Eh, déjà ce n'est pas la faute des américains, mais de l'idée que les équipes marketings se font d'eux. Les enfants américains n'ont pas DEMANDÉ à ce que le tome 1 d'Harry Potter s'appelle "Harry Potter et la Pierre du Sorcier" chez eux.
Bon, sinon :
* Ne vous inquiétez pas trop pour l'absence de mentions du triangle Ulrich/Yumi/William. Après tout, ils n'ont pas non plus indiqué que Jérémie rend ses sentiments à Aelita.
* Globalement, pour des histoires d'amour, il faudrait que les scénaristes osent. En fait, Jérémie et Aelita sont passés sans transition des amants maudits ne pouvant pas se toucher à la routine de vieux couple. Comme Ulrich et Yumi ne pourraient pas faire ça, ils ne forment pas un couple. Comme disait mon prof de littérature, il leur manque des couilles (mais cette fois ça s'applique autant aux scénaristes qu'aux personnages)
* sur les tenues, un grand bof. Elles ne sont pas moches, mais il faut les regarder à côté des anciennes pour voir la différence. Ce qui revient à dire que c'était pas la peine de s'emmerder à en dessiner de nouvelles si c'était pour faire pareil. On dirait vraiment les mêmes tenues redessinées de mémoire.
* les tours sont effectivement complètement Tronesques (surtout le jeu vidéo Tron 2.0 d'ailleurs). Hop, quelques images de ce jeu :
Et tout le niveau ici :
http://www.visualwalkthroughs.com/tron/lightcycle/lightcycle.htmEnfin, je note que Tron 2.0 avait aussi l'idée de l'entreprise des méchants qui virtualise des mecs pour en faire des soldats de base dans le monde virtuel !
Faudra juste nous expliquer pourquoi eux quand ils virtualisent des mecs ça produit des créatures toutes identiques dans le monde virtuel. Remarquez, la même critique s'adresserait à Tron 2.0. Mais dans l'histoire de ce jeu, la faiblesse relative des méchants virtualisés est un prix acceptable pour le fait que eux, la dévirtualisation les renvoie dans le monde réel, alors qu'elle tuerait le héros !