Citations des épisodes

[Olivier]

Raaaah, toujours ces tirets

Je mettrai un soin tout particulier à te les signaler

[Yuna X-2]

aaaaaaaaaaaa trop bien!!!!quelqu'un a prit la releve de mon poste^^!!!!heureusement que tu fais maintenant les citations l'anonyme,car moi meme pendant les vacances j'aurais pas pu^^"!!!
jlai ai lu,trop bien!!!et puis vu que tu étais un de mes correcteurs lors de la saison précédente,et que tu faisais ca bien,ben ta bien fais de prendre la releve^^!!
bon courage pour la suite,car souvent,c'est pa du gateau!!!^^faut savoir les sélectionner et les découper pour pas que ca soit long,et j'avoue j'ai j'avais souvent galéré^^"...
bon ben je le redis: bon courage!!!! c'est trop bien!

[L'anonyme]

Merci du compliment. je devrais être à jour ce week-end.

[Yuna X-2]

et je serai là pour te lire^^!!!enfin,que dimanche,vu que samedi,j'ai ma fete^^"...

[L'anonyme]

Episode #57 Aelita


-Le prof d’Histoire : Dans les légendes scandinaves, on parle d’un cataclysme au cours duquel disparurent les anciens dieux, et où la terre incendiée se trouva régénérée. Ce cataclysme est connu sous le nom de Ragnarök.
-Odd:…’n’ Roll.
-Le prof: Pardon?
-Odd: Ben oui, quoi! Ragnarök’n’Roll. C’est une blague, m’sieur, de l’humour!
-Le prof : Oh, très drôle, Della Robbia. Allez donc exercer vos talents dans la cour !
-Odd : C’est une blague, là ?
-Le prof : Non. C’est un ordre.
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-Yumi : Alors, bien, le cours d’Histoire ?
-Ulrich : Ben, justement, sans histoires, comme d’hab.
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-Odd : Qu’est-ce qu’ils ont mes pieds ?
-Ulrich : Ben, heu… Comment dire ça avec tact… Ben, quand tu enlèves tes chaussures, c’est un peu comme…
-Jérémie : C’est comme passer à côté d’un camion de boules puantes renversé sur la chaussée.
-Ulrich : Voilà.
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-Odd : Oh, non, c’est la cata ! C’est ma réputation de séducteur qui est en jeu ! Aucune fille n’acceptera de sortir avec un… Heu…
-Jérémie : Avec une décharge de produits toxiques ?
(Rires)
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-Yumi : Bah, t’inquiète pas, Odd. Avec les progrès de la science, y’a sûrement un remède
-Jérémie : Mais oui ! T’as… L’amputation, par exemple.
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-Odd : Heu, Emilie, j’ai une petite question : quand on sortait ensemble, est-ce que tu avais remarqué que…
-Emilie : Que tu puais des pieds ? Non sans blague. Pourquoi tu crois que je m’aspergeais de parfum toute la journée ?
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-Odd : Yolande ! J’ai un gros problème : c’est terrible, je…
-Yolande : Oui, je sais, Odd. Tu es victime de sudations plantaires excessives.
-Odd : Pardon ?
-Yolande : En clair, tu sens mauvais des pieds.
-Odd : Mais c’est infernal ! Tout le monde est au courant dans le collège ?
-Yolande : Ho non, non. C’est… Ben si, en fait. Tout le monde le sait, mais t’inquiète pas, j’ai vu pire, et crois-moi, tu n’es pas le seul. [Mais oui, mais oui]
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-Odd : Hé, c’est p’t’être une tronche en informatique, notre Einstein, mais rayon diplomatie, c’est... C’est un…
-Aelita : (en pleurs) C’est un gros naze.
-Odd : Y a de ça, oui. Mais il tient vraiment à toi.
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(A la bibliothèque)
-Ulrich (parlant d’Aelita) : Ca a pas été facile pour elle d’apprendre qu’elle était humaine. Tu devrais lui parler.
-Jim (surgissant) : Non, tu ne dois pas lui parler.
-Jérémie : Quoi ?
-Jim : À la bibliothèque, on ne parle à personne. Le premier que je reprends à parler, il trouvera à qui parler. Et croyez-moi, on en entendra parler. Alors maintenant, je ne veux plus entendre parler de bavardage, sinon, les petits malins à la langue bien pendue devront tout raconter au proviseur.
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-Yumi : Salut, William, t’as bien révisé ?
-William : Ha ouais, nickel, je suis incollable sur la géographie des USA.
-Yumi : Ho, super, c’est génial, ça. Sauf que c’est un contrôle de… Maths.
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-Jérémie : Mince, une tour activée, territoire des montagnes. Allez, on met le turbo. On va prendre Xana de vitesse.
-Ulrich : Plan Tchatche ?
-Jérémie : Hum hum.
-Ulrich (en hurlant) : Et moi j’te dis que pour faire cette recette, il faut des œufs, du vinaigre, de la chantilly, un camembert et des cacahuètes !
-Jérémie (hurlant à son tour) : Mais non, des noisettes, pas des cacahuètes !
-Ulrich : Des cacahuètes.
-Jérémie : Noisettes.
-Ulrich : Ca va, là, on parle pas trop fort, m’sieur Moralès.
-Jim (surgissant) : Ho allez, tous les deux ! Dans le couloir et que ça saute, je n’veux plus vous voir !
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-Jérémie : hé, au fait, tu la sors d’où ta recette de cuisine ? C’est un truc de malade, ça !
-Ulrich : Presque, c’est une recette de Odd.

