donc rire un peu avec nous dans mon bureau !
--------------------------
Proviseur Delmas (d’un ton très sérieux) : Sans la moindre vergogne, vous avez foulé au pied le pacte social qui différencie l’Homme de l’animal qu’il y a en chacun de nous… (Se mettant soudain en colère) Bref, c’est quatre heures de colle pour chacun.
Jim : Quoi ? Seulement quatre ?
Proviseur Delmas : Oui. Et c’est parce que je suis bien trop…
Jim : Faible !
Proviseur Delmas : Hrm… Magnanime.
--------------------------
Nicolas : Tiens, salut Aelita, dis donc, ça te dirait ce soir de vivre une expérience troublante et merveilleuse au clair de lune ? [Deuxième essai]
--------------------------
Aelita (à propos de Nicolas, appelé ainsi par Odd) : Je préfère sortir avec une endive que discuter avec une patate !
--------------------------
Ulrich (à la cantine) : mmmh. Très bonnes, ces patates.
Odd : Hrrrrm.
Ulrich : Ben quoi, qu’est-ce que j’ai dit ?
--------------------------
Aelita : J’ai des tonnes de révisions à… A réviser justement !
Nicolas (d’un ton égal) : Ouais, j’me disais aussi que c’était trop vrai pour être beau. Heu, enfin… l’inverse.
--------------------------
Nicolas : Heu, dis donc, Hervé, ça te dirait ce soir de vivre une expérience troublante et merveilleuse au clair de lune ? [« ?!? » Pense-t-on]
--------------------------
Hervé : C’est donc ça, ton expérience troublante et merveilleuse ? Une ridicule partie de pèche ?
--------------------------
Nicolas : Tu peux pas savoir comme c’est troublant et merveilleux de ferrer un bon gros brochet !
Hervé : C’est toi, le gros brochet
--------------------------
Hervé : Quand je pense que je vais mourir ici sans jamais avoir déclaré à Sissi que je l’aime ! [Jamais ??]
--------------------------
Aelita (à propos du réplika) : Aïe, il est fermé.
Odd : t’as qu’à sonner pour qu’on ouvre !
--------------------------
Odd : Hé !
Ulrich et Yumi : Odd ?
Odd : Oui ?
Ulrich et Yumi : La ferme, Odd !
--------------------------
Hervé : A propos de ce que j’ai dit au sujet de Sissi, tout à l’heure, tu oublies, d’accord ?
Nicolas (malicieux) : D’accord, je serai muet comme un brochet.
Hervé : Une carpe ! On dit muet comme une carpe !
--------------------------
Odd : Tout ça pour un autre territoire de la forêt ? On a le même à la maison !
Aelita : Quelqu’un pour rire à la blague d’Odd, s’il vous plait ? J’ai peur qu’il nous pique une crise.
--------------------------
Nicolas : Moi, je te dis qu’ils sont venus ici pour faire de l’espionnage industriel !
Hervé : Odd et Aelita ? De l’espionnage ? Dans une usine désaffectée ?
--------------------------
Odd (à un Mégatank) : Pas de bol, méchante bouboule, le garagiste est passé !
--------------------------
Sissi : C’est le potin le plus idiot depuis l’histoire de la moumoute de Monsieur Chardin.
--------------------------
Odd (à Aelita) : T’étais pas très convaincante quand tu m’as appelé « gros naze ». [Evidemment]
Odd (jouant à Galactic Battle) : Rah, méchantes bouboules ! Ah, saleté de vortex ! Z’allez voir ! Vous ferez moins les malins quand je vous aurai magrabolisé le trou noir.
--------------------------
Jim : C’est bien. Quand on n’est pas dans son assiette, faut pas hésiter à se rendre à la raison et à l’infirmerie.
--------------------------
Jim : Ducrocq ?
Matthieu : Ouais !
Jim : On dit présent, Ducrocq, on dit pas « ouais », ok ?
Matthieu : Ouais !
--------------------------
Nicolas : Salut Noémie, hé dis donc, ça te dirait ce soir de vivre une expérience troublante et merveilleuse au clair de lune?[Premier essai]
--------------------------
Jim : Pour une fois, je vous épargnerai le discours comme quoi le saut en hauteur est largement à la hauteur de la longueur.
--------------------------
Yolande Perraudin : Je vous l’avais dit, Jim. A force de faire le vieux singe, vous finirez par faire la grimace !
--------------------------
Odd (croyant parler à ses amis) : Alors c’était quoi le discours ridicule de GI Jim, aujourd’hui ? Ca, ça m’embête de l’avoir raté, à chaque fois, ça me fait mourir de rire.
Proviseur Delmas : Hé bien venez donc rire un peu avec nous dans mon bureau !
--------------------------
Proviseur Delmas (d’un ton très sérieux) : Sans la moindre vergogne, vous avez foulé au pied le pacte social qui différencie l’Homme de l’animal qu’il y a en chacun de nous… (Se mettant soudain en colère) Bref, c’est quatre heures de colle pour chacun.
Jim : Quoi ? Seulement quatre ?
Proviseur Delmas : Oui. Et c’est parce que je suis bien trop…
Jim : Faible !
Proviseur Delmas : Hrm… Magnanime.
--------------------------
Nicolas : Tiens, salut Aelita, dis donc, ça te dirait ce soir de vivre une expérience troublante et merveilleuse au clair de lune ? [Deuxième essai]
--------------------------
Aelita (à propos de Nicolas, appelé ainsi par Odd) : Je préfère sortir avec une endive que discuter avec une patate !
--------------------------
Ulrich (à la cantine) : mmmh. Très bonnes, ces patates.
Odd : Hrrrrm.
Ulrich : Ben quoi, qu’est-ce que j’ai dit ?
--------------------------
Aelita : J’ai des tonnes de révisions à… A réviser justement !
Nicolas (d’un ton égal) : Ouais, j’me disais aussi que c’était trop vrai pour être beau. Heu, enfin… l’inverse.
--------------------------
Nicolas : Heu, dis donc, Hervé, ça te dirait ce soir de vivre une expérience troublante et merveilleuse au clair de lune ? [« ?!? » Pense-t-on]
--------------------------
Hervé : C’est donc ça, ton expérience troublante et merveilleuse ? Une ridicule partie de pèche ?
--------------------------
Nicolas : Tu peux pas savoir comme c’est troublant et merveilleux de ferrer un bon gros brochet !
Hervé : C’est toi, le gros brochet
--------------------------
Hervé : Quand je pense que je vais mourir ici sans jamais avoir déclaré à Sissi que je l’aime ! [Jamais ??]
--------------------------
Aelita (à propos du réplika) : Aïe, il est fermé.
Odd : t’as qu’à sonner pour qu’on ouvre !
--------------------------
Odd : Hé !
Ulrich et Yumi : Odd ?
Odd : Oui ?
Ulrich et Yumi : La ferme, Odd !
--------------------------
Hervé : A propos de ce que j’ai dit au sujet de Sissi, tout à l’heure, tu oublies, d’accord ?
Nicolas (malicieux) : D’accord, je serai muet comme un brochet.
Hervé : Une carpe ! On dit muet comme une carpe !
--------------------------
Odd : Tout ça pour un autre territoire de la forêt ? On a le même à la maison !
Aelita : Quelqu’un pour rire à la blague d’Odd, s’il vous plait ? J’ai peur qu’il nous pique une crise.
--------------------------
Nicolas : Moi, je te dis qu’ils sont venus ici pour faire de l’espionnage industriel !
Hervé : Odd et Aelita ? De l’espionnage ? Dans une usine désaffectée ?
--------------------------
Odd (à un Mégatank) : Pas de bol, méchante bouboule, le garagiste est passé !
--------------------------
Sissi : C’est le potin le plus idiot depuis l’histoire de la moumoute de Monsieur Chardin.
--------------------------
Odd (à Aelita) : T’étais pas très convaincante quand tu m’as appelé « gros naze ». [Evidemment]
Dernière édition par L'anonyme le 25 Aoû 2007, 18:31, édité 2 fois.
J'adore toujours tes citations L'anonyme
Et le pire, c'est que Nicolas ne dit pas non
Galactic Battle?
XANA le respecte déjà trop pour le traîter de "gros naze" il paraît. Par contre, Yumi l'était déjà moins

L'anonyme a écrit:Nicolas : Heu, dis donc, Hervé, ça te dirait ce soir de vivre une expérience troublante et merveilleuse au clair de lune ? [« ?!? » Pense-t-on]
Et le pire, c'est que Nicolas ne dit pas non

L'anonyme a écrit:Odd (à un Mégatank) : Pas de bol, méchante bouboule, le garagiste est passé !
Galactic Battle?
L'anonyme a écrit:Odd : T’étais pas très convaincante quand tu m’as appelé « gros naze ». [Evidemment]
XANA le respecte déjà trop pour le traîter de "gros naze" il paraît. Par contre, Yumi l'était déjà moins

Episode #74 Je préfère ne pas en parler
Jérémie : Alors là, c’est catastrophique ! Sans rire, faut le voir pour le croire, bande de tortues sous tranquillisant ! Sauf toi, Odd. Même les tortues sont plus rapides.
--------------------------
Jérémie : En même temps, ça risque de vous paraître un peu fou.
Jim : Beuh, depuis mon premier vol orbital, plus rien ne me surprend. [Préféreriez-vous ne pas en parler ?]
--------------------------
Jim : Une équipe de bras cassés, j’en ai vue. Mais des comme vous, ça, jamais. 15 heures 00, ce n’est pas 15 heures 02, ou 03.
--------------------------
Jim (se désignant) : Ici, y a plus de montre, Della Robbia. Y a qu’une cloche, et cette cloche, tu l’as devant toi !
--------------------------
Jim : A partir de maintenant, on vit et on meurt ensemble ! Compris ?
Aelita: Heu, oui, d’accord.
Odd: Heu… Yo, man! Ok!
Jim (s’énervant): Est-ce que c’est compris?
Tout le monde : Chef, oui chef !
--------------------------
Odd : Oh mon ventre ! Ca m’apprendra à reprendre de la tartiflette après le sauté de bœuf !
--------------------------
Jim : Toi, Belpois, tu pourrais même pas battre une poule unijambiste à la course !
--------------------------
Ulrich : Vous avez vu ?
Yumi : C’est Xana !
