code Baal

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Pourfendeur de Kankrelats

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Inscription: 04 Juin 2006, 23:19

Localisation: morteau

Message 28 Juin 2009, 19:46

Ça se complique tout ça ! Et puis, " les fils de la liberté"... ça me fait penser à " sons of liberty", Metal Gear Solid 2... ? ? Le fait est que cette saison 2 m'a l'air passionnante, et m'intrigue. J'en profite pour te dire que si tu as tjrs l'intention d'utiliser la Stanislasie, il faudra que tu me contacts par MP, parce que j'ai effectuer de grandes modifications, qui sont très importantes.
http://yumi2004.fr/forum/viewtopic.php?t=6348
http://yumi2004.fr/forum/viewtopic.php?t=6371 : A l'ombre des grattes-ciel en ruts... on survit, on serre les dents et les fesses, et on se tait : " A l'ombre des grattes-ciel en ruts, le loup et l'agneau" et " à l'ombre des grattes-ciel en ruts, le traqué de Wall Street".



une futur saga: Wolf, le maitre des abysses:
http://yumi2004.fr/forum/viewtopic.php?t=6238

Britannia est une puissance maritime dominant le monde telle la Grande-Bretagne dans notre monde. Sauf que Britannia à une épine dans son pied marin... Wolf, un pirate de la pire espèce. Partons à la découverte des aventures de ce saigneur des sept mers ! Epique, aventures, cape et épée, passion... la vie d'un pirate, ce n'est pas forcément la plus belle des vies...

Futur Lyokofan

Messages: 39

Inscription: 10 Déc 2008, 22:42

Localisation: sur Baal

Message 01 Juil 2009, 03:46

Tous se complique dans la saison 2 car xana a la majorité des cartes en mains et peut aisément influencer le reste.

Partie 2 une journée à Montréal

Odd et Aelita ne marchaient pas depuis longtemps qu’ils apercurent entre les conifères des bâtiments, c’était Montréal. La ville canadienne s’ouvrait à eux, mais leurs pensées allaient plus à Lyoko et à leur camarades resté sur place. Odd, se rappelant que dans les films policiers qu’il avait l’habitude de regarder les inspecteurs localisaient les fugitifs grâce à leur portable, avait immédiatement coupé le sien et celui d’Aelita. Maintenant qu’ils se trouvaient au portes de la ville ils pouvaient espérer contacter Jeremy et le reste de la bande sans grand risque. Mais ils ne savaient pas ce qui se passerai à Kadic en représaille de leur fuite.

Akadic, la vie continue comme si de rien était. Le retour vers le passé ayant anormalement affecté la mémoire des lyokoguerriers comme s’ils était des gens ordinaire,ils ne savent même pas que Xana est en vie. L’ordinateur portable de Jeremy n’est plus connecté à l‘usine vu que, à ce qu’ils se rappellent, le supercalculateur est éteint. Pendant ce petit cessez le feu, Xana prépare son offensive. N’ayant plus à mettre de l’énergie pour défendre ses tours Xana double le nombre de ses attaques visant tout les moyens de communication, entrant et sortant du continent où il se trouvait. L’attaque de l’avion d’Aelita fut parmis les première mais rapidement heures après heures les appareils de l’aviation commerciale furent petit à petit cloué au sol pour des problèmes allant d’une simple fuite d’un des réservoir aux crashs les plus spectaculaires jamais vu.

C’est dans cette situation qu’odd et Aelita arrivèrent en ville. Les journaux parlaient déjà du crash.

Odd sorti son portable pour téléphonner à Jeremy,la situation leur échappe de plus en plus,quand une autre problème survint.

Comment çà pas de liaison, s’écria-t-il en regardant le relais GSM sur le batiment juste en face de lui, Si on est pas assez près il faut le dire.

Cela ne sent pas bon Odd, A certain moment j’ail’impression que Xana n’est pas aussi mort que nous le croyons.

Voyons tu étais avec nous quand on a éteint le supercalculateur après l’avoir vaincu.

Oui mais il me semble que nous avons vécu autre chose depuis mais on ne s’en souvient plus.