[Olivier]

crois moi -> crois-moi
croyez moi -> croyez-moi
malis -> malins
cacahuettes -> cacahuètes, cacahouètes ou cacahouettes (pas de chance )

[L'anonyme]

Voilà, c'est corrigé. Merci. Mais concernant le "Crois-moi" et le "Croyez-moi", tu es certain de ce que tu avances?

[Pete]

Oui, on attache au verbe les pronoms personnels situés après un impératif.

http://mapage.noos.fr/mp2/le_trait_dunion.htm

[L'anonyme]

Episode #58 Le prétendant


-Odd : Ouais, ben, tu m’excuseras, ton sabre, pour la déco, c’est peut-être la classe, mais si on parle de dézingage de bébêtes, à côté de mes flèches laser, ça frise le zéro absolu.
-Ulrich : Ha ouais ? J’te rappelle que la dernière fois, sans mon sabre, tu repartais direct dans les scanners.
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-Odd :… Et puis de toute façon, moi, j’ai un truc. Un petit plus que t’auras jamais, et ce truc, c’est le Style [prononcez Staïle]. Tu captes ? -Ulrich : Génial, seulement le Style, ça n’impressionne pas trop les Mégatanks.
-Nicolas : Hé dites, c’est quoi cette histoire de Mégatanks ? J’connais pas, c’est un nouveau jeu vidéo ?
-Odd : Ouais ! P’tit ours à la ferme, oublie, trop compliqué pour toi.
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-Johnny : Le problème que j’ai, c’est que… Que quand je vois Yumi, j’aimerais… J’aimerais… je sais pas comment dire… En fait c’est un peu comme ce qu’il se passe dans le dernier épisode d’Horreurs aux urgences. Tu l’as vu ?
-Ulrich : Hein, tu délires ! Tu voudrais tenter de transfuser Yumi avec du sang de caniche ? [C’est ça, fais semblant de ne pas avoir compris, Ulrich]
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(A propos du contrôle d’Histoire)
-Aelita : Et toi, Odd à la 3, t’as répondu quoi ?
-Odd : hé ben que la Chine était le pays le plus peuplé du monde avec un milliard d’habitants au mètre carré ! [Emprunté aux perles du bac, celle-ci]
(Rires des autres)
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-Odd (apercevant les corbeaux) : Ca me rappelle un film où une bande d’oiseaux comme ça attaquait toute une ville. Ca faisait même pas peur, un vrai navet ! [Référence à Hitchcock ?]
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-Yumi : Heu… Dis-moi, Johnny, t’as l’intention de me suivre comme ça toute la journée ?
-Johnny (d’un air innocent): Mouais.
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-Odd (poursuivi par les corbeaux): Je retire ce que j’ai dit tout à l’heure ! C’était pas un navet, ce film, il était génial !
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-Ulrich : Odd, c’est bon, ramène-toi !
-Odd : Ouais, ben deux minutes, j’termine ma séance d’acupuncture !
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-Odd : Moi, j’m’en suis fait cinq, et toi, combien ?
-Ulrich : J’ai pas compté. Et au cas où tu voudrais tricher, je te signale que les corbeaux n’entrent pas dans les stats ; il n’y a que les monstres de Xana qui comptent.
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-Ulrich (à propos des stats) : Tu vas pleurer quand tu verras les résultats.
-Odd : Ça, ça m’étonnerait : et de toute façon, est ce que tu m’as déjà vu pleurer pour une mauvaise note ?
-Ulrich : Non, et heureusement, sinon toute l’école serait déjà noyée sous les flots.
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-Odd : Et que le meilleur, c'est-à-dire moi, l’emporte ! Banzaï !
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-Odd : Le grand, l’immense, le géantissime Odd vient de refaire son handicap ! C’est l’égalité parfaite mais ça ne durera pas car Odd le magnifique le meill… (Il encaisse un tir fatal de Krabe).
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-Le proviseur : Dites donc, Jim, vous y comprenez quelque chose, vous, à cette attaque de corbeaux électroniques ?
-Jim : Non, jamais entendu parler de ça. Enfin, sauf quand j’enquêtais sur les phénomènes paranormaux dans la section spéciale des services secrets.
-Le proviseur : Ho, vous avez fait ça, vous ?
-Jim : Oui, mais je ne peux pas vous en parler, c’est secret confidentiel défense.
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-Odd : Ho, Ulrich, tu m’entends, là ? Jérémie est hors circuit, les corbeaux l’ont attaqué
-Ulrich : Génial. Aelita a été capturée par la méduse, j’ai des frôlions aux fesses et j’ai perdu mon sabre. Alors aide-moi, fais quelque chose !
-Odd : J’veux bien, mais… C’est plus compliqué que p’tit ours à la ferme !
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-Jérémie : Hé, ça y est, j’ai les stats de vos derniers combats sur Lyoko !
-Odd (à Ulrich): T’es prêt à manger ton gobelet ?
-Ulrich : Moi, j’dis que c’est toi qui vas avoir du mal à le digérer.
-Jérémie : Lyokoguerrier du mois, meilleure performance : Aelita !
-Odd : Finalement, les statistiques, ça rime vraiment à rien. C’est pas ça qui fait la vraie valeur d’un Lyokoguerrier !
-Ulrich : Ouais, là, chuis d’accord avec toi.

