par spidernico » 24 Jan 2008, 13:34
J'en ai trop marre de vous faire attendre, alors je mets un morceau de l'énorme suite que je voulais vous faire. Si j'ai pris du temps, c'est parce que :
- Pas d'inspiration -_-'
- Un texte (ou plutôt une traduction) que j'ai pas trouvée, mais vous verrez ça dans la prochaine suite, je pense.
- J'voulais absolument en faire une super longue. Mais bon, celle là est déjà quand même assez longue donc bonne lecture !
Enjoy !
Une fois Jim parti, nos deux compères continuèrent à discuter pendant une bonne demi-heure avant de se diriger vers les douches, puis vers le réfectoire, une fois habillés. Surpris, ils purent y apercevoir le reste de la bande qui, apparemment, avait déjà finis de manger. Ils s’installèrent donc à leur table, tout en saluant leurs amis.
O – Salut à vous !
A – Salut, Odd !
U – Vous êtes déjà debout ?
B – Ben oui, on a tous eu du mal à dormir …
O – Vous êtes si stressés que ça ?
H – Ben ouais, quoi !
U – Mais attends, y’a un truc que je ne pige pas, là … Comment Jérémie et Aelita peuvent-ils stresser alors qu’ils ne jouent pas ?
A – T’oublie que je m’occupe de la soirée à partir de 00h30 …
U – Ah ouais, mais alors et Jérémie ?
J – Je stresse parce que j’espère que X.A.N.A. ne va pas activer une tour …
B – T’as pas mieux comme excuse pour éviter de lui dire que tu vas jouer les présentateurs ce soir ?
J – Euh …
O – Mais c’est génial, ça ! Attends, Jérémie, LE trouillard du collège va monter sur scène ! Et c’est qui qui t’a menacé pour que tu fasses ça ?
A – C’est moi. Je l’ai menacé de rater un cours. ^^
U – Je comprends mieux.
O – Bon, ça n’est pas tout, mais mon ventre crie famine ! Moi, je mange !
U – Ouah, Odd commence à avoir un langage soutenu ! La Terre va exploser !
O – Oh, ph’fé bon !
B – Odd, avale avant de parler ! T’as mis des miettes de croissant partout sur la table !
H – Au fait, il serait peut être temps qu’elle se réveille, elle … Dit Hiromi en montrant Mélanie du doigt, complètement affalée sur son plateau, à moitié en train de dormir.
O – Je m’en occupe ! Répondit-il au tac-o-tac, en finissant sa bouchée.
Aussitôt, il se releva, se plaça derrière Mélanie et la releva doucement par les épaules avant de l’embrasser tout aussi doucement, ce qui eut l’effet désiré.
M – Odd, c’est toi, mon chéri ?
O – Oui, c’est moi.
M – Je t’aime !
O – Moi aussi !
Contrairement à ce que certaines personnes auraient pu penser, toute la bande se contenta d’observer la scène sans un mot, mais avec un sourire aux lèvres, jusqu’au moment ou …
M – Mon chéri, la prochaine fois, tu éviteras de manger une banane avant de m’embrasser, tu sais bien que je n’aime pas ça ! dit-elle avec un regard envoûtant.
O – Oui, ma chérie. Lui répondit-il avec une voix de robot, complètement hypnotisé par son regard.
Tout le monde rigola, au vu de la réponse robotique d’Odd. Une fois ceux-ci détachés, nos amis débarrassèrent leurs plateaux puis franchirent la grille du collège, tous les couples main dans la main lorsqu’Aelita s’exclama :
A – Jérémie, tu as ton ordinateur ?
J – Bien sûr, pourquoi ?
A – Oh non, juste comme ça …
M – Odd, j’ai froid …
O – J’arrive, ma princesse !
Odd réagit tout aussi automatiquement que tout à l’heure en la prenant dans ses bras pour la réchauffer.
Y – Ulrich, viens par là, toi ! Lui tonna-t-elle en le tirant par le bras de façon à ce qu’il se retrouve entre les siens.
A – Et toi, alors, tu ne veux pas me prendre dans tes bras ?
J – Non merci, j’ai déjà un pull qui me tient vraiment très chaud.
B – Idiot … pensa-t-il en se rapprochant d’Hiromi les bras ouverts.
H – Il ne comprendra jamais rien à l’amour … pensa-t-elle également en se mettant au creux de ses bras, et en lui donnant au passage un léger baiser.
M – Bon, alors, on commence par où ?
J – Je propose qu’on se sépare. Les garçons ensembles, les filles aussi. Comme ça, surprise pour les costumes.
M – Oh non, j’étais bien là, moi …
U – J’suis d’accord.
Y – Moi aussi.
A&J – Nous aussi.
B&H – Pareil pour nous.
O – Moi aussi, je veux bien. Tant que je reste avec Mélanie, ça me va.
A – Je crois que t’as pas tout compris …
U – Tu l’as déjà vu comprendre quelque chose, toi ?
O – Eh !
B – Bon, allez, on se sépare ! A plus les filles !
Les filles – A plus les mecs !
