Initié
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Inscription: 23 Mar 2018, 00:09
Ulrich et Yumi
Jim : Je préfère ne pas en parler.
Le professeur s'éloigna des Lyoko-guerriers qui se séparèrent à leur tour. Ulrich et Yumi restèrent tous deux à la plaque d'égoût. Ils ont leurs mains dans le dos et rougissent. Ulrich prend la parole.
U : Yumi ?
Y : Oui ?
U : Pourra-t-on papoter seuls après les cours ?
Y : J'dis pas non.
U : OK. À ce soir.
Y : À ce soir.
Ils se dirigèrent au collège par différents chemins. Ulrich se pointa en EPS, Yumi en géographie.
Jim se bousille le dos et Odd lance une vanne.
O : GRS. Gymnastique pour ringuards super-maladroits.
Éclat de rire général.
Jim : Stern ! Della Robbia ! Chez le proviseur !
U : Quoi ?!? Mais je n'ai rien dit sur vous, monsieur !
Jim : Oh... euh... c'est vrai. Della Robbia ! Chez le proviseur !
O : J'y crois pas !
Le vantard quitte le cours avec une moue.
A : Ulrich, je pense que tu aurais dû rester muet, Odd en aurait été moins vexé.
U : Franchement ! M'accuser d'avoir insulté Jim avec Odd, c'est insensé !
Jim : Je vous entends, Stern.
U : Oh oh.
Jim : Mais vous avez raison. Vous n'aviez rien dit alors, pas de sanction pour vous. (Reprend son point de position.)
J : Je suis de l'avis d'Ulrich, Aelita. Mais j'vois pas de quoi en faire toute une histoire.
A : Quoi mais...
U : Affaire classée.
A agaçée : D'accord.
J : Tu serais pas amoureuse d'Odd ?
A : Quoi ??
Jim : Eh oh ! Belpois, Stones ! Taisez-vous sinon vous rejoindrez Della Robbia !
J et A : Compris.
Cette dispute ridicule prend donc fin.
Le cours de 2e prend fin et William prend Yumi à part.
W : Alors, je suppose qu'il est éteint ?
Y : Oui, William. On l'a éteint pour de bon.
W : Génial ! Au fait, si on célébrait ça ?
Y : Que veux-tu dire ?
W : Un cinéma, ça te dit ?
Y : Ben, je ne suis pas vraiment disponible, ce soir. Ulrich et moi irons prendre l'air au parc.
W : Quoi ? Tu préfères être avec ce minable ?
Y s'énerve : Hé ! Lui, il a voté pour que tu sois des nôtres. Moi, non ! T'étais trop énervant à force de me draguer. Dire que j'ai refusé tout amour d'Ulrich juste avant...
Elle se met à sangloter et s'éloigne alors du jeune homme.
W : Yumi, attends ! Je... (Yumi est trop éloignée.) (Soupir). Merde.
Odd se fait engueuler par Mr Delmas.
J-P : Ensuite, vous avez lancé Gymnastique pour ringuards maladroits à Jim, c'est cela ?
O : Super-maladroits. Sinon, ça fait GRM.
J-P : Peu importe ! Cette remarque n'était pas très drôle ! Ce sera 3 heures de colle !
O : J'y crois pas !
Jérémie et Aelita discutent de l'avenir de cette dernière.
A : D'abord, ma mère. Ensuite, mon père. J'suis orpheline. (Commence à pleurer.)
J : Aelita, ne pleure pas. Je suis là. Il y a aussi Ulrich, Odd et Yumi qui sont là pour toi. Sois forte.
A : Je... j'peux pas... c'est plus fort que moi... (Pleure.)
Jérémie la prend dans ses bras.
J : Tout ira bien, Aelita. Tout ira bien...
A : Sniff... je... je t'a...
J : Qu'essayes-tu de me dire ?
A : Je... je t'aime Jérémie... Je t'ai toujours aimé. Depuis que je t'ai vu...