Ulrich : M’sieur Moralès, faites gaffe, cette bestiole n’est pas normale.
Aelita : Ce n’est pas un sanglier !
Jim : Bien sûr que non, je vous l’ai dit, c’est juste un gros cochon sauvage.
--------------------------
Jim : Hé oui. Y a de grandes chances. Enfin, moi, quand je dis « chance »… [J’aimerais savoir la suite !]
--------------------------
Odd (désignant William) : Tiens, c’est pas ton petit copain, là bas ?
Yumi : C’est pas mon petit copain ! Il est un peu trop pot de colle à mon goût.
--------------------------
Jim : Oh ! Bon sang de bois ! Il manque pas de cran, le blondinet ! [Réconciliation ?]
--------------------------
Jim : Si tu crois que Jim abandonne ses hommes face à l’ennemi, tu te fourres le doigt dans le nez jusqu’au cou !
--------------------------
Yumi : Vraiment, Jim, c’est trop…
Ulrich : D’horreur… Heu, d’honneur.
--------------------------
Jérémie (à propos de la proposition de Jim de suivre son atelier commando) : Vous pouvez compter sur moi, Jim. Je vous dois bien ça !
Jim : C’est bien, Belpois ! Je savais que je pouvais te faire confiance ! [Réconciliation.]
Odd : J’y crois pas ! « Vous pouvez compter sur moi » ! T’aurais pas pu trouver autre chose, Einstein ? « Non », par exemple, ou « never » ou « nein » ou « niet » ?
Jérémie : Alors là, c’est catastrophique ! Sans rire, faut le voir pour le croire, bande de tortues sous tranquillisant ! Sauf toi, Odd. Même les tortues sont plus rapides.
--------------------------
Jérémie : En même temps, ça risque de vous paraître un peu fou.
Jim : Beuh, depuis mon premier vol orbital, plus rien ne me surprend. [Préféreriez-vous ne pas en parler ?]
--------------------------
Jim : Une équipe de bras cassés, j’en ai vue. Mais des comme vous, ça, jamais. 15 heures 00, ce n’est pas 15 heures 02, ou 03.
--------------------------
Jim (se désignant) : Ici, y a plus de montre, Della Robbia. Y a qu’une cloche, et cette cloche, tu l’as devant toi !
--------------------------
Jim : A partir de maintenant, on vit et on meurt ensemble ! Compris ?
Aelita: Heu, oui, d’accord.
Odd: Heu… Yo, man! Ok!
Jim (s’énervant): Est-ce que c’est compris?
Tout le monde : Chef, oui chef !
--------------------------
Odd : Oh mon ventre ! Ca m’apprendra à reprendre de la tartiflette après le sauté de bœuf !
--------------------------
Jim : Toi, Belpois, tu pourrais même pas battre une poule unijambiste à la course !
--------------------------
Ulrich : Vous avez vu ?
Yumi : C’est Xana !
Ulrich : M’sieur Moralès, faites gaffe, cette bestiole n’est pas normale.
Aelita : Ce n’est pas un sanglier !
Jim : Bien sûr que non, je vous l’ai dit, c’est juste un gros cochon sauvage.
--------------------------
Jim : Hé oui. Y a de grandes chances. Enfin, moi, quand je dis « chance »… [J’aimerais savoir la suite !]
--------------------------
Odd (désignant William) : Tiens, c’est pas ton petit copain, là bas ?
Yumi : C’est pas mon petit copain ! Il est un peu trop pot de colle à mon goût.
--------------------------
Jim : Oh ! Bon sang de bois ! Il manque pas de cran, le blondinet ! [Réconciliation ?]
--------------------------
Jim : Si tu crois que Jim abandonne ses hommes face à l’ennemi, tu te fourres le doigt dans le nez jusqu’au cou !
--------------------------
Yumi : Vraiment, Jim, c’est trop…
Ulrich : D’horreur… Heu, d’honneur.
--------------------------
Jérémie (à propos de la proposition de Jim de suivre son atelier commando) : Vous pouvez compter sur moi, Jim. Je vous dois bien ça !
Jim : C’est bien, Belpois ! Je savais que je pouvais te faire confiance ! [Réconciliation.]
Odd : J’y crois pas ! « Vous pouvez compter sur moi » ! T’aurais pas pu trouver autre chose, Einstein ? « Non », par exemple, ou « never » ou « nein » ou « niet » ?
Dernière édition par L'anonyme le 25 Aoû 2007, 18:59, édité 1 fois.
Episode #75 Corps céleste
Odd : « Le retour du beau ténébreux », c’est Ulrich qui va être content de revoir son rival en amour !
Ulrich : Odd, t’es vraiment lourd, des fois.
Odd : Seulement des fois ? Oh, chuis en progrès.
--------------------------
Madame Hertz : Je me tiens actuellement à côté de ce qui représente notre soleil. A vous de fabriquer les huit planètes qui gravitent autour. [Donc, on est au moins en 2006, la suppression de Pluton de la liste des planètes est toute récente]
--------------------------
Présentatrice du Journal télévisé : Des informations confidentielles font état d’un satellite militaire qui serait doté d’un canon laser qui serait capable de dévier la course de ce genre de menace météoritique [Ou de tirer sur Yumi]
--------------------------
Yumi : S’il vous plait ! Un miracle pour me sortir de là ! (le téléphone sonne) Allo. Oui, Jérémie ? (ton euphorique) Tour activée ? Ouf ! Merci, Xana !
--------------------------
Présentatrice du Journal télévisé : Nous venons d’apprendre que la comète VG-724 a explosé en plein vol et s’est désintégré à proximité de l’atmosphère après un tir du satellite… (elle se tient l’oreillette) Heu, non, pour des raisons inconnues. Rectification, les observatoires internationaux nous confirment que la comète se porte bien ! Et va bientôt tranquillement s’écraser sur… Heu… Nulle part. Elle… Elle va passer très loin de la Terre. Et de toute façon, on pourra la dégommer avec le satellite qui… Qui bien sûr n’existe pas. Tout ceci n’était qu’un poisson d’avril ! Bonne journée et adieu... Heu, je veux dire, à ce soir ! Hihihi… [Quel métier !]
--------------------------
Hiroki (à Yumi) : Qu’est-ce qui te prend ? Tu t’es disputée avec Ulrich ou quoi ?
--------------------------
Jim : A propos, Suzanne, où en es-tu avec Pedro ? [Référence à Désincarnation]
--------------------------
Jim : Dis donc, Ishiyama, t’aurais pas un peu trop forcé sur les sushis hier soir ?
--------------------------
Proviseur Delmas : Mais enfin, Suzanne, c’est absurde. Vous êtes absolument certaine qu’il ne pourrait pas s’agir d’autre chose, comme un feu d’artifice, par exemple ?
Jim (à propos de Madame Hertz) : Je n’arrête pas de le lui dire, mais je crois qu’elle a abusé de verveine menthe. [Autre référence à Désincarnation]
--------------------------
Hiroki : Porte blindée contre cheville. Moi, je parie sur la porte.
--------------------------
Ulrich : C’est chaud !
Odd : Normal, c’est le désert !
--------------------------
Aelita : C’est drôle, les tarentules ne m’ont pas visée une seule fois !
Odd : Ca, c’est parce que t’as des super gardes du corps.
--------------------------
Hiroki : Alors, Yumi, on dit pas merci aux mioches ?
Yumi (sans ironie aucune) : Merci, les mioches !
Odd : « Le retour du beau ténébreux », c’est Ulrich qui va être content de revoir son rival en amour !
Ulrich : Odd, t’es vraiment lourd, des fois.
Odd : Seulement des fois ? Oh, chuis en progrès.
--------------------------
Madame Hertz : Je me tiens actuellement à côté de ce qui représente notre soleil. A vous de fabriquer les huit planètes qui gravitent autour. [Donc, on est au moins en 2006, la suppression de Pluton de la liste des planètes est toute récente]
--------------------------
Présentatrice du Journal télévisé : Des informations confidentielles font état d’un satellite militaire qui serait doté d’un canon laser qui serait capable de dévier la course de ce genre de menace météoritique [Ou de tirer sur Yumi]
--------------------------
Yumi : S’il vous plait ! Un miracle pour me sortir de là ! (le téléphone sonne) Allo. Oui, Jérémie ? (ton euphorique) Tour activée ? Ouf ! Merci, Xana !
--------------------------
Présentatrice du Journal télévisé : Nous venons d’apprendre que la comète VG-724 a explosé en plein vol et s’est désintégré à proximité de l’atmosphère après un tir du satellite… (elle se tient l’oreillette) Heu, non, pour des raisons inconnues. Rectification, les observatoires internationaux nous confirment que la comète se porte bien ! Et va bientôt tranquillement s’écraser sur… Heu… Nulle part. Elle… Elle va passer très loin de la Terre. Et de toute façon, on pourra la dégommer avec le satellite qui… Qui bien sûr n’existe pas. Tout ceci n’était qu’un poisson d’avril ! Bonne journée et adieu... Heu, je veux dire, à ce soir ! Hihihi… [Quel métier !]
--------------------------
Hiroki (à Yumi) : Qu’est-ce qui te prend ? Tu t’es disputée avec Ulrich ou quoi ?
--------------------------
Jim : A propos, Suzanne, où en es-tu avec Pedro ? [Référence à Désincarnation]
--------------------------
Jim : Dis donc, Ishiyama, t’aurais pas un peu trop forcé sur les sushis hier soir ?
--------------------------
Proviseur Delmas : Mais enfin, Suzanne, c’est absurde. Vous êtes absolument certaine qu’il ne pourrait pas s’agir d’autre chose, comme un feu d’artifice, par exemple ?
Jim (à propos de Madame Hertz) : Je n’arrête pas de le lui dire, mais je crois qu’elle a abusé de verveine menthe. [Autre référence à Désincarnation]
--------------------------
Hiroki : Porte blindée contre cheville. Moi, je parie sur la porte.
--------------------------
Ulrich : C’est chaud !
Odd : Normal, c’est le désert !
--------------------------
Aelita : C’est drôle, les tarentules ne m’ont pas visée une seule fois !
Odd : Ca, c’est parce que t’as des super gardes du corps.
--------------------------
Hiroki : Alors, Yumi, on dit pas merci aux mioches ?
