Réflexions...
Parlons de nous, de l'actualité, de nos meilleurs souvenirs...
est ce que le bonheur c'est l'absence de malheur ? il y a environ deux ans,je pensais qu'il me suffirais d'habiter sur une ile deserte pour être heureuse... maintenant je sais qu'il me faut plus que ça,et on me dit que je demande trop... pourtant j'ai l'impression que c'est le strict minumum... est ce que je loupe encore quelque chose,et qu'il y a encore plus à demander ? si oui,est ce que je préférerais le connaitre,ou l'ignorer ? (au fait,vous pouvez repondre à ces questions vous aussi ^^).
bref,c'est quoi le bonheur ? il faudrais trouver un autre mot,celui là me donne l'impression d'un imbecile heureux à peine conscient de ce qui se passe autour de lui... (est ce que les autistes sont heureux ?)
j'ai fini ^^
edit : en fait non.puisque le café stimule,est ce qu'on peut dire qu'il rend heureux ? est ce que vous préféreriez être malheureux,ou heureux au café ?
edit 2 : puisqu'on parle d'amour plus haut tient... comment vous voyez le grand amour ? et quelqu'un va il repondre avant que j'ajoute dix édit ?
"je suis heureux dans la vie" je ne vois un peu qu'un imbécile heureux et inconscient dire ca
parce que le bonheur parfait, je crois pas que ca existe ^^'. En éternelle insatisfaite, je sais de quoi je parle. Ya toujours un détail qui cloche, ou alors c'est le calme avant la tempête. Tu te sens heureux, tout baigne, et la BAM, il faut qu'il y ait une tuile ^^'
Et puis, une vie humaine, quand on est jeune ca va, le bahut, les potes, les vacances... Mais apres c'est métro boulot dodo, 5 semaines de congés payés, pas de temps pour sortir, et le temps libre doit etre utilisé pour se reposer.
On peut pas etre "heureux" au sens propre du terme dans ces conditions.
Il faut juste se contenter de peu, de petits détails, des moments sympa, etc... Et ca c'est pas forcément évident quand on sait que ca va pas forcément durer.
Je sais pas si mon charabia répond a ta question m'enfin c'est pas grave, fallait que je mette mon grain de sel ^^'

Démolisseur de Mégatanks
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Hika-Chan a écrit:Et puis, une vie humaine, quand on est jeune ca va, le bahut, les potes, les vacances... Mais apres c'est métro boulot dodo, 5 semaines de congés payés, pas de temps pour sortir, et le temps libre doit etre utilisé pour se reposer.
J'ai le même point de vue. J'appelle pas ça une vie. D'où l'utilité de faire un job qui passionne. C'est déjà ça de gagné. C'est peut être un poil trop pessimiste.
La solution aux 5 semaines de congés, c'est de faire prof. Mais, d'une, vu les taux de réussite, c'est pas gagné, et vu ce qu'il faut faire à coté (parce qu'un prof ça ne fait pas qu'enseigner sa matière), je me demande si le rapport vacances/conditions de vie professionnelle est avantageux. J'ai une amie qui a mis 4 ans à avoir son diplôme, et une autre qui ne l'a pas encore et qui vit de cdd dans un cfa (et apparement, les gars en cfa, faut savoir les gérer) et de soutien scolaire.
Bref, j'aimerais bien tenir les petits @#% qui ont posé les principes de fonctionnement de nos sociétés dites "modernes" et qui font croire qu'on peut pas faire autrement, et leur expliquer mon point de vue.
Ya toujours un détail qui cloche
Oui, c'est pas faux, mais il y a des détails qu'on peut oublier et d'autres qu'il faut vraiment corriger.
Je crois qu'on peut être heureux malgré certaines détails qui clochent. Suffit de laisser couler certaines choses. Méditer certaines philosophies orientales peut s'avérer utile.
Surtout ne pas se laisser aveugler par ce qu'on peut nous dire sur la façon dont on doit forcément vivre et faire comme on le ressent ^^

Tout dépend de quel CFA. Enfin quoi que les filles c'est pas mieux que les gars des fois ^^'
Ouais ya des détails qu'on peut oublier ^^
Mais bon meme en faisant un job qu'on aime, a un moment ca peut souler.
Ca fait longtemps que notre société foncionne comme ca. Vivre pour travailler et travailler pour vivre. On se croirait presque sous Staline XD
Apres tout ceux qui escroquent les assedic et autres organismes d'aide sans bosser ont une bonne raison de le faire