Jérémie était figé. Depuis qu'elle l'avait embrassé en 4e, c'était le meilleur moment de sa vie. Il prit doucement le visage de la jeune fille aux cheveux roses et le rapprocha lentement du sien. Sissi arriva alors et fit interrompre leur presque baiser.
Sissi : Salut, les copains !
J et A contrariés d'être interrompus : Sissi !
Sissi : Quoi ? Qu'est-ce que je vous ai fait ?
J : T'as violé notre intimité ! Laisses-nous seuls, s.t.p. !
Sissi : Je voulais seulement savoir si, à l'avenir, je pourrais manger avec vous au réfectoire.
A : Oh. D'accord.
J : Mouais, ce ne serait pas nul.
Sissi : Chouette ! Merci, les copains !
L'ancienne peste enlace tendrement la jeune fille aux cheveux roses qui est éberluée. Elle reçoit aussi un baiser sur la joue.
Sissi : Pour m'excuser de t'avoir cassé les pieds. Je vous laisse. À bientôt.
J et A : À plus, Sissi.
Une fois leur nouvelle amie partie, Aelita se colle sur Jérémie qui lui caresse les cheveux.
J : Je t'aime aussi, Aelita. Depuis que je t'ai vu sur cet écran d'ordinateur. Je veux passer ma vie avec toi.
A : Merci, Jérémie.
Jérémie laisse Aelita s'étendre sur ses cuisses puis lui prend doucement le visage. Il approche ses lèvres des siennes et... ils s'embrassent amoureusement. Bien que cela ne dure que quelques secondes, ce baiser leur semble aussi long que leur combat contre XANA. En se détachant de leur étreinte, Jérémie verse une larme qui tombe... dans l'oeil d'Aelita. Il lui caresse la joue amoureusement et l'embrasse à nouveau.
Plus loin en Europe, deux agents hommes en noir discutent de la jeune femme qu'ils ont cryogénisée depuis déjà 10 ans. Leur agence surveille même l'usine dans laquelle Franz Hopper a disparu.
Homme 1 : Le supercalculateur est éteint, Franz Hopper est donc mort.
Supérieur : Bien. Décongelez Anthéa Schaeffer et tuez-la.
Homme 2 : À vos ordres.
Soudain, des gendarmes et des soldats débarquent dans la pièce. Désolé d'être trop rapide, mais lorsqu'Aelita a eu sa crise cardiaque en 4e, les médecins ont découvert sa véritable identité grâce aux prises de sang et donc, alerté les autorités. Ces derniers transmirent l'information à l'armée qui planifia donc de renverser les hommes en noir pour avoir détruit la famille d'Aelita. L'armée avait attendu que le supercalculateur de Boulogne-Billancourt soit éteint pour procéder aux manoeuvres officielles, étant aujourd'hui (dans l'histoire).
Gendarme 1 : Tout le monde à terre ! Couchez-vous tous !
Supérieur noir : Oh non ! Pas ça !
Soldat 1 : Vous êtes en état d'arrestation pour crimes contre l'humanité ! Décongelez Anthéa Schaeffer et remettez-la nous sans gestes brusques !
Homme 2 : Le code de décongelation est 1326. Pitié, on se rend.
Soldat 2 : Menottez-les.
Ainsi, les hommes en noir furent hors d'état de nuire. Les militaires sortirent donc Anthéa de sa léthargie glaciale et la confièrent à l'équipe médicale avec douceur. Et par la suite, il y a d'autres détails dignes d'un dénouement heureux bien que cette fic est loin d'être terminée. Mais je suis trop paresseux pour écrire ces mêmes détails et je préfère donc me concentrer sur la suite. Désolé.
Finalement, les Lyoko-guerriers décident de passer une nuit à l'Ermitage. Ulrich et Yumi se retrouvent et prennent le temps de papoter avant de se rendre à l'Ermitage.
U : Yumi ?
Y : Oui ?
U : J'ai remarqué que...
Y : Que... ?
U devient coquin : Que l'on voit ton nombril en permanence depuis notre rencontre. Sauf à la piscine.
Y fixe son t-shirt : Hein ??