Yumi (sans ironie aucune) : Merci, les mioches !
Dernière édition par L'anonyme le 25 Aoû 2007, 19:06, édité 1 fois.
Episode #76 Le lac
Sissi : Mais je ne peux pas partir à l’aventure sans quelques robes, les chaussures assorties, ma trousse de maquillage, et mon sèche cheveux !
Madame Hertz : Mais enfin, Elisabeth, nous ne serons partis que deux jours et je ne vois vraiment pas l’utilité d’un vélo là où nous allons.
--------------------------
Odd : Alors ça, mais oui, c’est lui, c’est ce pauvre toutou perdu qui errait devant le collège tout à l’heure. Il a dû se glisser en douce dans le bus. Héhé.
Jim : Ouais ouais ouais, et pour tromper son monde, il s’est fait faire un collier au nom de Della Robbia. Hm ?
Odd : vous avez remarqué, vous aussi ? Sacré coïncidence, hein ? En même temps, Della Robbia, comme nom, c’est d’un commun, hein ? L’annuaire en est plein. C’est un peu comme les Moralès.
Jim : Bon, ça suffit, le règlement est formel. Les animaux sont interdits dans l’enceinte de l’établissement.
Odd : Ce qui tombe plutôt bien puisque là on est dans un bus.
--------------------------
Yumi : Veinard, pour toi, c’est du basique niveau calculette de poche, ce contrôle de Maths. Pas vrai ?
Réplique de William : Chais pas, c’est quoi un contrôle de Maths ?
--------------------------
Madame Hertz : En un mot, le top du top des biotopes de la région !
--------------------------
Yumi (répondant au téléphone) : Ouais, ici l’enfer, alors ça plane, au Paradis ?
--------------------------
Jim : D’ailleurs, ça me rappelle cette époque où je vivais sous un tipi dans le désert du nouveau Mexique.
Madame Hertz : Jim, ce n’est pas le moment d’en parler.
Jim : Exact, Roswell était tout près et je…. Hrm. [Non, effectivement, faut pas en parler]
--------------------------
Madame Hertz : Cette fleur ne survit encore que sur de petites îles comme celles-ci, car elle s’y trouve protégée des ruminants par une barrière d’eau. Donc, que se passerait-il si jamais on asséchait ce lac ?
Nicolas (levant le doigt) : Heu… Ben on pourrait rentrer à pied.
--------------------------
Jim : C’est sûrement une anguille électrique. J’ai déjà vu ça quand j’étais garde forestier au Québec. [Référence au préquel]
--------------------------
Jim : Comptez sur moi pour que ça fasse des étincelles… Enfin… D’accord, ça en fait déjà… Bref, n’ayez pas peur.
--------------------------
Jim (se penchant sur Madame Hertz évanouie) : Du bouche à bouche… Oui, évidemment.
Madame Hertz (se réveillant) : Jim, si tu oses approcher d’encore un centimètre, c’est la dernière chose que tu feras sur cette Terre.
Jim (se relevant d’un bond) : Et voilà, je l’ai guérie !
--------------------------
Aelita : Quelque chose ne va pas, Yumi ?
Yumi (d’un air triste) : Un instant, j’ai cru que le vrai William était revenu, Aelita.
Aelita : Ca veut dire que tôt ou tard, on arrivera à le ramener ! [C’est cliché, mais c’est la réplique de l’épisode]
--------------------------
Odd (à Jérémie) : Hé, Benjamin Franklin, tu penses qu’Aelita a pensé à programmer un retour vers le passé ? [Pour une fois qu’il l’appelle pas Einstein]
--------------------------
Odd : En tout cas, tu m’as l’air vachement plus cool, cette fois. T’as plus peur des attaques de Xana
Jérémie : Oh que si. Mais il ne refait jamais deux fois les mêmes erreurs. [En trois saisons, jamais ils ont osé le dire]
Sissi : Mais je ne peux pas partir à l’aventure sans quelques robes, les chaussures assorties, ma trousse de maquillage, et mon sèche cheveux !
Madame Hertz : Mais enfin, Elisabeth, nous ne serons partis que deux jours et je ne vois vraiment pas l’utilité d’un vélo là où nous allons.
--------------------------
Odd : Alors ça, mais oui, c’est lui, c’est ce pauvre toutou perdu qui errait devant le collège tout à l’heure. Il a dû se glisser en douce dans le bus. Héhé.
Jim : Ouais ouais ouais, et pour tromper son monde, il s’est fait faire un collier au nom de Della Robbia. Hm ?
Odd : vous avez remarqué, vous aussi ? Sacré coïncidence, hein ? En même temps, Della Robbia, comme nom, c’est d’un commun, hein ? L’annuaire en est plein. C’est un peu comme les Moralès.
Jim : Bon, ça suffit, le règlement est formel. Les animaux sont interdits dans l’enceinte de l’établissement.
Odd : Ce qui tombe plutôt bien puisque là on est dans un bus.
--------------------------
Yumi : Veinard, pour toi, c’est du basique niveau calculette de poche, ce contrôle de Maths. Pas vrai ?
Réplique de William : Chais pas, c’est quoi un contrôle de Maths ?
--------------------------
Madame Hertz : En un mot, le top du top des biotopes de la région !
--------------------------
Yumi (répondant au téléphone) : Ouais, ici l’enfer, alors ça plane, au Paradis ?
--------------------------
Jim : D’ailleurs, ça me rappelle cette époque où je vivais sous un tipi dans le désert du nouveau Mexique.
Madame Hertz : Jim, ce n’est pas le moment d’en parler.
Jim : Exact, Roswell était tout près et je…. Hrm. [Non, effectivement, faut pas en parler]
--------------------------
Madame Hertz : Cette fleur ne survit encore que sur de petites îles comme celles-ci, car elle s’y trouve protégée des ruminants par une barrière d’eau. Donc, que se passerait-il si jamais on asséchait ce lac ?
Nicolas (levant le doigt) : Heu… Ben on pourrait rentrer à pied.
--------------------------
Jim : C’est sûrement une anguille électrique. J’ai déjà vu ça quand j’étais garde forestier au Québec. [Référence au préquel]
--------------------------
Jim : Comptez sur moi pour que ça fasse des étincelles… Enfin… D’accord, ça en fait déjà… Bref, n’ayez pas peur.
--------------------------
Jim (se penchant sur Madame Hertz évanouie) : Du bouche à bouche… Oui, évidemment.
Madame Hertz (se réveillant) : Jim, si tu oses approcher d’encore un centimètre, c’est la dernière chose que tu feras sur cette Terre.
Jim (se relevant d’un bond) : Et voilà, je l’ai guérie !
--------------------------
Aelita : Quelque chose ne va pas, Yumi ?
Yumi (d’un air triste) : Un instant, j’ai cru que le vrai William était revenu, Aelita.
Aelita : Ca veut dire que tôt ou tard, on arrivera à le ramener ! [C’est cliché, mais c’est la réplique de l’épisode]
--------------------------
Odd (à Jérémie) : Hé, Benjamin Franklin, tu penses qu’Aelita a pensé à programmer un retour vers le passé ? [Pour une fois qu’il l’appelle pas Einstein]
--------------------------
Odd : En tout cas, tu m’as l’air vachement plus cool, cette fois. T’as plus peur des attaques de Xana
Jérémie : Oh que si. Mais il ne refait jamais deux fois les mêmes erreurs. [En trois saisons, jamais ils ont osé le dire]
Episode #77 Torpilles virtuelles
Ulrich : Heu… Mauvaise réponse. Avec Yumi, on est copain et c’est tout.
Hiroki : Ouais, ça c’est ce qu’elle te dit. [Plus soft que d’habitude, Hiroki.]
--------------------------
Hiroki : Millie Solovieff, la grande rousse qui est en cinquième, tu vois de qui je parle.
Ulrich : Ah, ouais, la petite Millie.
--------------------------
Sissi (au milieu des bavardages habituels, décrochant son portable) : Oui, c’est moi. Un concours ? Tout dans le look, rien dans le crane ? Oh, mais j’arrive !
--------------------------
Jérémie : Hé bien voilà. Lorsqu’un être humain est virtualisé, il émet comme une sorte de résidu binaire, que l’on pourrait en quelque sorte apparenter à une sorte d’émanation de la substance physique. Bien sûr, reséquencée sous forme numérique.
Ulrich : Et en Français dans le texte ?
Aelita : Quand tu vas sur Lyoko, tu laisses derrière toi une trace informatique, l’équivalent d’une odeur.
Ulrich : Et tu trouves pas que c’est plus simple dit comme ça ?
Jérémie : Hmm… Ben non.
--------------------------
Odd : T’en fais une tête, tu as un problème ?
Ulrich : Non, c’est juste un truc que m’a dit Hiroki.
Odd : Bah allez, raconte.
Ulrich : Non, c’est sans intérêt, laisse tomber. [Intéressé ?]
--------------------------
Odd (à propos d’Hiroki qui court, poursuivi par Yumi) : Sissi l’a demandé en mariage ou quoi ?
--------------------------
Ulrich : Tiens, c’est à toi, ça ?
Odd : Tu rigoles ? Un cahier avec une couverture aussi sombre, c’est pas « Odd Style »
--------------------------
Ulrich : Et puis je te signale que Yumi et moi, c’est juste copain, c’est tout.
Odd : T’en es sûr ?
Ulrich : Ben… Parfois, je me pose la question. [Intéressé]
--------------------------
Aelita (à propos de la dispute Yumi/Hiroki) : C’est quoi cette histoire ?
Odd : Ho rien, des sushis de famille. [Facile]
--------------------------
Ulrich (à propos du jardinier) : C’est la routine, pour lui. Râteau, métro, dodo.
--------------------------
Odd : Bon, alors on passe au plan B. Attaque frontale contre son oreiller, et plongée sous sa couette. Objectif primaire : une bonne nuit de sommeil ; cible secondaire : faire de beaux rêves.
--------------------------
Yumi : Tu sais, j’ai compris que ce qui nous unissait était plus fort qu’un simple journal intime. Je suis plus fâchée.
Hiroki (fronçant les sourcils) : Non, mais t’es amoureuse ?!
Yumi : Ho, allez, fiche le camp. [On se demande pas pourquoi Yumi n’est pas démonstrative]
Pas énormément de citations. Le problème avec cet épisode, c'est que pour relever tout ce qu'il y a de notable, il faudrait plein de didascalies, et certains dialogues intégraux.