[Pete]

toujours les traits d'union :

dis moi > dis-moi
ramène toi > ramène-toi
Ca ça m’étonnerait > Ça, ça m’étonnerait
Alors aide moi > Alors aide-moi

[L'anonyme]

Corrigé, merci bien.

Edit du 22 Octobre: Je mets les citations de l'épisode d'hier cet après midi.

[L'anonyme]

Episode #59 Le secret



-William :… J’ai fait le mur pour aller voir Sky breaker 4 : la daube du siècle !
-Yumi : Ça, si t’as vu les trois premiers t’aurais dû le savoir.
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-William : Et tu vas où ?
-Yumi : Sauver le monde, ça te va, comme explication ?
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-Odd : Ben c’est pas grave, Yumi. Tu sais, moi aussi, j’ai le sommeil un peu lourd. Mais bon, avec Ulrich qui ronfle comme un troupeau de tronçonneuses, c’est un réflexe de survie !
-Yumi : Mouais ben croyez-moi, y a pas que mon sommeil qui commence à devenir lourd.
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-Ulrich : Alors qu’est-ce qu’il y a d’intéressant dans « les échos de kadic » aujourd’hui ?
-Odd : Ben, Judith Never et Renaud Limousin sortent ensemble.
-Ulrich : Sans blague ! Et c’est qui, ça, Judith et machin ?
-Odd : Ça j’en sais rien. En tout cas, ils sortent ensemble.
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-Jim : Aujourd’hui, une petite initiation à la nage synchronisée. Autrement dit, quelques instants de grâce et d’harmonie dans un monde de brutes.
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-Yumi : Hé ben si c’est ça la grâce, je crois que je préfère encore les brutes…
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-William : Alors c’était ça, son petit secret. Une planque High Tech, la caverne d’Ali baba version SF. Je comprends qu’elle n’ait pas voulu m’en parler [Jim attitude ?]
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-Jim : Non mais où vous vous croyez, Dumbar ? Les ordres c’est moi qui les donne. Vous me prenez pour un guignol ?
-William : Heu non, m’sieur, enfin, heu… Pas aujourd’hui.
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-Aelita : Dis donc, Jérémie, y en a combien au juste ? [Des Kankrelats]
-Jérémie : Heu, un paquet !
-Aelita : La précision scientifique, j’adore !
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-Ulrich (dégageant deux Kankrelats de l’overbike) : Désolé, les gars. Trois sur une moto, c’est dangereux. Et puis je suis pas assuré pour.
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-William : Heu, Yumi, c’est ça, votre super-ennemi ? Un ouvrier du bâtiment ? C’est bizarre, mais là, chuis un peu déçu, j’m’attendais à un truc un petit peu plus gore.
[…]
-William : D’accord, je retire ce que j’ai dit : on est tombé sur un super-plombier. [référence à Supermario ? C’est vrai que l’ouvrier a un peu le même genre]
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-William : Hé Yumi, il faut que je t’avoue quelque chose !
-Yumi : Franchement, tu crois que c’est le moment ?
-William : Heu, oui, plutôt : je ne sais pas nager.
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-Odd : Allez, la belle au bois dormant, on se réveille, c’est l’prince charmant ! Alleeeeeeez !
-L’ouvrier d’explobat : Heu qu’est-ce qu’il se passe ? Où je suis, là ?
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-Odd : C’est vraiment pas sympa, Ulrich, pourquoi t’as voté non ?
-Ulrich : Mais, c’est pas moi ! J’ai jamais beaucoup aimé William mais il nous a sauvé la vie. Il est courageux, il ferait un super Lyokoguerrier. Je le pense vraiment !
-Odd : ben alors, si c’est pas toi, si c’est pas moi, ni Jérémie, ni Aelita, alors il reste plus que…
-Yumi (chez elle) : Chuis désolée William. Mais moi je pense qu’on peut pas te faire confiance. [Je pouvais pas la zapper, celle-là, franchement^^]