Les garçons partirent alors pour le centre-ville et les filles pour un centre commercial dont je ne citerai pas le nom mais dont je peux tout de même vous dire qu’il commence par « Carr » et qu’il finit par « efour », les deux ne se trouvant pas au même endroit.
Les garçons, sur leur chemin, repassèrent devant ce superbe magasin qu’Odd a tellement aimé précédemment dans la fan fiction, j’ai nommé le Sex Shop.
U – Tiens, tiens, ça me rappelle des souvenirs, ça …
B – Ah ouais, à moi aussi …
O – Comment tu pourrais, t’étais pas avec nous ?!
B – J’ai le droit d’avoir d’autres souvenirs que vous de ce magasin, non ?
U – Ouais, ok, raconte !
B – Alors, alors …
Flash-back :
C’était juste quelques heures avant d’arriver au collège Kadic. Hiromi et moi étions dans la voiture de nos parents qui nous emmenaient à destination. Juste avant d’arriver au collège, nous passèrent devant de fameux magasin. Mon « père », qui conduisait la voiture se gara sur le trottoir, devant le magasin. « Maman » lui demanda :
M – Chéri, qu’es-ce que tu fais ?
P – Faut que j’achète des capotes.
M – Chéri, enfin ! On ne parle pas comme ça devant les enfants !
B – Oh, c’est bon, de toute façon, on sait ce que c’est !
M – Que … Comment ? Mes enfants … Mes enfants ont étés pervertis … Qui a fait ça ? Ca devait être nous … Nos chambres sont juste à côté … On a perverti nos enfants. J’ai perverti mes enfants … AAAAAAHHHH !!!! J’AI PERVERTI MES ENFANTS !!! J’AI ETE UNE MAUVAISE MERE, JE VAIS ME FAIRE HARA-KIRIIIIIII !!!! (« Se faire Hara-kiri » (littéralement) « se couper le ventre » en Japonais) (Parce que les parents de Bastien sont ceux d’Hiromi, donc Japonais.)
P – Eh oh ! Calme-toi, mon !
On put entendre, par la suite un bruit sourd pouvant être écrit par un « Paf ».
H – Euh, Maman ?
M – C’est rien, c’est mon cerveau qui a éclaté, à cause de la suractivité.
B – Bon ok … Papa, va prendre tes préservatifs et on repart.
P – Ok.
Fin du Flash-back.
J – Ok … Elle est pas un peu folle sur les bords, ta mère ?
B – Attention, elle c’est ma mère adoptive, ma vraie mère c’est Anthéa Hopper. Mais oui, elle est un peu tarée, des fois.
J'en ai trop marre de vous faire attendre, alors je mets un morceau de l'énorme suite que je voulais vous faire. Si j'ai pris du temps, c'est parce que :
- Pas d'inspiration -_-'
- Un texte (ou plutôt une traduction) que j'ai pas trouvée, mais vous verrez ça dans la prochaine suite, je pense.
- J'voulais absolument en faire une super longue. Mais bon, celle là est déjà quand même assez longue donc bonne lecture !
Enjoy !
Une fois Jim parti, nos deux compères continuèrent à discuter pendant une bonne demi-heure avant de se diriger vers les douches, puis vers le réfectoire, une fois habillés. Surpris, ils purent y apercevoir le reste de la bande qui, apparemment, avait déjà finis de manger. Ils s’installèrent donc à leur table, tout en saluant leurs amis.
O – Salut à vous !
A – Salut, Odd !
U – Vous êtes déjà debout ?
B – Ben oui, on a tous eu du mal à dormir …
O – Vous êtes si stressés que ça ?
H – Ben ouais, quoi !
U – Mais attends, y’a un truc que je ne pige pas, là … Comment Jérémie et Aelita peuvent-ils stresser alors qu’ils ne jouent pas ?
A – T’oublie que je m’occupe de la soirée à partir de 00h30 …
U – Ah ouais, mais alors et Jérémie ?
J – Je stresse parce que j’espère que X.A.N.A. ne va pas activer une tour …
B – T’as pas mieux comme excuse pour éviter de lui dire que tu vas jouer les présentateurs ce soir ?
J – Euh …
O – Mais c’est génial, ça ! Attends, Jérémie, LE trouillard du collège va monter sur scène ! Et c’est qui qui t’a menacé pour que tu fasses ça ?
A – C’est moi. Je l’ai menacé de rater un cours. ^^
U – Je comprends mieux.
O – Bon, ça n’est pas tout, mais mon ventre crie famine ! Moi, je mange !
U – Ouah, Odd commence à avoir un langage soutenu ! La Terre va exploser !
O – Oh, ph’fé bon !
B – Odd, avale avant de parler ! T’as mis des miettes de croissant partout sur la table !
H – Au fait, il serait peut être temps qu’elle se réveille, elle … Dit Hiromi en montrant Mélanie du doigt, complètement affalée sur son plateau, à moitié en train de dormir.
O – Je m’en occupe ! Répondit-il au tac-o-tac, en finissant sa bouchée.
Aussitôt, il se releva, se plaça derrière Mélanie et la releva doucement par les épaules avant de l’embrasser tout aussi doucement, ce qui eut l’effet désiré.