Ulrich : Heu… Mauvaise réponse. Avec Yumi, on est copain et c’est tout.
Hiroki : Ouais, ça c’est ce qu’elle te dit. [Plus soft que d’habitude, Hiroki.]
--------------------------
Hiroki : Millie Solovieff, la grande rousse qui est en cinquième, tu vois de qui je parle.
Ulrich : Ah, ouais, la petite Millie.
--------------------------
Sissi (au milieu des bavardages habituels, décrochant son portable) : Oui, c’est moi. Un concours ? Tout dans le look, rien dans le crane ? Oh, mais j’arrive !
--------------------------
Jérémie : Hé bien voilà. Lorsqu’un être humain est virtualisé, il émet comme une sorte de résidu binaire, que l’on pourrait en quelque sorte apparenter à une sorte d’émanation de la substance physique. Bien sûr, reséquencée sous forme numérique.
Ulrich : Et en Français dans le texte ?
Aelita : Quand tu vas sur Lyoko, tu laisses derrière toi une trace informatique, l’équivalent d’une odeur.
Ulrich : Et tu trouves pas que c’est plus simple dit comme ça ?
Jérémie : Hmm… Ben non.
--------------------------
Odd : T’en fais une tête, tu as un problème ?
Ulrich : Non, c’est juste un truc que m’a dit Hiroki.
Odd : Bah allez, raconte.
Ulrich : Non, c’est sans intérêt, laisse tomber. [Intéressé ?]
--------------------------
Odd (à propos d’Hiroki qui court, poursuivi par Yumi) : Sissi l’a demandé en mariage ou quoi ?
--------------------------
Ulrich : Tiens, c’est à toi, ça ?
Odd : Tu rigoles ? Un cahier avec une couverture aussi sombre, c’est pas « Odd Style »
--------------------------
Ulrich : Et puis je te signale que Yumi et moi, c’est juste copain, c’est tout.
Odd : T’en es sûr ?
Ulrich : Ben… Parfois, je me pose la question. [Intéressé]
--------------------------
Aelita (à propos de la dispute Yumi/Hiroki) : C’est quoi cette histoire ?
Odd : Ho rien, des sushis de famille. [Facile]
--------------------------
Ulrich (à propos du jardinier) : C’est la routine, pour lui. Râteau, métro, dodo.
--------------------------
Odd : Bon, alors on passe au plan B. Attaque frontale contre son oreiller, et plongée sous sa couette. Objectif primaire : une bonne nuit de sommeil ; cible secondaire : faire de beaux rêves.
--------------------------
Yumi : Tu sais, j’ai compris que ce qui nous unissait était plus fort qu’un simple journal intime. Je suis plus fâchée.
Hiroki (fronçant les sourcils) : Non, mais t’es amoureuse ?!
Yumi : Ho, allez, fiche le camp. [On se demande pas pourquoi Yumi n’est pas démonstrative]
Pas énormément de citations. Le problème avec cet épisode, c'est que pour relever tout ce qu'il y a de notable, il faudrait plein de didascalies, et certains dialogues intégraux.
Episode #78 Expérience
Jérémie : Hé ben ça y est, j’ai trouvé.
Odd : T’as trouvé comment te muscler sans faire de sport ?
Jérémie : Très drôle. Non. Je sais comment vous envoyer sur Terre à partir du réseau. En fait, c’est archi simple. J’ai appliqué le principe de la synchronicité à la technologie du supercalculateur, et je m’en suis servi pour mettre au point une forme de téléportation. En d’autres termes…
Odd (air blasé) : Et en Français, ça veut dire que tu sais comment nous envoyer sur Terre directement depuis le réseau.
Jérémie : C’est exact.
Ulrich : T’as pigé le charabia d’Einstein ? [Ha, ben ça rentre]
Odd : Ben ouais, après tout ce temps, je commence à bien maîtriser la physique crampique !
Jérémie : Quantique.
Odd : Ben c’est pareil, ça file des crampes.
--------------------------
Jim : Stern ! Combien de fois il faudra vous le dire ? Dix fois ? La sole n’est pas un poisson volant. Alors inutile de la lancer contre les fenêtres, surtout quand elles sont ouvertes et que moi je suis derrière.
--------------------------
Jim : Bref, en un mot ce sera deux heures de colle.
Ulrich : Je vous assure, monsieur Moralès, vous vous trompez !
Jim : Pour une fois, tu as entièrement raison. Je me suis trompé. C’est pas deux, mais quatre heures de colle.
--------------------------
Odd (tendant un paquet à Ulrich) : Tiens, voilà de quoi te réconcilier avec ta copine-et-c’est-tout.
--------------------------
Odd (pressé par Jérémie) : Oh, ça va, ça va, on est pas à l’usine !
Ulrich : Ben si justement.
--------------------------
Yumi (à Aelita) : Hum… Comment t’as trouvé le cours d’histoire ? [Hein ?! Module interclasse ?]
--------------------------
Odd : Réplika, nous revoilà.
Ulrich : Par pitié, faites le taire !
Yumi : Pourquoi ? Il est sympa, lui.
Odd : Incroyable, ils se parlent !
Ulrich et Yumi : La ferme, Odd !
--------------------------
Jérémie (à Aelita qui conduit le skidbladnir) : Tout doux. Un peu à gauche. Attention !
Odd : La conduite accompagnée, y a que ça de vrai.
Jérémie : Désolé, Aelita. Je te laisse manœuvrer tranquille.
--------------------------
Odd : Hé là, Frankenstein. Tu veux dire que c’est pas nous dans notre corps ?
--------------------------
Jérémie : Et vous, tout va bien ?
Ulrich : Comme un Lundi…
--------------------------
Ulrich (à propos de William) : Je m’occupe du beau gosse.
Yumi : C’est ça.
--------------------------
Odd : Pas la peine de me regarder avec ce ton !
--------------------------
Ulrich : Alors ?
Jérémie : T’aurais pas une patte de lapin, un trèfle à quatre feuilles et un fer à cheval ?
Ulrich : Ca va si mal que ça ?
--------------------------
Odd: Ho non, un digicode, et pourquoi pas un gardien en plus? [A votre avis, il parle des gardiens sur Lyoko, de la saison 1?]
--------------------------
Odd (d’un air énervé) : A cette distance, personne peut l’atteindre. (souriant) Enfin… A part moi.
--------------------------
Ulrich : Classe, le collier… Mais dis-moi, c’est pas un peu too much pour un chien ? [LA réplique de l’épisode]
Jérémie : Hé ben ça y est, j’ai trouvé.
Odd : T’as trouvé comment te muscler sans faire de sport ?
Jérémie : Très drôle. Non. Je sais comment vous envoyer sur Terre à partir du réseau. En fait, c’est archi simple. J’ai appliqué le principe de la synchronicité à la technologie du supercalculateur, et je m’en suis servi pour mettre au point une forme de téléportation. En d’autres termes…
Odd (air blasé) : Et en Français, ça veut dire que tu sais comment nous envoyer sur Terre directement depuis le réseau.
Jérémie : C’est exact.
Ulrich : T’as pigé le charabia d’Einstein ? [Ha, ben ça rentre]
Odd : Ben ouais, après tout ce temps, je commence à bien maîtriser la physique crampique !
Jérémie : Quantique.
Odd : Ben c’est pareil, ça file des crampes.
--------------------------
Jim : Stern ! Combien de fois il faudra vous le dire ? Dix fois ? La sole n’est pas un poisson volant. Alors inutile de la lancer contre les fenêtres, surtout quand elles sont ouvertes et que moi je suis derrière.
--------------------------
Jim : Bref, en un mot ce sera deux heures de colle.
Ulrich : Je vous assure, monsieur Moralès, vous vous trompez !
Jim : Pour une fois, tu as entièrement raison. Je me suis trompé. C’est pas deux, mais quatre heures de colle.
--------------------------
Odd (tendant un paquet à Ulrich) : Tiens, voilà de quoi te réconcilier avec ta copine-et-c’est-tout.
--------------------------
Odd (pressé par Jérémie) : Oh, ça va, ça va, on est pas à l’usine !
Ulrich : Ben si justement.
--------------------------
Yumi (à Aelita) : Hum… Comment t’as trouvé le cours d’histoire ? [Hein ?! Module interclasse ?]
--------------------------
Odd : Réplika, nous revoilà.
Ulrich : Par pitié, faites le taire !
Yumi : Pourquoi ? Il est sympa, lui.
Odd : Incroyable, ils se parlent !
Ulrich et Yumi : La ferme, Odd !
--------------------------
Jérémie (à Aelita qui conduit le skidbladnir) : Tout doux. Un peu à gauche. Attention !
Odd : La conduite accompagnée, y a que ça de vrai.
Jérémie : Désolé, Aelita. Je te laisse manœuvrer tranquille.
--------------------------
Odd : Hé là, Frankenstein. Tu veux dire que c’est pas nous dans notre corps ?
--------------------------
Jérémie : Et vous, tout va bien ?
Ulrich : Comme un Lundi…
--------------------------
Ulrich (à propos de William) : Je m’occupe du beau gosse.
Yumi : C’est ça.
--------------------------
Odd : Pas la peine de me regarder avec ce ton !
--------------------------
Ulrich : Alors ?
Jérémie : T’aurais pas une patte de lapin, un trèfle à quatre feuilles et un fer à cheval ?
Ulrich : Ca va si mal que ça ?
--------------------------
Odd: Ho non, un digicode, et pourquoi pas un gardien en plus? [A votre avis, il parle des gardiens sur Lyoko, de la saison 1?]
--------------------------
Odd (d’un air énervé) : A cette distance, personne peut l’atteindre. (souriant) Enfin… A part moi.
--------------------------
Ulrich : Classe, le collier… Mais dis-moi, c’est pas un peu too much pour un chien ? [LA réplique de l’épisode]
Episode #79 Arachnophobie
Odd (regardant Jim effectuer les cinq étapes) : 1… 2… 3… Oula, il est arrivé à cinq sans passer par quatre !
--------------------------
Odd : C’est un cheval d’arçon sauvage, ma parole !
--------------------------
Odd : Prétentieux ? Y a pas plus humble que moi !