Voilà. Bon, désolé s'il n'y en a pas beaucoup, mais j'ai pas trouvé grand chose de spécialement drôle dans cet épisode essentiellement constitué de comique de situation. j'attends la correction des fautes.^^

[Olivier]

Ulrich ; Alors qu’est ce -> Ulrich : Alors qu’est-ce
qu’est ce qu’il se passe -> qu’est-ce qu’il se passe
celle là -> celle-là

[L'anonyme]

Bon, Pete en a oublié, apparamment.^^

[Yuna X-2]

je vois que la suite n'a pas été faite?

peut etre que si personne ne se nomme,pendant les grandes vacances si j'ai le temps,je veux bien essayer de terminer la saison^^!

mais attention: je ne sais pas du tout si je pourrais,ce n'est juste qu'une idée,apres,allez savoir si j'aurais le temps^^"...!

[Xiahdeh]

Si L'anonyme est d'accord, je le suis aussi
Toi, comme lui, vous faites super bien les citations^^
Et je serais bien content de compler notre rubrique ^^

EDIT : completer* ^^

[Yuna X-2]

(pour une fois que j'ai un don ,mdr!!! jrigole XD)

ben ok,si l'anomyme y met son accord,je trouverai bien quelque apres midi de libre pendant les futures vacances^^!

[L'anonyme]

je vois que la suite n'a pas été faite?

Etrange coincidence, je comptais m'y remettre dès début Juin. Tu peux le faire avant moi, si tu veux.^^ Je me faisais justement la réflexion ce matin!^^

[Yuna X-2]

a ben si tu as prévu de t'y remettre en juin, pas de probleme ^^ ! lol,vu que moi je ne pouvais que commencer pendant les vacances,à mon avis tu auras fini avant que je ne commence^^! donc si il y en a encore à faire au début des vacances,et si j'ai le temps,je verrai

[L'anonyme]

Episode #60 Tarentule au plafond


Yumi : Ben à quoi tu jouais ? J’ai failli attendre !
Odd : Je faisais un brin de causette à Lucienne !
Yumi : Lucienne ?
Odd : Ben ouais, quoi, Lucienne ! Je donne des petits noms aux monstres que j’atomise, c’est plus humain.
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Odd : Oh, elle a l’air en colère !
Ulrich : Fallait pas la traiter de Lucienne.
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Odd (à Yumi) : Tiens, passe-moi le canif d’Ulrich !
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Odd (dans le scanner): Deux jambes magnifiques, deux bras minces et musclés, un torse d’Apollon, et la tête qui va avec. Ben le compte est bon !
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Nicolas : Bouh ! Remboursez, remboursez, remboursez !
Jim : Poliakoff, espèce de chou-fleur de Bretagne trop cuit, comment veux-tu qu’on te rembourse un spectacle gratuit ?
Nicolas : Euh…
Jim : Il faudrait te rendre rien. Ce qui ferait déjà beaucoup trop.
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Proviseur Delmas : Alors, mon cher Chardin, qu’est-ce qui vous a poussé à mettre en scène Cyrano de Bergerac, cette année ? L’élégance du texte ? Sa modernité ? L’envie de nous faire entendre le cri d’amour d’un personnage écorché vif, ou celle de vous frotter au romantisme ?
Professeur Chardin : Le manque de moyens.
Proviseur Delmas : Oh ?
Professeur Chardin : Oui, comme il fallait réutiliser le décor de Roméo et Juliette de l’année dernière, j’ai dû me rabattre sur une autre pièce avec un balcon… Donc, Cyrano.
Proviseur Delmas : Hum hum… Oui, je vois…
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Odd :
Ils trouvent tout de suite ? Oh, cela va de soi
Puisque c’est dans mon cœur que je les reçois
Or moi, j’ai le cœur grand, et vous l’oreille petite
D’ailleurs, vos mots à vous descendent, ils vont vite.
Les miens montent, madame ; il leur faut plus de FLECHES LASER !
Yumi :
Mais ils montent bien mieux depuis quelques instants
Odd :
Oh de cette gymnastique, ils ont pris l’habitude.
Yumi :
Je vous parle en effet d’une vraie altitude
Ulrich :
Deux Kankrelats, droit devant
Odd :
Certes, et vous me tueriez si de cette hauteur OH, C’EST BON, J’LES DEGOMME