M – Odd, c’est toi, mon chéri ?
O – Oui, c’est moi.
M – Je t’aime !
O – Moi aussi !
Contrairement à ce que certaines personnes auraient pu penser, toute la bande se contenta d’observer la scène sans un mot, mais avec un sourire aux lèvres, jusqu’au moment ou …
M – Mon chéri, la prochaine fois, tu éviteras de manger une banane avant de m’embrasser, tu sais bien que je n’aime pas ça ! dit-elle avec un regard envoûtant.
O – Oui, ma chérie. Lui répondit-il avec une voix de robot, complètement hypnotisé par son regard.
Tout le monde rigola, au vu de la réponse robotique d’Odd. Une fois ceux-ci détachés, nos amis débarrassèrent leurs plateaux puis franchirent la grille du collège, tous les couples main dans la main lorsqu’Aelita s’exclama :
A – Jérémie, tu as ton ordinateur ?
J – Bien sûr, pourquoi ?
A – Oh non, juste comme ça …
M – Odd, j’ai froid …
O – J’arrive, ma princesse !
Odd réagit tout aussi automatiquement que tout à l’heure en la prenant dans ses bras pour la réchauffer.
Y – Ulrich, viens par là, toi ! Lui tonna-t-elle en le tirant par le bras de façon à ce qu’il se retrouve entre les siens.
A – Et toi, alors, tu ne veux pas me prendre dans tes bras ?
J – Non merci, j’ai déjà un pull qui me tient vraiment très chaud.
B – Idiot … pensa-t-il en se rapprochant d’Hiromi les bras ouverts.
H – Il ne comprendra jamais rien à l’amour … pensa-t-elle également en se mettant au creux de ses bras, et en lui donnant au passage un léger baiser.
M – Bon, alors, on commence par où ?
J – Je propose qu’on se sépare. Les garçons ensembles, les filles aussi. Comme ça, surprise pour les costumes.
M – Oh non, j’étais bien là, moi …
U – J’suis d’accord.
Y – Moi aussi.
A&J – Nous aussi.
B&H – Pareil pour nous.
O – Moi aussi, je veux bien. Tant que je reste avec Mélanie, ça me va.
A – Je crois que t’as pas tout compris …
U – Tu l’as déjà vu comprendre quelque chose, toi ?
O – Eh !
B – Bon, allez, on se sépare ! A plus les filles !
Les filles – A plus les mecs !
Les garçons partirent alors pour le centre-ville et les filles pour un centre commercial dont je ne citerai pas le nom mais dont je peux tout de même vous dire qu’il commence par « Carr » et qu’il finit par « efour », les deux ne se trouvant pas au même endroit.
Les garçons, sur leur chemin, repassèrent devant ce superbe magasin qu’Odd a tellement aimé précédemment dans la fan fiction, j’ai nommé le Sex Shop.
U – Tiens, tiens, ça me rappelle des souvenirs, ça …
B – Ah ouais, à moi aussi …
O – Comment tu pourrais, t’étais pas avec nous ?!
B – J’ai le droit d’avoir d’autres souvenirs que vous de ce magasin, non ?
U – Ouais, ok, raconte !
B – Alors, alors …
[i][u]Flash-back :[/u]
C’était juste quelques heures avant d’arriver au collège Kadic. Hiromi et moi étions dans la voiture de nos parents qui nous emmenaient à destination. Juste avant d’arriver au collège, nous passèrent devant de fameux magasin. Mon « père », qui conduisait la voiture se gara sur le trottoir, devant le magasin. « Maman » lui demanda :
M – Chéri, qu’es-ce que tu fais ?
P – Faut que j’achète des capotes.
M – Chéri, enfin ! On ne parle pas comme ça devant les enfants !
B – Oh, c’est bon, de toute façon, on sait ce que c’est !
M – Que … Comment ? Mes enfants … Mes enfants ont étés pervertis … Qui a fait ça ? Ca devait être nous … Nos chambres sont juste à côté … On a perverti nos enfants. J’ai perverti mes enfants … AAAAAAHHHH !!!! J’AI PERVERTI MES ENFANTS !!! J’AI ETE UNE MAUVAISE MERE, JE VAIS ME FAIRE HARA-KIRIIIIIII !!!![/i] (« Se faire Hara-kiri » (littéralement) « se couper le ventre » en Japonais) (Parce que les parents de Bastien sont ceux d’Hiromi, donc Japonais.)[i]
P – Eh oh ! Calme-toi, mon !
On put entendre, par la suite un bruit sourd pouvant être écrit par un « Paf ».
H – Euh, Maman ?
M – C’est rien, c’est mon cerveau qui a éclaté, à cause de la suractivité.
B – Bon ok … Papa, va prendre tes préservatifs et on repart.
P – Ok.
[u]Fin du Flash-back.[/i][/u]
J – Ok … Elle est pas un peu folle sur les bords, ta mère ?
B – Attention, elle c’est ma mère adoptive, ma vraie mère c’est Anthéa Hopper. Mais oui, elle est un peu tarée, des fois.