--------------------------
Odd (d’un ton enthousiaste) : Hé ouais ! Une fois de plus, là où tous les autres auraient échoué, j’ai fait preuve de… (Prenant un air triste) de beaucoup d’humilité.
--------------------------
Odd (d’un ton moqueur) : Trois frôlions et ce bras cassé de William ? Quatre flèches laser et c’est réglé !
Aelita : Odd, tu oublies ton pari ?
Odd : Héhé… C’est pas de la vantardise, c’est la vérité.
--------------------------
Ulrich (à propos du générateur) : Ben, heu… C’est une grosse machine avec des tas de bidules qui clignotent.
Jérémie : Très bien, alors maintenant, tu dois neutraliser le commutateur qui alimente les portes du labo.
Ulrich : Le commutaquoi ?
Jérémie : Le bouton. Tu vois un petit bouton rouge ?
Ulrich : Y en a pas un, y en a mille. C’est un vrai flipper, ce machin.
Jérémie : procède par élimination.
Ulrich : Non, je veux procéder à ma façon.
Jérémie : C’est quoi, ta façon ? Flanquer un coup de sabre dans le générateur et court circuiter le Supercalculateur ?
Ulrich : Exactement.
Jérémie : Hmm. Laisse-moi deux minutes pour réfléchir. [Et ça marche !]
--------------------------
William (frappant Odd) : Pour Xana !
Odd (esquivant et frappant William) : Pour moi ! [Encore un cliché qu’on adore parce que c’est Odd]
--------------------------
Jérémie : Odd, t’as dégommé William tout seul ?!
Odd : Ouais.
Jérémie : Et tu dis rien ?
Odd : Hé, tu me prends pour un vantard ? [Crois-tu]
--------------------------
Odd (à propos d’Ulrich et Yumi) : Ils en sont où, les deux amoureux ? (Les voyant apparaître dans le Skidbladnir) Hmm. Je vois, ils dorment ensemble.
--------------------------
Jérémie : Ok, remonte dans le Skid, je vais te translater.
Odd : Très bien, mais après venez pas vous plaindre si j’assure.
--------------------------
Odd (voyant les araignées devant le générateur) : Ce générateur, c’est le dernier spot à la mode, non ?
Jérémie : Pourquoi ?
Odd : Ben, parce qu’il y a du monde !
--------------------------
Ulrich : Il a dézingué William et le Supercalculateur tout seul ? C’est dingue, ça !
Jérémie : Le plus dingue, c’est qu’il s’en est même pas vanté une seule fois.
Ulrich : Bizarre.
Jérémie : Il a peut-être changé.
Ulrich : Tu veux dire qu’il serait devenu humble ?
Jérémie : Ben ouais, l’ado parfait. Raisonnable et responsable.
Odd (arrivant): YOUPIE ! Quarante et une secondes et dix centièmes ! Vous avez devant vous le recordman mondial de la douche la plus rapide c’est pas magnifique, ça ? [Et il se vante de CA ?]
--------------------------
Odd : Faut se rendre à l’évidence, je suis un gros vantard. Et j’adore ça ! [Nous aussi !]
Odd (regardant Jim effectuer les cinq étapes) : 1… 2… 3… Oula, il est arrivé à cinq sans passer par quatre !
--------------------------
Odd : C’est un cheval d’arçon sauvage, ma parole !
--------------------------
Odd : Prétentieux ? Y a pas plus humble que moi !
--------------------------
Odd (d’un ton enthousiaste) : Hé ouais ! Une fois de plus, là où tous les autres auraient échoué, j’ai fait preuve de… (Prenant un air triste) de beaucoup d’humilité.
--------------------------
Odd (d’un ton moqueur) : Trois frôlions et ce bras cassé de William ? Quatre flèches laser et c’est réglé !
Aelita : Odd, tu oublies ton pari ?
Odd : Héhé… C’est pas de la vantardise, c’est la vérité.
--------------------------
Ulrich (à propos du générateur) : Ben, heu… C’est une grosse machine avec des tas de bidules qui clignotent.
Jérémie : Très bien, alors maintenant, tu dois neutraliser le commutateur qui alimente les portes du labo.
Ulrich : Le commutaquoi ?
Jérémie : Le bouton. Tu vois un petit bouton rouge ?
Ulrich : Y en a pas un, y en a mille. C’est un vrai flipper, ce machin.
Jérémie : procède par élimination.
Ulrich : Non, je veux procéder à ma façon.
Jérémie : C’est quoi, ta façon ? Flanquer un coup de sabre dans le générateur et court circuiter le Supercalculateur ?
Ulrich : Exactement.
Jérémie : Hmm. Laisse-moi deux minutes pour réfléchir. [Et ça marche !]
--------------------------
William (frappant Odd) : Pour Xana !
Odd (esquivant et frappant William) : Pour moi ! [Encore un cliché qu’on adore parce que c’est Odd]
--------------------------
Jérémie : Odd, t’as dégommé William tout seul ?!
Odd : Ouais.
Jérémie : Et tu dis rien ?
Odd : Hé, tu me prends pour un vantard ? [Crois-tu]
--------------------------
Odd (à propos d’Ulrich et Yumi) : Ils en sont où, les deux amoureux ? (Les voyant apparaître dans le Skidbladnir) Hmm. Je vois, ils dorment ensemble.
--------------------------
Jérémie : Ok, remonte dans le Skid, je vais te translater.
Odd : Très bien, mais après venez pas vous plaindre si j’assure.
--------------------------
Odd (voyant les araignées devant le générateur) : Ce générateur, c’est le dernier spot à la mode, non ?
Jérémie : Pourquoi ?
Odd : Ben, parce qu’il y a du monde !
--------------------------
Ulrich : Il a dézingué William et le Supercalculateur tout seul ? C’est dingue, ça !
Jérémie : Le plus dingue, c’est qu’il s’en est même pas vanté une seule fois.
Ulrich : Bizarre.
Jérémie : Il a peut-être changé.
Ulrich : Tu veux dire qu’il serait devenu humble ?
Jérémie : Ben ouais, l’ado parfait. Raisonnable et responsable.
Odd (arrivant): YOUPIE ! Quarante et une secondes et dix centièmes ! Vous avez devant vous le recordman mondial de la douche la plus rapide c’est pas magnifique, ça ? [Et il se vante de CA ?]
--------------------------
Odd : Faut se rendre à l’évidence, je suis un gros vantard. Et j’adore ça ! [Nous aussi !]
Episode #80 Kiwodd
Odd (apportant les chaussettes à Odd) : Bravo, mon Kiwi ! Vous vous rendez compte ? Il a trouvé mes chaussettes, il a ouvert la porte de la chambre, et il m’a retrouvé à l’autre bout du collège !
Ulrich : Facile, y avait qu’à suivre l’odeur.
Odd : Huh-uh, c’est pas drôle… Mais c’est bien senti comme vanne.
--------------------------
Sissi (l’air pimbèche) : Hé Ulrich, comment tu me trouves ?
Ulrich (après un soupir blasé) : Franchement, vaut mieux pas que tu le saches.
--------------------------
Jim : Dunbar, quand je dis go, ça veut dire partez ! Tu comprends pas l’espagnol ou quoi ?
--------------------------
Sissi : Tu tournes vraiment pas rond mon pauvre William.
Réplique de William : Ben j’aurais du mal, je suis immobile.
--------------------------
Jérémie : Et puis Kiwi est tellement froussard qu’il se sauverait à la vue d’un Kankrelat.
Odd : Tu veux dire… Aussi vite que toi la fois où tu es allé sur Lyoko ? [Référence à Mr Pück]
--------------------------
Sissi : Arrête de me mener en chameau, Yumi !
--------------------------
Jérémie : Y a un problème ?
Aelita : C’est rien, Jérémie. Odd a sauté l’heure du goûter et ça lui réussit pas.
--------------------------
Yumi (à la réplique de William) : Allez, Roméo, on rentre.
William : Il est où Roméo ? Je le connais ?
--------------------------
Jérémie : Odd, je te virtualise tel quel sur Lyoko. Après, je reconstitue l’ADN de chaque séquence, qui normalement sera restitué dans la composition d’origine des molécules.
Kiwodd : Pardon ?
Ulrich : Si j’ai bien compris, toi à la niche sur Lyoko, lui démêler ADN de toi et de ton chien et vous revenir séparés dans scanner.
Aelita (à Ulrich) : Toi tout compris !
--------------------------
Jérémie : Odd, Xana a activé une tour sur la banquise. Ulrich et Aelita s’en occupent. Toi, tu restes là, pigé ?
Kiwodd : C’est ça, pas bouger. Gentil chien chien.
--------------------------
Jérémie : Odd, quel caractère de chien tu peux avoir parfois !
--------------------------
Aelita : Dis, Odd, tu trimballes toujours ton dentifrice avec toi ?
Odd (souriant) : Hé, on est jamais à l’abri d’une jolie fille à l’improviste.
Pas beaucoup de citations pour cet épisode. L'humour y est essentiellement visuel, et il n'y a rien dans les dialogues qui soit assez percutant pour être relevé sans une foule de didascalies. Cet épisode est très visuel.
Odd (apportant les chaussettes à Odd) : Bravo, mon Kiwi ! Vous vous rendez compte ? Il a trouvé mes chaussettes, il a ouvert la porte de la chambre, et il m’a retrouvé à l’autre bout du collège !
Ulrich : Facile, y avait qu’à suivre l’odeur.
Odd : Huh-uh, c’est pas drôle… Mais c’est bien senti comme vanne.
--------------------------
Sissi (l’air pimbèche) : Hé Ulrich, comment tu me trouves ?
Ulrich (après un soupir blasé) : Franchement, vaut mieux pas que tu le saches.
--------------------------
Jim : Dunbar, quand je dis go, ça veut dire partez ! Tu comprends pas l’espagnol ou quoi ?
--------------------------
Sissi : Tu tournes vraiment pas rond mon pauvre William.
Réplique de William : Ben j’aurais du mal, je suis immobile.
--------------------------
Jérémie : Et puis Kiwi est tellement froussard qu’il se sauverait à la vue d’un Kankrelat.
Odd : Tu veux dire… Aussi vite que toi la fois où tu es allé sur Lyoko ? [Référence à Mr Pück]
--------------------------
Sissi : Arrête de me mener en chameau, Yumi !
--------------------------
Jérémie : Y a un problème ?