Proviseur Delmas : Stern, Della Robbia, qu’est-ce que c’est que tout ce charabia ?
Professeur Chardin : Mais taisez-vous, à la fin, vous ne voyez pas que c’est du théâtre à 200% ? Une approche moderniste à mi chemin entre la cantatrice chauve et Mortal Combat III.
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Ulrich : Odd, attention, t’as un Block à seize heures !
Jim : Hein ? Un Bloc ? Tu débloques, Stern !
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Yumi : Bonjour, on vient voir Ulrich Stern et Odd Della Robbia
Gardienne de l’Hôpital : Impossible, ils sont encore en observation. Les visites sont interdites.
Yumi : Bon, ben merci, et puis l’accueil… Super cool, changez rien.
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Médecin 1 : Stern et Della Robbia, les deux jeunes qui ont été admis chambre 237, ils luttent contre des adversaires imaginaires qu’ils appellent Krabes, Mégatanks, ou encore Xana.
Médecin 2 (riant) : Oh non, vraiment, on se demande où ils vont chercher des noms aussi loufoques, hein, professeur Frôlion ?
Professeur Frôlion : Ah, les jeunes.
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Odd (à propos d’un Krabe) : Bien joué, Aelita, ils voulaient plus me lâcher. Peut-être qu’ils en pincent un peu pour moi !
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Patiente âgée (à Yumi) : Oh, juste une partie ! Allez, celui qui gagne a droit aux médicaments de l’autre !
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Odd : Ben Sissi, c’est quoi, cet air grognon ? T’as compris que ton 10 de Q.I, c’était pas la moyenne ?
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Jérémie (à Yumi) : T’inquiète pas ! Les garçons ont retrouvé leurs esprits –si je peux dire- et ils arrivent.
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Yumi :
Mais ils montent bien mieux depuis quelques instants
Odd :
Hé, de cette gymnastique, ils ont pris l’habitude
Yumi :
Je vous parle en effet d’une vraie altitude
Odd :
Certes, et vous me tueriez si de cette hauteur
Vous me laissiez tomber un mot dur sur le cœur

Professeur Chardin : Stop ! Stop ! Stop ! C’est pas mal, mais ce n’est pas tout à fait ça. Il manque… Comment dire….
Ulrich : De la passion ?
Professeur Chardin : Non.
Jim : Des esquimaux ?
Professeur Chardin : Non.
Proviseur Delmas : Des moyens ?
Professeur Chardin : Oh, oui ! Mais non.
Odd : Un grain de folie !
Professeur Chardin : Voilà, oui, c’est ça !

[L'anonyme]