Voyant effectivement son nombril, elle le couvre avec ses mains en gémissant de gêne, avec la tête de Leçon de Choses.

U : C'était juste pour te taquiner un peu, Yumi. Y a pas de mal à montrer le nombril. Sissi le fait tout le temps, elle. Y a aussi Priscilla, Heidi et... plusieurs filles. Tamiya porte un pyjama qui expose son nombril et ça ne fait rien. Milly montre son bas-ventre depuis la moitié de l'année et on n'a pas dramatisé. C'est la mode d'aujourd'hui, Yumi.
Y sourit : Mmh... Merci, Ulrich. En plus, c'est assez spécial quand on y pense. Je suis la seule asiatique du groupe et je suis la seule à montrer le nombril.
U : C'est vrai qu'une japonaise qui montre son nombril, c'est assez particulier. Des fois, ton ventre semble mince. D'autres fois, il semble mou.
Yumi a une idée qui la fait rougir.
Y : Je te laisse le toucher.
U : Quoi ? (Rougit.) Tu veux que... que je touche... ton... ton...
Y : Allez...
U : Ton... ton ventre... ?
Y : Oui, s.t.p. Tu es le seul à mes yeux qui le mérite.
U : Je... je ne sais pas quoi penser de ça...
Y : Vas-y. Touche-le.
U : D'accord, j'y touche. Merci.
Y sourit : Non, merci à toi.
Le jeune samouraï relève lentement le t-shirt de sa meilleure amie et tremble alors de joie.
U excité : Wow ! Yumi !
Y toute heureuse : Oui ?
U : Voir ton nombril est agréable, mais voir ton ventre est bien mieux !
Y : Il ne te manque plus qu'à le toucher.
U : Vu.
Il pose lentement sa main sur le ventre pâle de la jeune fille qui n'attend plus que la sensation. Le contact a lieu et les deux pesilats tombent dans l'amour. Leurs sentiments d'avant-William sont revenus en force. Le jeune samouraï fixent les yeux de la japonaise et comprend alors qu'elle regrette d'avoir dit qu'ils sont copains et c'est tout.
U : Ton ventre est... parfait !
Y : Ulrich. Je voudrais te dire qqch.
U : Je t'écoute.
Yumi expose d'abord l'abdomen d'Ulrich et le caresse, tout en le laissant continuer la même chose sur elle, avant d'approcher son visage du sien.
Y : Je m'excuse de t'avoir brisé le coeur au début de l'année. William n'est pas du tout l'homme de mes rêves.
U : Qui est-ce, alors ?
Y : Si tu connais la réponse, pourquoi poses-tu la question ?
Ulrich lui sourit. Elle fait donc coller leurs nombrils ensemble et laisse le jeune homme répondre à la question qu'il lui a posé.
U : C'est moi, je suppose ?
Y dans sa plus grande joie : Oui, Ulrich. Je t'aime.
U au comble du bonheur : Je t'aime aussi, Yumi !
Il prit donc le joli visage de Yumi et l'embrassa passionément sur les lèvres. Ce baiser parut plus long que celui des deux génies, tant les sentiments d'Ulrich et Yumi pour l'autre étaient plus vastes que toute autre romance connue dans le cinéma et la fiction.
U : Je t'aime, Yumi. Je t'aimerai pour toute la vie. Je serai prêt à mourir pour toi.
Y : Et moi donc. Je te promets d'être ta petite amie jusqu'à la fin des temps. Pour toujours et à jamais.
U et Y : Je t'aime.
Un deuxième baiser sur les lèvres. Ulrich pose ensuite un genou à terre et embrasse le célèbre nombril de Yumi, qui lui flatte les cheveux, tout en lui caressant amoureusement les hanches. Les deux pesilats passent désormais de meilleurs amis à jeune couple. Ulrich se lève alors, pas sans lécher la ligne d'abdos de sa petite-amie, et l'accompagne à l'Ermitage main dans la main. Yumi pose sa tête sur l'épaule d'Ulrich et lui expose le nombril pour masser ses abdos.
À suivre...