Aelita : C’est rien, Jérémie. Odd a sauté l’heure du goûter et ça lui réussit pas.
--------------------------
Yumi (à la réplique de William) : Allez, Roméo, on rentre.
William : Il est où Roméo ? Je le connais ?
--------------------------
Jérémie : Odd, je te virtualise tel quel sur Lyoko. Après, je reconstitue l’ADN de chaque séquence, qui normalement sera restitué dans la composition d’origine des molécules.
Kiwodd : Pardon ?
Ulrich : Si j’ai bien compris, toi à la niche sur Lyoko, lui démêler ADN de toi et de ton chien et vous revenir séparés dans scanner.
Aelita (à Ulrich) : Toi tout compris !
--------------------------
Jérémie : Odd, Xana a activé une tour sur la banquise. Ulrich et Aelita s’en occupent. Toi, tu restes là, pigé ?
Kiwodd : C’est ça, pas bouger. Gentil chien chien.
--------------------------
Jérémie : Odd, quel caractère de chien tu peux avoir parfois !
--------------------------
Aelita : Dis, Odd, tu trimballes toujours ton dentifrice avec toi ?
Odd (souriant) : Hé, on est jamais à l’abri d’une jolie fille à l’improviste.
Pas beaucoup de citations pour cet épisode. L'humour y est essentiellement visuel, et il n'y a rien dans les dialogues qui soit assez percutant pour être relevé sans une foule de didascalies. Cet épisode est très visuel.
Episode #81 Oeil pour Oeil
Odd : Comme je le disais, mon sixième sens Oddesque est inimitable.
Aelita : hé bien tu vas pouvoir apprécier le sixième sens Aelitesque [Et personne se plaint que la série nous apprend des mots qui n’existent pas ?]
--------------------------
Jim (à la réplique de William qui vient de lui catapulter un verre) : Le verre était vide… Mais la coupe est pleine ! [Joli]
--------------------------
Jim : Si tu veux faire le singe, on va être deux. [Il la fait tout le temps, celle-là]
--------------------------
Jérémie : Justement. C’est un clone polymorphe, motivé par un programme comportemental basique non évolutif.
Ulrich : Heu… Redis ça avec des mots.
--------------------------
Jérémie : Hé bien hier, j’ai installé un upgrade à son logiciel. Un truc pour booster son intelligence artificielle, juste pour qu’il paraisse moins stupide, quoi.
Ulrich (souriant) : Parce que pour toi, imiter Odd, c’est être moins stupide ?
--------------------------
Aelita : Je plains la réplique de William. A cause de moi, il va se faire punir par GI Jim.
Jérémie : Faut pas te sentir coupable, Aelita. Comme disait Odd, c’est un être artificiel.
Aelita : Comme je l’étais il y a quelques mois.
Jérémie : C’est pas pareil, la réplique ne ressent absolument rien… Enfin, pour l’instant. [Bien vu.]
--------------------------
Jim : La prochaine fois, tu utiliseras ta fourchette pour penser.
--------------------------
Jim : En plus, catapulter un verre, c’est idiot et dangereux… Une boulette de mie de pain, c’est plus discret, crois en mon expérience.
Réplique de William : De la mie de pain ? Bonne idée.
Jim : Heu non. Non, non, oublie ça. Ne t’amuse surtout pas avec de la mie de pain, sinon, je te fais recopier « Je ne dois pas jouer avec la nourriture. Je dois la catapulter dans ma bouche avec mon verre… Heu… Dans ma bouche, avec ma purée. Enfin bref, tu vois le topo.
Réplique de William : Un topo ? Où ça ?
--------------------------
Yumi (à propos de la chamaillerie Ulrich/Odd) : Avec les garçons, tout se résume à « C’est moi le plus fort, le plus machin, le plus truc ».
Odd : Ouais, c’est sûr qu’Ulrich, il est carrément truc, et pas mal machin. Fort, par contre… Heu… Non, je vois pas.
--------------------------
Millie : Dis, tu le trouves pas un peu lourd, Jim ?
William (souriant) : Il pèse 102kg, il dépasse de beaucoup son poids de forme.
--------------------------
Millie : Enfin tu captes ou tu captes pas ?
Réplique de William (levant le doigt) : Heu non, là, je capte rien du tout.
--------------------------
Millie : Xana ? C’est qui, ça, Xana ?
Réplique de William : J’en sais rien, tu le connais ?
Millie : Mais c’est toi qui viens de dire que Xana avait capturé William. T’es qui, toi, alors ?
Réplique de William : Ben… William !
Millie : Si je comprends bien, il y a deux William ?
Réplique de William : Mais non, il n’y en a qu’un et c’est moi. L’autre est prisonnier de Xana.
--------------------------
Tamya : Les chocoguerriers ? C’est qui, ça ?
--------------------------
Ulrich : Bizarre cet endroit. C’est sûrement la zone 51.
Aelita (d’un air moqueur et professionnel) : La base de Roswell ? Celle où il y a des extraterrestres ? Non, elle ne ressemble pas à ça.
Ulrich : Attends un peu ! Comment tu sais à quoi elle ressemble, la zone 51 ?
Aelita : Je plaisante.
--------------------------
Ulrich : Tout ça, ça sent comme les godasses de Odd.
--------------------------
Réplique de William : Salut, Jérémie ! Dis, t’aurais pas une preuve à me prêter ? (à William) Ne touche pas à Jérémie ! [Phrase d’engagement d’un combat qui restera gravé dans les mémoires]
--------------------------
Odd (devant fuir, face à une Tarentule) : T’as de la chance, Tarentula ! [Il n’avait pas employé l’expression depuis Nouvelle Donne]
--------------------------
Tamya : T’es qui, toi, le gentil ou le méchant ?
William (avec la voix modifiée) : Le gentil. [Classique]
--------------------------
William (à sa réplique qu’il fait disparaître) : Tu n’es rien. Tu es juste de la poussière numérique. [Il devient biblique ?]
--------------------------
Odd (à propos d'un Rekin) : J’en ai un qui me colle ! Pire qu’un chococroc dans une poche de Jeans par 40°C à l’ombre !
Ulrich : Encore un fan complètement raide dingue de toi, Odd le magnifique !
--------------------------
Millie : Ca fait longtemps que vous vous battez contre Xana ?
Jérémie (d’un air pro) : Un peu plus de deux ans.
Tamya : Et vous faites ça souvent ?
Odd (d’un air pro aussi) : Holala, mais c’est notre quotidien, t’as même pas idée !
Millie : Ouah, là on tient un scoop complètement dingue.
Jérémie : Et encore, il vous manque notre dernier secret.
Millie (toute excitée) : Ah ouais ? Et lequel ?
Jérémie : La raison pour laquelle vous ne vous souviendrez de rien. Retour vers le passé. [Méchant]
--------------------------
Odd : Oula, bravo, Frankenstein ; on a intérêt à retrouver William au plus vite avant d’avoir un Xana bis sur les bras.
Yumi (visiblement terrifiée) : Ou plus compliqué, un être humain. [La réplique de l’épisode.]
Un épisode très riche à tous points de vue. Ca vaut pour les citations.
Odd : Comme je le disais, mon sixième sens Oddesque est inimitable.
Aelita : hé bien tu vas pouvoir apprécier le sixième sens Aelitesque [Et personne se plaint que la série nous apprend des mots qui n’existent pas ?]
--------------------------
Jim (à la réplique de William qui vient de lui catapulter un verre) : Le verre était vide… Mais la coupe est pleine ! [Joli]
--------------------------
Jim : Si tu veux faire le singe, on va être deux. [Il la fait tout le temps, celle-là]
--------------------------
Jérémie : Justement. C’est un clone polymorphe, motivé par un programme comportemental basique non évolutif.
Ulrich : Heu… Redis ça avec des mots.
--------------------------
Jérémie : Hé bien hier, j’ai installé un upgrade à son logiciel. Un truc pour booster son intelligence artificielle, juste pour qu’il paraisse moins stupide, quoi.
Ulrich (souriant) : Parce que pour toi, imiter Odd, c’est être moins stupide ?
--------------------------
Aelita : Je plains la réplique de William. A cause de moi, il va se faire punir par GI Jim.
Jérémie : Faut pas te sentir coupable, Aelita. Comme disait Odd, c’est un être artificiel.
Aelita : Comme je l’étais il y a quelques mois.
Jérémie : C’est pas pareil, la réplique ne ressent absolument rien… Enfin, pour l’instant. [Bien vu.]
--------------------------
Jim : La prochaine fois, tu utiliseras ta fourchette pour penser.
--------------------------
Jim : En plus, catapulter un verre, c’est idiot et dangereux… Une boulette de mie de pain, c’est plus discret, crois en mon expérience.
Réplique de William : De la mie de pain ? Bonne idée.
Jim : Heu non. Non, non, oublie ça. Ne t’amuse surtout pas avec de la mie de pain, sinon, je te fais recopier « Je ne dois pas jouer avec la nourriture. Je dois la catapulter dans ma bouche avec mon verre… Heu… Dans ma bouche, avec ma purée. Enfin bref, tu vois le topo.
Réplique de William : Un topo ? Où ça ?
--------------------------
Yumi (à propos de la chamaillerie Ulrich/Odd) : Avec les garçons, tout se résume à « C’est moi le plus fort, le plus machin, le plus truc ».
Odd : Ouais, c’est sûr qu’Ulrich, il est carrément truc, et pas mal machin. Fort, par contre… Heu… Non, je vois pas.
--------------------------
Millie : Dis, tu le trouves pas un peu lourd, Jim ?
William (souriant) : Il pèse 102kg, il dépasse de beaucoup son poids de forme.
--------------------------
Millie : Enfin tu captes ou tu captes pas ?
Réplique de William (levant le doigt) : Heu non, là, je capte rien du tout.
--------------------------
Millie : Xana ? C’est qui, ça, Xana ?
Réplique de William : J’en sais rien, tu le connais ?
Millie : Mais c’est toi qui viens de dire que Xana avait capturé William. T’es qui, toi, alors ?
Réplique de William : Ben… William !
Millie : Si je comprends bien, il y a deux William ?
Réplique de William : Mais non, il n’y en a qu’un et c’est moi. L’autre est prisonnier de Xana.
--------------------------
Tamya : Les chocoguerriers ? C’est qui, ça ?
