par julyan » 13 Mai 2009, 20:39
Contrairement a d’habitude, l’auteur n’a pas fait atterrie son personnage dans une forêt, et nan, c’est un bosquet.
Julien :- Tu te fous de moi, c’est quand même un endroit craignos, remplie de sapin ou autres plantasse, j’ai étais sympa, je me suis prêter a tes petits délires mais la STOP, donc soit tu me téléporte autre part ou alors tu te passe de moi pour la suite
Auteur sociosphère à tendance mégalomane a force de lire les chroniques de la stanislasie : -tu n’as pas le droit, tu es ma créature alors revins ou alors j’appelle le général VIVI, il va te montrais ce que l’on fait au récalcitrant.
Julien :- CHICHE, tu trouveras ma lettre de démission sur ton bureau demain.
Auteur : -Nan, revins ok, ok je change le décor, mais revins je t’en pris…
Julien : - Bien, on rediscutera de tous cela plus tard, en attendant va bosser tes lecteurs attendent la suite
Julien enfin arrivait dans ce monde encore inconnu de la plus part des gens, s’assit sur une pierre. Il se trouvait dans une vaste plaine se trouvait devant lui. Les hautes herbes devant lui dansaient au même rythme que ces cheveux dans une folle mélodie, où le vent était le chef d’orchestre. Pour la première fois de sa vie il se sentait vraiment libre, plus rien a part l’instant présent. Instant ou l’éternité est une seconde et où une seconde est une éternité. Pourtant une part de lui-même était toujours esclave, un esclave dont la liberté serait sans doute comme une renaissance.
Tiré de ses pensées, Julien se mit en route, on avait besoin de lui alors il serait la. Mais qui sera présent lorsque son frère et lui ne seront plus ensemble, car a part lui, il ne pouvait compter sur personne ? Plus il réfléchissait et moins il ne distingué se qui se passé autour si bien qu’il trébucha sur quelque chose. Malgré l’obscurité due au crépuscule naissant, il senti devant lui une créature bizarre se situé a ses pieds et mortellement blessé, elle eu a peine le temps de lui transmettre une aile doré d’une dizaine de centimètre ainsi que se message : dit aux mien que j’ai échoué, ils m’ont vaincu, ils l’ont et plus personne ne pourra les vaincre, va et transmet leurs mes paroles, suis la route et donne leurs cela, ils comprendront. Malgré sa mission, Julien ne pouvait aller à l’encontre des derrières parole d’un défunt, il prit donc la route qui se situait devant lui et marcha vers son destin.
Pendant ce temps, dans notre monde une jeune louve et son amis joué dans les vastes territoires qu’est notre poumon vert, ce poumon atteint malheureusement par un monstrueux cancer. Les anciens peuples de la forêt s’éveillaient doucement de leurs torpeurs. Dans le cœur vierge de toute présence humaine, les arbres tenaient conseil, chaque un défendant ses opinons, une décision fut cependant rapidement prise, Nazir serait lâché et peut être les hommes comprendraient leurs erreurs quand l’heure de leurs jugements viendraient, et peut être quelque uns d’entre eux survivraient, allé savoir. Dans la forêt le prédateur s’éveillait et le silence du néant commencer.
Le destin à plusieurs faces, il est perpétuelle évolution et pourtant suis des codes précis. Le monde dans le quel nous vivons et a notre image, c’est pour cela que je ne me regarde plus dans miroir, de peur d’avoir peur de moi-même, après tous vu la mocheté du monde, la crise cardiaque n’est pas loin.
Et je finirais mon chapitre sur ces mots…
Contrairement a d’habitude, l’auteur n’a pas fait atterrie son personnage dans une forêt, et nan, c’est un bosquet.
Julien :- Tu te fous de moi, c’est quand même un endroit craignos, remplie de sapin ou autres plantasse, j’ai étais sympa, je me suis prêter a tes petits délires mais la STOP, donc soit tu me téléporte autre part ou alors tu te passe de moi pour la suite
Auteur sociosphère à tendance mégalomane a force de lire les chroniques de la stanislasie : -tu n’as pas le droit, tu es ma créature alors revins ou alors j’appelle le général VIVI, il va te montrais ce que l’on fait au récalcitrant.
Julien :- CHICHE, tu trouveras ma lettre de démission sur ton bureau demain.
Auteur : -Nan, revins ok, ok je change le décor, mais revins je t’en pris…
Julien : - Bien, on rediscutera de tous cela plus tard, en attendant va bosser tes lecteurs attendent la suite
Julien enfin arrivait dans ce monde encore inconnu de la plus part des gens, s’assit sur une pierre. Il se trouvait dans une vaste plaine se trouvait devant lui. Les hautes herbes devant lui dansaient au même rythme que ces cheveux dans une folle mélodie, où le vent était le chef d’orchestre. Pour la première fois de sa vie il se sentait vraiment libre, plus rien a part l’instant présent. Instant ou l’éternité est une seconde et où une seconde est une éternité. Pourtant une part de lui-même était toujours esclave, un esclave dont la liberté serait sans doute comme une renaissance.
Tiré de ses pensées, Julien se mit en route, on avait besoin de lui alors il serait la. Mais qui sera présent lorsque son frère et lui ne seront plus ensemble, car a part lui, il ne pouvait compter sur personne ? Plus il réfléchissait et moins il ne distingué se qui se passé autour si bien qu’il trébucha sur quelque chose. Malgré l’obscurité due au crépuscule naissant, il senti devant lui une créature bizarre se situé a ses pieds et mortellement blessé, elle eu a peine le temps de lui transmettre une aile doré d’une dizaine de centimètre ainsi que se message : dit aux mien que j’ai échoué, ils m’ont vaincu, ils l’ont et plus personne ne pourra les vaincre, va et transmet leurs mes paroles, suis la route et donne leurs cela, ils comprendront. Malgré sa mission, Julien ne pouvait aller à l’encontre des derrières parole d’un défunt, il prit donc la route qui se situait devant lui et marcha vers son destin.
Pendant ce temps, dans notre monde une jeune louve et son amis joué dans les vastes territoires qu’est notre poumon vert, ce poumon atteint malheureusement par un monstrueux cancer. Les anciens peuples de la forêt s’éveillaient doucement de leurs torpeurs. Dans le cœur vierge de toute présence humaine, les arbres tenaient conseil, chaque un défendant ses opinons, une décision fut cependant rapidement prise, Nazir serait lâché et peut être les hommes comprendraient leurs erreurs quand l’heure de leurs jugements viendraient, et peut être quelque uns d’entre eux survivraient, allé savoir. Dans la forêt le prédateur s’éveillait et le silence du néant commencer.
Le destin à plusieurs faces, il est perpétuelle évolution et pourtant suis des codes précis. Le monde dans le quel nous vivons et a notre image, c’est pour cela que je ne me regarde plus dans miroir, de peur d’avoir peur de moi-même, après tous vu la mocheté du monde, la crise cardiaque n’est pas loin.
Et je finirais mon chapitre sur ces mots…