Episode #61 Sabotage





Odd : Hé oui, c’est connu, là où Odd passe, Xana trépasse ! [Je la relève pour sa célébrité]
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Jim : Je vous rappelle que vos chambres doivent être impeccablement rangées. Ranger sa chambre, jeunes gens, c’est une condition sine qua n… Oups, sine quoi, déjà ? Heu, sine….
Odd : ma de Cartier, m’sieur.
Jim : C’est ça, oui… Heu non, c’est pas ça. Enfin bref, c’est une des conditions nécessaires à un bon sommeil, et qui dort bien vit bien, c’est connu. Et c’est pour ça que l’Homme ne peut pas décemment vivre dans un dépotoir, car on y dort très mal. Heu… Allons bon, où est Belpois ?
Ulrich : Heu, aux toilettes, m’sieur
Jim : Aux toilettes ? Depuis tout ce temps ?
Odd : C’est le hachis, m’sieur, il le digère mal.
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Jim : Et ça, là, c’est quoi, hum ? On cache des revues de…
Jérémie : D’informatique, m’sieur.
Odd : Oh non, mais c’est vraiment un geek, ce Einstein !
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Aelita : Filez en cours, et dites que je suis malade à cause de... Ben…. Ben du hachis !
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William : Hé dites, monsieur Chardin, il nous a oubliés, le car, ou quoi ?
Professeur Chardin : Pas de car aujourd’hui, nous irons à pied, va. L’art, ça se mérite, jeune Homme ! [Ou comment échapper au cliché de l’attaque du car.]
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Jim (en rêvant) : Hmm, Hmm, redresse, Doug ! On va finir aux pâquerettes ! Hmm, tu vois pas que t’as un F4 fantôme dans tes six ?
Millie : M’sieur ?
Jim (se réveillant) : Oui, c’est pour quoi ?
Millie : Il paraît qu’un élève n’aurait pas donné satisfaction au cours de l’inspection, pouvez-vous nous dire de qui il s’agit ?
Jim : Ah, ça, hors de question. J’ai le devoir de préserver l’anonymat des élèves contrevenants, surtout quand c’est un gars sérieux comme Jérémie Belpois !
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Christophe : Et toi, par où tu préfèrerais commencer la visite? Par la salle des impressionnistes, ou t’es plutôt branché pop art ?
William : Moi, chuis boutique souvenirs. Je pourrais acheter un petit truc pour Yumi…
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Jérémie : Alors, on s’en sort comment, ce coup ci ?
Odd : On fait comme on a dit.
Jérémie : Mais on a rien dit !
Odd : Je sais, oui, c’est bien ça, le problème.
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Aelita : On passe en force ?
Ulrich : Pourquoi, il y a d’autres techniques ?
Aelita : Ben la ruse !
Ulrich : Connais pas. Super Sprint !
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Ulrich : Quitte à être en Noir et Blanc, autant faire ça à l’ancienne ! « Et à la fin de l’envoi, je touche »
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Ulrich (à Aelita) : Bon, t’as pas un truc historique à dire avant qu’on soit dévirtualisé ?
Odd : FLECHES LASER !
Ulrich : Ah, voilà, ça, c’est le truc à dire ! Content de te revoir, Odd !






Pas grand chose sur cet épisode, car pas grand chose de notable, désolé.^^

[L'anonyme]