--------------------------
Ulrich : Bizarre cet endroit. C’est sûrement la zone 51.
Aelita (d’un air moqueur et professionnel) : La base de Roswell ? Celle où il y a des extraterrestres ? Non, elle ne ressemble pas à ça.
Ulrich : Attends un peu ! Comment tu sais à quoi elle ressemble, la zone 51 ?
Aelita : Je plaisante.
--------------------------
Ulrich : Tout ça, ça sent comme les godasses de Odd.
--------------------------
Réplique de William : Salut, Jérémie ! Dis, t’aurais pas une preuve à me prêter ? (à William) Ne touche pas à Jérémie ! [Phrase d’engagement d’un combat qui restera gravé dans les mémoires]
--------------------------
Odd (devant fuir, face à une Tarentule) : T’as de la chance, Tarentula ! [Il n’avait pas employé l’expression depuis Nouvelle Donne]
--------------------------
Tamya : T’es qui, toi, le gentil ou le méchant ?
William (avec la voix modifiée) : Le gentil. [Classique]
--------------------------
William (à sa réplique qu’il fait disparaître) : Tu n’es rien. Tu es juste de la poussière numérique. [Il devient biblique ?]
--------------------------
Odd (à propos d'un Rekin) : J’en ai un qui me colle ! Pire qu’un chococroc dans une poche de Jeans par 40°C à l’ombre !
Ulrich : Encore un fan complètement raide dingue de toi, Odd le magnifique !
--------------------------
Millie : Ca fait longtemps que vous vous battez contre Xana ?
Jérémie (d’un air pro) : Un peu plus de deux ans.
Tamya : Et vous faites ça souvent ?
Odd (d’un air pro aussi) : Holala, mais c’est notre quotidien, t’as même pas idée !
Millie : Ouah, là on tient un scoop complètement dingue.
Jérémie : Et encore, il vous manque notre dernier secret.
Millie (toute excitée) : Ah ouais ? Et lequel ?
Jérémie : La raison pour laquelle vous ne vous souviendrez de rien. Retour vers le passé. [Méchant]
--------------------------
Odd : Oula, bravo, Frankenstein ; on a intérêt à retrouver William au plus vite avant d’avoir un Xana bis sur les bras.
Yumi (visiblement terrifiée) : Ou plus compliqué, un être humain. [La réplique de l’épisode.]
Un épisode très riche à tous points de vue. Ca vaut pour les citations.
Episode #68 Première partie
Yumi (à propos de l’oncle de Chris) : Bon sérieusement, vous pensez à qui ?
Ulrich (réfléchissant à voix haute) : Fumet, Chardin, monsieur Delmas… Non, pas monsieur Delmas ! Sissi ne peut pas être la cousine de Chris.
Aelita : Ca c’est sûr. C’est pas un truc pour lequel Sissi resterait discrète.
Ulrich : Et si c’était Rouiller ?
Odd : Quoi ? Michel Rouiller ? Le Jardinier ? Et pourquoi pas Jim, tant que t’y es ? (il percute Jim) [Et c’est lui !]
--------------------------
Jim : Alors, Della Robbia, on rêve dans sa tête ?
--------------------------
Odd : Mais où il est ? J’étais sûr de l’avoir rangé là !
Ulrich : Parce que tu ranges tes affaires, toi ? C’est nouveau. [Facile]
--------------------------
Yumi (désignant le CD) : Dis, ce ne serait pas ça dans le tiroir de Kiwi ?
Odd : Fais voir. YES ! Merci mon toutou adoré.
Yumi : Hmm.
--------------------------
Sissi (à Hervé et Nicolas) : Quand Chris aura entendu ma prestation, il me choisira, c’est évident. Et je deviendrai la plus grande Star des DJ.
Odd (exaspéré, à ses amis) : Marre d’attendre. Et en plus, faut se coltiner ce boulet !
Sissi : La ferme, Odd ! Tu feras moins le malin quand le boulet roulera en limousine.
--------------------------
Yumi : T’inquiète pas, Odd, je suis sûre que tu vas nous faire une prestation à tout casser.
Ulrich : Enfin, du moment que c’est pas nos oreilles.
Odd : Dis-moi, tu peux me rappeler à quoi servent les amis ? Parce-que là, j’ai comme un doute.
--------------------------
Sissi (à Chris, d’un ton insistant) : Bonjour, je me présente, Sissi Delmas, je suis la fille de monsieur Delmas, le proviseur.
--------------------------
Odd (voyant Sissi sortir, rageuse) : Alors, Sissi, la limousine est en panne ? [Facile aussi]
--------------------------
Odd : J’ai été bon, non ?
Yumi : Ben heu… T’as donné tout ce que t’avais. C’est l’essentiel.
Ulrich : Ce qui est sûr, c’est que t’as pas menti en disant que c’était unique !
--------------------------
Jim : Alors, mon garçon, tu as trouvé la perle rare ?
Chris : Franchement, je préfère pas en parler. [Air de famille.]
--------------------------
Chris : Tant qu’on leur ramènera pas de jeunes talents, la boîte de prod nous lâchera pas les baskets. Déjà qu’on voulait pas changer de nom… [Jolie insertion de la part de ceux qui ont écrit les dialogues]
Jim : Bah, t’inquiète pas, mon garçon, tu finiras par trouver Basket à ton pied.
--------------------------
Yumi (à Millie et Tamya) : Hé ben, qu’est-ce qui vous arrive, les filles ? Vous êtes toutes pâles. Vous avez vu Sissi avec un livre ?
--------------------------
Millie : Il était tout bizarre, on aurait dit le robot tueur dans Executor 2
Tamya : Il faut appeler la police !
Yumi : Non, surtout pas. C’était pour… Heu… Pour le clip, ben oui, le nouveau clip des Subdigitals, ils font un truc de science fiction avec des robots dans le collège.
Jérémie : Hm. Bon, on vous laisse car… Justement on tourne dans la prochaine scène !
--------------------------
Chris (à Odd, d’un air énervé) : Qu’est-ce qu’il y a, tu veux ma photo dédicacée ? [Jolie variante]
--------------------------
Jim : Haha, votre piste a été aussi facile à suivre que celle d’un Caribou dans le grand nord.
--------------------------
Ulrich : Bon d’accord, suivez nous. Mais je vous préviens, c’est un peu spécial. Et le mieux, c’est de ne pas poser trop de questions. Il risque d’y avoir du sport.
Jim : Ca tombe bien, Stern. Parce-que le sport, c’est mon dada. [Encore heureux]
--------------------------
Yumi : Même si t’es possédé par Xana, t’es encore un débutant sur Lyoko, William. [Classique de classique]
--------------------------
Yumi : L’ancien William était déjà pot de colle, c’était rien à côté du nouveau.
--------------------------
Chris (à propos du spectre à son image) : Qui c’est, celui-là, encore un sosie de Star ?
Ulrich : C’est un spectre polymorphe.
Chris : Hé ben, spectre ou pas, il aura pas d’autographe.
--------------------------
Ulrich (à propos des Krabes) : Je te laisse le dernier. Super Sprint !
Odd : Chouette, j’adore le rab !
--------------------------
Ulrich (à William qui vient de dévirtualiser Yumi) : Si tu veux sortir avec Yumi, c’est pas comme ça qu’il faut s’y prendre avec elle.
--------------------------
Jim (se battant contre le spectre) : Je sais suffisamment compter jusqu’à trois pour voir qu’il y a un Jim de trop, ici. Ca me rappelle ce combat contre Hurricane Joe, à Las Vegas, en 94. Au troisième round, je lui ai mis… (Sa tirade est coupée court par un coup de barre de fer de Chris). [On note trois choses. Jim a fait tu catch, vu le nom de son adversaire. Et 1994, ça ne vous rappelle rien ?]
--------------------------
Ulrich (alors que William remarque que la tour est désactivée) : T’inquiète pas, William. Je serai toujours sur ton chemin.
William : Super Smoke. [Et il part en serpentant sur le sentier. Cliché mais joli, non ?]
--------------------------
Jim : Belpois, maintenant tu vas m’expliquer. Qu’est-ce qu’il se passe ici, et c’est quoi tout ce fourbi ?
Jérémie (prenant un ton blasé) : C’est que… Heu, j’en ai assez de vous l’expliquer sans arrêt, monsieur Moralès ; et puis dans dix secondes, vous aurez tout oublié. [Il n’a pas tort]
Yumi (à propos de l’oncle de Chris) : Bon sérieusement, vous pensez à qui ?
Ulrich (réfléchissant à voix haute) : Fumet, Chardin, monsieur Delmas… Non, pas monsieur Delmas ! Sissi ne peut pas être la cousine de Chris.
Aelita : Ca c’est sûr. C’est pas un truc pour lequel Sissi resterait discrète.
Ulrich : Et si c’était Rouiller ?
Odd : Quoi ? Michel Rouiller ? Le Jardinier ? Et pourquoi pas Jim, tant que t’y es ? (il percute Jim) [Et c’est lui !]
--------------------------
Jim : Alors, Della Robbia, on rêve dans sa tête ?
--------------------------
Odd : Mais où il est ? J’étais sûr de l’avoir rangé là !
Ulrich : Parce que tu ranges tes affaires, toi ? C’est nouveau. [Facile]
--------------------------
Yumi (désignant le CD) : Dis, ce ne serait pas ça dans le tiroir de Kiwi ?
Odd : Fais voir. YES ! Merci mon toutou adoré.
Yumi : Hmm.
--------------------------
Sissi (à Hervé et Nicolas) : Quand Chris aura entendu ma prestation, il me choisira, c’est évident. Et je deviendrai la plus grande Star des DJ.
Odd (exaspéré, à ses amis) : Marre d’attendre. Et en plus, faut se coltiner ce boulet !
Sissi : La ferme, Odd ! Tu feras moins le malin quand le boulet roulera en limousine.
--------------------------
Yumi : T’inquiète pas, Odd, je suis sûre que tu vas nous faire une prestation à tout casser.
Ulrich : Enfin, du moment que c’est pas nos oreilles.
Odd : Dis-moi, tu peux me rappeler à quoi servent les amis ? Parce-que là, j’ai comme un doute.
--------------------------
Sissi (à Chris, d’un ton insistant) : Bonjour, je me présente, Sissi Delmas, je suis la fille de monsieur Delmas, le proviseur.