Continuant de marcher, la foule se dégrossisant, ils arrivèrent aux abords de l’ambassade française, mais ils se cachèrent directement quand ils aperçurent Cadmon et Carrell patrouillant sur le trotoire. D’autres personnes arrivèrent et discutèrent un moment avec eux. Quelques instants plus tard Cadmon et Carrell partirent laissant les deux nouveaux patrouiller. Visiblement on voulait les empêcher d’entrer dans l’ambassade française, bout de territoire français en pays étranger.

Odd et aelita firent demi tour et furent heureux de voir que les deux agents qui les avaient escorté lors du vol étaient partis vers le centre ville. Le réseau d’espion de la Darpa se mobilisait et dans peu de temps il serait impossible de passer inaperçu, déjà que les caractéristique spécifique du duo n’était pas très courant dans la population. Une fille au cheveux rose et un garçon au cheveux blond avec une tache mauve, on pouvait chercher autant que l’on pouvait on ne tombera que sur nos deux fugitifs.

La nuit tombant ils voulurent louer une chambre mais ne possedant pas de dollar canadien nulle maison d’hôte ne les accepta. Ils décidèrent donc de passer la nuit dans une ruelle exigue quand un policier passant par là les trouva endormis. Et, avec l’aide de son collège, les emmena chez sa mère avant de repartir faire sa patrouille.


Partie 3 « sous-marin »

C’est dans la chaleur des lits d’une chambre d’amis qu’Odd et Aelita se réveillèrent à l’aube de leur second jour sur le continent américain.

Regardant autour d’eux Odd et Aelita se demandèrent où ils avaient atterri. Un papier horrible se décollant de par l’humidité, tapissait les murs. Ensemble ils sortirent de cettechambre sentant la moisisure et, en empruntant un petit couloir, ils débouchèrent dans une petite salle à manger donnant sur le St Laurent.

- Ho you’re awaken, come come Sit fit une vieille mégère, comme on en vois presque plus de nos jours, les forçants à s’asseoir autour de la table. Elle disparu en quelques instant dans la cuisine d’où sa voix s’élevait : I’ve got many thing what do you like ? fried eggs, smashed eggs, Baccon, Porridge, sandwiches, Ham, choco, tea , milk, coffie, …

Il semblait qu’elle faisait aussi l’inventaire de ce qu’elle avait tant la liste était longue, et aelita avait bien du mal à traduire tout ce qu’elle nommait tant elle parlait vite. Finalement Odd testa le porridge accompagné de croissants, tandis qu’Aelita ne prit qu’un simple « sandwiches » à la confiture.(Le terme sandwiches désignant plus des tranches de pain garnies que les petits pains.)
Pendant qu’Odd engloutissait son porridge, la vieille femme engagea la discution. (le vieille femme ne parlant pas français, et pour ne pas vous déboussoller la conversation sera traduite en instantané.)

- Alors, comment en êtes vous arrivé à dormir en rue mes enfants, c’est une chance que mon fils vous aient trouvé sinon dieux seul sait ce qui vous serait arrivé. Dit elle

- Ce serait une trop longue histoire.

- Voyons,mon enfant Mamie Hoop aime les longues histoires.

- Même si on vous le disait, vous ne nous croiriez pas.

- Qui sait ? Peut-être mamie Hoop peut vous aider.

- Voilà, …

pendant de longues minutes Aelita inventa une histoire spéciale pour cacher l’existence de Lyoko et raconta ensuite ce qu’ils avaient vécu depuis que les hommes en noirs vinrent la chercher.

- Quel histoire fantastique, Je n’aurai jamais pensé que deux enfants puissent être impliqué dans une telle histoire d’espionage. Personellement je ne peut pas vous aider, l’aventure n’est plus de mon age mais mon petit fils John a un secret que, je pense,il voudra bien vous faire part.

- Laisser moi lui envoyer un message, je vous dirait si c’est possible.

Elle seleva et partit vers la cuisine.

Les deux lyokoguerriers ayant eux des problèmes avec leur gsm et les téléphones publiques s’intérogèrent du regard.