Démolisseur de Mégatanks
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Mais bon meme en faisant un job qu'on aime, a un moment ca peut souler.
Pas certain. Surtout pour les métiers scientifiques et artistiques. En général se sont des gens vraiment passionnés qui font ça et ils n'en décrochent jamais ^^
D'ailleurs, c'est pour ça que j'espère un jour travailler dans un labo de recherche. La façon de faire y est vraiment différente. Mais pour ça faut de l'expérience et donc passer par l'entreprise ....
Vivre pour travailler et travailler pour vivre.
J'appelle pas ça une vie. Parce que derrière cette maxime se cache la soif de profits qui tenaille l'humanité depuis la fin de la préhistoire. Certains en ont voulu plus que les autres et laissèrent tomber le respect qu'ils devaient à leurs semblables et l'égoisme se répandit .....
Heureusement, ce n'est pas une généralité, mais il suffit d'un petit groupe d'humains débiles pour engendrer des grosses catastrophes.

Démolisseur de Mégatanks
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Malheureusement je sais pas si on peut y faire grand chose
Je crois que le mieux (à part aller vivre dans la jungle ou changer de planète ^^), c'est de pas se prendre la tête quoi qu'il arrive, ne pas donner trop d'envergure aux soucis et ramener les choses à ce qu'elles ont de plus basique. Ne pas considérer qu'une chose est obligatoire/inévitable/ect.... parce que d'autres l'ont décidé ainsi, ne pas se laisser mettre la pression.
Révolté moi? Oui un peu ^^
"je suis heureux dans la vie" je ne vois un peu qu'un imbécile heureux et inconscient dire ca
Aux innocents les mains pleines. Qui ne se ose pas de questions sur sa condition est toujours heureux, non

Je sais que je suis pas un posteur émérite, mais deux trois éléments ont quand meme tendance a m'interpeller dans vos discours respectifs

Le bonheur n'existe pas, soit c'est un fait, mais vous partez la sur un postulat assez amusant, un pré requis, qu'est ce que le bonheur, apres tout, et la les définitions sont différentes pour chaque individu, parce qu'il s'agit non pas d'une vérité universelle définie de maniere subjective, mais ca fait appel au sentiment. Mon bonheur, ou ce qui fera mon bonheur sera peut etre totalement (et certainement) different de celui d'Hika Chan ou Typy, et apres tout, pourquoi pas.
Bosser, apres tout c'est aussi un moyen d'attendre le bonheur par les bénéfices financiers qu'on en retire, mais aussi par les rencontres qu'on peut y faire, les choses qu'on peut y construire a tous plans.
En fait c'est une vision qu'on nous impose, apres "chacun est libre" de l'appliquer ou pas, sachant qu'il sera mis au ban si il ne l'applique pas. Betement, le travail est percu actuellement comme négatif dans "notre" génération (ou j'en ai bien l'impression), l'ideal est de devenir la caricature du fonctionnaire oisif et inutile, pas forcément qu'on le soit vraiment, mais il faut en donner l'impression, pour "briller".
Et encore, la il ne s'agit que d'un sujet assez "froid" qui ne touche pas aux sentiments...

Je trouve ca completement débile et contre productif.
Le seul probleme apres, c'est de pas etre idéaliste (les desillusions sont excessivement cruelles) et de bien trouver les gens avec qui partager ses ideaux, et d'avoir la clairvoyance de voir ce qui est réalisable ou pas, sous peine de se noyer ou d'en finir prématurément.
Certains arrivent a se detacher de leurs reves, parfois par l'opportunisme ou l'hedonisme. D'autres pas.

Robert Doisneau - Le réveur
J'ose esperer avoir été assez clair

je part du principe qu'il y a moyen d'avoir un travail agreable,mais ce qui me fais peur,c'est que peut être que je n'aurais pas cette chance... parce qu'il faut admetre que ça arrive à plein de gens,et même à la majoritée (enfin,surtout dans les pays riches,j'ai déjà vu un reportage ou un type trouvais très cool de faire dix kilometres en bateau tout les matins pour aller travailler dans une usine) en tout cas,dans mon entourage personne ne m'a jamais dit "j'ai vraiment un super boulot,je suis content de me lever le matin"
ha voila ! le bonheur ce n'est pas se dire "vivement que je me reveille demain" mais avoir envie de sortir de son lit le matin ! enfin,pour moi ^^
merci Angeleyes ^^