Episode #62 Désincarnation



Madame Hertz : Stern, vous, par contre, vous repoussez les limites du je-m-en-foutisme, un noyau atomique n’est pas constitué de croutons mais de protons […] Poliakoff, zéro. Sachez qu’un Kilo de mercure ne pèse pas une tonne, alors à votre place, je cesserais de ricaner bêtement.
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Jérémie : Ouais, exactement. Pour faire simple, en interpolant les codes sources dans l’espace de Planck, on peut contourner le principe d’incertitude d’Heisenberg, l’ennui, c’est qu’on risque de se heurter à une singularité mathématique. [Ca ne veut pas dire grand-chose… Que des éléments qui existent, mais juxtaposés…]
Odd : Et en Français ?
Jérémie : Ben, ça peut marcher, mais c’est dangereux. [Ouais, c’est ce que ça voulait dire, en gros]
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Ulrich : Tiens, Odd, je te lège mon Schweppes Orange, au cas où je ne reviendrais pas.
Odd : Oh là là, non, non, c’est trop, je peux pas accepter, tiens, Yumi, y a que toi qui puisses être la légataire d’Ulrich, le grand, le premier homme à avoir marché sur le cinquième territoire sans passer par la case départ [Faux, dans l’épisode 49, ils le font. Quoiqu’il en soit, Yumi pleurera effectivement sur la canette de jus de fruit.]
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Aelita : Peut-être qu’une propriété émergente est apparue dans les algorithmes , ce qui aurait altéré le bon déroulement de la virtualisation.
Ulrich : Mouais, moi je dirais plutôt simplement qu’il y a eu un gros bug.
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Odd : Nom d’un chien ! Mes techniques de dressage ont enfin porté leur fruit. Kiwi parle !
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Odd : Oh mais c’est que c’est un bon chien chien, ça
Ulrich-Kiwi : Arrête ça ou je te mords !
Odd : Ah là là, la sale bête !
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Madame Hertz : Ah, mon cher Jim, c’est bien toi qui m’as dit avoir été professeur de danse de salon professionnel à Buenos Aires ?
Ulrich-Jim: Euh, euh ben oui
Madame Hertz: Alors, tu es bien l’homme qu’il me faut. Depuis que tu m’as parlé de tout ça, j’ai une folle envie d’apprendre le tango.
Ulrich-Jim : Heu ouais ouais, une minute, Suzanne, je voudrais te parler du cas du jeune Ulrich Stern.
Madame Hertz : Oh là là, non, non, non, ce n’est pas le moment, on verra tout ça à l’heure du conseil de classe. Ca peut attendre, pas vrai ?
Ulrich-Jim : Non, justement, non. Il faut qu’on en parle, et tout de suite, c’est important.
Madame Hertz : Non, non, ce qui est important, c’est que je dois voir Pedro Dimanche après midi au thé dansant et je dois absolument savoir danser le tango argentin, sinon, c’est à peine s’il daignera me regarder… [Mythique]
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Ulrich-Jim : Ouais d’accord, mais après mon conseil de classe. C’est très important, surtout après ce qu’il s’est passé avec madame Hertz.
Yumi : Et qu’est-ce qu’il s’est passé ?
Ulrich-Jim : Oh, je préfère ne pas en parler.
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Proviseur Delmas : Bien, je pense que tout le monde est d’accord pour dire que Della Robbia est un élève à fort potentiel mais fumiste à l’extrême.
Odd (souriant) : Oh, doucement, moi j’ai constaté de réels progrès surtout en gymnastique. N’est-ce pas monsieur Moralès ?
Ulrich-Jim : Ah, oui, oui, oui, tout à fait, d’énormes progrès, les autres élèves ne courent plus se cacher quand il lance le javelot. Et ne s’écrasent plus les orteils au lancer du poids.
Proviseur Delmas : Heu… Soit. J’en prends note, ce sera précisé sur son bulletin.
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Proviseur Delmas : Bien, nous en sommes donc à Stern Ulrich. Bien, quelqu’un veut un potage poireau-navet ? Désolé, il n’y a que ça.
Professeur Fumet : Hé bien je dirais que là on a un problème.
Proviseur Delmas : Oui, tout à fait, c’est scandaleux, ils pourraient prévoir d’autres arômes, tomate-potiron, ou tout simplement du café.
Professeur Fumet : Non, moi, je parlais de Stern.
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Ulrich-Jim : Suzanne, si tu acceptes de laisser une seconde chance à Stern, je m’engage à t’enseigner le tango Argentin, le Tcha Tcha Tcha et la Rumba, et toutes les dans ridic… Heu, de salon que tu voudras, parole de Jim Moralès.
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Yumi : Hé, mais qui est-ce qui a laissé trainer son prof de sport par terre ?
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Jim : Ben merci, Stern, tu m’as sauvé la mise. Mais pourquoi tu as fait ça ?
Ulrich : Ben disons que c’est l’esprit de corps !
Jim : Bravo, mon garçon ! Je vois que ça finit par rentrer dans ta petite caboche.
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Madame Hertz : Mais, et mes cours de danse de salon alors ? Tu as promis, Jim.
Jim : Ta ta ta ta ta, Suzanne. On a encore trop forcé sur la verveine menthe hier soir ? Ca ne te réussit pas, tu sais.

[elfos]

Une de mes préférées :

Odd : "Mais non, je suis pas maigre, je suis svelte !"

[L'anonyme]