Assurbanipal, dit elle en regardant son chat, je te laisse partir encore une fois dit elle en le lachant dehors.

Les lyokoguerriers furent encore plus perplexe,jusqu’au moment où Mamie Hoop leur expliqua tout. En fait, Le chat avait la facheuse tendance de retourner à la ferme où il avait vu le jour, hors cette fermette appartient à un fermier amis du fils de Mamie Hoop qui reconnaissant le chat va le rendre au fils de mamie Hoop. Celui-ci ne pouvant s’occuper du chat, c’est John qui s’en occupe et le ramène chez sa mamie. Bref, quand Mamie Hoop veux voir son petit fils elle n’a qu’a lacher son chat.

Petit stratagème porta ses fruits car, deux heures plus tard, John Hoop, portant Assurbanipal dans les bras, sonna à la porte.

Par chance, Le petit fils comprennait le français mieux que sa grand-mère.

John, ces jeunes gens doivent contacter des amis à eux se trouvant à Paris, je me demandait si ton petit réseaux pourrait leur venir en aide.

Pourquoi devrais-je les aider ? répliqua John.

Parce qu’ils sont impliqué dans un grand problème et que seul ils n’y arriverons pas.

Ne me dit pas qu’ils sont espion ?

Je ne le dirai pas, ils sont pourchassés par des espions qui leur en veulent pour une raison que je ne sait pas.

J’espère que mon réseau n’en sera pas compromis,mais j’accepte. On part dès que vous êtes prêt.

Après avoir fait leur paquetage, les lyokoguerriers partirent à pied. Mais une chose les intriguait,Mamie Hoop leur avait dit que son fils, qui semble-t-il est policier, les avait trouvés dans la rue, mais pourquoi ne les avait il pas amené au commisariat comme il aurait du le faire. Après quinze minute de marche ils arrivèrent à la limite de la ville passant près du champ où l’avion s’était écrasé et embourbé. Des pelleteuses avaient été amenées pour dégager les épaves, mais comme tout le monde avait miraculeusement survécu, il n’yavait pas de raison de forcer la cadence d’excavation.

C’est un miracle que tous soient encore vivant. Dit John Hoop tout en regardant le champ dévasté par le crash.

- Oui c’est encore pire quand vous êtes dedans, répliqua Odd.

- Quoi vous étiez dans ce vol ?

- oui et nous avons survécu par chance

- Je n’ai jamais vu un atterrisage des plus mouvementés surtout vers la fin, où l’avion a chûter comme une pierre sur plus de cent mètre.


Après quelques minutes plus tard ils arrivèrent à la maison des parents de John dans la petite bourgade de chateauguay. Après avoir laissé un message, ils repartirent vers une des forêts avoisinantes.

Cachés dans les brousailles a moitié gelées, se cachait dans cette forêt un cabanon en pierre.

- C’est ici. Déclara john. Faite attention, le plafond est bas.

John entra en premier et alluma une lampe au gaz. La faible flamme éclairai une table sur laquelle se trouvait une grosse machine faite de bobinne de fils et d’aimant.

- Un télégraphe ? dirent en même temps Odd et Aelita.

- Nous avons eut ces derniers temps des problèmes de communication générale que ce soit télévision téléphone ou gsm, mais le télégraphe semble ne pas subir de telles avaries ce qui me permet d’avoir des nouvelles exclusive sur les événements en Europe. Si j’ai bien compris vous voulez envoyer un message vers Paris.

- Oui à Jeremy Belpois internat du Collège Kadic 46 Rue Casteja à Boulogne Billancourt Paris. Commença Aelita pendant que John notait et transcrivait en code morse.

- Vous n’êtes pas obligé de faire court, je ne vais pas vous faire facturer le message.

-Cher jeremy, Notre avion a eut des avaries et s’est écrasé. Nous somme tout les deux sain et sauf, mais pour une raison indéterminée les divers moyens de communications subissent eux aussi des avaries ne nous laissant que le télégraphe pour te donner des informations.