Tueur de Blocks
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L'existence tourne autour de l'être et du paraître.
Je m'explique.
L'être n'est pas a définir, c'est simplement le soi réel.
Le paraître est l'image extérieure, celle qu'on donne au autre. C'est la vision des autres.
Les deux ne sont pas lié directement mais pourtant, il doivent cohabiter en équilibre.
Trop d'être et pas assez de paraître rend asocial
Trop de paraître et pas assez d'être nous écarte de notre propre identité.
Une fois la démarche de mise en équilibre effectué, un autre problème se pose. Les deux sont trop différent l'un de l'autre. Nous devons assumer les deux. Si on y pense, c'est lorsque les deux se rapproche que l'on trouve un peu de bonheur, de Vrai Bonheur. Exemple : Lorsque l'on te considère pour ce que tu est et que tu te sent aimé pour ce qu'il y a derrière ta carapace, tu te sent heureux. Contre-exemple : Quand on t'aime pour ton paraître tu te sent bien, tu crois au bonheur, mais finalement ça s'estompe car tu sais que ce n'est pas franc.
Si on va plus loin, on peut résumer la vie à ce rapport entre le réel et le virtuel, entre le vrai et le faux, la vérité et le mensonge ; L'être et le paraître
De plus, on peut y inclure bcp de réflexions philosophiques.
Maintenant allons plus loin. Selon mes exemples, le bonheur serai donc d'être apprécier pour l'être. La solution du bonheur et donc la suivante :
Essayer de faire tendre le paraître vers l'être. C'est là où l'image touche le concret que l'on peut trouver le bonheur, le vrai. C'est loin d'être simple, mais c'est ma conclusion.


Tueur de Blocks
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"j'ai vraiment un super boulot,je suis content de me lever le matin"
ha voila ! le bonheur ce n'est pas se dire "vivement que je me reveille demain" mais avoir envie de sortir de son lit le matin ! enfin,pour moi ^^
merci Angeleyes ^^
Ben je pense pas que le boulot soit un plaisir en soit, et qu'on soit heureux d'y aller. Plus personellement je suis pasionné d'un domaine assez particulier, j'ai beau a plusieurs reprises avoir été bosser ou en stage dans le domaine, c'est pas forcment ultra motivant, meme si il y a des petits "a cotés" qui sont sympathiques et peut etre une envie d'aller plus loin dans l'investissement qu'on peut mettre.
Mais y'a des personnes qui sont tres bien dans ce qu'elles font et qui aiment leur fonction (enfin c'est un ensemble, responsabilité , difficulté du travail, etc), generelament tu les reperes par leur culture d'entreprise.
La remarque "j'ai un super boulot", simplement c'est "mal vu", la raison me reste obscure (quoique, socité de loisirs, 35 h ... etc)
Sinon, pourquoi tu me remercies


Pour la remarque, je pense qu'en discuter IRL est un peu mieux, plus dynamique pour les reflexions que sur papier.
A toujours se considérer d'un point de vue interne (ça, c'est un fait), l'on finit toujours par se faire une mauvaise idée de ce que l'on est vis-à-vis du monde extérieur. Je pense qu'en retirer qu'il nous est possible de mériter et d'avoir plus est une erreur. C'est pourquoi je pense qu'il faut se satisfaire de ce que l'on a, et même si c'est peu, c'est possible. Considérant après tout que ce qu'on est et ce qu'on fait a quelque chose de merveilleux, même si dans nos moeurs ça paraît pas extravagant, on peut accéder à une forme de bonheur. Le vrai problème, selon moi, c'est que l'on a trop tendance à ne regarder que ce que l'on a pas, et à le transformer en rêve, ce qui est stérile, à long terme. A mon sens, le rêve n'est pas une source de joie durable. Mais ça, c'est une question de personnalité. Sans être un imbécile heureux et en se trouvant dans une norme acquise au fil des siècles, et que beaucoup trouveraient enviable, en regardant ce que l'on a déjà, on peut être heureux. Angeleyes parle de détachement. Mais là où j'ajouterais une nuance, c'est en ce sens qu'en se détachant aussi de ce qu'on est, et pas seulement de ses rêves, on peut réfléchir là dessus, et être très ému, dans un sens ou un autre, de ce qui est notre quotidien (Oui, c'est bancal, mais moi, ça m'arrive tout le temps'^^).
En fait si on veut rapprocher a un courant ca serait un peu Freud, avec le Soi, tel qu'on est réellement, la personne qu'on voudrait etre et celle qu'on est vraiment aux yeux des autres.
Apres, si on se voit en se devalorisant, on va pas bien loin, pas plus qu'on ne se sent bien en se voyant "au dessus des autres" , postition bien fragile il en est... Il faut trouver un équilibre, et ca, c'est dur.
Tu pourrais un peu detailler ce que t'entends par etre ému dans son quotiden, je suis pas sur de saisir totalement...