--------------------------
Odd (voyant Sissi sortir, rageuse) : Alors, Sissi, la limousine est en panne ? [Facile aussi]
--------------------------
Odd : J’ai été bon, non ?
Yumi : Ben heu… T’as donné tout ce que t’avais. C’est l’essentiel.
Ulrich : Ce qui est sûr, c’est que t’as pas menti en disant que c’était unique !
--------------------------
Jim : Alors, mon garçon, tu as trouvé la perle rare ?
Chris : Franchement, je préfère pas en parler. [Air de famille.]
--------------------------
Chris : Tant qu’on leur ramènera pas de jeunes talents, la boîte de prod nous lâchera pas les baskets. Déjà qu’on voulait pas changer de nom… [Jolie insertion de la part de ceux qui ont écrit les dialogues]
Jim : Bah, t’inquiète pas, mon garçon, tu finiras par trouver Basket à ton pied.
--------------------------
Yumi (à Millie et Tamya) : Hé ben, qu’est-ce qui vous arrive, les filles ? Vous êtes toutes pâles. Vous avez vu Sissi avec un livre ?
--------------------------
Millie : Il était tout bizarre, on aurait dit le robot tueur dans Executor 2
Tamya : Il faut appeler la police !
Yumi : Non, surtout pas. C’était pour… Heu… Pour le clip, ben oui, le nouveau clip des Subdigitals, ils font un truc de science fiction avec des robots dans le collège.
Jérémie : Hm. Bon, on vous laisse car… Justement on tourne dans la prochaine scène !
--------------------------
Chris (à Odd, d’un air énervé) : Qu’est-ce qu’il y a, tu veux ma photo dédicacée ? [Jolie variante]
--------------------------
Jim : Haha, votre piste a été aussi facile à suivre que celle d’un Caribou dans le grand nord.
--------------------------
Ulrich : Bon d’accord, suivez nous. Mais je vous préviens, c’est un peu spécial. Et le mieux, c’est de ne pas poser trop de questions. Il risque d’y avoir du sport.
Jim : Ca tombe bien, Stern. Parce-que le sport, c’est mon dada. [Encore heureux]
--------------------------
Yumi : Même si t’es possédé par Xana, t’es encore un débutant sur Lyoko, William. [Classique de classique]
--------------------------
Yumi : L’ancien William était déjà pot de colle, c’était rien à côté du nouveau.
--------------------------
Chris (à propos du spectre à son image) : Qui c’est, celui-là, encore un sosie de Star ?
Ulrich : C’est un spectre polymorphe.
Chris : Hé ben, spectre ou pas, il aura pas d’autographe.
--------------------------
Ulrich (à propos des Krabes) : Je te laisse le dernier. Super Sprint !
Odd : Chouette, j’adore le rab !
--------------------------
Ulrich (à William qui vient de dévirtualiser Yumi) : Si tu veux sortir avec Yumi, c’est pas comme ça qu’il faut s’y prendre avec elle.
--------------------------
Jim (se battant contre le spectre) : Je sais suffisamment compter jusqu’à trois pour voir qu’il y a un Jim de trop, ici. Ca me rappelle ce combat contre Hurricane Joe, à Las Vegas, en 94. Au troisième round, je lui ai mis… (Sa tirade est coupée court par un coup de barre de fer de Chris). [On note trois choses. Jim a fait tu catch, vu le nom de son adversaire. Et 1994, ça ne vous rappelle rien ?]
--------------------------
Ulrich (alors que William remarque que la tour est désactivée) : T’inquiète pas, William. Je serai toujours sur ton chemin.
William : Super Smoke. [Et il part en serpentant sur le sentier. Cliché mais joli, non ?]
--------------------------
Jim : Belpois, maintenant tu vas m’expliquer. Qu’est-ce qu’il se passe ici, et c’est quoi tout ce fourbi ?
Jérémie (prenant un ton blasé) : C’est que… Heu, j’en ai assez de vous l’expliquer sans arrêt, monsieur Moralès ; et puis dans dix secondes, vous aurez tout oublié. [Il n’a pas tort]
Episode #82 Mémoire blanche
Ulrich : Pendant les fêtes, mon père est comme un ours assis sur une planche à clous. Du coup, ma mère est hystérique.
--------------------------
Odd (à Aelita) : Ah, à propos de Kiwi, surtout, qu’il ne mange pas de fromage, ça lui donne des gaz. Et ça, c’est pire que tes champs de force.
--------------------------
Hiroki : T’appelles Ulrich ?
Yumi : De quoi je me mêle ? Est-ce que je te parle de Millie Solovieff, moi ?
Hiroki (rougissant, et courant en quittant la chambre) : Grrrr.
--------------------------
Monsieur Belpois : Allons, je sais ce que c'est ! Moi aussi, j'ai été amoureux.
Jérémie : Ha oui ? De qui ?
Monsieur Belpois : Et bien, de ta mère !
--------------------------
Odd : Allo Adèle ? C’est Odd ! Quoi ? Ah, excuse-moi. Pauline, dis moi, est-ce que tu peux… Tu peux demander à Elisabeth de dire à Marie de prévenir Louise qu’elle doit annoncer à Papa et Maman que j’ai raté l’avion ?
--------------------------
Jérémie : Aelita se trouve sur le territoire de la banquise. Hein ? Dans une bulle virtuelle ?
Yumi : Une quoi ?
Jérémie : Une reproduction du monde réel. Un canal fantôme. [Content qu’il ait réemployé l’expression]
--------------------------
Jérémie : A mon avis, Xana doit sélectionner des invités.
Yumi (se retournant, voyant les Tarentules) : Bien vu. Il a même prévu des gorilles à l’entrée.
--------------------------
Yumi : Alors ces vacances ?
Ulrich : Courtes. Mais ça fait du bien de rentrer. [Tu m’étonnes, elles n’ont pas duré dix minutes]
--------------------------
Odd (volant vers les blocks) : Faut débloquer la situation. [Tu l’as déjà faite dans Leçon de choses, celle-là, mon vieux]
--------------------------
Odd (manifestement en colère) : Il va y avoir de la terrine de William !
--------------------------
Ulrich : Heu… Jérémie, Xana essaie de détruire une espèce de bouboule lumineuse. Qu’est-ce qu’on fait ?
Jérémie : Protégez-la. Cette espèce de bouboule, c’est Franz Hopper.
--------------------------
Jérémie : C’est pourtant évident.
Odd (l’interrompant) : Oh, ça va, hein ? [C’est vrai que ça peut paraître énervant]
--------------------------
Jérémie : Je te laisserai ma chambre, et je dormirai dans le salon. Heu… Le divan est très confortable.
Aelita : Et Xana ?
Jérémie : Xana, il est comme nous, il a besoin de vacances.
--------------------------
Jérémie : A quoi tu penses ?
Aelita : A mon père. Quand il m’a sauvée, même sous une forme numérique, j’ai senti sa présence. Comme s’il me serrait dans ses bras. [Jolie conclusion, non ?]
Ulrich : Pendant les fêtes, mon père est comme un ours assis sur une planche à clous. Du coup, ma mère est hystérique.
--------------------------
Odd (à Aelita) : Ah, à propos de Kiwi, surtout, qu’il ne mange pas de fromage, ça lui donne des gaz. Et ça, c’est pire que tes champs de force.
--------------------------
Hiroki : T’appelles Ulrich ?
Yumi : De quoi je me mêle ? Est-ce que je te parle de Millie Solovieff, moi ?
Hiroki (rougissant, et courant en quittant la chambre) : Grrrr.
--------------------------
Monsieur Belpois : Allons, je sais ce que c'est ! Moi aussi, j'ai été amoureux.
Jérémie : Ha oui ? De qui ?
Monsieur Belpois : Et bien, de ta mère !
--------------------------
Odd : Allo Adèle ? C’est Odd ! Quoi ? Ah, excuse-moi. Pauline, dis moi, est-ce que tu peux… Tu peux demander à Elisabeth de dire à Marie de prévenir Louise qu’elle doit annoncer à Papa et Maman que j’ai raté l’avion ?
--------------------------
Jérémie : Aelita se trouve sur le territoire de la banquise. Hein ? Dans une bulle virtuelle ?
Yumi : Une quoi ?
Jérémie : Une reproduction du monde réel. Un canal fantôme. [Content qu’il ait réemployé l’expression]
--------------------------
Jérémie : A mon avis, Xana doit sélectionner des invités.
Yumi (se retournant, voyant les Tarentules) : Bien vu. Il a même prévu des gorilles à l’entrée.
--------------------------
Yumi : Alors ces vacances ?
Ulrich : Courtes. Mais ça fait du bien de rentrer. [Tu m’étonnes, elles n’ont pas duré dix minutes]
--------------------------
Odd (volant vers les blocks) : Faut débloquer la situation. [Tu l’as déjà faite dans Leçon de choses, celle-là, mon vieux]
--------------------------
Odd (manifestement en colère) : Il va y avoir de la terrine de William !
--------------------------
Ulrich : Heu… Jérémie, Xana essaie de détruire une espèce de bouboule lumineuse. Qu’est-ce qu’on fait ?
Jérémie : Protégez-la. Cette espèce de bouboule, c’est Franz Hopper.
--------------------------
Jérémie : C’est pourtant évident.
Odd (l’interrompant) : Oh, ça va, hein ? [C’est vrai que ça peut paraître énervant]
--------------------------
Jérémie : Je te laisserai ma chambre, et je dormirai dans le salon. Heu… Le divan est très confortable.
Aelita : Et Xana ?
Jérémie : Xana, il est comme nous, il a besoin de vacances.
--------------------------
Jérémie : A quoi tu penses ?
Aelita : A mon père. Quand il m’a sauvée, même sous une forme numérique, j’ai senti sa présence. Comme s’il me serrait dans ses bras. [Jolie conclusion, non ?]
Dernière édition par L'anonyme le 31 Aoû 2007, 18:11, édité 1 fois.
Qui est en ligne
Utilisateurs parcourant ce forum: Aucun utilisateur enregistré et 3 invités
Powered by phpBB © 2000, 2002, 2005, 2007 phpBB Group.
Designed by STSoftware.
Traduction par phpBB-fr.com
Designed by STSoftware.
Traduction par phpBB-fr.com