Nous avons tout les deux l’impression que XANA est derrière tout cela,bien que tu sait que ce programme n’existe plus. Nous seront dans l’impossibilité de te contacter pendant un long moment, fait ce que tu peut pour rétablir la communication.

Nous essayons de trouver un moyen de revenir en Europe le plus vite possible.

Aelita et Odd.

- Bon maintenant il faut voir si Bringa Heringsdötir est à l’écoute.

- Bringa Heringsdötir !

- Attend c’est pas l’islandaise qui était venu à Kadic et qui a vu le supercalculateur.

- Si, ce n’est alors pas étonnant qu’elle ai gardé le secrêt sur le supercalculateur, elle n’aurait pas voulu si le cas se présentait qu’une personne découvre son télégraphe secret et le dévoile au grand public. A donnant donnant, un secret pour un secret.

Les petits tic titic du télégraphe commencèrent à remplir la petite casemate. Pendant plusieurs minutes les tic du télégraphe résonnèrent puis ce fut le silence jusqu'à ce que Bringa envoie un petit accusé de réception déclarant qu’elle avait bien reçu et transmit le message.

- Voilà, cela prendra quelques jours avant que le message n’arrive à Paris, mais il est déjà en Écosse c’est déjà ça. Je vous ramène chez moi.
Ma fan fic "code Baal"

Futur Lyokofan

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Localisation: sur Baal

Message 28 Juil 2009, 21:39

Partie 4 Où l’on débat d’espion et de société secrète.

Il marchèrent paisiblement sur le chemin menant à la ferme quand soudain Aelita s’arrêta.

- Odd Faisons un détour.

-Quelque chose ne va pas Aelita ? demanda Odd.

Une voiture noire stationnait dans la cour, le même type de voiture que celle qu’Aelita voyait enlever sa mère dans ses rêves.

-Il semblerait que nous aillons été filé par quelques espions vous en voulant. Répondit John tout en désignant la voiture Noire. Ma ferme ne saura plus vous servir de refuge malheureusement.

Et nous nous excusons d’avoir causé des problèmes dans votre famille.

- Mes parents n’ont rien à se reprocher, ils seront libres assez rapidement, mais je pense que ma vie là-bas n’est plus possible.

- Pardon ?

- Ayant été vu avec vous, seule raison ayant pu les mener jusqu’ici si rapidement, je serai certainement capturé pour ne jamais être libéré sans vous trahir.

- Je suis vraiment désolé.

- Il n’y a pas de quoi être désolé. Vous devriez plutôt nous remercier, car sans nous vous seriez déjà entre leurs mains.

- On vous en remercie beaucoup, mais n’en faites vous pas un peu trop, je veux dire Vous n’aviez pas à nous aider à envoyer ce message.

- Il faut s’entraider entre société secrète.

- Hein ???.

- Mince. Bon puisque ma couverture est tombée je me présente. John Hoop, agent dormant des « Fils de la liberté », actuellement en mission d’escorte de type S.

- Les « fils de la liberté » ?

- Une association qui craint une chute de la démocracie américaine au profit de la tyrannie, pour faire court. Nous nous sommes organisés pour aider toutes personnes prise pour cible par la CIA sans grande raison. Nous avions eu vent que la CIA avait déjà envoyé une espionne dans votre collège et nous en avons fait autant. Cela a prit du temps pour monter une couverture mais nous y somme parvenu. Nous ne savions pas que votre organisation avait un supercalculateur avant que vous le montriez à Bringa.

- Hein une espionne ? demanda Aelita.

- Oui mais elle n’a pas apporté grand chose. Selon la CIA, il faut au maximum un jour à des « agitateurs » pour s’adapter à un nouvel intrus. Pendant ce temps, des tensions se forment dans le groupe et risque de faire découvrir le secret.

-Attends, tu veux parler de Taelia. S’exclama Odd.

- Taelia, oui c’est un nom qui se trouvait dans un des messages que nous avons reçu à cette époque-là. Pourquoi, vous la connaissez.

Oui. Elle a en effet bien découvert le supercalculateur, mais par un procédé en notre possesion elle ne s’en souvient même plus.