J'ai réfléchi a la vie durant le we. Voila où j'en suis arrivé.
L'existence tourne autour de l'être et du paraître.
Je m'explique.
L'être n'est pas a définir, c'est simplement le soi réel.
Le paraître est l'image extérieure, celle qu'on donne au autre. C'est la vision des autres.
Les deux ne sont pas lié directement mais pourtant, il doivent cohabiter en équilibre.
Trop d'être et pas assez de paraître rend asocial
Trop de paraître et pas assez d'être nous écarte de notre propre identité.
Une fois la démarche de mise en équilibre effectué, un autre problème se pose. Les deux sont trop différent l'un de l'autre. Nous devons assumer les deux. Si on y pense, c'est lorsque les deux se rapproche que l'on trouve un peu de bonheur, de Vrai Bonheur. Exemple : Lorsque l'on te considère pour ce que tu est et que tu te sent aimé pour ce qu'il y a derrière ta carapace, tu te sent heureux. Contre-exemple : Quand on t'aime pour ton paraître tu te sent bien, tu crois au bonheur, mais finalement ça s'estompe car tu sais que ce n'est pas franc.
Si on va plus loin, on peut résumer la vie à ce rapport entre le réel et le virtuel, entre le vrai et le faux, la vérité et le mensonge ; L'être et le paraître
De plus, on peut y inclure bcp de réflexions philosophiques.
Maintenant allons plus loin. Selon mes exemples, le bonheur serai donc d'être apprécier pour l'être. La solution du bonheur et donc la suivante :
Essayer de faire tendre le paraître vers l'être. C'est là où l'image touche le concret que l'on peut trouver le bonheur, le vrai. C'est loin d'être simple, mais c'est ma conclusion.
C'est un peu le programme de terminale avec les courants phoilosophiques, effectivement ca rejoint pas mal de courant de pensées: Descartes un chouilla, et un peu Freud, qui lui ajoute a l'etre et au paraitre la chimere quon voudrait etre réellement.
En fait un peu encore au dela de tout ca c'est la question de la dualité qui se pose, poourquoi on n'est pas forcément tous dans "une seule voie", pourquoi il faut faire des compomis a tous les plans, pourquoi il y a toujours deux alternatives qu'on peut faire varier quasi infiniment sans pouvoir savoir a l'avance quelle est la combinaison adaptée...

Par contre effectivement je vous rejoins Hika Chan et toi, pas assez de paraitre rend asocial, et c'est un cercle vicieux


++


Démolisseur de Mégatanks
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anonime a écrit:"que représente l'intélligence et la culture dans ce monde stupide et inculte ne faudrait-il pas être intélligent pour mieux vivre en société"
je sais c'est n'importe quoi mais c'est se que je me dis en voyant beucoup de gars dans mon collège
C'est pas tant "n'importe quoi" que ça en réalité. Disons qu'il vaut mieux éviter de se poser certaines questions sur notre société pour ne pas être mal à l'aise avec par la suite.
A une époque où je me plaignais un peu plus, on me demandait "Est-ce pour autant que tu voudrais être comme la masse?" Sous-entendu, une masse peu glorieuse. C'est la question la plus habituelle que s'entendent poser les gens lorsqu'ils souffrent de leur singularisation. Simplement, cette question n'est valable que dans la théorie. Dans la pratique, la réponse est évidente. C'est: oui. L'important, ce n'est pas d'être quelqu'un de particulièrement vertueux. L'important, c'est d'être heureux. Et l'on est toujours plus heureux lorsque l'on ne se distingue pas de la masse, d'un point de vue psychologique, s'entend.
Premier "Atomiseur de Kolosse" du forum

Premier "Désactiveur de Tour" du forum

Merci Loïc et Squirel

MacIntoc a écrit:Ué bah... perso, pour avoir passé de long moment où tout baignait, je peut dire que ça lasse et qu'une bonne grosse tuile régulièrement, ça fait pas de mal.
On échange quand tu veux

Chai pas, quand je vois 'la masse' j'ai envie de tout sauf de ressembler a ça...
D'ailleurs meme en me forçant j'y arrive pas. Parler mecs et Q, ben disons que j'ai pas tellement d'expérience, maquillage pareil, et fringues...bon.
Quand à l'apparence, encore moins. J'aime pas les jupes parce que c'est pas pratique, les petits "sacs à main de trottoir" non plus, et je suis incapable de marcher avec des talons.
Donc je garde mon jean, mes baskets et mes principes parce que j'ai pas le choix.
Mais si je pouvais, par moments j'aimerais bien me fondre dans la foule, juste pour avoir la paix et me sentir moins seule.
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