Massacreur de Rampants
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Inscription: 01 Aoû 2004, 11:25
Localisation: Lille, ou au milieu de mes songes.
Le pacte avec X.A.N.A
Ulrich , Odd ,Yumi et Jeremy sont dans la cour près d’un arbre en train de parler à Milly et à Tamia pour le journal du collège .
Odd en plaisantant : je sais ce que tu peux mettre à la une !!!
Tamia : a bon ??… quoi ?…
Odd commençant a pouffer de rire :j’ai toujours la photo où Hervé a sauté sur Sissi près de la cabane et j’ai un titre : Sissi et Hervé : « un amour renversant !! »
Tout le monde éclata de rire.
En entendant ces rires, Sissi et ses deux toutous furent intéressés et se ramenèrent malheureusement vers eux.
Yumi : Tiens, tiens, voilà Miss Pimbêche dit-elle méchamment
Sissi : oh, toi l’enfant adopté, ta gueule !!! hurle-t-elle pour que tout le monde l’entende…
Yumi s’en alla en pleurant de toutes ses larmes. Elle ne savait où elle allait mais elle y allait !!!
Ulrich : Bravo Sissi tu as tout gagné, tu n’es qu’une sale petite peste ! Va conduire tes toutous à la niche.
Yumi continuait de courir et courir, les mains devant les yeux, des larmes coulaient sur ses joues.
Pourquoi pleure-t- elle autant… ?
Et bien voilà, Yumi vient de perdre ses parents dans un accident d’avion. Et du coup se sont des personnes qu’elle connaît à peine qui s’occupent d’elle. Elle souffre énormément de la disparition de ses parents… D’un seul coup Yumi s’arrête devant le cimetière qui était à quelques pas du collège Kadic. Elle alla se recueillir sur leur tombe.
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Nous revenons sur la cour du collège Kadic où nos amis se posent des questions…
Jérémy : Elle est où ?
Ulrich : Moi, je sais. Restez là, je reviens !
Ulrich courut donc jusqu’au cimetière et la retrouva devant la tombe de ses parents.
Ulrich : Yumi je suis vraiment désolé pour toi…je ne sais…
Pas le temps de parler, Yumi se précipita dans ses bras en sanglotant.
Yumi : Ulrich, pourquoi… Pourquoi sont-ils partis ?
Ulrich : Je suis là moi, ne t’inquiètes pas, je ne laissera cette folle de Sissi t’emmerder plus !!!
Yumi continuant de pleurer : je sais, je dois t’embêter avec mes histoires mais…
Ulrich :Non je ne pense pas ça .C’est faux, car au contraire, j’apprends mieux à te connaître et cela me rapproche de toi.
Yumi et Ulrich ont fini leur discussion et reviennent vers leurs amis. Yumi a les yeux rouges de chagrin.
Odd : Yumi, viens nous sommes tes amis et on ne va pas te laisser tomber…
Jérémy : Oué, si tu as besoin de nous, on sera toujours là pour toi…
Ils s’enlacèrent tous les quatre. Yumi était malheureuse et heureuse à la fois d’avoir des amis comme eux.
Et elle pense : j’ai de la chance d’avoir des amis comme eux ; Papa, Maman je pense à vous !
Quant aux autres, ils étaient plein de compassions mais seul, Ulrich pleurait…
Il pense : Pourquoi, Pourquoi c’est à elle que ça arrive ?
En se séparant l’un de l’autre, Ulrich demanda :
Si X.A.N.A. attaque, on peut revenir dans le passé avant que les parents de Yumi décèdent ?
Yumi : Ulrich, cela serait Incroyable et merveilleux !!! Jérémy, tu crois que tu pourrais faire ça ?
Jérémy : ben je crois qu’il n’y a pas de problèmes mais encore faut-il que X.A.N.A. attaque !!!
Odd : oué ben parles pas trop vite Einstein !!!
Jérémy : Ah bon pourquoi ?
Odd : ben regardes par toi-même ..
Jérémy regarda autour de lui et effectivement le ciel devint noir, les lampes clignotèrent, les feuilles claquèrent dans le vent, une attaque comme on l’imaginerait jamais allait commencer et là, X.A.N.A. apparut devant leurs yeux avec Aelita comme prisonnière.
Yumi,Odd, Ulrich et Jérémy sont pétrifiés, ils ont peurs, ils ont une sorte de nœud dans l’estomac. X.A.N.A. les foudroya du regard avec ses yeux de couleur rouge brillant.
X.A.N.A. en parlant par l’intermédiaire de Aelita : cette fois-ci rien ne pourra m’arrêter !
Odd : Ah, oui ? qui vous fait dire ça ? dit-il d’un air de défi.
Il n’a pas le temps de répondre ou plutôt il n’en a pas l’occasion car Aelita réussit à se libérer en se glissant d’entre les bras de X.A.N.A. qui ne peut plus parler.
A suivre .............
"S'il faut arrêter de vivre pour continuer à vivre, ça ne vaut pas la peine de vivre"
André Brassard.