- Hein, fit Aelita Pourquoi vous ne m’en avez pas parlé.

- Jeremy nous l’avait interdit. Taelia te ressemblait à s’y méprendre et tu ne répondait pas Sur lyoko, car tu était dans un gardien.

- Oui et alors ?

- Ben, Jeremy te croyant hors de lyoko et amnésique s’était mis en tête d’éteindre le supercalculateur. Heureusement nous somme arrivé à temps pour l’empêcher dans son acte. S’il l’avait fait Xana aurait irrémédiablement gagné et n’attendrait plus que le supercalculateur soit rallumé pour continuer dans ses projets.

- Oui, je comprend. Ce que je ne comprend pas c’est comment Jeremy ai pu croire que …

Des aboiements se firent entendre au loin.

Partie 5 Quand la frontière semble plus loin qu’elle n’est.

- Minces, ils en sont déjà à la battue. Nous ne parviendrons pas à atteindre la frontière dans ces conditions. Je sais pas ce que vous faissiez avec votre supercaculateur, mais on est certain d’une chose, c’est qu’ils n’ont vraiment pas aimé car ils ne sont pas prêts de vous lacher.

Le groupe se mit à courir du plus vite qu’ils purent pour distancer le plus possible leur poursuiveurs.

Le soleil pointait en son zenith quand le groupe, exténué, s’autorisa une pause.

Leurs paquetages pesaient lourdement sur leur épaules et ce fut avec un grand plaisir, qu’ils s’en débarassèrent pour une courte pause. Les aboiements retentissaient encore loin.

- Pause diner, dit John en sortant de son sac quelques biscuit. Je suis désolé, je n’ai que ça.

- On s’en contentera, n’est-ce pas Odd ? déclara Aelita.

- Euh… Oui bien sure.

Après avoir mangé quelques biscuits et bu le peu d’eau qu’ils avaient nos héros, forcé par l’aboiement de chien sans cesse grandissant reprirent leurs course.

- Si nous passons le fleuve, nous aurons une chance de les distancer le temps qu’ils retrouvent notre trace. Déclara John.

Nos héros partirent donc vers l’Ouest en quête du fleuve et de l’hypotétique barque qui leurs permettraient de le passer.

En France, les soldats s’impatientaient pour deux raisons. L’une, aucun des VSS parisien n’était retourné dans leur bases caché sur l’île Seguin, n’était que futile par rapport à l’autre. Aucun ordre ou accusé de la bonne réception du rapport envoyé n’était arrivé.

- Comrad Cathal, fit un nouvel arrivant.

- Capitaine Leïf, comment cela va-t-il ?

- Bien mal comrad, nous avons des problèmes à contacter le continent américain avec notre radio. Certainement un problème avec l’antènne. Pouvons-nous utiliser votre radio ?

- Ce serait sans refus, mais nous avons le même problème.

- Je n’aime pas cela Fit le Capitaine.

- Moi non plus, il faudra se passer de la base.

Après quelques heures de marche rapide pour pas dire course, Les trois fugitif arrivèrent exténué, aux abord du fleuve. Une vieille bâtisse en bois toute couverte de lierre et a moitié pourrie se tenait à quelque centaine de mètres plus au nord.

- Vite, nous avons déjà perdu trop de temps, fit John en courant vers la bâtisse, alors que les deux lyokoguerriers, pourtant habitué à courir sur lyoko n’en pouvait plus. Sur lyoko, ils n’avaient pas à porter un sac à dos de plus de plus de six kilo.

Arrivé au hangar, le trio ne trouva qu’un vieux kayak suspendu par des crochets au plafond.
Ils tentèrent de l’en détacher mais de par la vétusté du plafond, un des crochets céda précipitant le kayak au sol. Dans le choc celui-ci se brisa, brisant aussi l’espoir des fugitifs, tandis que les aboiements continuaient à s’intensifier.

Soudain de forts clapotements d’eau se firent entendre sur le fleuve. Les deux Lyokoguerriers et John furent surpris et allèrent voir avec prudence ce qui pouvait faire autant de bruit. Un steamer remontait le Saint Laurent.
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