Episode #63 Triple Sot



Odd : hé ho, mais regardez-vous, vous avez tous des super pouvoirs ! Télékinésie, Triplicata, Super Sprint, pouvoir de création, et moi, j’ai rien. Le seul super bidule que j’avais, les flashs de prémonition, Jérémie me les a effacés en faisant une mise à jour du supercalculateur et il me l’a pas réinstallé, paraît que ça servait à rien ! Alors maintenant, vous me lâchés avec vos super scores de super dopés. [Celle-là, elle est pour les fans]
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Jérémie : Pour te remonter le moral, je t’ai mijoté un petit quelque chose
Odd : Mijoté ? C’est façon de parler j’espère, parce qu’en cuisine, t’es nul.
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Odd : T’es le meilleur, dans mes bras, Einstein. Si j’étais une fille, je te demanderais tout de suite en mariage ! [Pour les fans celle-là aussi]
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Odd (constatant qu’il a été triplé) : Jérémie, pour le mariage, oublie, j’ai plus envie ! [Y a que lui qui puisse avoir cette réaction là en priorité]
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Odd : Ben quoi, faut voir le bon côté des choses, vous avez trois super potes pour le prix d’un !
Odd et Odd : C’est mortel, non ?
Ulrich : c’est le mot, oui.
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Odd : Et si on se planquait dans ma chambre et qu’on allait au réfectoire à tour de rôle ?
Odd et Odd : Ouais, bonne idée, t’es trop fort, Odd !
Odd : Ah, merci les gars !
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Odd : Salut, m’sieur, alors, on a la patate ?
Jim : Ben en fait, je… Je sais plus, j’crois que je vais aller m’allonger un instant. [Tu m’étonnes, les deux autres lui ont posé la même question]
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Odd : Oh, Rosa, vous savez que vous êtes splendide aujourd’hui ! Dites, entre nous, vous n’avez jamais songé à défiler pour des grands couturiers ?
Madame Petitjean : Ca va, te fatigue pas, Odd. Voilà du Rab mais épargne-moi tes salades.
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Jim : Aujourd’hui, vous semblez être partout sauf en cours de gym. Alors un conseil, un seul, mon bonhomme, vous allez tout de suite faire demi-tour pour aller de l’avant, sinon, il ne faudra pas compter sur moi pour assurer vos arrières.
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Jim : Contrairement à ce que certains petits malins pourraient croire, le lancer du disque n’a rien à voir avec le fait de jeter un CD qu’on ne veut plus écouter. Non, il s’agit d’une discipline olympique, fort ancienne, nécessitant souplesse, coordination musculaire, et surtout… Un disque.
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Odd : Bonjour, m’sieur, dites, vous avez quoi comme programmes de cinéma pas cher ?
Homme du Kiosque : Pas cher ? Ben vous avez « Programme à deux balles ». Qui fait deux cinquante.
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Hervé : Hé, c’est pas le discobole, c’est le discogogol ! [Ce n’est pas drôle, et pour une fois, ce n’est ni de Jim, ni de Odd]
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Aelita : Il faut qu’on le sorte de là !
Ulrich : C’est ça, et je parie que t’as une paire d’ailes sur toi ? [Pas encore]
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Homme du Kiosque : Hé, reviens ici, crétin d’ado acnéique !
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Jérémie : Transfert Odd ! Transfert Odd ! Transfert Odd! Scanner Odd! Scanner Odd! Scanner Odd! Virtualisation!
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Odd: La tour de madame est avancée. [On ne change pas les vieilles habitudes]
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Yumi : C’est vrai que t’es super balèze, et t’es drôle, aussi, et surtout d’une modestie à toute épreuve !
Odd : Hé oui, c’est vrai, c’est tout moi, ça. En un mot, je suis du genre, heu… Du genre unique !

[L'anonyme]

Episode #64 Surmenage


Professeur Fumet : Et maintenant, comme il est coutume depuis la nuit des temps, je vous ai gardé le meilleur pour la fin.
Ulrich : Pour la fin ? Mais il n’y a plus que moi ! Tu crois que le meilleur, c’est…
Odd : Allons, t’affole pas si vite, à mon avis, c’est de l’ironie.
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Professeur Fumet : Alors Ulrich Stern, il y a tellement de fautes d’orthographe dans votre devoir qu’au début, je l’ai cru rédigé dans une langue étrangère. Ou que vous aviez utilisé un code chiffré.
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Proviseur Delmas (d’un ton des plus sérieux) : Entrez ? Ah ! Mademoiselle Ishiyama. Pour tout vous dire, je suis flatté que vous ayez daigné prendre le temps de répondre à ma convocation. Vu vos multiples retards et vos absences à répétition ces dernières semaines, franchement, je ne m’attendais pas à avoir la chance de vous voir ici aujourd’hui. Vraiment, vous me faites là un grand honneur. [Pince sans rire, le proviseur]
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Yumi : Pas question, non, on en a déjà parlé. William, c’est une tête brûlée. On peut pas lui faire confiance. [Culte]
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Madame Hertz (pendant un contrôle) : Odd Della Robbia ! Tu veux que je t’aide, peut-être ?
Odd : Ah ça, franchement, m’dame, ce serait pas de refus !
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Odd : Hé ho, Einstein, primo, tout le monde ne révise pas, et secundo, je suis pas tout le monde, moi, je suis un cas à part, un spécimen unique. Un peu comme toi, quoi.
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Jim : Je me souviens encore que lorsque j’étais grand reporter, on développait nos clichés à toute vitesse sous les bombes.
Christophe : Vous avez été photographe de guerre, monsieur ?
Jim : Heu… Oui. Mais je préfère ne pas en parler. [Bon, je la mets quand même]
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William : Je te jure, il y avait cet ordinateur géant genre science fiction dans une immense usine, et soudain, toi et moi on se trouvait sur un pont et on se battait contre un type habillé... En ouvrier, et qui faisait des sauts incroyables dans les airs. [Culte aussi, celle-là]
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Clone de Jérémie : Alors comme ça, tu t’en es sorti ? Hé, c’est qu’on est un fameux nageur ! Je pourrais presque être fier d’être à ton image...
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Jim : […] A l’époque où j’étais cambrioleur, enfin je veux dire… Serrurier…










Désolé, pas beaucoup de citations pour celui-ci. Il y a beaucoup d'action dans Surmenage. Et de vocabulaire de l'action.